Alors que tu étais tendu comme un string, c’était vraiment le cas et c’était un peu ce que tu portais actuellement, pourtant il avait réussi à te faire légèrement rigoler. Première fois qu’il entendait ton rire, mais est-ce que ça serait la dernière fois ? C’était une bonne question, tout dépendait de lui à vrai dire. Pour le moment, tout le monde courait un peu partout et ça avait tendance à te faire perdre ta patience. Pourquoi te faire venir maintenant, si personne n’était disponible et prêt, tu aurais pu prendre un petit café dans ta loge. Tu haussais les épaules à sa réponse « Pourquoi pas après tout ? Encore plus simple que tinder, tu vas vers la personne qui te plait et tu lui parles directement. » après tout, pourquoi se poser un milliard de question, il avait de quoi faire ici, entre les habilleuses, les maquilleuses, les coiffeuses et les autres mannequins. C’était déjà un peu moins simple pour toi, vu qu’il y avait beaucoup moins d’hommes présent sur le plateau. Pourtant, il venait de te faire une déclaration qui venait te faire réfléchir à ce que tu venais de dire. Il ne pouvait donc pas voir les personnes, ni même à quoi tu ressemblais ? Tu te retournais pour lui faire face, te demandant s’il se moquait de toi où s’il était sérieux. Au vu de sa réponse, il n’avait pas l’air de blaguer, d’un seul coup, tu te sentais moins confiante et sereine. « Evite, j’ai pas envie de finir avec un oeuf sur le crâne ! » laissais-tu glisser sérieusement, tu tenais à ton visage. « Je suis désolée d’entendre ça. Du coup tu vois vaguement à quoi je ressemble, mais tu ne sais pas la couleur de mes yeux et de mes cheveux ? » ça te paraissait si dingue, mais c’était totalement possible avec tout ce qui se passait aujourd’hui. « Une balle ? Tu es du genre bad boy, mafieux ? en-dehors des shooting ? » ben oui, ce n’était pas tout les jours qu’une personne se prenait une balle.
Tinder... putain cette application existe encore ? A croire que je ne suis définitivement pas à la page mais ça, c'est encore un autre délire. Tu aimerais toi ? Ne pas savoir comment est la personne mais aller quand même vers elle pour la charmer ? Un petit doute s'insinue dans mon esprit alors que j'arque un sourcil, mes prunelles turquoises toujours dans l'incapacité de la regarder sans donner d'impression de vague, ou de flou. Un petit rire m'échappe à l'idée de la demoiselle, magnifique très certainement, avec une tête d’œuf. J'essaie de calmer cette hilarité et y parvient à sa question suivante, plus qu'étonné qu'elle semble s'intéresser à la situation. D'ordinaire, dès que l'on est au courant, on me considère d'entrée comme une pauvre petite chose fragile et cela me donne envie de grogner. Je ne connais ni ta couleur de cheveux, ni d'yeux, je visualise très en gros la taille que tu fais par rapport à la mienne mais je ne connais aucune de tes expressions et te reconnaît généralement par ta voix... ou ton parfum. Mon ton est aussi sérieux que l'expression que j'arbore, jusqu'à ce que son ultime question ne m'amuse. Clairement, on ne s'était jamais intéressé ainsi à moi et la donne n'était pas franchement désagréable. Pas du tout. Un braquage, au mauvais moment au mauvais endroit. Je suis curieux de savoir pourquoi cela t'intéresse ? D'ordinaire, je suis désagréable, cela calme direct et je n'ai pas à m'expliquer.
