ALEKSEÏ & RUBY •• L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.

Alekseï et Ruby Հ L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.

En temps normal je ne juge pas aussi rapidement surtout quand je n’ai même pas encore aperçu la personne. Seulement, là, il faut être stupide pour prendre la fuite juste parce qu’un homme ne veut pas de nous. Alekseï et moi avons vécus plusieurs chose. Je lui ai avoué ce que je ressentais à son égard et par la suite, nous avons couchés ensemble accidentellement. Oui, ça arrive. Et au final nous avons mis les choses au claire. Il m’a clairement fait comprendre qu’il ne se passerait jamais rien entre nous et ce n’est pas pour autant que j’ai quitté Cambridge. Au début, on s’évitait. Enfin je l’évitais plus particulièrement. J’avais honte de le croiser après ce que je lui avais dis et puis aujourd’hui nous sommes toujours autant soudés et c’est ça qui me fait plaisir. Je ne pouvais pas rêver mieux. « Oui, je sais que ce n’est pas ton truc. Mais sa arrivera plus vite que tu ne le pense. Et arrête de te privé à cause de la mort de Sol’, je doute qu’elle veuille te voir comme ça. » dis-je par la suite pour clore ce sujet. Je sais qu’il n’est pas en état d’être heureux depuis sa disparition, mais il ne pouvait pas se privé de vivre maintenant. La vie continue, elle reprend son cours tout simplement. Il me dit ensuite que j’ai raison. Encore heureux. Je lui souris. « J’ai toujours raison, franchement laisse cette histoire de côté. Là, tu t’es pris la tête pour rien. » avouais-je à mon meilleur ami. Par la suite, il me dit ensuite que sa fait longtemps qu’on ne s’est pas fait de câlin. Je suis plutôt d’accord. Avant même que je dise quoi que ce soit, il me prit dans ses bras sans vraiment trop me serrer fort contre lui. C’est donc moi qui me colla un peu plus à lui pour le serrer très fort. Ça fait du bien de retrouver son meilleur ami.

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♕ Aleksy ♕

L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.

Ce n'est pas une fille qui juge directement au premier coup d’œil, elle veut connaitre la personne avant de se faire une opinion sur elle mais là, elle jugeait directement Alexis, en même temps il y avait de quoi. Elle m'envoie un sms me disant clairement qu'elle retourne en France, que c'est définitif, elle a comprit qu'elle ne m'aura pas, que j'étais à Georgia pour elle, surement j'en sais rien mais putain c'est con d'avoir réagit de la sorte, quand on regarde Ruby et moi, elle aussi m'a avouée ses sentiments, on a couchés ensemble sans le vouloir, ce fut un accident, ok on s'est évités mais voilà elle s'est pas cassée au bout du monde, je lui ai dis clairement qu'entre elle et moi ce ne sera que ça, une relation de meilleurs amis, rien de plus, elle fait avec point. D'accord. la raison l'emportait, elle a toujours su me parler cette brésilienne, et c'est vrai que je ne devais pas me priver car j'avais perdu quelqu'un, au contraire, je devais faire avec et avancer sans rester braquer sur cet fait. Prend pas la grosse tête non plus mais merci. je souriais faiblement prenant sa main pour la tirer vers moi, qu'on s’enlacent, ça faisait longtemps, et je fermais les yeux alors qu'elle se serrait contre moi, je pensais pareil qu'elle, c'était si bon de retrouver sa meilleure amie.

