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ZANZIBAR + cat.

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Qui aurait imaginé ce genre de vacance ? Personne ! Première journée et c’était déjà la guerre, les deux semaines allaient être longues... Le regard qui ne quittait plus l’horizon pour finalement finir allongé dans ce sable. De base, tu avais besoin de vacance pour te reposer et surtout souffler après ces examens et ton travail à l’hôpital. Malheureusement, ça ne commençait pas comme tu l’avais imaginé. Loin de cette idylle paradisiaque, proche des engueulades et des prises de tête. Tu fermais les yeux, ne pensant plus qu’à ta respiration et le bruit des vagues. Un moyen comme un autre pour te recentrer et faire descendre la colère, le manque… Tu avais accepté de ne rien prendre et ne rien consommer le temps de ces vacances, et finalement, elle ne t’aidait en rien, bien au contraire. Loin d’imaginer quoique ce soit au vu de la situation, tu sentais ses lèvres se déposer contre les tiennes. Sa respiration contre ta peau, tu ouvrais doucement les yeux pour la regarder, petit sourire sur tes lèvres. « Excuses acceptées » soufflais-tu doucement. Deux fois qu’elle venait à toi, deuxième baiser, c’était à toi de faire le reste. Tu t’approchas doucement d’elle, et c’est à ton tour de l’embrasser tendrement.
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Je ne savais plus trop quoi penser de la situation. De notre relation. Et par ma faute, je lassumais totalement. Envie d'éclaircir les choses, mais en même temps, trop peur de mettre un mot sur la relation. De réellement eb parler et dire où nous en sommes. Oui je ne suis pas facile. Mais j'espérais faire un bon pas en avant en lui déposant ce baiser à nouveau sur ses lèvres. A voir si cette fois ci il allait y répondre ou non. Alors que je me posais dans le sable, il m'embrassa à son tour. Je vais commencer à prendre goût à tes lèvres... Je souris à mes paroles et cachais min visage dans son cou.
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Il était temps d’avancer et de laisser le reste derrière. Peut-être qu’il ne se passera jamais rien, juste profiter durant ces vacances. Au retour de Boston, elle reprendrait sa vie classique, peut-être dans les bras de Mason. Mais là, elle était ici, avec toi, sur cette magnifique plage devant un beau couché de soleil. Le temps passait si vite, la fatigue commençait à se faire ressentir avec ce décalage horaire. Pourtant, tu restais à ses côtés, très peu habillé, car la température le permettait. Sans réfléchir plus longtemps, tu avais décidé de l’embrasser à ton tour. Ton regard posé dans le sien, tu rigolais à ces paroles. « Et ce n’est que le début! » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Sans plus attendre tu l’attrapas, te relevant, la portant et tu partais en courant vers la mer. Lui laissant juste le temps de jeter son téléphone portable et la voilà a l’eau. Totalement trempé de la tête aux pieds, tu ne savais pas comment elle allait réagir, sûrement pas de la façon que tu l’imaginais. Mais au moins, ça te faisait rire !
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Il était difficile de nous suivre. On s'en était envoyé plein la gueule et maintenant on s'embrassait sur la plage, avec un coucher de soleil en arrière plan. Mais je suppose qu'on avait tout simplement envie de profiter. Tous les deux. Et peut être se dire que tout ce qui se passait à Zanzibar restait à Zanzibar. A peine le temps de dire quoique ce soit que je me retrouvais à l'eau. Au moins il avait pensé à laisser mon téléphone. Je m'aggripais à lui, passant mes bras autour de son cou. Comment ça que le début ? Je le cherchais toujours, mais cette fois c'était plus gentil.
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Elle avait un fort caractère et tu avais le tiens aussi. En plus de ça, tu étais en mode sevrage, à la dur du jour au lendemain. Alors forcément, les nerfs étaient à vif et ça, elle ne pouvait pas forcément le comprendre. Une personne qui n’était pas accroc à ça, ne pouvait pas ressentir ne serait-ce que la moitié de ce que tu pouvais ressentir. Mais, tu te laissais aller, embrassant la jeune femme avec douceur, tu avais bien compris qu’elle avait besoin de ça. Tu avais envie de te venger un petit peu, alors tu l’avais attrapé. Laissant ton téléphone et tout le reste sur la plage, et tu l’avais lancé dans l’eau. Elle était bonne, bien loin d’être froide, tu rigolais à ta connerie. Tu l’attrapais doucement pour qu’elle se calle contre toi, le regard planté dans le sien, léger sourire sur tes lèvres. « Ensuite, tu ne pourras plus te passer de moi. » déposant de nouveau tes lèvres contre les siennes.
