Pastor Party - TG (libre)

- genre toi t’es comment ? comme genre de mecs.. ? envie de savoir ce qu’il y a sous la gueule d’ange. pas encore assez échangé pour t’cerner. trop flou. c’est différent maintenant que je t’ai en face. découvrir tes mimiques, tes émotions, ta façon d’être. - tu me l’as donnerais ? me rapproche un peu. quand la musique était trop forte, entouré par le bruit. - de droit. et toi ? t’es à harvard aussi ? déçu de pas t’avoir croisé plus tôt. de jamais t’avoir remarqué avant ce soir. avant le match sur l’appli. hoche la tête avec un léger sourire. - t’aurais pu n’pas avoir envie d’me voir aussi .. pas tous les match fonctionnent. pas toujours le feeling. et, en même temps, on avait pas encore vraiment eu l’occasion de le savoir. - de milan. ça s’entend pas avec mon accent ? et toi ? tu viens d’où ? joue avec le verre encore à moitié plein avant de siroter une autre gorgée.

Sans lâcher cette main qui s’encrait dans la tienne, tu bougeas légèrement pour changer d’endroit. Glissant doucement entre ses jambes, tu finis par resserrer l’étreinte et le laissas alors poser son menton sur ton épaule pour converser ainsi. Tu sentais qu’il avait besoin de se rassurer et se confier. Tu ne le forcerais en rien ce soir, il avait tous les droits de ne rien dire. De ta deuxième main, tu la poses sur sa cuisse que tu frottes doucement dans un geste tendre. — En parles pas si tu n'as pas envie. J’reste là avec toi. Que tu souffles, penchant légèrement ta tête pour la coller a celle du garçon. — pour toujours même. Et tu relèves la tête doucement, constamment que ton cousin arrive à son tour à la soirée. Le saluant d’un sourire, tu reviens à ta conversation initiale. Un soupir s’échappait de tes narines avant que tu ne resserres un peu plus tes doigts dans les siens. — T’façon, Raf et moi, c’est terminé, j’pense que te parler me remonterait beaucoup plus le moral. Et y’a qu’à toi que j’ai envie de parler aussi… que tu souffles pour tenter de changer le cours de ses pensées.

Résumé : discute encore avec @Gabe Moretti et salut @Elias Pastor rapidement

tu lâches un rire à sa question, quel genre de mec tu es ? c'est une bonne question. tu ne sais jamais trop de décrire en réalité. t'as l'impression d'être juste simple, tu te prends pas la tête, tu vis au jour le jour. un peu trop focus sur tes études maybe je suis plutôt casanier, j'aime bien sortir mais à petite dose tu lances, haussant les épaules je suis sûrement moins fun que le reste de ma famille tu ris doucement, t'es clairement moins fun qu'eux ouais. bien que Camille est un peu plus posée que les autres aussi j'espère que t'es pas trop déçue du coup tu lances, vous n'avez pas beaucoup discuté par messages non plus. tu ne sais rien d'elle, comme elle ne sait rien de toi peut-être? tu dis, un sourire en coin. tu hoches ma tête à sa question oui, en médecine des études bien longues, mais tu t'accroches. ça te passionne, tu ne regrettes pas possible, on a pas énormément échangé non plus mais j'aurai probablement regretté si on se serait pas vus tu ne peux pas le nier, elle est belle  @Lena Castiglia un rire s'échappe de ta bouche, c'est vrai qu'elle a un accent mais tu préfères demander avant de gaffer si ça s'attend, tu marques un point tu ris, buvant une petite gorgée de ton verre je viens de Monaco Monaco est principalement connu pour.. le grand prix et la belle vie qu'on a là-bas.

Gabe se laissait doucement aller dans cette étreinte, le poids des émotions s’allégeant un peu à chaque mot qu’elle prononçait. Il appréciait le contact rassurant de sa main sur sa cuisse, et la chaleur de sa proximité avait cet effet apaisant qu’il n’aurait jamais imaginé. Les soucis semblaient moins lourds, et le fait qu’elle soit là, prête à l'écouter sans jugement, le touchait profondément. « T’es vraiment un ange, » murmura-t-il, sa voix légèrement étouffée par l’épaule contre laquelle il reposait son menton. Il ne savait pas encore s'il avait envie de parler ou simplement de profiter du silence et de sa présence, mais rien que le fait qu’elle soit là lui suffisait pour le moment. Quand elle mentionna que Raf et elle c’était terminé, il relâcha doucement son étreinte, se reculant un peu pour la regarder dans les yeux. « Vraiment terminé ? » demanda-t-il, surpris, une pointe d’inquiétude dans la voix. Il pouvait comprendre que ce genre de nouvelles ne soit pas simple à aborder. « Je suis désolé… » Il serra un peu plus fort sa main, comme pour lui transmettre une part de sa force qu’elle lui offrait en retour. « Mais si ça te fait du bien de parler, je suis là aussi, tu sais. Je suis pas le meilleur pour les conseils mais… j'peux écouter. » Il hésita un instant, avant d’ajouter dans un souffle presque imperceptible : «  Moi aussi… t’es la seule personne à qui j'ai envie de parler. »