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Je me sentais un peu mieux, j’avais plus l’impression d’exister quand mon unique meilleur ami me parlait, me confiait ses peines. Je déteste le voir ainsi, alors je voulais faire mon possible pour qu’il retrouve le sourire, même si j’avoue que jusqu’ici je n’en ai pas vu un seul. Je soupire en le regardant, il me faisait tant de peine. Il est tellement fort d’habitude, le voir aussi plus bas que terre ça me faisait drôlement chier, j’avoue. « Allez, fais moi un sourire ! » demandais-je en faisant mes yeux de chiens battus, au moins là il ne pouvait pas résister et il serait obliger de m’offrir ce petit plaisir. Le voir sourire est la plus merveilleuse chose sur cette terre. Il me rend tellement forte, qu’est-ce que je ferais sans lui ? Rien, sans doute. Par la suite, il me dit que je ne dois pas prendre la grosse tête, pour ensuite me remercier. Je rigolais légèrement avant de reprendre mon sérieux et de me blottir dans ses bras comme une meilleure amie le ferait. Je l’étais alors je le serrais très fort contre moi. Il m’avait tellement manqué ce bonhomme. J’appréciais cet instant car ça faisait belle lurette que je ne l’avais pas sentis contre moi. Par la suite, je me délaissais un petit peu de lui pour lui déposer un GROS bisous sur la joue. Je le regarde tout en lui souriant. « Tu veux qu’on aille un coup dans l’eau ? » demandais-je simplement, histoire qu’on prenne un peu l’air frais. J’avais trop chaud.

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♕ Aleksy ♕

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Avec elle je revivais, elle n'était pas la fille qu'il me fallait, l'amour de ma vie, ma moitié, non je n'étais pas amoureux d'elle et jamais je le serais, je m'étais mis ça dans la tête depuis que je la connais et elle le sait, mais je peux pas vivre sans elle, elle est en quelque sorte ma moitié si, j'ai besoin d'elle pour vivre, pour aller bien, et la retrouver c'est si bon, si soulageant, je ne veux plus qu'on se quittent, du moins pas qu'on s'éloignent autant comme on l'a fait là. Et comme elle le voulait je souriais, un faible sourire mais un sourire, elle adorait mon sourire, je crois que même le sourire du mec qui prendra possession de son cœur ne rivalisera jamais avec le mien, elle est peut être plus amoureuse de moi mais mon sourire, c'est son bébé. Contente ? je rigolais même légèrement avant de la prendre dans mes bras, un câlin, 3 mois sans en faire un, putain qu'est-ce que ça fait du bien merde, pour elle aussi apparemment vu comment elle se serre contre moi, je souriais sincèrement, je suis heureux là, en ce moment. Elle déposait ses lèvres sur ma joue pour me délivrer un bisous pour le moins conséquent, il n'y avait qu'elle qui faisait ce genre de bisous, et qu'avec moi, chanceux le gars, ouais je suis chanceux de l'avoir. Je te suis. je me redressais pour enlever mon marcel et je me levais, m'étirant un coup C'est quoi le gage du dernier à l'eau ?.

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Un sourire, c’est tout ce que je lui demande pour que je sois un peu plus heureuse. Oui, j’adore son sourire. Je ne sais pas pourquoi, mais sa me fait frissonner. Et puis, son visage est encore plus beau quand il a la banane jusqu’au oreilles. Alors oui, j’étais contente qu’il le fasse pour moi. Je souriais à mon tour. « Ouiiiiiii ! » m’exclamais-je ensuite. Pire qu’heureuse actuellement, j’ai retrouvé mon tout, mon moi, mon oxygène, ma raison de vivre. Ouais, il me faisait rêver ce garçon, c’est mon meilleur ami quoi ! Je ne peux pas me passer de lui, trois mois difficile sans lui je dois bien l’avouer. La preuve, j’ai fais que des bêtise durant ce temps-là. J’ai fais un bébé a un inconnu… Non mais allô. Ensuite, je lui propose d’aller un coup dans l’eau histoire de se rafraîchir un petit peu car j’ai un peu chaud, voir même trop. Avec un enfant dans le bidon c’était encore pire. Je me sentais lourde. Il me dit qu’il me suit, contente je commence à partir en direction de l’eau jusqu’à ce qu’il me demande quel est le gage pour celui qui arrive en dernier dans l’eau. Je soupire. « Aleks, je peut pas jouer… au cas où tu aurais pas remarquer je ressemble à une baleine ! Je ne suis plus en état de courir. » dis-je en rigolant, bon je n‘étais pas si énorme que ça quand même. Je le regardais en levant les bras pour lui dire que je suis désolé de ne pas pouvoir jouer à ce jeu stupide qu’on adorait. Il allait comprendre.

