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I miss you - Feat. Lassa

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Une semaine. Sept jours. Sept jours que tu me manquais. Que j'arrêtais pas de penser à toi sans arrêt, me demandant à chaque instant si tu faisais de même. Si j'étais quelque chose, ou simplement rien. Un amusement. Un petit gars inintéressant avec qui t'avais prit plaisir à coucher. T'étais rentrer dans ta famille, à New-York, juste après que nous ayons couché ensemble, seulement quelques heures après. Je voyais pas ça comme de l'abandon, mais j'aurai voulu recevoir au moins un SMS pendant cette semaine. J'en ai pas envoyé non plus. Je t'évitais pas, j'avais juste besoin de me poser les bonnes questions. De savoir si le "je t'aime" que je t'avais dit était sincère. Il l'était. Plus que n'importe quoi.

Le summer camp débutait aujourd'hui, et nous nous étions croisés souvent à l'hôtel, au restaurant, juste un simple bonjour, deux banalités échangées et chacun retournait dans son "clan". J'étais tellement vert que tu sois dans le "clan" de Rory et Blaise. Je savais que tu ne les laissais pas indifférents, et ça me rendait dingue, jaloux. Pourtant, je voulais pas qu'on nous voit ensemble. J'avais encore du mal à assumer cette partie de moi. J'avais pas honte de toi, au contraire. J'avais honte de moi.

Ce soir, j'arrivais pas. J'avais besoin de te voir, de te toucher, de te parler, de t'embrasser, de passer la nuit avec toi. Mais dans cette chambre, c'était quatre autres gars qu'il y avait avec moi. Je t'ai donc envoyé un SMS "Rejoint-moi sur la plage vers 2 heures, tu me manques." J'étais parti sur la plage bien avant 2 heures, vers 1 heure, par-là. J'avais aussi besoin d'être seul. Je m'étais allongé sur le sable, fumant un joint, les yeux fermant, écoutant simplement le silence qui régnait. Je t'attendais, impatient, comme un enfant qui attend ses cadeaux de Noël, comme si je t'avais pas vu depuis des siècles.
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C'était enfin le Summer Camp! Ça me faisait vraiment trop bizarre d'être enfin en Floride, quoi. Deux mois de vacances, pures et simples, merveilleuses. Ça signifiait qu'on avait enfin terminé tous les cours, réussis les examens, et qu'on pouvait enfin se reposer. Cet été, je comptais bien bronzer, me reposer, profiter du soleil et des partys, et bien sûr, te voir toi.

Depuis que nous étions arrivés en Floride aujourd'hui, nous nous étions souvent croisés, toi et moi. Je serais bien allé te voir, bien entendu, parce que cela faisait 1 semaine exactement que nous ne nous étions pas vus, ni parlé. En effet, j'étais allé passer sept jours chez mes parents à New York après qu'on ait fait l'amour une deuxième fois, toi et moi. Ni toi ni moi n'avions osé nous téléphoner ou nous parler par SMS, je ne sais pas trop pourquoi. Mais bref, je serais venu te parler aujourd'hui, mais ton regard qui me semblait incertain me l'interdisait, comme si tu n'étais pas sûr d'être capable de m'aborder face à tout le monde. Je respectais cela, même si ça me faisait mal.

Il était maintenant 23h00, lorsque j'entendis la sonnerie de mon portable m'annoncer que je venais de recevoir un SMS. J'accourus presque pour regarder de qui il provenait. C'était de toi. Je souris en lisant ce que tu m'avais envoyé. Tu voulais que je te rejoigne sur la plage à deux heures du matin. Je venais tout juste de prendre ma douche, alors je me changeai pour être habillé plus convenablement. Cependant, il faisait tellement chaud en Floride, qu'il m'était inutile de porter un chandail. Seulement des pantalons courts, et hop, je partis vers 1h45 de ma chambre, laissant mes trois colocataires de deux mois seuls, me dirigeant vers la plage. Je te cherchai du regard et te remarquai enfin, couché dos au sable, fumant ce qui me semblait être un joint. Je te rejoignis en silence, quasiment sur la pointe des pieds, et arrivé près de toi, je me penchai par-dessus ton visage pour déposer un baiser sur tes lèvres. « Te voilà... Je te manquais, à ce que j'ai entendu dire? » Je me relevai, un sourire aux lèvres, attendant que tu ouvres les yeux.
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Je sentis des lèvres se rapprocher des miennes, et je reconnaissais ton odeur qui s'en accompagnait. Je te rendis ton baiser et ouvris les yeux avec un grand sourire. J'étais heureux que tu sois venu, je savais que tu viendrais, mais j'avais toujours une petite appréhension. T'étais magnifique, encore plus que ce que j'avais dans la tête, surtout quand tu souriais, surtout sur cette plage. J'avais des millions de papillon dans le coeur et je te dis dans un murmure.

"Tu peux pas savoir à quel point ..."

