nothing happened in the way i wanted. — (( sackson ))

c’est nouveau pour toi de te lancer dans ce genre d’aventure, toi qui jusqu’alors avais toujours vécu seule ; mais tout est nouveau avec lui finalement, des sensations aux sentiments en passant par la vie de couple et le quotidien. pourtant, même si t’as eu peur et que t’as frôlé la crise cardiaque une dizaine de fois en prenant la décision de vivre ensemble, t’es heureuse que vous ayez sauté le pas. tes bras s’enroulent autour de son cou pour l’observer. « aussi. mais je suis surtout fière qu’on ait pas reculé et qu’on ait réussi à passer cette étape. » même si ce matin a été un chaos total et que t’as vraiment failli tout lâcher dans ton énervement. tu te hisses sur la pointe de tes pieds, tendant tes lèvres vers lui en exerçant une mini pression sur sa nuque pour le forcer à se baisser vers toi de manière à pouvoir l’embrasser.

Je comprends aussi que ça lui fasse peur, parce qu'elle est encore jeune et qu'on est pas toujours prêts à sauter le pas à son âge. Tout est nouveau autant pour elle que pour moi, mais quand je vois comment on arriver à gérer les petites situations de crises, je ne me fais plus trop de soucis pour nous. Je l'écoute parler en souriant et j'hoche la tête, me penchant en avant pour poser mes lèvres sur les siennes dans un nouveau baiser. "Wow, premier bisou dans le salon de notre maison", que je lui dis en riant contre ses lèvres, l'embrassant de plus belle de manière un peu plus passionnel que le premier baiser qui était beaucoup plus sage. Mes mains qui resserrent leurs emprises sur ses hanches et je reprends mon souffle quand mes lèvres quittent les siennes. "J'suis surtout fier que tu sois là, dans ma vie tu sais..", que je lui dis doucement, mes lèvres encore proches des siennes. Je le pense. J'lui ai dit ce matin. Je sais pas ce que je ferai sans elle maintenant et c'est pour ça que j'ai eu vraiment très très peur ce matin.

jackson et toi, c’est rapidement devenu une évidence ; pas sur le départ, parce que t’étais persuadée qu’il y aurait rien de plus que de l’amitié entre vous, quand bien même vous vous étiez particulièrement bien trouvés. mais à peine deux mois après votre première rencontre, les choses ont pas mal basculé et t’as compris instantanément. tu t’es sûrement plus emballée que lui sur le départ – mais t’es pas sûre que ce soit vraiment étonnant venant de toi. pour autant, dans la finalité, vous avez pris le même chemin. le premier baiser qu’il rompt, un sourire qu’il t’arrache puis ses lèvres qui reprennent aussitôt possession de leurs jumelles, amenant tes mains à glisser de part et d’autre de son visage pour se plaquer sur ses joues. t’as le palpitant qui s’affole dès lors et, si tu t’écoutais, tu lui sauterais dessus tout de suite pour baptiser votre nouvelle maison. « moi aussi je suis fière que tu sois dans la mienne. et je compte pas te laisser me filer entre les doigts, encore moins maintenant qu’on est chez nous… » vous. et non plus chez toi. « j’ai envie de toi… » que tu murmures contre ses lèvres la seconde d’après, pressant un peu plus ton corps contre le sien pour replaquer tes lèvres sur les siennes avec davantage de passion encore.

Clairement une évidence. Une évidence quand j'ai pu la voir, car j'étais trop obnubilé par Laia pour voir ce que tout le monde autour de nous semblait voir à l'époque, sauf nous. Ses mains sur mon visage alors que je l'embrasse me font sourire et je sens mon corps tout entier qui réagit à la danse de nos lèvres l'une avec l'autre et encore plus quand elle me dit qu'elle est aussi fière de m'avoir moi et d'avoir notre chez nous. Notre chez nous. Autant dire que ça m'arrache immédiatement un petit sourire quand je l'entends dire ça. Elle se presse un peu plus contre moi et je soupire doucement contre ses lèvres quand elle me dit avoir envie de moi, basculant mes mains dans le bas de son dos pour la coller un peu plus à moi alors qu'elle m'embrasse de plus belle avec plus de passion. Je réponds à son baiser de la même manière, la faisant reculer contre le premier mur qui vient se heurter à son dos.