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L'amitié double les joies et réduit de moitié les peines.

Voilà je lui souriais car même si ça n'allait pas elle avait ce petit don, me faire sourire, j'étais tellement bien avec elle, que c'était naturel ce sourire même si il était faible mais au moins elle avait ce qu'elle voulait. On vient de se retrouver, et je compte profiter d'elle un maximum, c'est vrai que j'ai merdé avec elle en réagissant très mal à sa grossesse, j'aurais du direct être là pour elle, la réconforter mais non, j'étais hors de moi à cause du mec qui lui avait fait ça et je faisais une fixette là-dessus car personne n'avait le droit de lui faire du mal, personne. Elle veut qu'on aillent se rafraichir, je suis pour, je me lève retirant mon haut et je la suis en lui demandant quel était le gage pour le dernier à l'eau et elle marquait un point, elle était enceinte. C'est vrai. je m'approchais d'elle et je venais la porter comme si je portais une princesse, mais c'était ma princesse en quelque sorte alors ça le faisait et j'allais dans l'eau avec elle dans mes bras et je me laissais tomber dans cette eau fraiche mais tellement bonne.

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Ma grosse n’était pas désiré, mais ce n’est pas pour autant que je me suis faite avorter. A la base, je devais l’annoncer à Mike puisqu’il était tout de même concerné étant le père. Malheureusement quand j’ai débarquer dans sa chambre il avait disparut, comme si il s’attendait à ce que je sois enceinte de lui. Bizarre, je l’avoue. Je dois avoué qu’au début je ne m’en suis pas vraiment remis et plus les jours passaient, moins je me rendais compte que je ne pourrais plus retourner en arrière et que j’allais devoir élever cet enfant toute seule malheureusement. Aujourd’hui, je n’ai plus peur et j’attends cet enfant avec impatience. Je lui donnerais tout l’amour que je peux c’est certain. A ma première échographie j’ai su que ma vie allait être meilleure. Par la suite, il me porta pour m’emmener dans l’eau. Là, je me sentais tel un petite princesse avec son prince charmant. La scène fut trop mignonne. Une fois que nous sommes arrivées dans l’eau, il me lâcha. J’étais bien trop bien. « Je t’aurais bien dit on fait la course, mais j’ai rien dans les bras ! » avouais-je à mon meilleur ami tout en gardant le sourire. Jusqu’au moment où je sentis une forte douleur dans le ventre qui me fit sortir de mes pensées. Sa faisait longtemps tiens. « Doudou, vient vite ! » dis-je en le ramenant à moi. « Touche ! Il bouge. » dis-je en souriant. Mon bébé bouge beaucoup, un futur footballeur c’est certain. Je pris la main de mon meilleur ami pour la poser sur mon ventre, on sentait les coups de pieds ! C’est trop beau.

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Elle était mal quand elle est venu me voir pour m'annoncer sa grossesse, moi aussi j'ai été mal même hors de moi, je ne me reconnaissais plus, je me préoccupais de l'avenir de ce type plus que du sien et je ne la réconfortais pas comme j'aurais du le faire et j'ai merdé sur ce point je le reconnais. Mais maintenant, je veux profiter d'elle un maximum et même si on s'est perdu de vue trois mois, je ne veux plus que ça arrive, je sais qu'elle n'est plus amoureuse de moi mais il peut y avoir encore quelques brins de sentiments mais rien de méchant, elle sait qu'il n'y aura jamais rien entre nous de plus que ce qu'on vit tous les deux maintenant, et ça me touche qu'elle le comprenne et qu'elle fasse avec, je ne veux pas la perdre. C'est vrai qu'il commençait à faire chaud et ça me tapait sur le système apparemment, elle était enceinte, elle ne pouvait pas courir, je rigolais comme un con en venant vers elle pour la porter comme la princesse qu'elle est à mes yeux puis je la repose dans l'eau, une eau fraiche mais vraiment bonne. Elle fit d'un coup une tête bizarre, me demandant de venir vite, je m'exécutais et elle prit ma main pour que je touche son ventre, je sentais un petit coup, et je souriais Je le sens. je venais embrasser sa joue de mes lèvres Je suis heureux pour toi. Vraiment. je m'asseyais dans l'eau et Ruby venait s'asseoir contre moi, j'avais toujours la main posée sur son ventre et la sienne sur la mienne.

