Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitylet's go to the fight, fight. (bluzela) [ sujet ouvert à tout le monde]
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let's go to the fight, fight. (bluzela) [ sujet ouvert à tout le monde]

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T’étais au bout, au bout de ta vie, au bout du rouleau, surtout quand t’avais vu l’autre pimbêche de Blue et ta grande amie Dixie se prendre la tête. Elle était allé trop loin, de plus, tu ne supportais pas les gens qui s’en prenaient aux femmes enceintes et t’avais pas manqué cette histoire avec Feldt, ça t’avais rendu folle. T’étais le genre de meuf un peu trop nerveuse quelques fois, tu cherchais cette Blue partout, impossible de la trouver, t’espérais qu’elle ne soit pas partie. Cherchant une tête blonde dans la foule tu croisais enfin son regard. Elle était seule, elle sortait des toilettes, c’était le moment parfait pour lui rentrer dedans. Tu t’approchais d’elle, et la poussait dans les toilettes, « toi et moi on va parler petite pute. » Tu t’approchais d’elle « oh tu crois que ça se fait c’que t’as fait là, t’es tellement conne dans ta tête que t’es capable de t’en prendre à une femme enceinte, mais t’as quoi dans ta tête hein ? vas-y dis-moi, y a quoi là-dedans ? Bouffonne ! » tu disais portant ta main sur sa tempe y donnant un petit coup sec.
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Je sortais tranquillement des toilettes quand une fille que je connaissais pas, vint m'agresser. J'arquais un sourcil. C'est pas vrai ça, c'était des sangsues ces gens, t'en avais jamais fini avec eux. Elle me traitait de pute? WTF? Je regardais derrière moi, il n'y avait personne. C'était bien moi qu'elle avait traité. Je la laissais prononcer son petit speech et elle tapotait d'un coup sec ma tempe. Je la repoussais doucement, histoire de commencer en douceur. Alors déjà tu vas te calmer direct, parce que la pute tu la connais pas. Et j'suis pas comme vous, si je savais qu'elle était enceinte, je l'aurai pas touché. J'ai un minimum de respect. Mais si tu faisais fonctionner ton cerveau, tu saurais que ni Leyna ni moi ne l'aurions touché si elle avait pas essayé de faire la warrior avec notre meilleure amie. Faut vraiment être con pour s'en prendre à quelqu'un quand on est enceinte. Donc c'pas notre faute. je marquais une petite pause, avant de reprendre, d'un ton beaucoup plus froid. Et d'ailleurs, la conne que tu es chercherais à régler ça après le bal, plutôt que de vouloir gâcher la soirée que sa propre maison a organisée.

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Comme tu t’y attendais elle réplique, pourtant t’as envie de te défouler et elle est trop passive, ça t’énerve encore plus, putain mais agresse meuf. Tu t’attendais à qu’elle rapplique à la tape que tu lui avais mis, pourtant il n’en est rien, t’es presque dégoûtée, tu sais pas pourquoi mais t’as envie de chercher la merde et y a pas à dire tu le fais bien, voir même très bien. T’es bien consciente que c’est pas bon pour ton image ce genre de comportement, pourtant faut croire que trop d’alcool, trop de monde, trop d’embrouille, tout ça, ouais non, ça ne te réussi pas. « J’ai pas envie de me calmer, t’es une pute, t’as une gueule de pute c’est tout t’es comme ça. Ta meilleure amie c’est ma cousine et alors j’en ai rien à battre. Quand tu cherches la merde tu la trouves c’est comme ça, elle l’a cherché elle l’a trouvé, par contre toi aussi tu l’a cherché et toi aussi tu m’as trouvé. » Elle te regarde, elle te traite de conne, un instant t’es soulagée, c’est pas tant une guimauve que ce que tu pensais au final « mais t’sais quoi j’en ai rien à battre moi de cette soirée, au contraire quel bon souvenir de savoir que j’aurais cassé la gueule d’une meuf dans ton genre, parce que ouais si tu savais comment ça me démange de t’en mettre une là. » ta main accompagne tes mots et un bruit sourd se fait entendre « ah tu vois, l’envie était tellement forte que j’n’ai même pas pu contrôler ma main. »
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Cette conne venait serieusement de te retraiter de pute encore? Elle cherchait clairement la merde là. Après il ne fallait pas dire que c'était toujours les eliots, parce que sur ce coup c'était qu'une vieille meuf qui avait envie de se défouler, au bal de fin d'année. Oh mon dieu, j'ai sur le dos une connasse qui sait pas quoi faire pour exister, et qui décide donc de s'en prendre à quelqu'un. Pauvre fille va, tu fais vraiment pitié. elle m'en mettait une, je la sentais venir mais pas tout de suite. Je reculais et mis ma main sur ma joue. Je fronçais les sourcils, en plus après ça elle me provoquait. C'était pas dans mes projets de me battre carrémment, mais je comptais pas me laisser faire. Je fonçais sur la brune et la plaquais violemment contre le rebord du robinet, pensant qu'elle s'était fait mal et tant mieux. Oh, pas trop mal petite conne ? je lui en foutais une à mon tour, pas encore totalement remise de la gifle qu'elle m'avait mise.

