teenage dream never dies [ norion ]

teenage dream never dies.
@Orion Rothschild

— j'te taquine, orion, le rassuras-tu d'un léger sourire, prenant la cuillère pour touiller ton thé fumant. — il n'y a pas de mal à être casanier, bien au contraire. je trouve que ça fait tout ton charme, avouas-tu. et c'était en partie pour ça que tu avais craqué pour lui, lorsque vous partagiez votre quotidien dans un lycée londonien. — mais des soirées de temps en temps, ça fait du bien, finis-tu par déclarer, persuadé que cela permettait réellement de s'évader du quotidien lourd et complexe d'un étudiant d'harvard. — je ne suis pas encore hyper rodé sur le nom des confréries mais la ... pforzheimer, je ne sais pas si je le prononce bien ? c'est la confrérie de ceux qui ont de gros comptes en banque, nan ? demandas-tu. tu ne t'étais jamais réellement penché sur les confréries, persuadé que tu devais te concentrer pleinement sur tes études pour réussir à maintenir le cap de ta première année. mais qui sait, peut-être que dans quelques mois, pour ta rentrée en deuxième année, tu te laisserais aller dans ce monde qui t'était encore inconnu. voyant la réaction d'orion face à ton annonce, tu compris que tu n'aurais peut-être pas dû aborder le sujet. — j'suis désolé, je voulais pas te gêner en parlant de ça c'est juste que ... laisse tomber, on oublie, finis-tu par soupirer d'un geste de la main, voulant chasser ce sujet de la table de discussion. — je le suis. et grâce à toi, avouas-tu. — quand t'es parti, j'ai réalisé que j'avais énormément freiné les choses du fait de ne pas m'assumer aux yeux de tous et je sais qu'on a loupé et que je nous ai empêché de faire pleins de choses. mais maintenant je suis bien dans mes baskets.

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TEENAGE DREAM NEVER DIES

Cambridge
@Noam Goldstein
laisse tomber, on oublie En entendant les mots du français, Orion voulut se mordre la langue J'étais pas sérieux Noam, on peut carrément en parler, si tu veux. Noam avait l'air de vouloir éviter le sujet, avec lui en tout cas, et l'anglais sentit un léger froid s'installer entre eux. Il faisait tourner sa tasse entre ses doigts, en cherchant ses mots. Tu sais, pendant des années j'ai évité de penser à toi, parce que c'était plus facile que de me repasser nos mauvais souvenirs, alors je peux pas te décrire le choc que j'ai eu de te revoir aujourd'hui, j'ai cru que j'imaginais des choses il avoua dans un rire. D'un côté j'avais accepté le fait que je ne te reverrais sûrement plus, et voilà qu'on se voit sur le campus, j'ai l'impression d'être aussi nerveux maintenant qu'à 17 ans. Il admit. Il était sincère de nature, mais se confier à Noam était vite devenu d'une facilité évidente. Mais je suis content de voir la personne que tu es devenu. Regarde-toi, t'es out et dans une Ivy league! Le Noam que j'ai connu n'oserait peut-être pas faire la moitié de ce que tu fais aujourd'hui, et pour ça, je ne peux pas être plus fier de toi, vraiment Il continua avec un sourire franc Tu seras toujours quelqu'un de spécial pour moi, et j'espère que tu te sentiras enfin de vivre ta vie comme tu veux, et avec qui tu veux NoamSa tirade avait donné l'impression à Orion d'avoir vidé ce qu'il avait sur le cœur depuis qu'il avait croisé le brun dans le couloir. Même si il ne pourrait jamais arrêter de se sentir protecteur envers l'étudiant en face de lui, mais ça ne l'empêchait pas de lui souhaiter le meilleur, même loin de lui.Et pour info, il n'y a pas que des gros compte en banque à la pfo. Il ajouta, d'un ton plus léger. Mais on est tous des bosseurs, tu pourrais même nous rejoindre l'année prochaine!

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@Orion Rothschild

en abordant le sujet des relations amoureuses et sexuelles, tu n'avais pas calculé le fait que cela pouvait mettre une certaine gêne autour de cette table, et ce fut le cas. bien que tu étais content de voir une pointe de jalousie dans le regard d'orion, tu t'en voulais de clamer haut et fort que tu t'amusais de ton côté. ce n'était pas respectueux envers vous et envers la belle histoire que vous aviez eu. — tu t'imaginais quoi pendant tout ce temps ? demandas-tu, sourcils froncés. tu réalisais tout juste à quel point vous aviez dû gérer la rupture de la même façon. vous habituer au célibat sans avoir eu de réelle conversation concernant votre rupture, cela laissait place au doute et à la confusion. — je te rends nerveux ? arrête orion ... j'suis aussi mignon qu'un écureuil avec des couettes, impossible que je t'intimide, plaisantas-tu pour détendre l'atmosphère. ses paroles t'apaisèrent. tu esquissas un pâle sourire, sentant les émotions reprendre le dessus. lâchant ta tasse de thé, tu te penchas légèrement sur la table pour prendre ses mains contre les tiennes, les caressant tendrement du bout de tes doigts. — je refuse de pleurer encore une fois mais merci pour ce que tu viens de dire. si tu savais la satisfaction que j'ai d'entendre que tu es fier de moi ... et j'espère vraiment que tu pourras découvrir l'entierté de mon évolution, souris-tu d'un clin d'œil complice. — je ne suis pas assez bosseur pour aller à la pfo alors, assuras-tu. — t'habites où d'ailleurs ?

