(Flashback) CAMANDER ◭ « mais qu'est-ce que tu fais ici ? o: »

Camms & Alexander

Toute folle, toute cinglée, je vivais tranquille et c'était peut-être mon premier jour mais je ne comptais pas me faire marcher sur les pattes au point de ne pas être moi dès maintenant ; d'ailleurs, si Gabriel ou Casey me voyait différemment que la folle que je suis, ils me disputeraient surement très fort ! Rien qu'à cette pensée, je rigolais seule. Quand j'avais proposé mes services à mon ami niveau stylisme, il avait dit en m'adressant un sourire des plus adorables qu'il penserait à faire appel à moi et je n'avais pas manqué de lui faire un sourire en remerciement de ces adorables attention. En tout cas, je le retrouvais bien dans ces basket et son petit coup de fierté sur sa matière, son cursus ne manqua pas de confirmer qu'il était bien dans ce qu'il faisait et prévenant pour montrer ma joie, j'avais ma main sur son épaule en souriant. ça me rendait joyeuse de voir qu'un pote meme pas vu depuis longtemps, avec qui je n'étais pas si proche avait l'air heureux. Peu à peu, Alex me montrait un peu plus sa joie de me voir ici. Je ne pouvais donc qu'etre plus heureuse et folle encore. Je rattachais mes cheveux en chignon avec un ruban que j'adorais particulièrement, le nouant tout en continuant de le regarder. Je souriais montrant qu'il pouvait continuer et il me répondait par rapport aux soirées, m'invitant déjà le soir meme. J'eus un petit rire avant de bien réfléchir si je n'avais rien promis à mes potes, j'avais surement du dire à mon cher meilleur ami que je viendrais le voir à son boulot, un bar assez sympa qu'Alex devait connaitre, il y travaillait depuis le milieu de l'an dernier a ce qu'il m'avait dit mais sinon, j'étais libre alors en lui souriant, je répondais : Oh oui, je crois etre libre mais faudra passer au bar où bosse mon meilleur ami, tu le connais surement, enfin je sais pas ...il est en deuxième année et mathers ... Gabriel Blackwood ? Oui, il est vrai que contrairement à Casey et moi, Gabriel avait pu arriver avant alors forcément, il avait des connaissances ici et si je n'avais jamais pensé à parler d'Alex, il l'avait peut-être rencontré, je ne sais pas. Je me replaçais plus à mon aise sur le banc, me tournant plus vers lui, une jambe sous les fesses et lui dit, d'un air coquin ; Alors au final, t'as arrêté de matter pour te caser ou toujours libre ? Oh non, y avait rien là-dessous, juste un renseignement sur un pote de longue date, qu'on a pas vu depuis longtemps et puis, je voulais tout savoir tant j'étais contente. C'était aussi très marrant comme question à poser surtout dans son cas, quand on se souvient de notre première rencontre.

(Invité)

15/03/2013

Camms & Alexander

Non mais sérieusement, quelles étaient les chances que je puisse retrouver Camy ici, à Harvard ? Très mince, je dois vous l'accorder. Mais voilà, on s'était retrouvé et ça faisait plaisir parce que je tenais à elle. On se téléphonait souvent à l'époque puis la distance et le temps ont fait qu'on a perdu contact. C'était l'occasion de remédier à tout ça et c'est pour cette raison que je prenais le temps de lui parler. D'elle, de moi, de n'importe quoi. En fait, j'étais content de la voir parce que je voyais bien qu'elle avait grandi, évolué et je voulais tout savoir de nouveau à propos d'elle. On s'était donc installé sur un banc et c'était avec le sourire aux lèvres que je lui parlais de mes études, de ses modèles, de la Mather House. Bon, certes, elle était chez les violets et ils étaient cools mais elle loupait quelque chose en n'était pas chez les Mathers. "Oh oui, je crois etre libre mais faudra passer au bar où bosse mon meilleur ami, tu le connais surement, enfin je sais pas ...il est en deuxième année et mathers ... Gabriel Blackwood ?" No. Way. Son meilleur ami était Gabriel ? Genre la coïncidence de ouf ! Je me mis donc à élargir mon sourire, heureux d'apprendre qu'elle connaissait un de mes potes. Son meilleur ami qui plus est. "Gabriel ? J'ai fait mon entrée à la Mather House avec lui ! Genre en même temps quoi. Donc ouais, j'le connais, c'est un bon pote !" Comme quoi, le monde est petit. Je connaissais Camy puis j'ai fait connaissance de Gabriel et ils sont tous les deux meilleurs amis. Ouais, ça fait bizarre de se dire ça. "Alors au final, t'as arrêté de matter pour te caser ou toujours libre ?" Et là, j'ai pas pu m'empêcher de rire, parce que c'était hilarant quand on y repensait. Enfin, je me permettais quand même de répondre pour ne pas la laisser dans le flou. "J'ai jamais cherché à me caser et je pense pas que ça sera le cas de sitôt ! Donc toujours libre comme l'air !" Et je pense même que je le resterai pendant bien longtemps.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Rhys Ackerman)

