Oh, salut toi.. /Feat Wyatt

Je lui souris un fois qu'il me dit que si il dansait, c'était grâce à moi. N'importe quoi, si il était nul, peu importe qui pourrait lui apprendre, il le resterait, mais ce n'était pas le cas. Je ne répliquais pas, le laissait me complimenter, puis je lui dis à mon tour ce que je pensais. A vrai dire, plus la soirée avançais, plus je le trouvais.. séduisant. Sûrement les verres de ponch, celui de champagne, le cocktail,.. Je ris un peu, et approuvais ce qu'il venait de dire sur la liberté. J'espère que c'est pas mal, vu le mal que j'ai eut pour l'avoir. Seulement, je ne sais même pas comment l'occuper, cette liberté maintenant.. et de rien, ce n'est que la vérité. Nous continuâmes à danser un moment, puis je levais les yeux vers lui un instant, et mon regard s'accrocha au siens. Je baissais vite les yeux, fuyant ce regard, et il me dis qu'il aimerait que je sois heureuse. Quelle blague. Ce n'était pas forcément méchant, mais il m'avait piqué en plein coeur. Ha oui, tu veux que je sois heureuse? Quand tu m'a lâchée, ça ne te préoccupais pas. Parce que j'avais besoin de toi, pour être heureuse, même si je ne voulait pas te le dire. Ne me dis pas ça si tu n'en a rien à faire Wyatt. Mais voilà, je serais heureuse. Je rencontrerais une personne qui m'aimeras pour ce que je suis réellement, pas pour mon argent, et voilà. Mais ça, c'est un compte de fée, alors je préfère ne même plus y croire. J'avais balancé tout ça, encore une fois je gâchais tout. Chacun son tour. Mais je n'avais pas put me retenir, c'était tellement hypocrite à mes yeux, qu'il dise ça. Je l'avais lâché, et j'avais cessé de danser. De toute façon, j'allais devoir le rendre à sa cavalière.

Elle disait ne pas savoir occuper cette liberté. « Tu viens tout juste de la récupérer. Laisse-toi le temps de l’apprivoiser. » On continuais de danser et je lui disais que je ne voulais que son bonheur. Pour une raison qui m’échappe encore, la situation dérapa à ses mots. Je pouvais voir son visage déformé par la colère. Elle me balançait tout ce qu’elle gardait en elle. Je ne pouvais pas l’en blâmer. J’avais été dur avec elle, mais ma fierté avait été touchée et je commençais vraiment à m’attacher à elle. C’est pourquoi, j’avais décidé de tout arrêter avant que ça aille plus loin. On avait arrêté de danser. « Que veux tu que je te dise, toutes les excuses du monde ne suffirait pas. J’en ai aussi souffert. Un moment donné, il fallait que je prenne une décision. Le quitter ne faisait pas partie de tes plans à cette époque là et le dis pas le contraire. Je l’ai compris, quand tu continuais à le voir chez lui pendant que moi je restais seul comme un con en me demandant ce que faisait ma petite amie seule avec un mec. » J’avais gardé le ton bas pour éviter d’ameuter tout le monde, mais plus je parlais et plus ma voix s’intensifiait. Je disais ce que je ne lui avais jamais dit à l’époque. « Mais pas besoin de dessin pour savoir ce que tu faisais n’est-ce pas. J’étais en colère contre toi, met toi à ma place. Tu aurais réagis comment si j’allais voir une autre fille soit disant parce que j’étais obligé de me fiancé avec ? Tu aurais péter un câble et ne me dis pas le contraire. J’en avais marre d’être le second, marre de te partager ! » Pendant une seconde, je tentais de me ressaisir. C’est pourquoi ma voix était plus calme. « L’erreur que j’ai faite, c’est de t’avoir quitté sans explication. Pour ça, je suis désolé, j’ai agis comme un con. Qu’est-ce que je peux faire pour que tu ne m’en veuille plus ?! »

Il me dit que je devais apprendre à apprivoiser ma liberté, car que je venais tout juste de la récupéré. Ce n'était pas faux, seulement l'inconnu me faisait toujours peur.. Je verrais bien... Pour je ne sais pas trop quelle raison, je m'étais emportée dès qu'il me dit que me souhaitais d'être heureuse. Peut-être parce que j'avais l'impression que ça sonnait faux, et qu'au fond il n'en avait rien à faire? Je n'avais réussis qu'à le blesser de nouveau, il se justifiait encore, alors qu'on avait déjà eut une discussion dans la piscine. Je ne faisais que compliquer les choses, et il me dit qu'il restait tout seul alors que moi j'allais rejoindre Jack.. Et ça je ne pouvais pas le nier, lorsque j'étais avec lui, soit nous étions en simple discussion comme on tiendrais avec un voisin, soit nous étions au lit. " Je n'ai jamais dit que je ne couchais pas avec ! J'étais.. j'étais faible. Et si avait été voir une fille, j'en serais morte de jalousie Wyatt. Mais il me semble que toi, tes parents ne t'ont pas marié avec une personne inconnue. Comprends-moi un instant, enfin : je ne pouvais pas le repousser sans froisser ma famille .. " Je voulais me défendre comme je le pouvais, mais j'avais trot. Hors de question de lui avouer, pas question de perdre la face, pas question de lui dire que je m'en étais voulu, et que je m'en voulais encore pour mon comportement. Je soupirais à sa dernière phrase, et reculais vers la table de ponch, pour me resservir encore un verre. J'avais besoin de boire pour oublier tout ça, je voulais sombrer ce soir. " Je pense que tu n'a rien à faire, le temps le fera. Parce que tu pourra dire tout ce que tu veux, tu ne pourra pas réparer, et tu.. " J'allais ajouter "tu ne pourra jamais me faire oublier, je n'arrive pas." Mais c'était pas une bonne idée, il fallait tourner la page. Je pense que ça allait être ça, la difficulté : je n'avais pas tourné la page, tout simplement parce qu'il l'avait comme arraché. Alors j'allais mettre du temps, beaucoup de temps. " tu ferais mieux de retrouver ta cavalière."

Ça c’était la meilleure. « Si tu ne voulais pas froisser ta famille, tu pouvais juste jouer le jeu devant eux. Tu n’étais pas forcer de coucher avec lui et je me demande ce que ça aurait changé. Il a juste profité de toi. Ne me dis pas que tu étais faible, parce que tu étais assez forte pour coucher avec deux mecs en même temps sans éprouver de remord. Pendant toute notre relation je ne t’ai jamais trompé et pourtant j’aurais pus le faire ! » Je sentais la colère augmenter. Olympe rajoutait que je ne pourrais rien réparer. Elle allait rajouter quelque chose, mais elle s’en abstenait. « Et je quoi ? » Elle ne répondait pas, mais moi je voulais savoir la fin de cette phrase. Puis, elle me disait que je devrais rejoindre ma cavalière. C’était surement la meilleure chose à faire en ce moment. « Oh et puis tu sais quoi ? Merde, je ne veux rien savoir. » Sur les nerfs je quittais la piste de danse. Je ne savais pas si oui ou non elle m’avait suivit.