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A croire que tu étais une vraie cherche merde et qu’en plus de ça, ça marchait. Elle se décidait enfin à riposter après la tarte que tu lui avais mise. Elle te pousse contre le lavabo, tu ne nieras pas que t’as eu mal et c’est peut-être pour ça que t’es devenue folle « la con de toi, tu vas voir un peu ! » tu traverses les toilettes en la poussant à chaque fois un peu plus fort « tu veux jouer, ça y est, c’est bon ? T’as envie de jouer là ? Ben vas-y qu’on va se battre ! Tu n’imagines même pas à quel point j’ai envie de te faire un ravalement de face tellement que t’as une sale gueule. » Elle se retrouve dos contre la porte de l’un des wc et tu l’enchaines, des tartes, des claques, des coups de poing, tu t’éclates, ça te soulage. Ah c’que t’aimes ça, autant tu peux être une fille calme quand tu veux, autant des fois tu peux être une vraie, vraie, vraie garce. Une petite conne qui cherche la merde juste pour t’amuser.
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Oh quelle pute, elle m'avait enchainé sans me laisser le temps de lui répondre. Malgré mes airs de petite blonde qui prend bien soin d'elle, je pouvais me montrer violente quand j'en avais envie, et là elle allait regretter ce qu'elle venait de faire. Dans un élan de courage je la poussais de toutes mes forces, avant de toucher mon ventre où j'avais pris pas mal de coups. Elle revenait vers moi, ça allait pas se passer comme ça. Je savais bien me battre et elle allait le voir de suite. Je l'attrapais par les cheveux et lui écrasais la face contre le mur, avant d'enchainer les coups de poings au visage. J'étais devenue incontrolable. Tu vas l'regretter toi. Tellement que tes potes vont même pas te reconnaître tellement tu seras goffa, déjà qu'actuellement c'est pas fameux. après ces mots je l'attrapais par la gorge et serrais fort.