“take a deep breath and remember who the fuck you are ”

Camms & Alexander

C'était tellement incroyable d'etre là, les cheveux sous le vent d'Harvard, les quelques rayons de soleil tapant sur nos cheveux et notre peau blanche. C'était étrange de se retrouver là pour lui je le sentais à son expression. Effectivement, il connaissait Gabriel depuis leur entrée à la mather house et ça me faisait trop rire parce que ouais, j'imaginais déjà ce qu'il pensait ... Ah que le monde est petit ! Je le regardais en souriant et reprit : Ah ça, c'est super, que vous vous connaissiez ... Oui, bah nous sommes un petit trio, enfin voilà je le connais depuis oulà super longtemps ... Je le regardais néanmoins ébahie, fallait dire que ça faisait beaucoup de truc d'un coup quand meme. En plus, vous vous entendez bien ... définitivement, cette journée est très bonne ... ahaha on parle pourtant beaucoup et j'ai pas eu de réaction quoi en parlant de ces rencontres, enfin bon, c'est moi si tu te rappelle ma tête en l'air ne signifie pas que j'oublie dans le cœur ! Avais-je avec un petit clin d’œil rassurant avant de reprendre à ma seconde question, très intime mais sympathique entre ami, enfin des amis aussi libéré que deux, parce que si elle se souvenait meme si ça datait à l'époque vu leur rencontre, il parlait facilement sans se gêner autant reprendre les bonnes habitudes. Il eut un petit rire avant de se décider à me répondre pour me dire qu'il ne cherchait pas à se caer et qu'en gros, il était célibataire. J'eus un petit rire vu la façon dont il le disait et toujours toute sourire, je reprenais rapidement en riant ; Je suis sur que je vais t'en trouver une à croquer moi ! Puis, pour le faire rire, je me levais d'un coup, bondissant sur mes deux jambes avant de dire ; Opération jeune damoiseau recherche une meuf mortel ! Je me rasseyais me pliant en deux face à ma connerie.

(Invité)