@Clémence Pastor

Assis là comme deux idiots, vous profitez du silence des lieux pour vous retrouver un peu, en espérant que personne ne remarque votre absence. Tu oses alors évoquer ta rupture récente, une légère grimace tire tes commissures avant que tu ne croises son regard. — Oui… Que tu souffles doucement avant que ta main libre ne vienne se poser sur sa joue comme pour une nouvelle fois le rassurer lui et non toi. Il passerait toujours avant toi. Et de ton pouce, tu caresses sa peau toute chaude essayant tout de même de sourire. — t’inquiètes pas. Enfin, je pense que ça devrait aller ? Tu veux pas trop en parler, mais tu sais que Gabriel pourrait te comprendre mieux que quiconque. Puis lorsqu’il glissa sa main dans ta chevelure dans ce geste réconfortant, tu te laissais aller avant de reprendre. — j’l’aime mais, je peux pas le regarde, lui dire que je l’aime alors que y’a pas que lui… Et tu te souviens de la froideur de ses paroles, les regards noirs qu’il te lançait si ce n’était ce dégoût constant sur son visage. Tes yeux azur se baladent sur le doux minois de @Gabe Moretti avant de se poser sur ses lèvres. Non, tu ne fera rien ce soir si ce n’est pas lui qui initiait les choses.  

Présent physiquement, mais son esprit vagabondait ailleurs. Plus les secondes passaient, plus il ne se sentait pas à sa place ici. Il n’avait plus sa place dans une soirée des Pastor. Ce n’était pas lui qui devait être là, mais Rafael. Il le savait. Tout comme, elle n’aurait jamais dû aller à Monza avec lui, mais avec son copain. Et cela même s’ils venaient de rompre. L’annonce aurait pu le rendre heureux, mais ce fut tout le contraire. Il se rendit alors compte qu’elle venait réellement de rompre avec son copain par sa faute. Il était la cause de cette rupture et il détestait l’idée. « Je suis désolé. » Réussit-il seulement à dire. Il ne savait pas ce qu’il devait faire ou dire. Attendait-elle qu’il lui saute dessus et qu’il lui demande qu’ils se remettent ensemble ? Avait-elle fait ça pour cette raison ? Il la regarda quelques secondes, avant de soupirer une énième fois. « T’aurais pas dû. » Leurs regards l’un dans l’autre, il la prit dans ses bras pour lui offrir un câlin. Peut-être le dernier. « C’est lui que tu aimes. » Lui chuchota-t-il dans l’oreille avant de replonger son regard dans le sien. « Je suis perdu et tu peux pas écouter ce que je dis, ou faire en fonction de mes actes. » Ses deux mains se posèrent sur ses deux joues, avant de rajouter. « C’est peut-être mieux que je parte maintenant. Appelle-le ok ? » Puis il lui déposa un baiser sur son front. Ce fameux baiser protecteur. Avant de se lever et partir. S’il avait envie de foutre la merde dans sa vie, qu’il le fasse, mais il ne pouvait plus s’autoriser à embrigader @Clémence Pastor avec.

Out

Tu n'avais pas, en soi, une folle envie d'être ici, sans doute parce que les soirées d'étudiants ce n'était pas ton truc. Tu étais plutôt du genre loup solitaire, un rien trop sérieux, toujours plongé dans ses bouquins, concentré sur tes objectifs et n'admettant que peu de distractions. Cela ne voulait pas dire pour autant que tu ne savais pas t'amuser, bien au contraire, mais ta définition du fun n'était probablement pas la même que celle des personnes présentes ici. À bien des égards, tu n'étais pas à ta place ici et Cassie était ton seul point de repère. Tu acquiesças en silence lorsqu'elle te rassura en disant que vous étiez ensemble dans cette situation. Tu n'avais rien de plus à ajouter, à part la suivre jusqu'au bar pour vous servir en boissons.Tu eus un sourire en voyant les fraises sur le comptoir. " Toujours avec tes fraises, hein?" Tu t'enquis, avec un regard complice vers ta petite-amie, comme pour lui dire que tu avais compris cette private joke entre vous. "On dirait que personne ne leur a fait leur sort, encore." En effet, le paquet semblait intact mais tu n'eus pas vraiment le temps de méditer là dessus, Cassie t'invitait à regarder la foule tout autour de vous. Tu comprenais le sens de ses paroles, mais tu n'étais pas forcément d'accord. "On porte tous un masque d'une certaine façon." Tu dis alors, songeur. "Certains sont plus doué pour faire semblant que d'autres." Pour ta part, tu n'avais jamais été capable de faire semblant, et ça expliquait sans doute pourquoi tu étais aussi seul, presque marginal. "Tu connais du monde ici?" Tu ne savais pas si tu avais envie qu'elle te présente des gens qui faisaient partie de son entourage, mais c'était un sujet de conversation comme un autre. Tu avais simplement constaté que personne n'était venu vous saluer - avaient-ils seulement remarqué que vous étiez là? "Parce que moi je ne connais personne." En soi ce n'était pas très étonnant parce que ton cercle social était extrêmement réduit, contrairement à elle.