Tu n'aurais jamais pensé qu'il finirait pas lâcher prise et accepter de te parler, plus que quelques mots et surtout sur un autre ton. Finalement, il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis, tu l’écoutais et tu lui répondais et même tu rigolais de temps en temps. Comme quoi, tout pouvait arriver et qu’il ne fallait pas désespérer. « Hm du coup non pas forcément, même si j’ai déjà fait des dates à l’aveugle, c’était particulier quand même. » tu haussais les épaules, c’est vrai que c’était une sacré expérience, et tu avais essayé de visualiser la personne, mais pourtant tu ne pouvais pas, un bandeau sur les yeux, tu devais jouer le jeu. Finalement, tu n’avais jamais donné suite, tu ne pouvais pas être certaine et tu ne voulais pas être déçue une fois les yeux posés sur la personne. Tu tentais de comprendre la situation qui te paraissait si irréaliste et pourtant ça avait bien l’air d’être réel. Tu ne voulais pas le bousculer avec tes questions, mais finalement, tu avais envie d’en savoir un peu plus. « Oui tu visualise le fait que tu fais cinq tête de plus que moi, vu que tu est géant. » laissais-tu glisser en rigolant légèrement. « D’accord, alors si ça peut t’aider, j’ai les cheveux d’un blond comme le blé et les yeux bleu comme l’océan. » bien évidement ça ne l’aiderait pas tellement, mais au moins, il savait un peu à quoi tu ressemblais. « Tu reconnais mon parfum ? » ça te touchait un peu, il faisait attention à ce genre de détail. « Mince, ça ne doit pas être simple de vivre avec ça. » des images qui devaient être terrifiantes, des souvenirs négatifs et en plus de ça, perde la vue… Tu ne le souhaitais à personne et même pas à tes ennemis. « Tout simplement comme je te l’ai dit, j’aime connaitre les personnes avec qui je travaille, si ça peut me permettre de passer un bon moment. » tout simplement. Finalement, ils étaient enfin en place et voilà qu’ils expliquaient comment allait se passer la séance. Une boule commençait à se créer au fond de ta gorge, tu devais poser à moitié nue, sans ton soutient-gorge et en plus de ça, voilà que Hélios devait cacher ta poitrine de ses mains. Alors oui, tu avais déjà été proche de lui, mais tout de même pas à ce stade. « N’en profite pas trop, quand même. » lâchais-tu à Hélios, te retournant, dos à l’assemblé face à toi, le temps de faire tomber ton haut, retournant près de lui. « Bon je te laisse positionner tes mains, j’ai pas envie que tout le monde me mate les seins. » disais-tu, les bras croises sur ta poitrine le temps qu’il se positionne comme ils lui demandaient.
Finalement nous parvenons à avoir une discussion presque cordiale, pointée d'humour, d'un brin de confession de mon côté - étant donné que je ne connais pas le moins du monde la demoiselle me faisant face en dehors de son prénom - et je trouverais presque ça agréable. Un angelot sur mon épaule m'indique de poursuivre l'honnêteté qui est d'ordinaire toujours mienne, tandis que le diablotin me souffle de poursuivre sur la non amabilité et advienne que pourra. Je n'ai jamais demandé à faire un mètre quatre-vint seize... tu sais comment c'est relou de trouver des pompes à ma taille ? Sans parler du reste... Lit et fringues sur mesure, avec la chance de posséder les moyens pour cela. Tous les géants de la planète, car il existe bien plus grand que moi encore, ne sont pas en mesure de s'habiller ou de se chausser facilement. Blonde aux yeux bleus... couleur proche des miens ou d'un autre bleu ? que je m'intéresse alors que mon regard prend une profondeur que personne ne lui connaît. Et je suis sérieux, sincère, m'étonnant moi-même, à plus forte raison lorsque le projet photo nous est enfin expliqué. Tous un tas de jurons en monténégrin défilent dans mon esprit alors que je dois ni plus ni moins "protéger" la poitrine de Marja des yeux extérieurs, et ce à l'aide de mes mains. La complexité de ma vie fait que j'en chasse autrui que je lâche dans un murmure, sans comprendre pourquoi je viens d'user d'une telle franchise. Je frotte mes mains l'une contre l'autre afin de les réchauffer, l'espace étant hautement climatisé - pour ma plus grande horreur d'écologiste convaincu - et la jolie blonde n'ayant certainement pas besoin d'avoir deux glaçons posés sur ses petits monts personnels. Désolé par avance mais faut que je vise... que je m'amuse en avançant précautionneusement mes mains, m'y reprenant à quatre fois pour vraiment me positionner. Et encore, ça ne plaît pas au photographe, et la quatrième est finalement foutue. Bon là t'es d'accord, c'est pas moi qui fait chier hein ! Enfin pas trop. Juste un poil.
