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but when you think too hard eventually it starts to hurt (Jilace)

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parking d'Harvard
@Jace Brekker vendredi 23 septembre, 17:00pm

ça se voit qu'on est triste tout les deux. et je trouve ça horrible. parce qu'en cinq années on a partagé des tas de choses et même si on s'est déjà vu dans ces états mais pas à cause de l'autre. j'aime pas me dire que je t'ai fais de la peine ou que je t'ai mis dans une situation délicate. parce que mes sentiment pour toi, ils sont nés de tout nos moments de joie et de complicités, ils sont pas à but destructeur. cette histoire elle a tout chamboulé, tout retourné sur son chemin. je me dis que j'aurais dû me retenir de te dévoiler ce que je pensais mais ça commençait à me bouffer et j'aurais voulu que ce soit réciproque surtout. parce que je me dis qu'on aurait pu être tellement puissant et bien ensemble. un idée qui s'efface dans mon esprit, laissant un gout amer à la situation. « j'comprends, pas de soucis » j'ai pas envie de m'attarder là dessus parce que vos histoires ne me concerne pas. même si c'était une dispute à cause de moi, la manière dont vous devez recoller les choses, je ne veux pas avoir de rôle à jouer. je finis par souffler que moi je m'en remet pas vraiment. parce que c'est vrai. je pense à toi trop souvent, je vais encore boire les week-end avec mes amis pour essayer d'oublier ton sourire et ta voix. et là je me retrouve confronté à tout ça. putain Jace cette sensation qui me tiraille les organes elle est horrible. « c'est plus facile à dire qu'à faire » parce que toi tu sais peut-être pas mais sache que quand on aime et qu'on doit tirer un trait sur la personne, c'est pas évident.
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parking de la fac ; 17h / vend. 22/09/22
; @Jill Rothschild
t'aimes pas forcement ce que vous êtes devenus. t'aimes pas tout ce qui s'est passé entre vous depuis quelques semaines. d'habitude, vous êtes la bouffée d'oxygène de l'un et de l'autre. là, t'as plus l'impression de manquer d'air. t'arrives pas à t'exprimer comme tu le voudrais, t'es sur la retenue, t'es pas bien. et jamais t'avais ressenti ça avant ce soir. jamais t'avais ressenti ça avec personne d'autre auparavant. ça te fais mal de la voir. parce que tu sais que ça sera plus jamais comme avant entre vous. vous vous êtes fait trop de mal. indirectement. sans le vouloir évidemment ― ouais. enfin... crois pas que j'le vis bien de mon côté. que tu lâches doucement, ton regard se posant sur elle. vous avez l'air bien cons à vos volants tous les deux, à vous parler par les fenêtres. et ça se lit dans tes yeux à quel point ça te brises le coeur cet éloignement. puis t'hausses les épaules ― j'suis le genre à toujours penser aux bons côtés des choses. toujours positiver. sauf que là... j'arrive pas à trouver l'avantage de m'être éloigné de toi. ça m'fait plus mal qu'autre chose. j'me suis dis qu'avec le temps ça allait passer, mais.. t'es là et.. j'me rends compte que ça va être compliqué. ouais au final, t'arrives jamais à mentir bien longtemps.
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@Jace Brekker vendredi 23 septembre, 17:00pm

