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first love / late spring - ft stella

2 participants
Maddox Gardner

Âge : 27
Lieu de naissance : boston, ton enchaînée.
Quartier d'habitation / Colocation : amarrée à un dock, solitaire le bateau ivre.
Situation sentimentale : les yeux rivés sur elle, toi qui les regardais tous
Études / Métier : employée dans un laser tag/arcade
Date d'inscription : 02/03/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : quicksand (they)
Icon : first love / late spring - ft stella - Page 2 Aab33a13bbfc05e780aec17cef8ae8bc
Faceclaim : hailee steinfeld
Crédits : qs (ava)/notaboo (banner)
Multicomptes : /
Description (1) : first love / late spring - ft stella - Page 2 Madla
« mad - née à boston, 97' - famille dysfonctionnelle, parents toxico et sept enfants qui se baladent - dans la galère depuis toujours, enchaine les dettes - vit à bord d'un voilier trop étroit - n'a jamais suivi d'études supérieurs - fréquente toutes sortes de raves, consume un peu trop, enchaine les relations éphémères - passionnée de littérature qui a abandonné ses rêves d'écriture - bipolaire, comme sa mère - travaille actuellement dans une arcade, esclave d'une bande de gamins chaque jour.

les gardners | (leah, hazel), kara, enzio, paxton & samuel - une fratrie soudée dans la galère.
les autres | stella - meilleure amie, la seule étoile dans ton ciel, alex - pote que tu traînes dans tes soirées, ares - flirt, un guerrier d'plus dans ta liste, sienna - amitié qui r'monte au lycée, zorah - l'étrange étrangère au milieu des livres, prénom - lien, prénom - lien

Warnings : bipolarité - alcool - drogues - abandon - sexe - propos vulgaires - famille dysfonctionnelle
RPS : 116
Messages : 1328
Préférences de jeu
veritas
Maddox Gardner
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FIRE STARTER › who can stop me?
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t169305-maddox-gardner-hailee-steinfeld#8110569Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171977-maddox-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t169407-maddox-fiche-de-liens#8119877Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t169408-meetsachussets-madmax#8119886
étreinte rendue abreuve ton cœur, apaise les pensées dans leur course effrénée, pulsations revivent de la fusion de la paire. baiser déposé, tendresse contraste, un seul gémissement soupiré contre les lippes quand elles se séparent - palpitant infatué en un instant, caresse le temps trop rapidement. l'étoile filante repart, toi laissée pour compte face au croissant de la lune. accoudée au bord de la fenêtre, inspire l'air de la nuit, bercée par les lueurs bleutées et le lointain bruit blanc de la cité. tu te penches, observes un passant au loin, l'innocent ignore le déluge des maux inondant les quatre murs oppressés. les mots jetés dans le vide, ricochent sur les briques silencieuses. "mon problème c'est que j'ai l'impression de me noyer. qu'à chaque fois que j'te regarde, je perd pied mais j'peux pas m'en passer. même quand j'disparais, j'peux pas m'empêcher de penser à toi." confessions avouées à l'astre brillant, dominant la voûte, de sa lumière éclaire le firmament et les nuages duvets. briquet abandonné sur le rebord avec lequel tu joues. flamme s'embrase pour disparaitre, cycle continue du gaz qui s'évapore. chaleur ondule entre les doigts et s'éteint, brûle avec la même conviction que tes palpitations. les épaules se lèvent vers le ciel inanimé, retombent dans un soupir d'ignorance. tu te retournes, affrontes la chimère posée sur son piédestal. le ton s'assèche. "mon problème, c'est que j'sais pas ce que je suis censée faire quand tu m'dis de pas m'attacher, d'pas tomber amoureuse, parce que quand j'essaye de m'retenir et que j'vais voir ailleurs, tu m'fais une crise de gamine passive agressive." sourcils se froncent. "et putain ça fait mal à chaque fois, quand tu m'regardes avec dégout alors que j'fais que suivre les règles. merde si ça t'plait pas qu'on fasse comme ça, dis-le, fais quelque chose alors. parce que j'vais pas rester sagement assise à attendre que tu t'décides pendant qu'moi j'suis en train de couler." gestes s'amplifient, tentent d'extérioriser tous ces sentiments ancrés en toi. essoufflée par ton discours frénétique, tu forces une respiration. le regard faible s'échappe, fixe tes mains anxieuses, ongle écorche la peau dans son angoisse. et la voix redescend, brisures dans les cordes vocales éreintées. "alors ouais, c'était trop. j'ai perdu l'contrôle, j'ai pas pris mon traitement, j'suis partie sans prévenir, et ça change rien où parce que j'allais exploser si j'restais ici, putain." le dos se pose contre le mur, à l'abri du chemin de la brise et de ses libérations. les bras se croisent, tête baissée n'ose plus s'exposer - la paume vient essuyer une perle avant même de la laisser s'évader.
(Maddox Gardner)
Stella Vargas