Ta mère t’avait toujours dit qu’il ne fallait jamais baisser les bras et la preuve en est, tu pouvais parler avec cet homme, alors que ça faisait déjà quelques mois que tu tentais d’aligner plus de deux mots avec lui. Il ne fallait pas désespérer, doucement mais surement. « J’imagine que ça doit être très chiant et encore plus avec ta musculature. » tu le taquinais, mais il fallait bien l’avouer entre sa grandeur et sa musculature, ça ne devait pas être simple de trouver des vêtements à sa taille, qui ne le moulait pas trop et dans lesquels, il pouvait un minimum bouger. Tu tentais de lui donner quelques indices sur toi, ton physique pour qu’il puisse imaginer quelque chose. « Oui le même bleu que tes yeux. » laissais-tu glisser en quittant un instant son regard, qui pour une fois, te faisait une étrange sensation, comme si tu étais gênée d’être aussi ‘intime’ avec lui. Alors que tout se passait bien, voilà qu’ils demandaient une photo un peu plus osée que les dernières, tu avais toujours posée très proche de lui, mais il n’y avait jamais eu vraiment de contact comme celui-ci demandé. Tu n’avais pas vraiment le choix, c’était ton travail, alors tu avais pris une grande inspiration, lui glissant qu’il n’avait pas intérêt de profiter et tu avais enlevé ton haut. « Que tu vises. » glissais-tu retenant de rire à ce qu’il venait de dire, et finalement tu comprenais parfaitement. Ça faisait si longtemps qu’un homme ne t’avait pas touché autant la poitrine, ce qui te procura une sensation assez particulière. « Tu me devras un verre en sortant. » finissais-tu par lâcher, attrapant ses mains pour les positionner comme le photographe souhaitait. Le shooting pouvait enfin commencer, et les photos s’enchainaient, à vrai dire, ses mains avaient parcourue l’ensemble de ton corps. Jusqu’à ce qu’ils demandent un baiser, ton regard se tourna vers Hélios « Bon et bien tu auras eu l’occasion de connaitre mon corps en long et en large, jusque’à mes lèvres. » par chance, ils avait décidé de faire une pause du côté des photographes, ce qui te laissait un peu de temps pour souffler.
T'as mis le doigt dessus ! que je m'esclaffe discrètement afin que Marja soit la seule à se rendre compte de ce rien de complicité entre nous, alors qu'il n'existait, avant aujourd'hui, qu'une vague connaissance froide et distante. A croire qu'un seul petit effort de ma part et tout se débloquait à la vitesse d'une tour de puzzle dont on enlève un premier verrou et qui, d'un coup d'un seul, dégringole. J'ai le droit de dire que ça m'amuse qu'on soit tous les deux blonds aux yeux bleus ? On dirait une mauvaise pub norvégienne pour du dentifrice ou de la crème... Enfin, mon humour s'est replacé sur ON, y compris lorsque le directeur de photo nous impose une position jusqu'ici jamais testée : Marja seins nus, mes mains comme anti voyeurisme. Probablement aurais-je détesté ce moment s'il était arrivé un mois avant, par exemple. Mais là, je parviens à en plaisanter, et mieux encore, à en faire rire ma partenaire qui se semble pas subir le shoot comme auparavant. Je fais de mon mieux pour viser ! que je me défends dans un murmure, presque soulagé que la jolie blonde prenne finalement les choses en mains pour placer mes mains gigantesques comme demandé par le staff. Je remballe mon sourire amusé et le résultat semble plaire plus encore que lors de nos projets précédents, tous réunis. Les enfants vous êtes deux bombes ! On va tenter une scène de kiss et ce sera de-la-balle ! que commence à s'enthousiasmer le photographe, non sans nous offrir une pause au préalable, me permettant de relâcher la pression de mes mains sur la délicieuse poitrine de ma partenaire. En gentleman qu'elle ne connaît pas encore, j'attrape la chemise ayant précédemment été sur mes épaules pour la recouvrir, sans même réfléchir. Je sens que je ne vais pas m'en sortir avec un seul verre, pas vrai ? A ma décharge, moi je ne peux qu'imaginer. Toi tu as le son et les couleurs que je plaisante en gardant une petite distance de respect. A croire que le vrai Hélios s'est réveillé...