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Elle t’avait prise en traître cette conne, tu t’étais retrouvé contre le mur, elle t’avait littéralement sauté dessus. L’adrénaline montait en toi « Je vais te tuer hija de puta ! » Elle te rendait la monnaie de ta pièce à coup de poing sur ton visage, tu ne sentais même plus la douleur, tu riais « tu t’éclates bouffonne ! » tu lui lançais ton pieds avec une puissance hallucinante dans son estomac ! Elle s’étalait au sol et tu profitais de cette position de faiblesse pour lui sauter dessus « alors tu fais moins ta maligne petite conne ! » tu lui rendais la monnaie de sa pièce à coup de poing, tu t’écartais d’elle et la foutait sur le ventre sans qu’elle ait le temps de voir ce qu’il allait lui arriver, tu l’attrapais par les cheveux, t’étais à genoux au-dessus d’elle et tu lui plaquais le visage contre le sol « alors tu vas faire quoi là ? Espèce de petite pute. » tu savais qu’après cette histoire les relations avec ta cousine n’allait pas s’arranger mais tu t’en foutais, on ne touchait pas aux Mather, point barre ! Tu tirais la tête de la Barbie vers toi et tu la cognais contre le sol.
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Elle se débrouillait bien la cousine de Candice. Je savais pas qu'elle avait des gens aussi cons dans sa famille, ça me choquait. Alors tu fais moins ta maligne petite conne! petite conne va. Elle me bloquait, je pouvais plus bouger pour le moment. Ben vas-y salope. pas la peine de le lui dire une deuxième fois, elle enchainait les coups de poings. Cette connasse m'avait pas raté putain, et elle venait de me cognais la tête au sol, violemment en plus de ça. Autant dire que c'était pas mou du tout, et j'avais sacrement mal. Un peu partout dans le corps mais à la tête aussi. Je sentais qu'elle allait exploser. Après qu'elle m'ait claqué la tête contre le sol, mes yeux se fermaient. J'étais immobile à terre. Plus aucun son, plus aucun geste.

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Tu t’étais déchainée sur elle, et elle ne bougeait plus, t’avais peur que ce que tu redoutais soit arrivée, t’y étais peut être allée un peu trop fort au final. Tu te relevais, l’observais, t’osais pas trop t’approcher, faut dire que t’étais quand même un peu paniquée… et si elle était … non c’était impossible, tu n’avais pas la force de Hulk tout de même. T’étais un petit gabarit et même si tu avais une haine profonde en toi il était impossible que tu l’aies tué de cette façon. Peut-être était-elle dans les pommes, sans aucun doute, tu ne savais pas quoi faire. Appeler à l’aide ? Non ils sauraient que c’était toi qui l’aurais mis dans cet état et tu n’osais pas imaginer la réputation que tu pourrais te trimballer, le genre de truc qui ne va pas à une fille de ton envergure. La petite fille du président Kennedy qui envoie une de ses camarades à l’hôpital c’était sans aucun doute pire que l’histoire du prince Harry à Las Vegas.
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Ma technique était un peu celle d'une gamine fallait l'avouer, mais tous les coups sont permis. Elle m'avait trop cherché. Je mentais pas sur le fait qu'elle m'avait bien explosé, j'en profitais un peu pour me reposer. Elle allait pas frapper une fille inconsciente, non? Je n'avais pas tord, puisque je la sentais se décaler. Je restais toujours immobile, et après avoir attendu quelques secondes, j'ouvris doucement l'oeil, au cas-où. Je ne la voyais pas devant moi et bougeais donc un peu la tête, jusqu'à la voir devant la porte des toilettes, dos à moi. Je pense qu'elle s'appretait à bloquer la porte des toilettes, histoire qu'elle s'en prenne pas plein la gueule. Je souriais en coin et rampais sans trop faire de bruit jusqu'à être proche de cette conne et lui attraper une de ses jambes pour la tenir fermement et la pousser vers moi, de sorte à la faire tomber. Et ça marchait, la psycopathe tombait au sol et ne manquais pas de s'écraser le nez contre le sol. Bien fait. Je me relevais à l'aide du robinet, pas encore bien remise mais je m'en foutais. Vengeance pour le moment, le reste venait après. Je me mis au dessus d'elle, bloquant ses jambes pour pas qu'elle s'enfuie. En plus d'être conne et moche, t'es trop naïve pétasse. je lui mis une grosse gifle et la relevais par les cheveux, avant de la jeter contre le mur. Rien à foutre qu'elle ait mal, j'avais trop la rage. Je lui mis plusieurs coups de genoux dans le ventre, me prenant trop pour une catcheuse. Alors, dis moi si tu veux encore faire la plus forte. dis-je, en gueulant. Je commençais à avoir de plus en plus mal au ventre et à la tête après tous ces coups.

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