Âge : 26
Lieu de naissance : boston
Quartier d'habitation / Colocation : city center
Situation sentimentale : in love with her
Études / Métier : barmaid (nephilim)
Date d'inscription : 10/02/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : sea, elle
Icon : first love / late spring - ft stella - Page 2 5d7f6d8be96ebb006aa8306cadbcad0c
Faceclaim : bruna marquezine
Crédits : ohdaylight (ava), notaboo (ban)
Multicomptes : none
Description (1) :
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Warnings : alcool, drogue, langage vulgaire, trouble de l'attachement, relations intéressées, sexe
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Stella Vargas
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t168637-stella-vargas-alexa-demie#8049981Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t168678-stella-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t168677-stella-vargas-fiche-de-liens#8052530Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t168704-meetsachussets-ziamore#8053720




filait l'astre vers ce char en envolée, nyx la haute divinité et son cheval noir galopait sur cette écume gelée. l'échine s'enfonçait contre arabesques en fer forgé, genoux levés vers les immensités et ses bouclées sur ses épaules cascadées lorsques orbes fuyaient. phalanges s'enlaçaient, les admirées, les querelles intensités résonnaient, limbes aspirés dans les échos révélés. audacieuses les prunelles osaient la contempler, silhouette maccabée au bord de la falaise menaçait, se jetait dans les méandres de l'éternelle obscurité. l'amoureuse rougissait, coeur blessé suintait, plaies ecchymosées, muscles ankylosés dans la chute de l'insensé. silence planait dans l'empyrée, lune en éclairée, les ombres dansaient et les regards s'attrapaient. rancoeur chantée, les complaintes de la sirène aux écailles dorées, voix brisée et le timbre effréné, irritée, alors qu'elle glissait sous ce drapé bouclier. les lèvres à tout jamais fermées, sombres les onyx se reflétaient cramés dans les ténèbres démantelés. les fautes rejettées, sur les épaules pesaient et ivre de sa possessivité, les yeux plissés l'écrouaient. aorte palpitait, vague d'anxiété courait sous sa peau dissimulée, l'estomac noué, ventre serré, boyaux contractés alors qu'intérieurement s'effondrait. amitié trônait, là, entre ces quatre murs immaculés, au centre de la pièce dans laquelle s'étaient enfermées. elle s'immolait, à ces syllabes échappées. « excuse de pas vouloir être la deuxième ou la troisième que tu niques dans la même soirée. » langue claquait, venin dégueulé alors que ses pupilles, d'une colère démesurée, se dilataient. « tu t'sentirais comment si j'courais te r'joindre avec le parfum de l'autre ancré sur ma peau, l'goût de ses lèvres encore sur les miennes et les marques encore vives de s'être trop accrochés pendant la baise ? tu m'laisserais t'embrasser même si j'avais encore la peau moite d'avoir trop joui ? » rire mauvais comblait l'abîme abandonné. vipère inspirait, la tempête se déchainait, sentiments valsaient, l'amour-haine se consumait dans ses veines. les tourbes se détachaient, sur ses mains plongeaient, se rassuraient. trachée souffrait et la gorge se refusait, les aveux sans pitié de la reine couronnée par les puissants divinifiés. « si ça t'convient pas, on peut tout arrêter. » trahison tintait de son clocher, lâche, l'évitait. insupportable l'idée de la perte de sa némésis énamourée, mais incapable de s'empoisonner. peur dans les tympans cognait, tout son être suppliait, nervosité ricochait. tremblements fébriles la secouaient, les salées coincées. tête contre le pan posée et les paupières fermées lorsqu'elle la levait vers l'étendue du plafond latté. soupire lâché. les iris s'ouvraient pour à nouveau l'admirer. « donc t'as préféré t'la jouer égoïste et aller exploser toute seule de ton côté ? t'as l'sens des responsabilités putain de merde. » les épaules haussées, sourcils froncés. « t'es pas la seule à être fatiguée. »



(Stella Vargas)
Maddox Gardner

Âge : 27
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« mad - née à boston, 97' - famille dysfonctionnelle, parents toxico et sept enfants qui se baladent - dans la galère depuis toujours, enchaine les dettes - vit à bord d'un voilier trop étroit - n'a jamais suivi d'études supérieurs - fréquente toutes sortes de raves, consume un peu trop, enchaine les relations éphémères - passionnée de littérature qui a abandonné ses rêves d'écriture - bipolaire, comme sa mère - travaille actuellement dans une arcade, esclave d'une bande de gamins chaque jour.

