You don't have to speak ღ Carshall

you don't have to speak

Avais-je dis à quel point j’aimais la façon d’agir de cette fille? Non, sérieusement. Elle était tout simplement parfaite au lit! Terminé la levrette? Et puis quoi, je la suivis sans rechigner jusqu’à la chambre, grimpant rapidement par-dessus elle et balançant les oreillers plus loin pour qu’ils ne nous dérangent pas. L’embrassant passionnément, je ne fus pas réellement surpris lorsqu’elle prit elle-même mon membre pour l’entrer en elle. Je suivis le mouvement d’un coup de bassin et continuai mes vas-et-viens en elle en lui soulevant le bassin d’une main et une jambe de l’autre que je vins poser sur mon épaule. Espérons pour elle qu’elle est flexible sinon elle n’aurait d’autre choix que de le devenir ce soir!

Constance & Marshall 1.2

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Au final, je confirme, la blondasse avait tout d’une athlète et elle était très flexible! D’ailleurs, je me souvenais encore de son joli petit cul dans ces jupes des cheerleaders. Damn… Je souris vaguement à cette idée et penchai mon corps sur le sien pour venir l’embrasser malgré sa jambe qui se trouvait entre nous deux. Sa main se plaqua dans mon dos et me donna envie d’aller encore plus vite et plus profond. J’avais envie qu’elle ressente tellement de chose qu’elle ne serait même plus capable d’arrêter de crier et qu’elle ne saurait simplement plus où donner de la tête. Haletant moi-même bruyamment, je sentais que j’étais sur le point de tout lâcher, mais je ne comptais pas venir avant elle. Je voulais qu’elle ait son orgasme d’abord et même en même temps que moi, mais ce genre de chose était plutôt rare alors je n’y comptais pas vraiment. Je redescendis sa jambe pour pouvoir la tenir fermement et la pénétrer avec toute la force et l’endurance qu’il me restait. J’avais terriblement chaud et mon corps entier était tendu.

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L’entendre crier mon nom à plusieurs reprises suffit à achever ma concentration et à me ramener dans le moment présent. Impossible de penser à autre chose pour ne pas tout lâcher. Là, j’avais envie de me laisser aller. Un long soupir rauque m’échappa quelques secondes après que Constance ait laissé son dernier cri emplir la pièce. Tremblant légèrement, je ralenti la cadence jusqu’à arrêter de bouger complètement, m’allongeant doucement sur elle, haletant. « Rappelle-moi de le refaire un jour... T'es trop bon. » J’esquissai un sourire en poussant un petit rire las. Elle ondula doucement sous moi et j’ouvris les yeux pour la regarder, donnant quelques coups de bassin encore avant de me lever et de me diriger vers la salle de bain. Une bonne douche, merci!

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