@Catalina Coldero
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L'eau était bonne, ayant gardé la chaleur de la journée. Ce qui était plutôt bien en ayant été jeté dans l'eau comme une malpropre. Mais il n'allait pas s'en sortir aussi facilement. M'agrippant à lui je ne comptais pas le lâcher. Quitte à atterrir sous l'eau en sa compagnie. Mes bras autour de son cou, je terminais par enrouler aussi mes jambes autour de sa taille. Tel un petit koala autour de sa maman. Qui te dit que ce n'est pas déjà le cas ? Vrai ou faux, moi même je ne saurais pas le dire. Mais être avec lui durant tous ces jours de vacances me plaisaient plutôt bien. Lui rien qu'à moi, j'adorais. Loin de sa meilleure amie. D'Aurea, ou toute autre filles. Oui, j'étais sûrement un peu jalouse.. déjà. Puis je répondis à son baiser, en y entremelant ma langue avec la sienne et échanger un baiser plus langoureux que les précédents.
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Nous étions la, tous les deux. Pas beaucoup de monde. Je ne savais pas si c'était la destination ou la période de l'année mais les touristes étaient peu nombreux et cela me convenait parfaitement. Profiter de la mer tranquillement avec Rhett. Avoir l'impression de n'être que tous les deux, et l'être vraiment ça faisait du bien. Collée a lui, je le regardais. Tu crois vraiment que je dirais ça juste pour te faire plaisir ? Au vu de notre récente dispute, j'aurais même plutôt dit le contraire juste pour lebfaire chier. Je le laissais me déposer ces baisers dans le cou, j'en souris, tentant de ne pas rire. ca fait des guillis Reussis je dire sans rire. Mes mains se dirigèrent dans ses cheveux pour approcher son visage du mien. Je suis bien ici... avec toi.
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Cette relation était particulière, il y avait beaucoup de haut et de bas, alors que vous n’étiez pas encore en couple, et ce n’était pas encore gagné. L’amour ne venait pas en un claquement de doigt, surtout avec ton passé. Mais, une chose était sûre, c’est que tu l’appréciais, tu tenais à elle. Au milieu de l’eau avec elle, une eau agréable, suffisamment chaude pour y rester sans trop bouger. Elle était contre toi, ton visage à seulement quelques centimètres du sien. Petit sourire sur tes lèvres « On ne sait jamais après tout » laissais-tu glisser entre tes lèvres, ton regard toujours planté dans le sien. Tu lui faisais quelques baisers dans le cou, la faisant se tortiller « C’est le but. » soufflais-tu, ses mains glissèrent dans tes cheveux. Tu marchais dans l’eau avec elle, histoire de bouger un peu. « Je suis bien aussi avec toi. » un léger sourire sur tes lèvres.
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Cette relation était difficile à suivre. Bien que le fait que l’on prenne aussi à cœur les choses voulaient peut-être signifier quelque chose. Le fait que l’on tient tous les deux à l’autre. J’ai du mal à l’admettre, je pense. Ou alors j’attends qu’il me le dise avant. De quoi ne pas me prendre, ce qu’on appelle un rateau. Alors, je fais mine de rien, je l’embête, je le pousse à bout, afin de voir jusqu’où il peut aller. Mais à chaque fois qu’on se fait la gueule, ça me fait du mal. Du mal de me dire que je peux le perdre. Chose que je ne veux pas. C’est tellement mieux d’être sur la même longueur d’onde, comme on pouvait l’être actuellement, dans l’eau. Mon regard dans le sien, je souris avant de venir l’embrasser de nouveau, tout en le faisant basculer en arrière pour qu’il coule dans l’eau. Ça marche à tous les coups. Les hommes sont tellement faciles.
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