les gardners | (leah, hazel), kara, enzio, paxton & samuel - une fratrie soudée dans la galère.
les autres | stella - meilleure amie, la seule étoile dans ton ciel, alex - pote que tu traînes dans tes soirées, ares - flirt, un guerrier d'plus dans ta liste, sienna - amitié qui r'monte au lycée, zorah - l'étrange étrangère au milieu des livres, prénom - lien, prénom - lien

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Maddox Gardner
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t169305-maddox-gardner-hailee-steinfeld#8110569Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171977-maddox-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t169407-maddox-fiche-de-liens#8119877Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t169408-meetsachussets-madmax#8119886
les sourcils s'enfoncent, irritée. "zia, j't'ai pas demandé de…" paroles se stoppent, trachée se bloque, la frustration en apogée. litanies blessantes face auxquelles tu ne peux te défendre, destructrice vérité emporte les derniers semblants de ta fierté dans ses chants dissonants. lames tranchantes, les paroles virulentes, tu te refermes - une pause comme seule protection, à chercher en vain les mots qui réussiraient à tout réparer. armure vulnérable, friable à la moindre remarque, les émotions ricochent sur le métal érodé par les larmes. celles que tu laisses couler en silence, incapable de retenir le lent sillon le long de ta joue. souvenir du sel marin quand gouttes effleurent les lèvres - le réconfort du passé te rappelle, là où sur l'océan tes dilemmes se noyaient au milieu du crachin des vagues et du vent qui filait. fugues faciles de la veille pourtant paraissent lointaines, et leur écho ramène mille répercussions violentes. le myocarde craquelé sous les menaces prononcées. trop d'un coup à encaisser. tout arrêter. battement raté, étouffé dans la cage thoracique. le crâne se pose contre le mur décoré, dorsal s'y plaque, les yeux au ciel supplient l'intervention des olympiens, appel à l'aide quand tout va trop loin. la fin, ce jeu fougueux soudain perdu, sur l'échiquier deux reines tombées. chimères antiques se font du mal dans une lutte sans victoire, le champ de bataille sous les yeux de séléné arbore les ruines de l'amitié morcelée. reproches s'accumulent, écrasée, accablée, tout arrêter . le vertige de l'idée. le besoin d'exploser. carcasse affalée se redresse. "non, j'ai aucun sens des responsabilités. ca t'surprend ?" grand geste des bras exposent la situation - les déceptions occasionnées alors que tu n'oses même pas affronter les messages amers enfouis dans ton téléphone. travail mis en danger, fraternité amochée et les amours corrompus par vos fuites incessantes. "j'suis désolée zia, putain. je sais qu't'es fatiguée mais j'ai vraiment aucune idée de comment m'faire pardonner." l'angoisse prend le dessus, la peur de la perte, frénétiques les pas en aller-retours dans la chambre de l'idolâtrée. la main parcours la chevelure, terrifiée que la vénéneuse t'assène d'une autre morsure. "j'ai pas envie d'arrêter. j'ai pas envie qu'tu m'remplaces, j'ai pas envie que tu trouves quelqu'un avec qui tu passes assez de temps pour réaliser que j'en vaux pas la peine, qu'il y a cent fois plus facile que moi à gérer. et j'sais pas pourquoi j'pensais pouvoir m'faire baiser assez de fois pour oublier que je t'aime, parce que merde ça marche pas, j'pense toujours à toi." fatigue débordée et cantates désespérées se terminent dans un souffle sans peser leur sévérité.
(Maddox Gardner)
Stella Vargas

Âge : 26
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Stella Vargas
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t168637-stella-vargas-alexa-demie#8049981Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t168678-stella-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t168677-stella-vargas-fiche-de-liens#8052530Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t168704-meetsachussets-ziamore#8053720