Je prenais ta main, restant allongé pour que tu en fasses de même, que tu t'allonges près de moi, sur le sable. La plage était déserte, et c'était agréable. Je pouvais enfin arrêter de cacher l'amour que j'éprouvais pour toi, celui que j'assumais pas. J'avais encore peur du regard des autres, de leur jugement. J'avais jamais supporté le fait de pouvoir aussi aimer les hommes. Quand tu t'allongea près de moi, je passais mes bras autour de ton cou et posais mon front contre le tien, c'était tellement agréable, et ça m'avait manqué ce contact, ton contact.

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Le contact de mes lèvres sur les tiennes me faisait un bien fou. Comme si cela faisait dix ans que je ne t'avais pas embrassé. Mais cela ne faisait que sept jours, presque huit en fait. Lorsque je vis tes yeux s'ouvrir, accompagnés d'un magnifique sourire que tu me réservais probablement à moi seul, mon coeur fit un bond. T'étais tellement craquant. « Tu m'as tellement manqué, aussi. J'ai pas cessé de penser à toi.. »

Je te souris en coin, puis tu attrapas ma main pour que je vienne m'installer à tes côtés, sur le sable frais. Frais parce qu'on était en plein milieu de la nuit. Autrement, il aurait été chaud à cause du soleil chauffant de la Floride. Je regardais le ciel étoilé, écoutant le silence, ou plutôt le mouvement des vagues qui perçait le silence. Soudainement, je sentis tes bras entourer mon cou et m'attirer un peu plus vers toi, toujours sur le côté, en posant ton front contre le mien. Je t'offris un sourire charmeur et amoureux. Parce que oui j'étais amoureux de toi. Je laissai tes bras là, mais au lieu de rester couché sur le côté, je vins me placer au dessus de toi, à califourchon. Je te regardai un instant, puis passai le dos de ma main sur ta joue. « Est-ce que tu sais combien le fait de devoir me tenir loin de toi pendant le jour me rend fou...? » Un sourire un peu triste s'afficha sur mon visage, alors que mon regard se plongeait dans le tien.
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Tu te mis alors à califourchon sur moi et je te regardais, ne perdant pas mon sourire. C'était bon de te voir, te voir enfin seul, sans tout le monde autour. Juste toi, et moi. Mais ce que tu me dis me traversa alors le coeur. C'est vrai, j'étais con, tu pouvais souffrir de cette situation.

"Je suis désolé Lassa ..."

J'avais gardé les mains autour de ton cou et m'en servait pour approcher ta tête de la mienne. J'pouvais pas supporter ton sourire triste, ça me tuais, parce que c'était ma faute. Je t'embrassais passionnément, j'en avais eu tant envie toute la journée, mais j'avais préféré jouer le con et me cacher, cacher mes sentiments pour toi, tout ça pour une question de fierté. Putain de fierté.

"Laisse moi juste un peu de temps ... Pour m'y faire."

J'arrêtais à peine le baiser. J'avais pas envie de te parler là, j'avais juste envie de ton affection, te voir, te sentir, t'embrasser, te toucher. Tout ce que j'avais retenu cette journée. Tout ce que j'avais du garder pour moi. Tout ce que toi, t'aurai pas eu honte de faire.

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Ton regard triste et désolé me fendit presque le coeur en deux. Je ne pouvais pas te dire que ça me faisait du mal, d'un côté, parce que je ne voulais pas te mettre la pression, ce qui risquait de te faire déguerpir très rapidement. Je ne voulais pas te perdre, pour rien au monde. « Tu n'as pas à être désolé, Luke. J't'en prie... »

Je sentis de nouveau tes lèvres douces et si délicieuses se déposer sur les miennes. Sincèrement, j'aurais pu rester deux mois sur cette plage avec toi sans le moindre problème, sans jamais m'ennuyer. J'étais juste bien trop heureux d'être amoureux, amoureux de toi, follement, passionnément, irrévocablement. J'sais pas si tu comprenais l'effet de fou que tu avais sur moi, mais je pouvais pas nier les sentiments que j'avais pour toi. Et si tu m'avais laissé le crier à tout le monde, je l'aurais fait, tellement j'étais amoureux de toi. « Tout le temps dont t'aura besoin, mon...amour. »

Je souris presque timidement en me mordillant la lèvre inférieure. Je passai ma main sur ta joue, très doucement, délicatement, afin de sentir sa peau contre la mienne. Un contact simple, mais tellement agréable, puissant et significatif pour moi, que ça me faisait frissonner de partout. Je vins t'embrasser un instant, avant de descendre mes lèvres dans ton cou, pour murmurer au creu de celui-ci : « Je t'aime, Luke. »
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"Merci, tu peux pas savoir à quel point je m'en veux de te faire subir ça ..."

Tu descendais vers mon cou l'embrassant, ce qui avait le don de me faire frissonner comme t'avais pu le remarquer depuis que tu me connaissais un peu plus intimement. Je relevais ton menton pour encore gouter à tes lèvres. J'pouvais pas m'en passer, c'était comme la drogue, c'était additif, j'avais besoin de vous deux.

"Je t'aime Lassa, je t'aime tellement tu sais ?"

Je me redressais légèrement lors de mon baiser pour me tenir assis, avec toi, toujours à califourchon sur moi. Je te tenais par le coup et stoppa le baiser, venant poser mon front sur le tient, fermant les yeux, appréciant juste le moment tel qu'il était. J'ouvris les yeux te regardant et éloignant mon front du tiens, me mis à te parler sérieusement.

