(TG) AT WORLD'S END - PARTY

@Perséphone Lenoir Je pourrais presque rougir à son compliment. J'avoue que j'en ai pas mal dans la tête et que je m'estime chanceux d'être dans l'université la plus prestigieuse du monde. Mais je suis pas manuel par exemple, je ne sais rien faire de mes mains, enfin, pas grand chose. Dans la vie, y'a les mentaux et les manuels. Et parfois, je me plains de pas pouvoir faire certaines choses. Je retourne la question à Persie et l'écoute en sirotant mon verre. " j'sais pas ce qui est le plus cool, que tu fasses des vidéos ou que tu travailles dans le monde de la bouffe. " sérieux c'est mes deux passions. Youtube et manger. J'affiche une grimace quand elle me propose d'aller danser. " j'ai les pieds en compote et si je danse, je vais gerber, je suis sur. " mais par contre, j'ai une autre idée. A voir si elle est partante ou pas. " on fait un petit tour dans le jardin ? " discrètement, je lui montre la petite pochette de poudre que j'ai filé dans ma chemise. La cocaïne, ce fléau. Ce truc qui me rattrape toujours en soirée. Sauf que je m'interdis d'en prendre tout seul. Mais ici, à la Dudley House, on peut en avoir comme on veut.

Je souris un peu jaune quand il parle de mes contenus. S'il savait... je me contente de mettre en avant la restauration. " Oui, je bosse avec mon père mais un jour, je me mettrais peut-être à mon compte. " histoire de pouvoir dépendre uniquement de moi-même. la conversation nous mène à la danse, ce que je propose naturellement à Ottis. Mais il ne semble pas enclin à ça. il est fatigué... aux pieds. Car la poudre blanche, elle est clairement faite pour s'électriser. Je me pince la lèvre. " hm, d'accord. " Je viens glisser ma main dans la sienne et l'attire à l'extérieur de la maison. On s'installe sur un canapé dans un petit aménagement à l'écart des autres. Je bois une gorgée de mon verre. " Je te laisse faire ? " pour préparer le petit jeu. Je retire mes chaussures pour m'installer confortablement, un de mes pieds vient taquiner sa cuisse sans le quitter du regard.

hj: ça te dit qu'on se fasse notre propre sujet ?