corps terré sous les immensités drapées, longues jambes enroulées dans le froissé, ce bouclier orné d'arabesques cuivrées derrière lequel se dissimulait. les sourcils froncés noircissaient les érodés, cruelle obscurité chassait ces étoiles dans d'autres voies lactées. ils couraient sur la soie inanimée, se réfugiaient auprès de cette lune en reflet ou contemplaient cette porte fermée, celle par laquelle ils rêvaient de s'échapper. mâchoires serrées, lèvres scellées et colère en brasier l'étourdissait, veines gonflées pulsaient, chaleur ravageait, l'étouffait. myocarde fissuré, éclaté lorsque les morceaux tombaient et se brisaient aux pieds des indolentes divinités, tissu capturé, poing fermé camoufflait ses carminées. prunelles enragées se déliaient, admiraient la fugueuse effrayée. elle s'agitait dans le silence de la blessée, bois agonisait, grinçait, hurlait alors qu'elle l'écoutait s'égarer entre les syllabes désespérées, suffoquer, souffle cassé à chaque mot prononcé. « mad... » soupiré. l'enfant de leucothée tentait de calmer les flots infinités dégueulés. elle se noyait dans les eaux prodigieuse de nérée, jusqu'à ce battement raté, arraché à son coeur démembré. je t'aime. main relâchait le textile prisonnier et lentement chutait, dévoilait ce sourire né, incontrôlé s'étirait, ces nuages nimbés d'éclairs s'éloignaient. les astres enfumés apparaissaient dans son empyrée, de mille et un feux brillaient, frénésie martelait ses côtes froissées, d'avoir trop pleuré. salive difficilement avalée, soudain effrayée, muscles tétanisés se raidissaient. l'estomac retourné dont les papillons s'échappaient, chairs anesthésiées, elle se levait, fauve torturé duquel s'approchait. bruit éthéré dans les klaxons de la ville d'orphée, s'arrêtait, en face d'elle plongeait dans la captivité de son âme ébréchée, chaos des sentiments affamés. doigts glissaient, sa nuque ils l'attrapaient, la paralysaient alors que ses lippes dévoraient sa saveur salée, ses larmes iodées. langueur dans leur intimité, mouvement lascif en sensualité, l'embrassait. effusion énamourée lorsque sa langue mendiait, pénétrait le royaume de sa couronnée. dansait, dansait. valse incendiaire réanimait les flammes qui s'étaient consumées, braises dans le baiser, sur sa tête appuyait, proie capturée. l'espoir de l'apaiser, d'apaiser ses rancoeurs et ses insécurités, elle s'abandonnait. exaltait sous la prononcée, lettres grondaient, s'ancraient, en elle, sur sa peau bronzée, suintait sa maladie par ses porosités. frémissait, l'étreinte charnelle se rompait, phalanges accrochaient les siennes et l'emmenaient au sommet. se détachaient et la déshabillaient, coton délavé qu'elles lui retiraient, il s'échouait. sirène embarquait sur son rocher molletonné, l'invitait à ses côtés de ses chants embrumés. « je... » voix s'éclaircissait. « je ne sais pas ce que je veux, avec toi. je sais juste que j'te veux, parce que d'une manière ou d'une autre, j'reviens toujours vers toi. » l'intérieur de la joue mordillé alors qu'elle s'appuyait. « il faut vraiment qu'on parle bordel... » elle soupirait, vérité s'offrait et les souffrances achevaient ses pensées. elle prenait enfin conscience de cette nécessité, cardiaque flanchait et tout d'elle la suppliait de s'en aller.




(Stella Vargas)
Maddox Gardner

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ébullition en répétition quand les pas tournent en rond. les tourments qui t'accablent, les émotions vrillent, nappes phréatiques en coulée t'asphyxient quand les illusions angoissées t'envahissent. l'idée de la perdre, gorge resserrée, tunnel enfermé ignore la sirène qui se rapproche. et soudain, le calme. pensées s'arrêtent, en suspens au-dessus de l'ouragan qui se préparait. pression retombe alors que les pulsions s'accélèrent, tambours de guerre retentissent dans le thorax. les muscles se relâchent, tendus et puis sereins quand les lèvres se cherchent. nuages s'éloignent, les sentiments bercés en apesanteur, douceur nuée de la voie lactée, et les constellations qui te guident vers la berge en sécurité. le contrôle que la souveraine s'empare. de sa bouche, absolve les crimes passionnés pour quelques instants partagés - clémence des dieux impitoyables, éphémère salvation qu'aphrodite elle-même t'offre de ses pulpes. tu te laisses maitriser, l'animal dompté d'un simple baiser, les mains suivent ses mouvements alors que le vêtement glisse sur ta chair. anesthésiée par la colère en échappée, par les lames en retombées, plantées dans le bas-ventre. le frisson parcourt l'échine en rébellion, touché électrise le corps entier. alors que le reste des sensations s'engourdit. tu la suis, jusqu'au pied du lit. à ton tour, tu t'installes, en tailleur sur le matelas, terres hantées des fantômes de nuits passées allongées là. à regarder la nuit défiler, les secrets échangés, corps enlacés dans l'innocence, cette fois se retrouvent face à face dans une querelle insensée. une grimace se dessine aux mots indécis qu'elle prononce, l'appréhension des conversations sérieuses qui reprend. "on est pas déjà en train de parler ?" tu te rapproches de l'astre divin, en quête de sa chaleur. la peau dénuée , exposée au souffle de la fenêtre, en besoin de toucher le soleil. poussée lente et fatiguée, les jambes serpentent, s'attachent auprès de l'étoile. les doigts descendent sur le duvet, l'attrapent fermement pour venir l'enrouler autour de tes épaules - d'un geste, continuent pour capturer l'aimée dans le refuge molletonné. drap satiné qui plus tôt lui servait d'armure, maintenant te réconforte de son parfum imprégné. une inspiration, les paupières se ferment et le front vient s'échouer délicatement contre le sien. contact affectueux que tu implores à la chimère vénérée, le manque ancré dans chaque parcelle d'adn. phalanges ébauchent de leurs caresses les motifs ingénus le long de sa cuisse, dans une soif de connexion. "j'peux pas me passer de toi. peu importe où j'pars, j'ai besoin de retourner à côté de toi. à chaque fois. et j'suis terrifiée à l'idée qu'un jour tu sois plus là." salive avalée, chuchotement évaporé, aimant accroché - gravitent les météores condamnés aux collisions destructrices.
(Maddox Gardner)
Stella Vargas