« Je suis tellement forte. » lassais-tu glisser entre tes lèvres, ce léger sourire sur tes lèvres. C’était certainement la première fois que ton équipe devait te voir sourire en la compagnie de cet homme. Malgré le fait que tu tentais de cacher énormément de chose, il paraissait que tu restais un livre ouvert et que les gens connaissaient tes propres secrets avant toi. « C’est vrai, sacré coïncidence mais ça doit être pour cette raison qu’ils ont décidé de nous prendre. » tu rigolais à ses paroles, mais c’est vrai qu’il n’avait pas du tout tord sur ça, mais bon dans le fond, tu formais un très beau couple de collègue avec lui. Il essayait de prendre la pose comme lui demandait le photographe, chose qui n’était jamais simple. Tu attrapais ses mains pour les mettre correctement sur ta poitrine, mais bien évidement ça lui couterait quelque chose. Un verre pour commencer, ça serait déjà pas mal. Tu avais l’impression que ce shooting durait une éternité, ses mains, malgré la taille, étaient très agréables. Tu appréciais cette sensation, mais tu n’avais pas le droit de le dire, d’en parler, tu devais garder ça pour toi. Alors que le shooting prenait une pause après l’annonce de ce baiser, toi qui restait un peu là, sans bouger, il te déposa sa chemise sur les épaules, te permettant de cacher temporairement ta poitrine. Tu te retournais près de lui « Merci beaucoup. » soufflais-tu doucement. « Hm ça fera l’affaire, ça sera déjà mieux que rien où bien un restaurant. » tu haussais doucement les épaules, avec un léger sourire, même s’il ne devait certainement pas le voir. « C’est vrai, j’ai le son et l’image. » laissais-tu glisser en rigolant. Un flash venait de te faire sursauter - Vous êtes tellement mignon les deux, c’était si naturel, elle fera son effet celle-là.- une réplique qui sortait de la bouche du photographe, qui te déchira un léger soupire. « J’attends ton invitation du coup. » laissais-tu glisser entre tes lèvres.
Puissance mille ça te rends pas assez justice... Cet humour, cette légèreté presque évidente entre nous me pousse à flanquer un coup de pied au cul de mon irritabilité pour laisser pleinement place à mon vrai tempérament : jovial, doux, amateur de plaisanteries pourries et qui idolâtre la fiesta où le seul mot d'ordre est s'amuser. Je m'éloigne de l'image rigide et protocolaire que l'on a voulu me plaquer au visage pour juste... profiter. Et advienne que pourra. Tu crois qu'on ressemble à ce point au poncif de la blonde et du blond ? Non pas que la réponse m'effraie. À dire vrai, le changement diamétral du photoshoot me panique intérieurement et j'apprécie d'être guidé sans trace de pitié par Marja elle-même. Je ne crois pas être déjà tombé sur une demoiselle aussi nature peinture et faisant fi de ce que les autres appelleraient convenance. Qu'est-ce que c'est reposant... mon côté gentleman ressort sans même que je ne m'en rende compte, et ce sont ses remerciements qui me font redescendre sur terre. Peut-être même davantage que la prise de photo à notre insu par cet abruti de directeur de photo. Une autre photo sans notre accord et c'est un procès que vous aurez au derche, et je ne crois pas que vous ayez envie d'avoir un Grimaldi au cul que je reprends plus froidement afin que la suite du projet se déroule dans les règles, à savoir une série de photos sous un thème précis avec la possibilité de dire merde si l'envie nous en prenait. Restau, définitivement... une préférence ? Local, d'un autre pays ? Oh et toutes mes excuses si tu souhaitais faire cette photo. Le droit à l'image... est complexe pour quelqu'un comme moi.
