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Camms & Alexander
C'était un immense plaisir de me retrouver avec lui et de le voir, de voir qu'il avait grandi, moi aussi, forcément. C'était aussi sympathique que étrange a vrai dire. Je me trouvais à présent entrain d'enregistrer son numéro à mon tour, voilà que notre relation repartait comme à l'époque mais cette fois, nous avions grandi. Je souriais à cette pensée. Je l'écoutais ensuite réagir à mes paroles, ce qui lui faisait peur ; c'était que je deviennes comme eux si je les côtoyais. Je grimaçais. Je ne comprenais pas qu'il ne se rappelle pas que c'était loin de moi de prendre exemple sur des personnes pour être quelqu'un d'autres. Je sentais dans ses paroles qu'il n'avait vraiment pas une bonne opinion de cette confrérie et des gens qui y vivaient, ça me faisait bizarre parce que j'étais certaines que si ma cousine était là, elle serait dans cette maison et ma cousine ne manquait pas d’être une fille formidable. J'avais vraiment préféré changer directement de sujet parce que je sentais son avis bien arrété et il devait avoir ses raisons, j'avais pas à juger ou l’empêcher de penser alors je me contentais de parler de son lieu de résidence. A son tour, il me répondait qu'il y vivait cherchant par moment dans les annonces, vérifiant un peu mais qu'il était en ce moment chez les Mathers pour dormir quoi. Je souriais parce que je pense que j'allais être pareil ; chez les lowell mais surement que ce serait pas indéfiniment. Bien sur, il me demandait la meme chose. J'étais en tout cas du meme avis que lui alors en souriant, je repris : Oh je vais habiter dans ma confrérie mais un peu comme toi, je vais surveiller, je sais pas encore, j'suis mitigée... du coup, commençons ainsi ! Je lui avais fait un petit clin d’œil en continuant de marcher doucement, tenant toujours fermement sans lui faire mal son bras avec le sourire indélébile sur mon visage pale. Mon père voulait vraiment que je viennes ici et au départ, rien que le fait que ce soit son choix et pas directe le mien, ça m'a refroidi mais au final, ça me prouve que mon père et moi ont est bien proche parce que je me sens déjà à mon aise ici ... Enfin je savais pas trop si je l'avais pas vraiment voulu ou non, je restais confuse par rapport à tous cela, à mes choix mais ce qui était sur, c'est qu'au final, je me sentais déjà bien ici alors que je venais vraiment d'arriver. Au moins, ici, c'était plus facile pour voir mes amis ou m'en faire, à New York, j'en avais mais je me retrouvais seule le soir et devait sans cesse expliquer pourquoi je pouvais autant donner des grandes soirées ; parce que ma mère se fouettait un peu de moi et rêver que je puisse plus lui faire de l'ombre si tentait que je le souhaite quant à mon père, il bossait tout le temps .... En y pensant, j'eus un petit pincement au coeur mais je me refusais d'etre triste et continuais à sourire avant de reprendre ; Je sens que je vais me plaire ici...
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