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flots écrasés sur les hauts rochers, fureur de nérée repoussait les chalutiers, et bâteaux dérivaient sur leur plage abandonnée. houle agitée s'éteignait. croissant en reflet brillait sur les vagues immensifiées, silence lorsque la faucheuse s'en était allée, contemplant les blessées se réfugier dans leur terrier. calmes étaient les eaux nimbées de la poussière voie lactée, constellations destinées à l'empire divinifié, et dessinées sur le sable doré s'envolaient. dissimulée sous le bouclier, les mots coulaient sur le froissé, muscles se tendaient, orbes lugubres s'échappaient, sur les ombres tapissées et les murs d'un rayon illuminés. « j'pensais juste pouvoir repousser ça... » anxiété ravageait le coeur étouffé, corps électrisé alors que la beauté fragile s'enfonçait dans le brasier protecteur du drapé. peaux s'effleuraient dans cette obscurité, leurs chairs se caressaient, s'accrochaient sous ce secret voilé. leurs cadavres disparaissaient, épaisseur molletonnée diffusait une douce chaleur, enflammée par leur proximité, collées les héroïnes énamourées. frissons en nuée, tendre le doigté de la réfugiée, attaquait l'épiderme brûlé, cuisse dénudée offerte au carnassier et soupire arraché entre ses pulpes carminées, les yeux fermés. elle savourait, le plaisir de retrouver celle qu'elle aimait, rythme effréné, cognait, persuadée que celle qui l'envoûtait l'entendait. ces phalanges sculptaient son bronzé lorsque sa paume balayait cette fresque imaginée. main capturée, elle l'incitait à s'enfoncer dans sa courbe galbée, à ecchymoser le manque qui les avait tiraillées. sur l'esquisse de son bras remontait et s'arrêtait, s'enroulant autour d'une courte mèche bouclée. némésis chantait, l'enfant des sirènes buvait ses paroles ensorcelées, leurs fronts s'éloignaient. « pourquoi t'as si peur que je t'abandonne ? » souffle susurré courait sur son visage effrayé. « on se connaît depuis toujours toi et moi, et je suis toujours là. » onyx étincelaient, plongeaient dans les méandres de l'apeurée, captaient ses tourments et admiraient ses insécurités. prisonnières de leur passé, elle jouait avec ses cheveux désordonnés. « même si on s'prend la tête, même si j'ai plus envie d'te voir, je pense quand même à toi. je reviendrai toujours vers toi, mad. » sur son coude se dressait et déboutonnait le dernier rempart qui l'empêchait de respirer, tirait sur le tissu jusqu'à le lui enlever, le laissant tomber. l'encerclait de ses membres fatigués, la serrait, son visage au creux de son cou se nichait, cardiaque tambourinait. poitrine souffrait, difficulté à se soulever. « j'vais pas y arriver. j'vais pas arriver à supporter que d'autres puissent t'embrasser, te toucher comme je le fais encore longtemps... » effluves de sa possessivité alourdissaient les aveux, bouche pâteuse. voix cassée avait murmuré, rougeurs camoufflées sous la nervosité.




