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always get me through the day
When you're gone
The pieces of my heart are missin' you
When you're gone
The face I came to know is missin', too
When you're gone
The words I need to hear
To always get me through the day
And make it okay
I miss you
The pieces of my heart are missin' you
When you're gone
The face I came to know is missin', too
When you're gone
The words I need to hear
To always get me through the day
And make it okay
I miss you
@Lewis Coleman + @Charlie Miles
TW: Mention de violence familial, trauma, crise de panique et drogue.
TW: Mention de violence familial, trauma, crise de panique et drogue.
Charlie sait que si son cerveau n’était pas vidé à cause de sa crise de panique, il déborderait de ‘et si’. Et si Lewis fini par se rendre compte qu’elle n’est pas aussi bien qu’il semble la penser ? Et si il apprend qu’elle déjà été arrêté pour vol dans le passé ? Et si il trouve quelqu’une de plus stable, de son âge et qu’il se rend compte qu’il mérite bien mieux ? Et si, et si, et si… Elle en aurait tellement dans la tête que leur baiser l’aurait sûrement fait flipper bien plus. Son corps et son cœur ont des idées complètement opposées à ce que sa tête lui hurle souvent de faire, et dans un sens, ce n’est peut-être pas si mal que son cerveau soit fatigué ce soir. Parce qu’au lieu de prendre peur, elle apprécie ce qui se passe entre eux et ses lèvres quittent à peine celle du brun qu’elle aimerait l’embrasser à nouveau, se perdre dans leur monde rien qu’à tous les deux. Mais comme poussé par un nouveau courage que Lewis semble lui donner, ou alors c’est peut-être le fait qu’il l’a fait se sentir à l’aise et en sécurité, elle lui avoue avoir peur. Elle a si peur du pouvoir qu’elle lui donne en s’ouvrant ainsi, en baissant ses murs et en le laissant entrer un peu plus. Elle le laisse pénétrer dans une partie de son cœur qu’elle n’a jamais ouverte à personne. Jamais. Mais face à son silence, Lewis ne l’a juge pas, il tente simplement de comprendre ce qu’elle ressent, ce dont elle a peur. “Oui.” Lui et elle, mais aussi avoir ce genre de sentiment pour quelqu’un tout simple. “Toi et moi mais aussi juste… Juste ce genre de relation je suppose. J’ai jamais vraiment eu envie de… Tout ca.” D’être avec quelqu’un, d’embrasser quelqu’un, de passer autant de temps avec cette personne ou même d’apprendre à la connaître un peu plus chaque jour.
L’orage et Bucky les tirent alors un peu de leur bulle et soudain la vie autour d’eux reprend son rôle. Charlie goûte les pâtes, y ajoute le lait et le fromage en poudre avant de servir les deux bols que Lewis a sorti et de venir se poser en face de lui, Bucky grimpant sur ses genoux immédiatement. Elle a tout de suite envie de tendre la main pour prendre celle de Lewis dans la sienne, mais elle se retient, attrapant sa cuillère et prenant une bouchée de pâtes. “Je dois avouer que j’ai plus hâte de goûter les talents culinaires de ta famille, que de te faire découvrir que j’en ai aucun.” Charlie sait cuisiner le minimum, des pâtes, des œufs, deux-trois plats qu’elle a appris mais ça s’arrête souvent là. Elle ne mange pas non plus le plus sainement pour être honnête, elle mange souvent juste ce qu’elle a chez elle, et ce dont elle a envie sur le moment. Alors qu’un nouvel éclair apparaît, sa main trouvant la fourrure de Bucky, elle est surprise de voir que Lewis ne semble pas être dérangé par l’orage et l’écoute lui parler de Marshall, son meilleur ami. Elle hoche doucement la tête et cette fois-ci ne peut pas se retenir de venir poser sa main sur la sienne. Elle sait à quel point Marshall compté pour lui, ou du moins, elle commence à le comprendre. “J’ai jamais vu d’orage autre part que par une fenêtre d’un appartement ou d’une salle de classe. J’ai jamais été campé non plus à vrai dire.” Elle aimerait essayer, un jour. Essayer de nouvelles choses, peut être même avec Lewis à ses côtés, mais elle n’a jamais vraiment commencé, soit par manque de temps ou pas manque de moyens. “Vous alliez souvent camper, Marshall et toi ?” Demande-t-elle avant de venir prendre une bouchée avec la main qu’elle avait sur Bucky pour garder celle de Lewis dans la sienne. Elle aime vraiment l’entendre parler de ses souvenirs. “Il avait l’air de quelqu’un de bien.” Elle serre doucement sa main et lui offre un léger sourire.
L’orage et Bucky les tirent alors un peu de leur bulle et soudain la vie autour d’eux reprend son rôle. Charlie goûte les pâtes, y ajoute le lait et le fromage en poudre avant de servir les deux bols que Lewis a sorti et de venir se poser en face de lui, Bucky grimpant sur ses genoux immédiatement. Elle a tout de suite envie de tendre la main pour prendre celle de Lewis dans la sienne, mais elle se retient, attrapant sa cuillère et prenant une bouchée de pâtes. “Je dois avouer que j’ai plus hâte de goûter les talents culinaires de ta famille, que de te faire découvrir que j’en ai aucun.” Charlie sait cuisiner le minimum, des pâtes, des œufs, deux-trois plats qu’elle a appris mais ça s’arrête souvent là. Elle ne mange pas non plus le plus sainement pour être honnête, elle mange souvent juste ce qu’elle a chez elle, et ce dont elle a envie sur le moment. Alors qu’un nouvel éclair apparaît, sa main trouvant la fourrure de Bucky, elle est surprise de voir que Lewis ne semble pas être dérangé par l’orage et l’écoute lui parler de Marshall, son meilleur ami. Elle hoche doucement la tête et cette fois-ci ne peut pas se retenir de venir poser sa main sur la sienne. Elle sait à quel point Marshall compté pour lui, ou du moins, elle commence à le comprendre. “J’ai jamais vu d’orage autre part que par une fenêtre d’un appartement ou d’une salle de classe. J’ai jamais été campé non plus à vrai dire.” Elle aimerait essayer, un jour. Essayer de nouvelles choses, peut être même avec Lewis à ses côtés, mais elle n’a jamais vraiment commencé, soit par manque de temps ou pas manque de moyens. “Vous alliez souvent camper, Marshall et toi ?” Demande-t-elle avant de venir prendre une bouchée avec la main qu’elle avait sur Bucky pour garder celle de Lewis dans la sienne. Elle aime vraiment l’entendre parler de ses souvenirs. “Il avait l’air de quelqu’un de bien.” Elle serre doucement sa main et lui offre un léger sourire.
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