Carmen&Ulysse - You're my biatch

Carmen & Ulysse

• Elle a l’air de croire que j’me fou de sa gueule lorsque je lui propose un salaire mensuelle. Elle vient, je la baise, j’me fais plaisir, et à la fin du mois je lui donne un salaire, rien de plus. Ça serait un peu une deuxième Marta, mais si Marta, vous savez, ma femme de ménage ! Sauf que là elle ne ferait pas le ménage, elle écarterait les cuisses et voilà, rien de bien compliqué, et puis, elle n’aurait pas été bonne au pieu je ne lui aurais pas proposé ça. Elle rigole et fume sa clope. Putain elle fume dans ma villa… Ah merde, moi aussi, j’ai rien à dire du coup… Elle est là, en train de se rhabiller et elle me demande d’aller chercher son argent et d’arrêter de déconner. Alors j’remets mon boxer et je continue dans ma lancé de tout à l’heure. [color=darkblue] « T’es certaine ?! Tu baises bien, alors tu viens, genre une ou deux fois par semaines, on baise et à la fin du mois t’as ton salaire ! Je serais elle j’accepterais. Bon, c’était un peu se lancer dans le proxénétisme ça j’crois, mais, j’en avais rien à foutre… « Mais bon, madame fait la difficile, j’te proposais d’être une pute de luxe en fait ! » Une pute de luxe, mais quel con… Bref, j’me lève et j’vais en direction du bureau ou j’en reviens avec une liasse dans la main, attendant qu’elle me dise combien je lui dois. •• Vu son regard, je ne pensais pas que j’allais regretter d’avoir fait son numéro et qu’elle soit venue. J’la regarder et elle commence à me chauffer, j’pense que je vais kiffer, j’pense qu’elle n’est pas débutante dans le métier. Elle ne cherche plus à discuter, ce qu’elle veut, c’est me donner du plaisir et me montrer que j’vais devoir aligner le fric à la fin vu qu’elle est plutôt pas mal dans ce qu’elle fait. […] J’ai kiffé, j’vous assure j’ai vraiment pris mon pied. A poil sur le canapé, je reprends doucement ma respiration après avoir baisé avec elle. J’me dis que j’ai bien fait de l’appeler car elle est super douée cette fille ! Mais, d’un côté, c’est dommage qu’elle soit une prostituée, j’suis sûr qu’autrement elle pourrait réussir ! J’ai pas besoin de me rhabiller, j’en ai rien à foutre d’être à poil, j’suis chez moi ! Alors du coup, j’la regarde et je prends la parole. « Maintenant qu’on l’a fait, tu m’annonces le prix ou bien tu deviens ma pute personnelle et j’te verse un salaire tous les mois ? » Un salaire tous les mois ? Putain, j’ai cru que j’étais patron d’une entreprise et que je venais de lui faire passer un entretien d’embauche ou quoi ? Mais, d’un côté, ça me plairait bien, l’appeler quand j’ai envie, la laisser me faire du bien, et lui laisser de bon gros billets à la fin du mois, ça pourrait être vraiment cool merde ! •