(Stella Vargas)
Maddox Gardner

Âge : 27
Lieu de naissance : boston, ton enchaînée.
Quartier d'habitation / Colocation : amarrée à un dock, solitaire le bateau ivre.
Situation sentimentale : les yeux rivés sur elle, toi qui les regardais tous
Études / Métier : employée dans un laser tag/arcade
Date d'inscription : 02/03/2024
Pseudo & Pronom(s) IRL : quicksand (they)
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« mad - née à boston, 97' - famille dysfonctionnelle, parents toxico et sept enfants qui se baladent - dans la galère depuis toujours, enchaine les dettes - vit à bord d'un voilier trop étroit - n'a jamais suivi d'études supérieurs - fréquente toutes sortes de raves, consume un peu trop, enchaine les relations éphémères - passionnée de littérature qui a abandonné ses rêves d'écriture - bipolaire, comme sa mère - travaille actuellement dans une arcade, esclave d'une bande de gamins chaque jour.

les gardners | (leah, hazel), kara, enzio, paxton & samuel - une fratrie soudée dans la galère.
les autres | stella - meilleure amie, la seule étoile dans ton ciel, alex - pote que tu traînes dans tes soirées, ares - flirt, un guerrier d'plus dans ta liste, sienna - amitié qui r'monte au lycée, zorah - l'étrange étrangère au milieu des livres, prénom - lien, prénom - lien

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tu t'éloignes alors qu'elle se rapproche, instinct d'évasion quand les noirceurs t'engouffrent et le regard s'échappe. dans la forteresse, se cachent les peurs profondes, terrées les inquiétudes de te retrouver captive, de te retrouver laissée pour compte. relaps anxieux quand sa perte signifie solitude, paralysie nocturne rongée par les phobie. silence résonne sous la couverture, les mots s'enlisent lourdement - raz-de-marée inondent dans les tympans les supplices de la souveraine. trop difficile de te voir affronter les autres spartiates, les blessures qu'ils laissent, les ecchymoses qu'ils marquent de leurs emprises sur ta chair. ces guerriers glorifiés conquérant les heures de tes nuits, la soif de les rencontrer ces âmes qui susurrent éloges collectionnés, elles t'offrent l'ataraxie pour quelques heures avant de les balancer. difficile de les enterrer à jamais, de déposer les armes. toi fière combattante, contemple l'idée terrifiante quand tu te perds dans l'impasse d'un amour sans issue. mouvement de tête efface les craintes funestes. un clignement et les yeux reviennent chercher les onyx adulées, voie lactée dissimulée dans l'obscur de ses iris - avec quelle facilité tu te damnes dans cet océan, noyades interminables que tu reclames, déjà la soif de retourner contre elle. d'une caresse, la main accompagne les traits de son visage sacré, chaque courbe récitée dans un poème ancien, hermès témoigne de ses chants les merveilles de la naïade. entre tes doigts, trésors convoités, récompense des olympiades. la seule qui surplombe de son piédestal les vulgaires soldats écrasés. le pouce effleure en douceur les pulpes parfaites, écarlates consommées, s'arrête sur l'ouverture humide. de ta voix éreintée, tu réveilles le calme enraciné sous les draps, le cœur meurtri martèle rythmes effrénés dans un vacarme fatiguant - c'est elle, toujours elle, qui hante les pensées. "parce que j'sais pas comment j'survivrais si un jour tu revenais pas." phalanges libres naviguent jusqu'à retrouver les siennes, s'entrelacent dans un piège en tendresse. "j'ai b'soin que tu m'rassures, de savoir que j'suis la seule qui compte autant pour toi." tu attires sa paume prisonnière jusqu'à ta poitrine, déposée sur la porcelaine où tambourine le muscle en agitation. la respiration profonde ne parvient pas à le soulager - cadence aggravée par le baiser innocent que tu délaisses au coin de ses lèvres. visage reste si proche, cajôle la peau en lenteur apprivoisée, bercée par les effluves enivrantes. "qu'est-ce que je suis censée faire, alors ? je suis pas sûre de pouvoir m'retenir mais j'peux pas supporter l'idée que tu m'échappes encore."
(Maddox Gardner)
Stella Vargas