soulève la première différence. quand toi, tu te satisfait de la solitude. moi, j’ai besoin qu’on me la remplisse. à ne pas aimer le vide de l’appart, le besoin de toujours combler. - c’est avec toi que j’ai matché, non ?.. pas l’reste de ta famille. hausse les épaules. détachée. - pour l’instant, y’a rien de décevant chez toi. les bleutées qui passent en revue de la tête aux pieds. appuient les paroles. - mais, j’suis différente sur ça. j’sors beaucoup. trop. sentiments constants de jamais vivre assez. - t’es pas sur ?.. sourire joueur. hoche la tête lentement, pas le cursus le plus facile. sûrement que le cerveau est aussi bien fait que le reste chez toi. - la question s’pose plus. on est là, toi et moi. à se découvrir dans le réel. sans écran qui nous sépare. - un monégasque alors.. le charme brûlant. jette un bref coup d’œil autour de nous avant de me pencher vers toi. - j’me sens fébrile docteur.. à l’oreille, glisse les mots. - j’ai besoin d’air j’crois. tu m’emmènes ailleurs ? me recule doucement. termine le verre d’une gorgée avant de le reposer sur le comptoir. les yeux qui te fixent encore.

tu te doutes que tu peux paraître ennuyant, tu ne l'es pas mais c'est juste que oui, les soirées, c'est à petite dose pour toi. d'ailleurs, t'as hésité avant de venir à la soirée de Gabriel. tu ne regrettes pas d'être venu puisque t'es tombé sur  @Lena Castiglia , le hasard fait bien les choses finalement.
ton regard sur elle, tu ris un peu en l'entendant c'est bon signe du coup, non ? tu lances, un sourire en coin. t'es attentif à ce qu'elle dit, tu hoches la tête c'est pas un mauvais point chacun gère sa vie, tu n'as rien à dire avec ça je te l'aurai pas donné avant de te voir en tout cas, maintenant c'est différent c'est différent puisqu'elle est devant toi, et qu'à cette allure, vous n'allez pas rester très longtemps ici. tu peux ressentir cette tension entre vous. tu te contentes de secouer ta frimousse c'est le fait d'être monégasque qui te met dans ces états ? un léger rire qui s'échappe de ta bouche c'est une façon de demander mon adresse ? tu dis, murmurant à son oreille. tu ne lui laisses pas le temps de dire quoique ce soit, tu finis par lui prendre la main avant de quitter les lieux de la fête. les Pastor ne t'en voudront pas trop, pas vrai ?

Cassie observait son copain avec un sourire, remarquant son inconfort palpable. Elle savait bien que ce genre de soirées n'était pas vraiment son truc, et elle appréciait qu'il fasse l'effort d'être là, surtout pour elle. Son regard se tourna vers les fraises sur le comptoir, et elle éclata de rire à sa remarque. « Toujours avec mes fraises, ouais. » répondit-elle en souriant, attrapant une des petites baies rouges et la portant à ses lèvres. « C'est un classique maintenant. Je crois que si je les ramenais pas, il manquerait quelque chose. » Elle aimait la légèreté de ce moment, une sorte de bulle de normalité dans une soirée qui ne lui correspondait pas non plus entièrement. Son regard balaya la foule lorsqu'il mentionna les masques que les gens portaient. « Tu n'as pas tort. » murmura-t-elle, pensive. « On fait tous semblant à un moment donné. Que ce soit pour paraître plus confiant, plus heureux, ou juste pour éviter les questions. » Cassie se tourna à nouveau vers lui, capturant son regard. « Mais avec toi, j'ai pas besoin de porter de masque. » Elle se sentait sincère, vulnérable même, mais elle appréciait cette transparence avec lui. Il était différent des autres, plus franc, plus honnête. C’était l’une des raisons pour lesquelles elle l’appréciait tant, même si leurs personnalités étaient à bien des égards opposées. Quand il demanda si elle connaissait du monde ici, Cassie haussa légèrement les épaules. « Quelques visages familiers, mais rien de plus. » répondit-elle en balayant la salle du regard. « Mais tu sais quoi ? Ce soir, je suis là pour toi. Alors, peu importe qui est ici ou qui n'est pas. » Elle prit sa main doucement, jouant distraitement avec ses doigts, tout en lui souriant. « On peut rester un peu, mais si tu te sens trop mal à l'aise, on pourra partir quand tu veux. » Elle appréciait le fait qu'il soit venu, et elle ne voulait pas le forcer à rester plus longtemps qu'il ne le souhaitait. Pour Cassie, sa présence suffisait à rendre la soirée agréable, même si l'ambiance autour d'eux ne correspondait ni à lui, ni à elle. « Et puis, on pourrait toujours se trouver un coin tranquille avec nos fraises, non ? » Elle rit doucement, cherchant à alléger l'atmosphère, à rendre ce moment un peu plus amusant, à sa manière.

@Landon Fabre-Spencer