15/03/2013

Camms & Alexander

C'était quand même bien fait le destin. J'veux dire par là que si j'avais pas trainé pour aller récupérer mon emploi du temps, j'aurais pas été là quand Camy passait à ce moment même et nous n'aurions pas pu parler et encore moins découvrir qu'on connaissait des gens en commun. Ouais, le destin est sacrément bien fait. "Ah ça, c'est super, que vous vous connaissiez ... Oui, bah nous sommes un petit trio, enfin voilà je le connais depuis oulà super longtemps ..." Je hochais la tête, comprenant ce qu'elle voulait dire par là. Ils étaient comme les trois doigts de la main. "En plus, vous vous entendez bien ... définitivement, cette journée est très bonne ... ahaha on parle pourtant beaucoup et j'ai pas eu de réaction quoi en parlant de ces rencontres, enfin bon, c'est moi si tu te rappelle ma tête en l'air ne signifie pas que j'oublie dans le cœur !" Je me mis à rire, je ne lui en voulais même pas. T'façon, ça aurait changé quoi ? Pas grand chose je pense. "T'inquiète ! Mais du coup, ouais, aller à son bar ce soir, pourquoi pas !" C'était un lieu comme un autre et on aurait une tête connue en prime, si c'était pas une bonne idée ça. Mais en fait, la conversation tournait rapidement sur... ma vie sentimentale. Moi, me caser ? Genre wtf quoi. C'était la dernière chose que je voulais. Tenter de me reproduire - sans qu'on aille jusqu'au gamin - ok, mais avoir une seule fille dans ma vie, je pense pas non. "Je suis sur que je vais t'en trouver une à croquer moi ! " Je secouais la tête négativement, allant même jusqu'à vouloir rajouter un truc, mais elle me coupait avant. "Opération jeune damoiseau recherche une meuf mortel !" Je me mis alors à rire face à ça, avant de me reprendre. "Non mais j'cherche pas. Je m'amuse et c'est très bien comme ça. Après, si tu m'trouves une ou plusieurs filles qui cherchent à s'amuser, je dis pas non." Je perds pas le nord.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Rhys Ackerman)

“take a deep breath and remember who the fuck you are ”

Camms & Alexander

C'était totalement incompréhensible mais formidable, nous avions presque aucune chance de se trouver comme ça, l'un derrière l'autre,près l'un de l'autre et j'étais contente de le retrouver ainsi qu'apprendre qu'il connaissait l'un de mes deux meilleurs amis, franchement, formidable comme nouvelle ! je le regardais ravie, un sourire presque indélébile sur le visage, comme ancré et incapable de se retirer de mon visage sur lequel les rayons du soleil diffusait sa chaleur. Il me regardait, participant vraiment à mes propos, me montrant qu'il comprenait avant de me rassurer et me donner une réponse positive à notre soirée au bar où bossait Gabriel. Je le sentais en tout cas déboussolé, de mon intérêt pour sa vie sentimentale et mon envie de le caser qui se ressentait dans ma voix coquine et malicieuse. Je le voyais secouant la tete pour me dire que non et ça me faisait vraiment trop rire mais j'avais déjà fait la folle avant meme qu'il commence à demander quoi que ce soit ou dire ne serait-ce qu'un mot. Bien sur, ça ne manqua pas, mon ami éclata de rire en me voyant faire la folle dingue d'un coup comme ça à la recherche d'une princesse pour son prince ; Ahah ! J'attendais sa réaction et très vite, il me disait ; "Non mais j'cherche pas. Je m'amuse et c'est très bien comme ça. Après, si tu m'trouves une ou plusieurs filles qui cherchent à s'amuser, je dis pas non." Je le regardais en souriant, a vrai dire, trouver ce genre de fille n'était pas dure, j'étais là en plus. Je veux dire, je fais parti des filles pas facile mais qui n'ont rien contre les relations d'une nuit; oui je sais c'est assez complexe ! Je riais déjà d'entendre ça dans sa bouche parce que bizarrement, je m'y attendais venant de sa part vu mes souvenirs meme si il aurait pu grandir. Tu sais ... si tu veux ! Avais-je en caressant doucement un de ses bras faisant mon regard le plus subjectif. Je ne pus m’empêcher de rire, c'était mémorable d'imaginer avant meme de faire ma petite comédie sa tête quoique je pouvais me tromper. Je pliais presque en deux, tellement ça me faisait rire de pouvoir être aussi débile. J'aimais tellement provoquer et rire que voilà, c'était du naturel. Je reprenais un peu mon sérieux avant de reprendre : Tu n'as rien à me dire de plus alors ... sur ta vie ici ? comment ça se passe ? comment tu te plais ici ? Je souriais, un sourire qui se voulait de nouveau naturel et bienveillant.