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Lieu de naissance : boston
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une caresse abandonnée sur la rosée, douceur imméritée taisait leurs épopées et leurs querelles oubliées, enterrées sous les arches en immensité. lèvres s'ouvraient. son souffle brûlait la pulpe salée de son pouce, l'effleurait, alors que ses granit miniers contemplaient l'obscurité tourbée, les profondeurs dissimulées de son âme abîmée. les effrayées suppliaient, se déformaient sous leur lugubre destinée, l'écho d'un long cauchemar ombragé planait, damoclès en épée. phalanges couraient sur son poignet, l'articulation recouverte du molleton capturée, leurs doigts entremêlés disparaissaient sous l'épais duvet. leurs jambes dénudées, ciselées, s'étreignaient et forçaient leur proximité. la cambrure des corps ankylosés s'apprivoisait, cadavres réchauffés, colmataient les brèches laissées par le pull délavé. obsidiennes se baladaient sur l'astrée, admiraient ses boucles négligées, ses larmes séchées, les effluves inespérés de la mer vanillée. la beauté de ses traits fatigués et sa commissure l'appelaient. ses pupilles dilatées se noyaient dans son océan boisé. « et si c'était toi qui ne revenais pas ? » tragédie susurrée, chant d'une sirène paralysée, vestiges malformés du coeur frappaient, côtes fissurées. une détresse engourdissait ses muscles épuisés, prisonnière de ses peurs enracinées, dix jours d'anxiété à l'estomac noué. sa paume épousait sa peau immaculée, poitrine de porcelaine tremblait sous le rythmé. fracas du myocarde blessé, il battait ses chairs dissimulées; et louve solitaire aux crocs acérés écoutait les chants tambouriner. fantôme du baiser sur l'embrasure humidifiée, l'indépendance brisée lorsqu'elle luttait, collision frontale ecchymosée à laquelle succombait. feu irradiait, courait dans ses veines et se répandait, lourde cette chaleur l'asphyxiait, suintait par ses porosités. pouls s'emballait à l'effrénée. cardiaque menaçait, et ses prunelles dilatées descendaient sur ses lippes asséchées, remontaient se jeter dans ses onyx lacérés. « je... » les mots coinçés dans sa gorge, enrouée. l'atmospère soudainement pesait, les doigts s'arrachaient à leur captivité, alors que son sucre brillait, l'appelait. « crois-moi, t'es la seule qui compte... » murmure cassé, elle haletait. le poids du corps sur le sien, et son gémissement éteint lorsqu'elle fondit sur la princesse d'égée. elle l'embrassait, danse pressée, désordonnée, leurs langues luttaient dans un combat anarchique, électrique. sa main sur sa mâchoire glissait dans ses cheveux nacrés, les empoignaient dans l'urgence convoitée. et elle se détachait, les lèvres gonflées, rougissait sous la lune en quartier. d'une gêne dévoilée et de ce brasier consumait ses sentiments et sa lâcheté. « je... » je suis amoureuse de toi. « je peux pas vivre sans toi. » brise de sable chaud frôlait son visage de poupée. « j'ai passé six jours à pleurer, quatre jours à te détester et je veux passer chaque minute qui défile à te r'trouver. » perles pétillaient à cette nouvelle lueur éclairée, les abysses illuminées après la tempête échappée. nymphe apaisée se couchait, contre celle qui la faisait chavirer, et se retournait, son dos plaqué contre ses seins galbés. les jeux d'ombre sur ce mur en béton, les coups de klaxon et tourbillon de ses mille émotions. un silence tapissait l'empyrée du plafond, alors qu'elle réfléchissait, tintait la cloche en laiton dans ses limbes en brouillon. ricochet du diapason. « continue à faire ce que tu veux. » paupières clignaient, elle chassait ces silhouettes ancrées, toutes ses pensées, sa possessivité lorsqu'elle l'avait vue dans les bras d'un prométhée. « ce serait égoïste de te demander d'arrêter alors que j'ai traîné avec un mec ces deux dernières semaines. » elle se redressait, étouffait sous le drapé, en tailleur s'asseyait. « ne viens juste pas me voir après quelqu'un d'autre s'il te plait. » demande emplie de vulnérabilité parce qu'elle savait qu'elle ne pouvait plus l'encaisser.




