BATISTE ✱ Cap ou pas cap ?

Batiste & Grace Հ Cap ou pas cap ?

Son rire t'était communicatif et maintenant que tu te trouvais à califourchon tu avais une jolie vue sur le visage du jeune homme qui était presque parfait oui parce que la perfection n'existait pas ! Mais il était vrai que Batiste était très beau et vraiment à ton goût. Enfin bref, tu agissais avec lui comme s'il était ton petit ami sans vraiment avoir peur que quiconque enfin que surtout Andréa sois au courant. Il est vrai qu'à une époque des espèces de gossips se trimbalaient dans Harvard et Cambridge pour épiait chaque faits et gestes de la population mais cela c'était quelque peu calmé et tant mieux. Les bisous que le jeune homme te déposaient dans le creux du cou te faisait fondre littéralement à cet instant présent tu étais à lui. Rien ne pouvait gâcher cette si belle après-midi ensoleillé. Tu lui rendais un doux baiser sur le coin de ses lèvres avant de lui faire face. « Bon et toi ? Comment vis-tu cette paternité enfin le fait d'être beau père ? » En effet, il te semblait qu'Andréa avait des enfants, des filles. Cela ne devait pas être très simple pour Batiste qui débarquait un peu comme une fleur dans cette vie de la maman célibataire. « Enfin si tu ne veux pas m'en parler je comprendrais mais je suis quand même curieuse de savoir. » Tu souriais enfantinement comme à ton habitude. Ce sourire tu en étais sûre il faisait craquer Batiste à chaque fois.

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Droit dedans, Grace voulait savoir ce que c’était d’être beau-père, enfaite il n’en savait trop rien, pour le bien des filles il n’avait pas vraiment de contact avec et les jumelles ignoraient que Batiste était l’amoureux de leur mère. « Franchement Grace, je n’en sais rien, Andréa ne veut pas trop que je m’approche des enfants, elle trouve ça trop tôt et elle ne veut pas leur imposer un beau-père, donc je ne peux pas l’embrasser devant les petites, ni vraiment la toucher, quand on est a deux on va chez moi, j’aimerai bien avoir ma place mais pour l’instant ce n’est pas dans les projets, sinon le peu que je les ai vu elles ont l’air chouette. » Batiste la laissa poser un bisou au coin de ses lèvres. Il avait été franc avec son amie mais il ne put s’empêcher de lui renvoyer une balle qu’elle avait lancé un peu plus tôt. « Mais si tu veux, je suis toujours d’accord pour te donner une progéniture, si tu veux savoir ce que ça fait. » Davenport l’attira a lui pour faire un calin tout doux a St-James.

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Ta question n'avait sûrement pas fait que du bien à Batiste qui t'expliquait la situation. Tu hochais négativement la tête avec douceur un petit sourire aux lèvres. « C'est du n'importe quoi ! Les enfants le sentent. Moi quand j'ai su que ma mère était en hôpital psychiatrique et que mon père venait nous voir une fois par an avec sois disant une amie je savais que tôt ou tard elle deviendrait sa femme. Et puis merde à la fin ! Il y a quoi de honteux à vouloir refaire sa vie ? Franchement Andréa n'est pas très très honnête sur le coup. C'est mieux pour personne et surtout pas pour toi ! » En effet, l'intérêt de Batiste dans cette relation te tenait plus à coeur que l'intérêt d'Andréa ou même de ses filles. C'était ton ami et tu ne voulais en aucun cas qu'il s'ouvre à cause de cette histoire à la con enfin bref. Tu soupirais doucement alors que Davenport remettait son histoire de progéniture sur le tapis. Tu en riais doucement. « Je tiens trop à ma liberté Batiste ! Et puis, j'ai déjà bien trop de soucis à gérer, je ne vis pas dans un monde vivable pour un enfant. » Tu évoquais en effet brièvement ton overdose et les soucis avec Konrad et Emma. Batiste savait qu'un certain Konrad existait mais il ne savait pas vraiment ce qu'il était pour toi. Quant à ton overdose il n'était pas au courant et tu n'oses même pas imaginé la tête qu'il aura quand tu lui apprendrais.

