escapade (nahlia)

T'es absolument tout ce que j'veux, Nahel. T'as même pas idée à quel point j'aime être en ta présence, à quel point j'voudrais que tu m'appartienne et que mon coeur tabourine à chaque instant quand j'te vois. Après tout, on se fréquente depuis si longtemps, tu m'connais mieux que personne d'autre et tu sais comment me rendre aussi heureuse. La preuve avec ce week-end loin de Boston dans ce chalet rien qu'en ta présence. Tu prends soin d'moi comme si nous formons déjà un couple, t'es aussi doux et attentionné, comment résister plus longtemps? Faudrait que t'arrêtes de lire dans mes pensées. Répondais-je en arquant les sourcils. Qu'est-ce que tu m'as manqué, Nahel. Toi et tous ces souvenirs qui n'sont que passé. Maintenant on peut créer des souvenirs plus récents et qui nous marqueront à jamais. Créer sûrement un avenir, un nous, maybe? Tout ce que j'sais, c'est que j'me sens si bien avec toi. Tu me fais sentir la femme la plus belle et importante du monde. Un monde qui n'est plus sans toi. J'ferais vraiment tout pour qu'on reste ensemble quoiqu'il advienne. J'ai envie d'te faire comprendre que tu fais pas partie de mon monde, parce que t'es mon monde. Mes lèvres scellées aux tiennes, nos langues se rencontrent dans une danse passionnée, une danse qui fait battre mon coeur plus qu'à l'accoutumée. Des papillons dans mon ventre, des étoiles dans les yeux clos qui profitent de l'instant présent. Près de la cheminée, mon corps pressé au tien, moment romantique et agréable tandis que mes mains glissent sous ton haut, caressant ton torse.
 

tu eus un sourire aux lèvres à ses mots, ton regard tourné sur elle. « c’est pas de ma faute, je lis en toi comme dans un livre ouvert » dis-tu d’un sourire au coin. La suite, tu laissas les choses se faire et tu en viens à déposer tes lèvres sur les siennes. Ce n’était pas la première fois que tu embrassais Rosalia, mais ça faisait un moment que vos lèvres ne se sont pas retrouvé. Ses mains baladeuses viennent passer sous ton haut, te laissant un sourire sur les lèvres. « je viens à peine de m’habiller et tu veux déjà me déshabiller coquine » dis-tu d’un sourire au coin des lèvres. Tu remis correctement ses cheveux en place derrière son oreille, caressant sa mâchoire du bout des doigts par la suite.