Invité
est en ligne
Invité
always get me through the day
When you're gone
The pieces of my heart are missin' you
When you're gone
The face I came to know is missin', too
When you're gone
The words I need to hear
To always get me through the day
And make it okay
I miss you
The pieces of my heart are missin' you
When you're gone
The face I came to know is missin', too
When you're gone
The words I need to hear
To always get me through the day
And make it okay
I miss you
@Lewis Coleman + @Charlie Miles
TW: Mention de violence familial, trauma, crise de panique et drogue.
TW: Mention de violence familial, trauma, crise de panique et drogue.
Lewis approuve les demandes de Charlie, sans même la questionner. Il lui dit oui, sans aucune hésitation et elle aurait presque envie de le serrer contre lui pour le remercier. Elle aimerait lui faire comprendre un jour à quel point elle lui est reconnaissante pour tout ce qu’il fait pour elle. Alors qu’il part faire des courses, Charlie essaye de détendre alors que l’eau chaude, sûrement trop chaude, atterrit sur son corps endolori. Cela lui fait du bien, ça éloigne un peu les souvenirs, les peurs et les douleurs, mais une partie d’elle sait qu’elle n’arrivera pas à se détendre tant que Lewis n’est pas revenu. Elle a l’oreille tendue, au cas où elle entendrait la porte d’entrée s’ouvrir, au cas où quelqu’un d’autre que Lewis passerait le seuil. Elle sait qu’elle est, encore une fois, ridicule, parce que sa mère n’a aucune idée que Lewis et elle se connaissent ou que l’ancien militaire habite ici. Elle n’a aucune raison de débarquer. Alors elle ferme les yeux, elle essaye de se détendre, massant son cou avant de se laver rapidement. Elle sent comme Lewis et ça en est encore plus rassurant. Doucement, elle se glisse hors de la douche, se sèche avant de prendre ce que le brun à attraper pour elle et de l'enfiler. N'ayant pas de pull, elle prend le premier qui lui passe sous la main reposant sur une chaise et elle y enfouit son nez, ses narines s’emplissant de cette odeur rassurante. Elle ferme les yeux quelques secondes avant de prendre place sur le canapé, venant faire un câlin à Bucky qui se met à ronronner malgré l’endroit inconnu qu’est l’appartement de Lewis pour lui. C’est comme si il sait qu’elle a besoin de cela. Le chaton saute de ses genoux aussitôt que la porte d’entrée s’ouvre sur la silhouette de Lewis et elle ne peut retenir un sourire aux paroles du brun alors que le chat lui répond avec un miaulement en se frottant à ses jambes. Il l’aime autant qu’elle. Charlie lui suit des yeux et finit par le suivre jusqu’à la cuisine alors qu’il lui demande comment elle se sent. Épuisée, affamée, mais un peu mieux. “Okay, je suppose.” Elle lui répond avec un léger sourire pour tenter de le rassurer un peu. “J’suis désolée si j’t’ai fait peur.” Parce que si il tient autant à elle qu’elle ne tient à lui, elle imagine à quel point il a dû avoir peur en la voyant dans cet état.
Timidement, ce qui n’est pas vraiment le style de Charlie en général, elle vérifie que Lewis soit d’accord avec le fait qu’elle porte son pull. Elle l’a pris sans même demander. “Oh j’ai pas besoin de plus cintré.” Dit-elle mais Lewis est déjà en train de s’éloigner vers la chambre et revient vers elle avec un sweat à capuche gris doublé en polaire douce et une paire de chaussettes qui semble être en laine. Elle retire le pull qu’elle porte déjà et enfile celui que Lewis lui ramène avant d’enfiler les bouts de tissu sur ses pieds. “Ca sent comme toi…” Les mots sortent de sa bouche avant qu’elle ne puisse les retenir et elle sent ses joues légèrement rougies, heureusement sûrement à peine perceptible car elles l’étaient déjà à cause de la chaleur de sa douche. Son odeur l’entoure et elle ne veut plus s’en éloigner. Elle le suit à la cuisine et se pose sur une chaise, Bucky venant s’installer sur ses genoux et elle se met à la caresser. Elle a tout ce dont elle a besoin, Lewis et Bucky. Elle laisse échapper un léger rire aux paroles du brun. “Désolée. Je suis sûre que tes vrais plats de pâtes sont meilleurs, c’est juste… Mon plat confort.” Avoue-t-elle, ses yeux restant sur Lewis qui bouge naturellement dans sa cuisine. Il prend soin d’elle, sans même hésiter. Comment a-t-elle pu passer un an à le tenir à bout de bras, à le taquiner autant et des fois même à aller trop loin ? Comment a-t-elle pu faire cela alors qu’il est la définition de la bonté même ? Il n’a pas hésité une seule seconde quand elle l’a appelé. Elle relève le regard vers ses yeux en l’entendant parler de ses cheveux, venant doucement poser une main sur la tresse qui retombe sur son épaule. “Oh merci.” Elle se sent rougir un peu plus à nouveau. Qu’est-ce que Lewis lui fait… ?