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Il savait que la jeune femme avait raison mais il était amoureux de sa blonde, et puis il ne savait pas trop ce que c’était d’avoir des parents divorcé, le décès de son grand frère avait resseré la famille au lieu de la faire exploser. « Je sais Grace, mais que veux-tu, je n’ai rien à dire ce sont ses enfants pas les miens, je ne sais pas comment je réagirais si j’étais face à cette situation, je n’ai pas de mini moi à devoir gérer, je n’ai que moi. » Batiste continua de caresser doucement la cuisse de la jeune brunette puis elle continua a discuter de bébé Davenport. « Tu vis bien dans un monde ou tu es califourchon sur un magnifique jeune homme dans un lieu publique…Et puis si je ne me trompe pas, y a pas quelqu’un qui aurait une place là… » Batiste posa délicatement sa main sur la poitrine de son amie, la ou se trouvait son cœur, il avait un vague souvenir mais plus la moindre idée d’un prénom, il écoutait toujours les propos de St-James, mais pas les petits détails que les filles aiment tant et puis ca fessait tellement longtemps qu’il n’avait pas passé un moment a deux.

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Il était amoureux. Mais comment ça craignait l'amour et tu savais de quoi tu parlais toi. Entre Konrad et Emma tu trouvais vraiment que l'amour craignait et justement Batiste te parlait de ton coeur à toi. Posant alors doucement ta main sur la sienne, tu souriais timidement. « Disons, que c'est compliqué enfin non c'est très simple. Il ne m'aime pas, il est sorti avec une autre mais il a couché avec moi du coup je suis passée pour la salope de service enfin c'est un peu ce que je suis. Et puis, il y a eu mon overdose je me suis retrouvée une semaine à l'hôpital ça n'a rien arrangé du tout. » Et voilà, c'était annoncé. Tu venais d'annoncer à Batiste que tu avais frôlé la mort à cause de toutes ses conneries que tu ingérais depuis un certain moment. « Mais, ne t'inquiète je vais mieux maintenant. Je n'ai pas arrêté de me droguer mais moins enfin j'essaye de faire attention. » C'est vrai que c'était très rassurant comment tu lui disais ça. St-James tu étais vraiment une cruche, maintenant il allait s'inquiéter pour toi, pour un rien alors qu'il n'y a absolument pas de quoi s'inquiéter enfin d'après toi.

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Batiste l’écouta doucement, il fit sa petite moue dépité quand elle annonça que de c’était une salope,il avait envie de lui faire un autre calin mais très vite cette idée changea elle avait fait une overdose et ne lui avait pas dit, il y avait pas mal de chose a digérer sur le coup, il ne quitta pas son regard en continuant de lui caresser les cuisses avant de répondre calmement. « Grace, je t’en prie, tu n’es pas une salope, tu es mon éléphant, mais tu n’es pas une salope et je ne dis pas ça parce que je n’ai jamais couché avec toi, mais tu vaux mieux que ça ma princesse… »Puis sans réfléchir il prit les bras de la jeune femme et regarda les traces de piqures, il savait que ça ne servait à rien de la gronder, il l’attira a lui et embrassa les marques des aiguilles avant de lui faire un bisou sur le front, avant de se recoucher en reposant ses mains puis elle continua d’expliquer. Enfaite Batiste avait envie de lui hurler dessus elle était vivante, lui était privé de son frère depuis plus de dix ans, mais il l’aimait surement trop que pour la perdre. « St-James, ma porte t’es grande ouverte même pour te drogué, mais au moins si tu es à l’appartement je peux veiller sur toi, tu le sais, j’ai une chambre d’ami toujours disponible, je tiens à toi Grace ! » Davenport lui fit un énorme sourire en regardant son auriculaire et le tatouage au nom d’Alexis l’ainé parti trop vite. Batiste n’avait pas envie de parler de son frère a Grace.

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Tu riais un peu froidement. Batiste était mignon, adorable même, il ferait vraiment tout pour te facilitait la vie, pour te rendre heureuse mais malheureusement Batiste avait beaucoup de pouvoir sur toi, sur ton bonheur mais pas celui de te rendre aussi heureuse que tu voudrais l'être quoi que, à ses côtés, tu oubliais tout. Plus rien n'était important, tu planais, ce mec était mieux que n'importe quelles drogues sur terre. Même si Konrad restait toujours dans un coin de ta tête, tu en étais persuadé, il pouvait être ton âme soeur. « T'es vraiment un amour Batiste, je ne sais même pas ce que je ferais sans toi. » Lui souriant doucement, tu le regardais, regardait tes piqûres. « Non, tu n'as pas le droit de voir ça. Pas toi. » Tu reprenais rapidement tes avant bras afin de pouvoir les cacher en les collant sur le torse de Batiste. « Non, Davenport je ne peux pas t'infliger mes défonces. Je ne peux surtout pas les infligé à ta petite amie et puis pour tout te dire je n'ai même pas envie de la voir. » Tu détournais légèrement ton regard sous cette révélation. Tu étais jalouse, oui tu étais jalouse parce que même si Batiste était un ami, tu ne le voulais pas avec une mère célibataire mais plus avec une jeune femme délurée dans ton genre. Te cambrant légèrement vers l'arrière tu bougeais un peu tes jambes afin de ne pas avoir de fourmis.

