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T’avais osé croire que c’était fini, que tu t’étais rendue vainqueur de ce combat hors pair, mais il ne fallait pas trop rêver, Barbie n’avait pas dit son dernier mot. Elle t’attrapait la jambe et la tirais vers elle, sans rien prévoir tu t’étais ramassé au sol laissant une belle trace de sang sur le carrelage blanc. Tu t’y attendais pas à celle-là, t’étais tombée dans son piège et t’avais pas fait semblant, t’y avais sauté pieds-joints, pauvre abruti, comme avais-tu pu croire que tes coups l’aurait foutue KO, t’étais pas Hulk. Tu l’entendais te traiter de naïve et elle n’avait pas tort, elle te collait un gifle, la gifle de ta vie et te relevais la tête par les cheveux. Y avait pas à dire, tu prenais cher ! « J’vais surement pas te laisser gagner, pauvre poupée Barbie qui n’a rien dans le crâne …… sale pute ! » tu disais en lui crachant dessus, tu te relevais en tirant sur sa robe, y arrachant les volants « alors la clocharde, t’avais pas assez de sous pour t’acheter un robe en entier ? » tu disais en riant. Tu te relevais, tirant sur sa bretelle, tu la faisais reculer en t’essuyant le sang qui coulait de ton visage « on dirait qu’elle n’est pas très solide ta robe » tu disais en la regardant tomber en lambeau un rictus au coin de tes lèvres. Puis tu la poussais contre le lavabo, l’attrapant par les joues, compressant son visage entre tes doigts « alors, tu es bonne comédienne ouais, mais t’as presque faillit m’avoir ! » tu lui balançais à nouveau ton genoux dans les côtes.
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Mais elle se fatiguait jamais celle-là. En plus de frapper fort, elle savait aussi tenir bon. Après avoir prononcé quelques mots, cette connasse me crachait dessus et m'insultait encore. J'aurai pas dû la lâcher, je prenais cher maintenant. Elle se relevait et tirait fort ma robe, y arrachant les volants. Je fronçais les sourcils et la repoussais aussitôt. Putain elle avait ruiné ma robe, quelle pourriture.J'avais beau avoir frappé deux filles, j'avais pas touché à la robe puisqu'on était dans un bal. Mais si elle voulait la jouer comme ça, pas de soucis. Elle me poussait contre le lavabo et me prononçait quelques mots avant de me frapper aux côtes. Je grognais, me retenant de crier. Là, elle m'avait vraiment fait mal. Comme si j'étais pas assez mal en point, il avait fallu qu'elle continue en plus de ça. Alors là, plus aucun cadeaux. Voyant que je me tenais les côtes, elle me relevait en pensant qu'elle allait pouvoir me frapper tranquillement. Je la contrais avant de lui coller une gifle et de lui écraser la tête dans le lavabo de toutes mes forces, puis lâchais l'eau. Petite conne va. le lavabo se remplissait d'eau et sa tête y était toujours. Ayant conscience qu'elle ne pouvait plus respirer, je fermais l'eau et la tirais par les cheveux avant de lui refoutre un coup dans le ventre, plus fort que tout à l'heure. J'avais envie de la faire mal autant qu'elle m'en a fait, mais pas de au point de la tuer.