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Cinq mois, c’est le temps que je dois attendre à présent pour découvrir la bouille de mon bébé. Il se forme doucement en moi, je craque un peu plus chaque jour. Porter un enfant c’est vraiment une expérience magique que je serais ravie de revivre un jour. Mais pour le moment, je devais m’occuper bien sagement de celui qui allait être dans peu de temps. Il me rend si forte, il est ma nouvelle joie de vivre. Je l’attend avec impatience. Et dire que je voulais avorter, qu’elle triste histoire. J’ai tout de même peur, peur de l’élever toute seule et de ne pas m’en sortir. Et si j’allais être atteinte du Baby Blues ? C’est horrible. Je ne m’imagine même pas en train de le tuer. Oh non de dieu, jamais je pourrais faire ça ! Alors que je le sentais bouger dans mon ventre, je n’hésite pas à appeler mon meilleur ami pour qu’il vienne profiter de cet instant avec moi. Je n’ai laissé personne toucher mon ventre depuis qu’il est tout rond et qu’il bouge, seul Alekseï y a le droit. Il me dit alors qu’il le sent ! Je souriais et lui aussi, j’aimais le voir comme ça. Aleks me déposa un baiser sur la joue. A ce moment précis, je suis heureuse. Il me dit ensuite qu’il est vraiment heureux pour moi. Ça me faisait chaud au cœur de l’entendre dire ça. J’allais m’assoir contre lui, toujours sa main sur mon ventre et ma main sur la sienne. On était beaux, on dirait vraiment un petit couple, des futurs parents. « Aleks ? Je veux que tu sois le parrain. » dis-je ensuite en regardant mon ventre. J’y tenais vraiment. Alekseï est la personne en qui j’ai le plus confiance sur cette terre et je veux qu’il fasse partit de la vie de mon enfant. Je le souhaite réellement.

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♕ Aleksy ♕

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Je savais qu'elle avait voulu avorter mais elle avait bien fait de changer d'avis, je la voyais souriante, ce bébé changeait sa vie, elle paraissait plus radieuse même si le père s'est cassé, mais je suis là pour m'occuper d'elle et de son gosse, je suis pas le père et jamais je voudrais me considérer comme tel, par principe mais je serais là pour elle, quoiqu'il arrive, je suis son meilleur ami après tout. Nous sommes à présent dans l'eau, elle sent son ventre bouger et alors que je m'approche d'elle, sa main prend la mienne pour la poser sur son ventre, je le sens aussi, je souriais, j'étais vraiment content pour elle, si elle était heureuse, je l'étais enfin en ce moment en partie. Je m'asseyais dans cette eau qui me faisait tant de bien, elle s'asseyait également et reposait son dos contre mon torse, nos mains toujours sur son ventre, beaucoup pourraient croire que nous sommes ensembles, mais pas du tout. Avec plaisir Ruby. que je sois parrain de son enfant ? Je pouvais pas dire non, je le faisais parce que j'avais envie mais surtout pour elle, car ça la rendait heureux de savoir que son enfant pouvait compter sur un parrain comme moi, et je crois que j'aurais été le seul à qui elle aurait demandée, je suis du genre unique.

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