"Lassa ... Avant la fin de l'été ... J'serai fier de t'embraser devant tous les autres."

J'avais décidé que je devrais faire face à la réalité cette été, montrer aux autres que oui, j'aimais les hommes autant que les femmes, et que j'en était fier, que j'aimais le plus bel homme d'Harvard aussi par la même occasion.

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« Ne t'en veux surtout pas, Luke. S'il te plaît... » C'était douloureux pour moi de devoir faire semblant que ça ne me faisait absolument rien, parce que oui ça me faisait quelque chose, au fond. Je savais que tu n'affirmais pas totalement ton homosexualité face aux autres, et j'étais déjà heureux que tu l'acceptes avec moi, ce qui aurait pu ne pas être le cas. Tu chassas rapidement ces pensées de ma tête en relevant mon menton pour m'embrasser de nouveau. Je souris contre tes lèvres, en me serrant dans tes bras, pour sentir le contact de nos corps. J'aimais ça. Ton aveu me fit frissonner et me fit rougir aussi. C'était la deuxième fois que j'entendais ces mots sortir de ta bouche, et ça sonnait à chaque fois comme une véritable mélodie. « J'crois que tu vas devoir me le redire, pour que je le sache bien... »

Un sourire en coin amusé se dessina sur mes lèvres. J'aimais bien te taquiner. Voir tes sourires, tes yeux briller, tes joues rougir, bref, voir tes réactions face à ce que je faisais ou ce que je disais. Soudainement, tu reposas ton front contre le mien et en me regardant très sérieusement dans les yeux, me déclara que tu allais m'embrasser fièrement devant tout le monde avant la fin de l'été. Mon coeur fit un bond de joie. Mes yeux brillaient maintenant. « Luke...vraiment?! Wah... Je sais pas quoi dire, j'suis tout heureux! J'ai comme des papillons dans le ventre... Tu vas faire ton coming-out? » Oui, j'avais des papillons dans le ventre. Je ne pus retenir mon émotion plus longtemps. Je pris ton visage entre mes mains et t'embrassai passionnément, puis langoureusement. J'étais si heureux, tout d'un coup, et il était deux heures du matin! « Putain, t'as l'don d'me rendre fou, toi! »


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"Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime ...."

T'avais besoin de l'entendre et je te le murmurais dans l'oreille plusieurs fois, juste pour que tu vois à quel point je tenais à toi, à quel point t'étais mon univers Lassa.

"Je veux assumer le fait que je t'aime, j'veux arrêter de me cacher. J'arriverai pas à supporter de te voir toutes ces journées sans pouvoir profiter de ta présence. Je pourrais pas y arriver pendant deux mois."

Ce que je ne te disais pas, c'est que j'avais été profondément jaloux du fait que certaines filles commencent déjà à te tourner autour, je les voyais, avec leurs airs aguicheurs qui dansaient autour de toi, espérant un geste de ta part. Je l'avais mal vécu, mais t'avais rien fait, tu leur avais pas prêté d'attention, et ça, c'était plutôt cool. Je continuais de te sourire, et te reverser sur le côté pour me mettre à mon tour sur toi, et t'embrasser passionnément. Entre deux baisers, je te dis sur tes lèvres.

"Tu me rends complètement dingue aussi Lassa."

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Je rigolais autant que je frissonnais maintenant en te serrant toujours contre moi, alors que tu me répétais à l'oreille encore et encore des Je t'aime. C'était juste trop magique comme moment. On devait en profiter, parce que qui sait quand on pourrait se revoir comme cela, pendant l'été, avant ton coming-out? « Tu sais Luke...c'est une preuve magnifique de ton amour pour moi, ça... Et je saurai attendre le moment. »

J'avais dit ça en caressant ta joue, plongeant mon regard dans le tien pendant quelques instants. Je ne savais pas que quelques trucs te rendaient jaloux en fait, alors qu'on venait tout juste d'arriver. Comment pourrais-je le savoir, après tout? Après un instant de silence, je te retournai dos contre le sable en secouant la tête. « Toi, tu restes ici. J'en ai pour cinq minutes, dix tout au plus. » Je me levai et partit immédiatement vers l'hôtel. Eh oui, je savais quel jour était ton anniversaire, et il était passé depuis deux jours. Mais je ne te l'avais pas souhaité par SMS, attendant simplement de pouvoir te le dire en vrai. Je revins avec un cadeau énorme entre les mains, et en te voyant réapparaître, couché au sol encore, je te criai. « Ferme les yeux et assieds-toi! » Je m'approchai de nouveau de toi, puis déposai le cadeau sur tes genoux. Une guitare. Une guitare qui je l'espérais, te plairait. Je ne m'y connaissais pas vraiment, mais on m'avait beaucoup conseillé et dit que celle-là était une très bonne guitare. Je vins embrasser ton front avant de me rasseoir à tes côtés, le sourire aux lèvres, avant de dire : « Joyeux anniversaire, mon chou. Tu peux rouvrir les yeux... »
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