(Invité)

15/03/2013

Camms & Alexander

Le hasard fait quand même très bien les choses. J'veux dire, il y avait peu de chances que Camélia et moi nous nous tombions dessus le premier jour de reprise des cours et pourtant... Et pourtant on était là à discuter après plusieurs années de silence. Ouais, elle avait décidé de venir à Harvard, là où j'étudiais. Elle se trouvait sur mon chemin qui menait à mon premier cours. Sérieusement, la probabilité que ça arrive était minime mais voilà, on y était. Et on s'était tout simplement retrouvé. En tant que Mather, j'étais un adepte des fêtes, des lieux tels que les bars et boites de nuit. Du coup, je lui proposais de lui montrer ce soir les fameux lieux incontournables. Elle me suggérait plutôt d'aller au bar où Gabriel travaillait : son meilleur ami est un pote à moi. Et oui, encore une fois, le hasard fait bien les choses. Et puis quand elle s'attaquait à ma vie amoureuse, je la calmais assez vite en disant que c'était pas vraiment ce que je recherche. Je suis plutôt du genre à coucher à droite à gauche sans avoir trop d'attaches. Disons que je ne veux pas souffrir comme j'ai déjà souffert. "Tu sais ... si tu veux !" Je me mis à rire alors que sa main s'était posée sur mon bras. Non mais non, je n'envisageais même pas de le faire avec elle de toute façon. Ça devait être une blague de sa part de toute façon, il suffisait de la regarder rigoler. Donc je reprenais doucement mon sérieux. "Tu n'as rien à me dire de plus alors ... sur ta vie ici ? comment ça se passe ? comment tu te plais ici ?" Je souriais doucement, haussant les épaules. Je n'avais pas grand chose à dire de toute façon. "Bah... Je profite de la vie. Y'a pas grand chose à dire d'autres. J'passe le plus clair de mon temps ici, j'retourne à New York que pour Noël. Enfin, j'peux faire ce que je veux et je profite ouais." Ma vie n'était qu'un stéréotype. Du moins, ma vie actuelle. Je me tapais un tas de filles sans pour autant les rappeler après, ce qui me donne l'étiquette de goujat quelques fois. Mais je m'en fichais en fait.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Rhys Ackerman)

“take a deep breath and remember who the fuck you are ”

Camms & Alexander

Mon petit jeu avait bien marché car mon ami si récemment retrouvé avait directement ri. ça me troublait complètement en fait de le retrouver comme ça par hasard alors que vraiment, y avait peu de chance que ça arrive. Je le regardais rire semblant intérieurement retrouver dans ma mémoire quelques souvenirs de nous l'année de notre rencontre alors qu'il était étonné que je ne fasse pas ma pourrie gâté ou d'autres trucs. ça me fit rire mais pas seule car lui continuait étonné de mon petit coup de jeu sur son célibat. Je souriais ensuite, tentant de calmer mon petit rire enjoué. Enfin, il avait repris son sérieux et je m'installais plus simplement sur le banc, parce que la position semblait maintenant désagréable à mes pauvres gambettes. Je posais mes pieds sur le sol, mon dos contre le dossier du banc tout en continuant de rester un minimum tournée vers lui parce que je détestais ne pas regarder les gens quand je partageais un moment avec eux. J'étais de ces personnes qui aiment le contact et non l'indifférence ou simplement daigner partager un moment comme dirait certains. Quand je parlais de sa vie ici, ce fut très simple mais je m'y attendais, c'était juste ma joie qui me faisait posé des questions simplistes parce que je voulais pas cesser de profiter de ces retrouvailles. Il revenait à New York à chaque noël, pourquoi n'avions nous pas pensé à se revoir, à se recontacter plus souvent ? Je faisais une moue agacée en entendant cela tout en esquissant à la fin de ses dires un sourire sympathique. La nonchalance agrémentait presque son ton de voix à présent, une vie simple, un peu comme moi avec l'argent en plus, l'argent qui en pourrit plein, je ne dis pas que ça ne me pourrit pas parce que je pense que mes mauvais coté viennent de moi mais aussi de l'argent. Rien que de penser cela me donnait envie de rire ... jaune. Je reprenais la parole ; Oh tu sais ... je suis entrain de penser que nous sommes vraiment des abrutis, on n'aurait pu se revoir et bien sur, on l'a pas fait ... Enfin bon, je suis super contente de te retrouver et vu que tu es fétard, je crois qu'on va bien s'éclater et rattraper le temps perdus ... enfin si tu veux ? Dis-je d'un air plein de malice qui signifiait bien mon petit coté miss bêtise et folie. Je me levais ensuite, restant face à lui debout, besoin de bouger, du coup, je faisais la folasse, bougeant un peu de chaque coté sur place en lui souriant avant de me décider à lui dire : Bon, si on marchait ... raconte moi les ragots ? les personnes pas fréquentables ? je veux tout savoir ce qu'il y a dans la base de donnée Strudwisk ... je me mettais à nouveau à rire en commençant à avancer et d'attraper son bras.