Charlie jette un regard à son téléphone, qu’elle n’a pas checker depuis un moment et ses yeux s’arrêtent alors sur la date. C’est aujourd’hui que Lewis devait sortir avec de vieux amis à lui, il l’avait prévenu. Elle fronce les sourcils, une pointe de culpabilité apparaissant dans sa poitrine. A-t-il laissé tomber ses amis pour venir la chercher ? “Lew ?” Elle le regarde se tourner vers elle. “Ce n’est pas ce soir que tu devais voir tes amis ?” Elle connaît la réponse immédiatement en voyant son visage et elle est en colère contre elle-même. Elle n'a aucun droit de lui demander de débarquer alors qu’il a des plans. “Lew…” Elle ne le mérite pas. “T’aurais pas dû venir, t’aurais du rester avec eux. Tu devrais y retourner.” Pourtant au fond d’elle, égoïstement, elle ne veut pas qu’il parte, elle ne veut pas se retrouver seule. Elle veut se blottir contre lui devant un film en mangeant des macaronis aux formages pendant qu’il lui désapprouve son choix de nourriture.
Timidement, ce qui n’est pas vraiment le style de Charlie en général, elle vérifie que Lewis soit d’accord avec le fait qu’elle porte son pull. Elle l’a pris sans même demander. “Oh j’ai pas besoin de plus cintré.” Dit-elle mais Lewis est déjà en train de s’éloigner vers la chambre et revient vers elle avec un sweat à capuche gris doublé en polaire douce et une paire de chaussettes qui semble être en laine. Elle retire le pull qu’elle porte déjà et enfile celui que Lewis lui ramène avant d’enfiler les bouts de tissu sur ses pieds. “Ca sent comme toi…” Les mots sortent de sa bouche avant qu’elle ne puisse les retenir et elle sent ses joues légèrement rougies, heureusement sûrement à peine perceptible car elles l’étaient déjà à cause de la chaleur de sa douche. Son odeur l’entoure et elle ne veut plus s’en éloigner. Elle le suit à la cuisine et se pose sur une chaise, Bucky venant s’installer sur ses genoux et elle se met à la caresser. Elle a tout ce dont elle a besoin, Lewis et Bucky. Elle laisse échapper un léger rire aux paroles du brun. “Désolée. Je suis sûre que tes vrais plats de pâtes sont meilleurs, c’est juste… Mon plat confort.” Avoue-t-elle, ses yeux restant sur Lewis qui bouge naturellement dans sa cuisine. Il prend soin d’elle, sans même hésiter. Comment a-t-elle pu passer un an à le tenir à bout de bras, à le taquiner autant et des fois même à aller trop loin ? Comment a-t-elle pu faire cela alors qu’il est la définition de la bonté même ? Il n’a pas hésité une seule seconde quand elle l’a appelé. Elle relève le regard vers ses yeux en l’entendant parler de ses cheveux, venant doucement poser une main sur la tresse qui retombe sur son épaule. “Oh merci.” Elle se sent rougir un peu plus à nouveau. Qu’est-ce que Lewis lui fait… ?
Charlie jette un regard à son téléphone, qu’elle n’a pas checker depuis un moment et ses yeux s’arrêtent alors sur la date. C’est aujourd’hui que Lewis devait sortir avec de vieux amis à lui, il l’avait prévenu. Elle fronce les sourcils, une pointe de culpabilité apparaissant dans sa poitrine. A-t-il laissé tomber ses amis pour venir la chercher ? “Lew ?” Elle le regarde se tourner vers elle. “Ce n’est pas ce soir que tu devais voir tes amis ?” Elle connaît la réponse immédiatement en voyant son visage et elle est en colère contre elle-même. Elle n'a aucun droit de lui demander de débarquer alors qu’il a des plans. “Lew…” Elle ne le mérite pas. “T’aurais pas dû venir, t’aurais du rester avec eux. Tu devrais y retourner.” Pourtant au fond d’elle, égoïstement, elle ne veut pas qu’il parte, elle ne veut pas se retrouver seule. Elle veut se blottir contre lui devant un film en mangeant des macaronis aux formages pendant qu’il lui désapprouve son choix de nourriture.
code by endlesslove
(Invité)