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Batiste ne la laissa pas faire, il reprit doucement les mains de son amie. « Grace, laisse toi faire, juste un instant, sinon tu vas voir ce qui va t’arriver ! » Enfaite Batiste se fit tourner pour inverser la situation, c’était maintenant lui qui était à califourchon sur elle, avant de venir l’embrasser sur la joue droite, pour prendre doucement ses avants bras et les regarder. « Grace, ne fait pas l’enfant, je veux me rendre compte de ce que tu as fait. » Davenport posa son regard sur les traces d’aiguilles sur la jeune femme, du bout des doigts il les toucha une a une en regardant a chaque fois Grace. Puis elle continua de parler d’Andy, il écouta, ca le fit rire de la voir un petit peu jalouse. « Mademoiselle St-James, ce n’est pas négociable…Tu viens a la maison pour te shooter…je te ferais même tes piqures si tu veux, mais s’il te plait éléphant, vient chez moi…Arrête avec Andréa, elle n’est pas si souvent que ca chez moi, c’est trois fois par semaine dans nos accords, tu as quatre jours pour venir chez moi, je prendrai toujours soin de toi ! » Batiste finit de toucher les cicatrices avant de venir se coucher à côté de la belle brunette.

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Tu soupirais doucement, refusant malgré tout de lui donner tes avant bras jusqu'à ce qu'il retourne littéralement la situation. Tu te retrouvais le dos contre le sol, Batiste à califourchon sur toi. Lâchant prise, tu le laissais faire. Alors qu'il touchait toutes tes cicatrices tu frissonnait avec douceur. Tu lui souriais doucement alors qu'en fait tu avais juste envie de te planquer dans un trou afin que Batiste n'ai pas à se soucier de toi. « Attend .. Vous avez un accord ? » Tu n'en revenais vraiment pas là. Depuis quand tu passais des accords dans ce genre avec la personne que tu aimais. Posant doucement tes avant bras sur le torse du beau brun qui s'était recouché à côté de toi, tu le regardais cherchant à comprendre. « Mais Batiste.. Mais, le but ce n'est pas que tu l'a voit tout le temps ? » Tu fronçais légèrement les sourcils. « Je sais qu'en amour je ne suis pas une experte mais pour moi y'a pas de règle du genre on se voit trois fois dans la semaine. » Tu soupirais doucement en te redressant. Tu retirais alors doucement ton débardeur puis ton mini-short ce qui te permettait de te retrouver en maillot de bain. « Le principal c'est que tu sois heureux avec elle mais bizarrement tu as beau être amoureux d'elle, je m'y ferais vraiment pas. » Tu embrassais la joue de ton ami, avant de partir te mettre au bord de l'eau, les pieds dedans. Peut-être il te rejoindrais, peut-être pas.

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Batiste voulait vraiment aider son amie, c’était comme un devoir pour elle, puis elle lui faisait penser a sa petite sœur, Zoé. Bon il avait peut-être fait une bêtise en disant pour l’accord entre lui et Andréa, mais en même temps ca permettait a Grace de ne pas lui répondre, mais il laissa passer pour l’instant il trouverait un autre instant pour discuter de ça. « Grace, elle ne veut pas que ses filles se doutent de quelque chose, voilà. » Puis elle continua de donner son avis, il savait qu’elle n’avait pas tort, mais il s’était plus ou moins fait a cette situation. « St-James, on se voit tous les jours ou presque mais on ne passe que trois nuits ensemble par semaine. » Ensuite elle annonça qu’elle ne s’habituait pas a la situation au fait qu’il soit avec Andréa, et elle se déshabilla en annonçant ça, il ne trouva rien a redire a sa dernière phrase, il la regarda partir en souriant avant d’enlever son marcel et de marcher près d’elle. Davenport passa ses bras autours de la taille de la jolie brune, il lui posa un bisou dans le cou. « Grace, s’il te plait accepte ma proposition, vient à l’appartement quand tu es en manque, je n’ai pas envie de te perdre a cause d’une overdose mon éléphant. » Mathys la garda dans ses bras en regardant devant lui, il voulait vraiment que la belle soit heureuse et très vivante.

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