(Stella Vargas)
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t169305-maddox-gardner-hailee-steinfeld#8110569Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171977-maddox-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t169407-maddox-fiche-de-liens#8119877Profil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t169408-meetsachussets-madmax#8119886
corps enchaînés, avides de se rencontrer. chaque caresse appuyée redécouvre la douceur oubliée de son derme réchauffé. poitrine se soulève à chaque respiration, trop saccadées sous la moiteur du drapé, fraîcheur d'une nuit étoilée. le coeur se serre quand elle te susure ses confessions, avouées à la lune - la seule qui compte. les mains glissent sous le vêtement pour la coller contre toi, le besoin de l'agripper, de la serrer, de vous rapprocher dans ce baiser enivré comme si ça en était une nécessité. ongles s'enfoncent, serres retiennent leur précieuse possession sous les rougeurs naissantes. les bouches s'embrassent, lèvres se retrouvent, jumelles agitées luttent affamées. transportée sur les rives des plages aimées, paradis ensablées où les vagues cajolent naufrage ancien. crinière maîtrisée te force à tout arrêter d'un mouvement trop soudain. râle en frustration quand la distance force une séparation et les paupières s'ouvrent pour l'admirer. beauté antique que tu as toujours adulée, amasse cantiques de sa grâce éplorée. les pupilles plongées dans ses pierres noires, espèrent dans un désespoir la libération de ses litanies. et pourtant ses mots vous écorchent toutes les deux. le regard désolé que tu lui offres - désolé de l'avoir trahie, désolé pour les larmes et le mal commis, désolé de savoir qu'elle t'a détestée. mais les excuses ne sortent pas, épuisée de les répéter, tu te contentes d'un geste. l'étreinte énamourée quand elle se pose dos contre toi. la tête s'enfouie dans ses boucles parfumées, l'odeur favorite calme les tourments, dans la chaleur vénérée tu pourrais bien t'y oublier. sauf que brutal le phrasé qui claque le silence. bras se relâche pour la libérer quand la sentence atteint les tympans. redressée sur ton coude, tu dévisages la reine impitoyable maintenant trônant face à toi. l'air confus se devine, l'arcade se fronce, paupières se plissent. "le même ? ...pendant deux semaines ?" un seul rire nerveux s'étouffe dans la gorge, le sourire amer, thorax en douleur - jalousie iodée corrode le métal de ton armure scintillante. "c'est quoi ? ton mec ?" salive avalée reste coincée dans la trachée, acerbe l'aveu d'une ironie douloureuse. peut-être pas la seule. les dieux moqueurs te rappellent que la convoitée est une créature imaginaire, serpent d'eau se glisse hors des mains, monstre marin menace les villes au bord de mer. le visage apprend la nouvelle, se tord dans sa souffrance, la sensation soudaine de perdre ton idole avant même l'avoir possédée. emotion nouvelle qui se découvre, terreur de la savoir bercée dans les bras d'un autre. toi-même éclipsée dix jours dans les cieux d'un autre soleil, te retrouves face à cette réalité - remplacée dans ton absence mortelle, anxiété en montée, doutes décuplés. oubliées déjà les promesses rassurantes qu'elle prononçait dans les souffles précédents, brûlures des yeux retiennent un sanglot. brusque, tu te retournes pour esquiver la louve menaçante, la couverture empoignée pour t'y réfugier. abritée dissimule les larmes dans le duvet et les envies de s'échapper. "j'suis vraiment épuisée." gorge sèche répond d'un ton stérile, illusion de sécurité.
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Stella Vargas

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bribes effrénés se taisaient. la cadence mélodieuse du coeur agité, victime immolée de ce violent brasier, et le thorax brûlé sous le noyau des flammes ondulées. neige cendrée, le baiser consumé, nuée de frissons en traversée sur les sillons creusés de ses ongles affamés. son bronze sculpté dissimulait à l'astre éclairé ce tracé irrégulier, vagues échouées de quelques rougeurs abandonnées. feu propagé, poison de ses crocs ancrés dans ses chairs affligées et les échos de son gémissement résonnaient encore entre ses tympans atrophiés. le dos cambré lorsque ses fesses comblaient parfaitement le vide dessiné par son bassin raviné, et son souffle égaré entre ses boucles mordorées, inoubliable nuit d'été. les corps s'épousaient, caresses arrêtées, subitement envolées. lionne esseulée se redressait, accoudée sur le drapé alors que la blessée se retournait. frustration soupirée, elle la regardait, contemplait son visage épuisé, ses lèvres affranchies de leur humidité et cet éclat d'orage dans ses prunelles tintées. les obscurités levées vers des cieux inanimés roulaient sur ce nuage sombre immaculé. emprisonnée, les regrets amoncelés dans ses limbes ébranlés, l'intimité à peine retrouvée, déjà brisée. acculée, l'étau des cantiques chantés se refermait sur la seule erreur prononcée. « c'est rien. » mots claquaient sur son palais, irritée. « c'est bon, j'ai rien fait. on s'en fout. » lippes se pinçaient, muscles se soulevaient pour l'affronter. le flash maccabé d'un baiser étranger, celui qu'elle avait elle-même initié avec le carnassier. fragments d'une danse partagée, les corps serrés et quelques moments étoilés passés à sourire, rire et vagabonder. « et puis si c'était mon mec, je t'aurais pas embrassée... » lueur brillait dans sa noirceur. à sa hauteur, regard fièvreux, insidieux, provocateur. accusateur. louve terrée de l'autre côté, fuite brutalisait myocarde étiolé. le ton monotone utilisé alors qu'elle collait leurs membres asphyxiés, main glissée sur son ventre dénudé, l'attirait. « mad...? » murmuré, naïade l'incitait à s'retourner, syllabes s'arrondissaient. « r'tourne-toi putain... » fatiguée, les sourcils froncés et au-dessus d'elle penchée, les incompréhensions nées au creux d'un estomac en nausée. « mais qu'est-ce que t'as ? m'dis pas que tu fais la gueule ? » ataraxie décimée, l'énervement en montée lorsqu'elle ne parvenait plus à s'engouffrer dans l'intensité de leur proximité, limites érodées, possessivité éreintée, et cette nécessité de la frôler, de la toucher, d'imprimer ses marques antiques sur sa porcelaine abîmée.




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