(Invité)

15/03/2013

Camms & Alexander

Ce qui me faisait vraiment plaisir, c'était qu'on s'entendait toujours aussi bien, malgré tout ce temps sans se parler. En fait, c'était comme si la dernière fois qu'on s'était parlé, c'était hier. C'est dingue comment le temps ne peut avoir aucune influence sur une relation dans certains cas. La preuve, nous venions à peine de nous retrouver et on était déjà en train de rigoler sur n'importe quoi. Enfin, c'était beaucoup mieux que d'aller en cours, je dois bien l'avouer. Enfin, je reprenais mon sérieux quand même parce que je me devais de lui dire ce qui se passait dans ma vie depuis le temps. Enfin, pas grand chose en plus des cours et des soirées. Elle souriait alors tout du long pendant que je lui avouais la vie que je menais, avec mes voyages à NY une fois par an. Ouais, je ne pense pas que voir plus mes parents serait une bonne idée. Certes, ils sont fiers que je sois à Harvard mais ils n'apprécient pas vraiment ce que je suis devenu : un drogué qui boit et qui baise tout ce qui bouge. Donc moins je les vois, mieux je me porte et eux aussi. "Oh tu sais ... je suis entrain de penser que nous sommes vraiment des abrutis, on n'aurait pu se revoir et bien sur, on l'a pas fait ... Enfin bon, je suis super contente de te retrouver et vu que tu es fétard, je crois qu'on va bien s'éclater et rattraper le temps perdus ... enfin si tu veux ?" Je me mis alors à rire. Bien sûr qu'on est abruti. Mais bon, on ne peut pas refaire le passé et c'est un peu trop tard. Maintenant, on s'était revu et sachant qu'on est tous les deux étudiants ici avec des amis en commun, ça allait être plus simple. "Mais ouais t'inquiète. On va s'rattraper comme il le faut, en commençant par ce soir. Tu m'files ton numéro et c'est dans la poche." Elle se levait et j'en faisais de même, remettant bien mon sac bandoulière. "Bon, si on marchait ... raconte moi les ragots ? les personnes pas fréquentables ? je veux tout savoir ce qu'il y a dans la base de donnée Strudwick ..." Je la laissais prendre mon bras et on se mit donc à marcher en direction des amphithéâtres. Je riais à sa réflexion et je tournais la tête pour la regarder. "Les personnes pas fréquentables ? Je dirais sans hésitation les Eliots. Ils s'prennent pour les rois du monde. T'aurais été Mather, tu l'aurais très vite compris. Sinon... J'peux pas trop te dire comme ça. Mais j'pense tu auras l’œil pour ça." Ca s'remarque quand même assez vite quand une personne est ou n'est pas fréquentable.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Rhys Ackerman)

“take a deep breath and remember who the fuck you are ”