Tu rigolais à ses paroles, tu étais totalement décontractée, c’était bien différent des derniers shooting. Tu n’avais pas besoin de tirer la gueule, d’être froide, tu pouvais enfin de libérer, être un peu celle que tu caches au fond de toi. Cette deuxième Marja qui se fout un peu de tout, qui rigole, qui a ce sourire plaqué sur tes lèvres. Ton regard ne le quittait pas vraiment, c’était agréable comme déstabilisant, il faisait plusieurs têtes de plus que toi, certainement le double de ton corps et malgré ses problèmes de vue, il gardait un somptueux regard. Il te ressemblait sur beaucoup de point, la couleur de ses cheveux, de ses yeux et même une partie de son métier. « Peut-être un peu ? » tu haussais doucement les épaules, essayant de te remettre dans le travail, ce qui n’était pas forcément le plus simple, surtout en finissant nue comme une larve sur le plateau de shooting. Encore plus, quand il devait positionner ses mains sur ta poitrine, c’est sur que les photos rendraient très bien, mais tu n’étais pas des plus à l’aise à l’heure actuelle. Alors quand une pose intervenait, ça te permettait de relâcher cette pression et cacher directement ta poitrine. Il déposait sa chemise sur ton dos, douce attention, et tu attrapais rapidement ton soutient-gorge pour pouvoir le remettre. Une photo prise en-dehors du shooting et Hélios qui s’énervait et lui disait ce qu’il pensait. Il n’avait pas tord dans le fond, c’était déjà bien assez compliqué de passer un shooting comme celui-ci, alors si tu pouvais avoir des moments privés, tu n’étais pas contre. « Je vais pas te dire un massage et tout ça, on est pas assez intime pour ça. » soufflais-tu, malgré ce qu’il venait de se passer. « Hm je ne suis pas compliquée, je te laisse choisir ! » un petit sourire malicieux se glissait sur tes lèvres. « Ne t’inquiète pas, je comprends parfaitement. ».
Jusqu'ici je ne m'étais jamais mis dans une case façon Ken et Barbie mais peut-être que, physiquement du moins, les directeurs de photos et autres staff nous considéraient de cette manière. Je suis presque pas fâché de pas voir le film Barbie, j'aurais trop peur qu'on nous catalogue derrière que je murmure d'un ton faussement sérieux, avant que le vif du sujet ne me ramène sur terre. Par chance, Marja s'était finalement détendue grâce à mon honnêteté, et de mon côté je me trouvais plus serein. Au point de la laisser placer mes mains contre sa poitrine sans esquisser de retenue ou d'hésitation. Premier shoot aussi intime, et j'avoue ne pas en mener franchement large... depuis la perte de ma vue, mes moments intimes se comptaient... sur aucune de mes deux mains, si je poussais l'honnêteté jusque là. Ce qui ne m'empêche pas, à l'heure actuelle, de conserver certains réflexes, y compris d'offrir un brin d'intimité à la jolie blonde sur un plateau où cette dernière est carrément inexistante. Nous sommes deux morceaux de barbaque capables de vendre du papier, alors tant que l'on peut nous mitrailler sous tous les angles, l'intimité ou la timidité, on doit se la flanquer derrière l'oreille... à un point tel que je remets les points sur les virgules avec le photographe, qui s'est cru au pays des bisounours en oubliant un détail fondamental : le droit à l'image. Curieusement, en m'exposant tel un Grimaldi j'ai pris un risque, mais Marja n'y fait même pas référence... de quoi être soulagé. On peut déjà commencer avec un restau. Je ne voudrais surtout pas que tu dises que j'ai flanqué mes mains où il fallait pas en dehors du plateau... même s'il paraît que je suis encore meilleur en massage depuis que mes yeux me font défaut. Ça, c'est dit. Neeeext !
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