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TEENAGE DREAM NEVER DIES

Cambridge
@Noam Goldstein
Regarde-toi! dit-il faussement choqué, avec un sourire en coin Tu aimes savoir que tu m'as rendu nerveux, n'est-ce pas? Il n'était pas gêné de l'avouer, sa nervosité était la dernière chose qui pouvait l'embarrasser depuis qu'il avait posé les yeux sur son ex, plus tôt. Il fixait la main de Noam dans la sienne d'un air nostalgique, et la serra contre la sienne. Sa priorité depuis qu'il avait eu la surprise de le croiser avait été de pouvoir être honnête avec Noam, lui dire tout ce qu'il avait sur le coeur et sortir de ce café sans regrets. Je suis à la pfo, en coloc avec une amie, et t… son téléphone vibra et une notification familière attira son attention avant qu'il puisse lui retourner la question, et il soupira en voyant l'heure qu'il était. Merde, j'avais pas vu l'heure… il réagit, en pianotant sur son téléphone. IPardon Noam, il faut que j'y aille, j'ai pas vu le temps passer... Il aurait voulu ignorer son portable et parler des heures durant avec Noam, mais la simple pensée d'une virée avec son ex lui collait un sourire aux lèvres dont il arrivait pas à se défaire. Il n'était pas un amateur d'alcool ou de soirées, mais avec Noam? Il était prêt à tout essayer. Attends il sortit un stylo de son sac, et écrivit sur un des nombreux mouchoirs sur leur table. Tiens, c'est mon meetsa. Si t'es toujours ok pour me faire visiter Boston, envoie-moi un message! j'ai hâte de voir ce nouveau Noam, bourré il plaisanta en lui retournant un clin d'œil. Il se leva et prit le français dans ses bras. Maintenant qu'il était revenu dans sa vie, ils allaient sûrement pouvoir se retrouver, mais l'anglais s'était habitué à son absence. Le sentir contre sa poitrine lui donnait l'impression qu'Orion n'avait pas rêvé, que Noam était là et n'allait pas disparaître, qu'ils étaient tous les deux assez matures pour se dire les choses en face, et ne plus rien garder pour eux. Il avait l'impression qu'un dernier poids s'était retiré de sa poitrine après leur rencontre. Il finit par le laisser partir après de longue secondes et passa une main dans les cheveux, l'ébouriffant juste avant de se diriger vers la sortie du café.

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teenage dream never dies.
@Orion Rothschild

tes mains posées sur ta tasse de thé, tu baissas le regard vers son téléphone qui venait de vibrer sur la table du bar. visiblement, l'heure avait tourné et orion était attendu ailleurs. un sentiment de légère déception t'envahit lorsque tu compris qu'il allait devoir te quitter. tu avais tellement apprécié ces retrouvailles que tu aurais adoré qu'elles durent plus longtemps. la peur de ne jamais le revoir se faisait ressentir. maintenant que tu l'avais enfin retrouvé, tu souhaitais véritablement renoué avec lui parce que cette discussion t'avait prouvé à quel point il t'avait manqué. — t'en fais pas, souris-tu en le voyant se lever de sa chaise. il sortit un stylo de son sac, griffonnant quelque chose sur une serviette de la table. tu récupéras le papier, sentant le bonheur t'envahir petit à petit lorsque tu réalisas qu'il venait de te donner ses réseaux sociaux, preuve qu'orion souhaitait garder contact. — je t'enverrai un message, promis, répondis-tu en te levant de la chaise pour faire un pas vers lui. orion t'enlaça affectueusement. fermant les paupières, tu profitas de cette étreinte en le serrant fort contre toi. le jeune homme finit par se redresser, ébouriffant tes cheveux d'un revers de la main. — à la prochaine, orion. rentre bien, soufflas-tu. ultime signe de la main et tu le regardas quitter le bar. tu te laissas tomber sur ta chaise, envahit par diverses émotions. récupérant ton thé, tu le terminas tranquillement, la tête dans les nuages et le cœur palpitant.

fin du rp.

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