Camms & Alexander

Sans cesse, je riais de mes bêtises. Nous étions bien là, mine de rien à discuter tranquillement de tout et de rien, c'était extrêmement drôle de se voir comme ça en tout simplicité malgré que ça fasse depuis des années. qu'on ne se soit pas vu. J'avais parlé du temps à rattraper et bien sur, il y avait été favorable. On n'aimait tous les deux les soirées, la fête en général donc forcément, on manquait pas de pouvoir se rattraper après tant d'années. Il m'avait demandé mon numéro car il est vrai que j'avais eu le temps de changé, un sourire suffisait, je lui montrais mon téléphone où il pouvait pouvoir le numéro puis j'attendais un sms de sa part d'une minute à l'autre pour enregistrer à mon tour le sien. J'étais à présent debout face à lui lorsque j'avais demandé les ragots d'harvard, ça n'avait à nouveau pas manqué de le faire rire. Alexander s'était levé et on marchait tous les deux, bras dessus bras dessous. Mon ami semblait en tout cas voué une petite haine envers ses chers eliot parce qu'ils se prenaient apparemment pour les rois du monde. Je souriais à ces paroles parce que je devais dire que j’appréhendais un peu qu'il dise cela puisque l'on m'avait proposé de la rejoindre mais je n'avais pas eu l'envie de faire comme tous le monde, comme tous les riches ou quoi. Il ne pouvait pas m'en dire plus, croyant que le mieux était de me faire ma propre opinion. Nous continuions à marcher, le vent frappant notre visage tout comme le soleil qui s'y mélangeait. Oui, c'est effectivement ce qu'on m'a dit sur les Eliot mais bon, ils ne doivent pas tous être ainsi tu sais ... regarde j'aurais pu y être et meme si je suis pas exemplaire, je ne suis pas ... enfin je crois ... pas méchante, hautaine et tout ! J'affichais un grand sourire, tenant toujours son bras et avançant doucement. Je me demandais bien si j'avais raison ou si tous les eliot étaient hautain, méchant ou autres. C'était en tout cas une grande réputation de la maison. Tu vis à la résidence Mathers ou tu vis en dehors ?

(Invité)

15/03/2013

Camms & Alexander

En tout cas, ça faisait plaisir de voir qu'après toutes ces années, on s'entendait toujours aussi bien. Et puis, c'était une grande maintenant qu'elle était à Harvard. J'veux dire par là qu'on a tous les deux mûri par rapport aux dernières fois où on s'est vus à New York. Mais ouais, notre relation reste intacte et j'hésite pas à lui demander son numéro pour la contacter si jamais y'a besoin pour s'retrouver ce soir ou d'autres soirs. Elle me souriait et me filait son numéro via son portable et je l'enregistrais. Hop, un petit message envoyé pour qu'elle ait le mien et c'est dans la poche. Je rangeais donc mon iphone et je me levais pour la suivre où elle allait. Bras dessus dessous, on avançait sur le chemin pour aller je ne sais où. "Oui, c'est effectivement ce qu'on m'a dit sur les Eliot mais bon, ils ne doivent pas tous être ainsi tu sais ... regarde j'aurais pu y être et meme si je suis pas exemplaire, je ne suis pas ... enfin je crois ... pas méchante, hautaine et tout !" Je lui avais avoué qu'il fallait éviter les Eliots, du moins la plupart d'entre eux. Ils étaient vraiment tout le contraire de ce que je pouvais être et j'avais tendance à vouloir qu'elle reste le plus loin d'eux, pour son bien. Je n'ai pas vraiment envie qu'elle devienne comme eux, malgré qu'elle ait les caractéristiques pour en faire partie. "Ouais mais bon. Reste comme tu es et ne vas pas trainer avec eux, c'est tout ce que j'te souhaite. T'sais, être avec eux, c'est un peu comme trainer avec le diable donc... Voilà." Après, c'était seulement mon avis mais je lui faisais part vu qu'elle le voulait. Pour moi, ils étaient pas fréquentables quand on ne voulait pas être entouré de gens superficiels et avec des valeurs égoïstes. "Tu vis à la résidence Mathers ou tu vis en dehors ?" Je hochais la tête en la regardant, ajoutant quelques mots pour agrémenter. "J'suis à la Mather House mais de temps en temps, j'regarde des offres de colocation. Genre avoir une chambre à moi, ça peut être cool t'sais.. Et toi ? Tu comptes squatter les Lowells ?" Elle pouvait très bien avoir un appart, mais des fois, ça peut être cool d'être avec les membres de sa maison.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Rhys Ackerman)

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