ça me brise le coeur cette situation. et pire encore j'ai l'impression d'être dans un cul de sac. je sais pas quoi faire, je sais plus quoi faire pour arranger les choses. parce que bien sur que moi je suis encore prête à le faire mais toi ? j'ai jamais envoyé de messages parce que je voulais te laisser respirer, je voulais pas t'étouffer que ce soit avec ma personne ou avec mes sentiments. alors je t'ai laissé décidé et ta décision elle m'a fait un mal de chien. mais je l'ai respecté. mais là c'est trop. trop compliqué à gérer. et ce que tu me dis, ça m'achève. parce que le son de ta voix ajouté à ce que tu me dis.. alors toi aussi t'as du mal à être sans moi ? je te manque ? parce que si c'est le cas t'imagine même pas comme j'ai rêvé t'entendre le dire. sans rien dire de plus, je me contorsionne pour sortir côté passager, je fais le tour de la voiture, je galère à ouvrir ta porte sans abimer la portière de ma voiture au passage et je me faufile à côté de toi. on avait l'air idiot à parler par fenêtre interposé. je me retourne vers toi, mes yeux qui captent les tiens. « tu me manques Jace. je vais pas passer par quatre chemins. j'aime pas être sans toi. j'ai trouvé aucun avantage à être loin de toi, ça passe pas, j'ai envie d'être avec toi » voilà c'est dit. ça me démangeais. si tu savais le nombre de fois où j'ai écrit ce message et que j'ai hésité avant de l'effacer. parce que j'avais pas le droit de briser ta décision et ton silence de cette manière. mais là, après ce que tu viens de dire, j'ai besoin de te dire tout ça.
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parking de la fac ; 17h / vend. 22/09/22
; @Jill Rothschild
et aussitôt que t'aies sorti ce que tu voulais lui dire depuis un bail, tu t'es immédiatement demandé si t'avais bien fait de le faire. pourtant, tu t'aies juste contenté de lui dire ce que tu voulais vraiment lui dire depuis des semaines. en gros, qu'elle te manquait et que c'était dur sans elle. alors ouais, tu t'arrêtes pas de vivre, parce que t'es pas comme ça, mais tu sais qu'il te manques un truc dans ta vie. les moments passés avec elle. et ces moments là étaient juste indispensables à ta vie. parce que même si tu laisses croire que tout va bien, comme tout le monde, ya des jours où ça va pas. et dès que t'étais avec elle, t'oubliais tout tes soucis. jill elle a toujours su réparer tes petits bobos. et c'est pour ça que peu importe ce qu'elle en pense, votre relation comptait pour toi. comme ton amitié avec son frère. t'écarquilles les yeux quand tu la vois se contorsionner de nouveau pour sortir de sa caisse. ouais, t'as compris qu'elle allait surement te rejoindre. et là, tu te dis que c'est pas le moment de déconner. de jouer au gosse qui a pas envie d'assumer. elle vient finalement et assez difficilement se poser à tes côtés sur le siège passager de ta caisse. ça te fais un bien fou d'entendre ça aussi et ta nervosité se fait ressentir. doigts qui viennent tapoter frénétiquement le volant, le regard qui fuit un peu, le sourire intimidé qui se dessine sur tes lèvres. puis tu viens te racler la gorge, pour venir la regarder. allez, prend sur toi. c'est vrai que son regard t'as toujours déstabiliser et pour le coup, faut dire que là c'est pire que tout ― je.. t'es trop proche d'moi là. tu détournes vite le regard, comme un gamin intimidé. gné, t'es à deux doigts d'te taper la caboche contre le volant ― mais ouais, j'aime pas non plus. j'sens qu'il me manque un truc dans ma vie quand t'es pas là. puis t'hausses les épaules ― mais j'comprends pas comment tu peux... 'fin... tu vois... autant t'intéresser à moi. j'veux dire ya pleins de gars de ton âge beaucoup plus murs et.... moins teubés quand t'es proche d'eux à parler 'sérieusement' qui te correspondraient mieux. vous êtes sur la même longueur d'onde sexuellement parlant, mais le reste..
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@Jace Brekker vendredi 23 septembre, 17:00pm

je sais pas si j'ai fait le bon choix, si c'est intelligent de ma part de bouger de ma voiture pour aller dans ta tienne. le but c'est de garder ses distances non ? alors est-ce que me retrouver dans le même habitacle que toi, à quelques centimètre c'était la meilleure des solutions ? je ne pense pas. mais je suis pas toujours responsable et je fais pas toujours les bon choix. la preuve en est. je me retrouve à tes côtés, je sens ta présence et ton odeur. il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits avant de réussir à m'exprimer. et encore je dis pas tout, je me retiens, j'ai pas envie de te faire peur. ta première réaction me pousse à reculer un peu. je veux pas envahir ton espace vitale. alors je me décale contre la porte, j'essaie de te laisser de la place. « euh.. pardon » que je lâche doucement. puis mon regard se plante dans le tien. t'as même pas idée de combien ça me fait du bien tout ce que tu dis. « il me manque aussi un truc quand t'es pas là » tout toi. « ouais y a pleins de mec de mon âge, avec un métier, mature etc. mais ils ne sont pas toi. et moi c'est toi que je veux. j'aime ton côté aventurier, j'aime ta façon de faire des trucs débiles quand t'es nerveux. j'aime cette manière que tu as de mordre tes lèvres quand t'es concentré. j'aime aussi quand tu fronces les sourcils, quand un truc te dérange. ou alors quand tu grimaces. j'aime le fait qu'avec toi, je me sens si belle et je me sens tellement vivante. c'est toi c'est tout, je contrôle pas » c'est comme ça.
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parking de la fac ; 17h / vend. 22/09/22
; @Jill Rothschild
et t'as l'air bien con quand elle se recule. tu voulais pas qu'elle le fasse vraiment, mais ta tronche d'idiot a dû lui donner envie de le faire. pauvre petit jace apeuré. du moins, impressionné, intimidé. bref. elle est beaucoup trop proche et ça ne te déranges absolument pas, au contraire. c'est juste que ça ne t'aides pas ― non non t'inquiètes.. c'est pas c'que j'voulais d... 'fin bref. tu te racles la gorge, puis poses ta tête contre l'appui tête en soupirant doucement. regard qui se pose légèrement sur elle et tu l'écoutes. parler de toi. de ce pourquoi toi et pas un autre. ça te chamboules un peu plus encore que tu ne l'étais. tu grimaces à ses paroles, ricanes quelques peu quand elle parle des trucs idiots que tu fais quand t'es nerveux ―comme suivre une mouche des yeux... ouais... j'sais. mais ce qu'elle fini par dire, ses derniers mots, c'est ta poitrine qui se sert ― oh bah.. j'suis sur qu'avec n'importe quel mec ou meuf, tu pourrais te sentir belle. j'ai pas trop d'effort à faire. je t'ai toujours vue rayonner moi. t'es toujours belle, t'as ce regard qui fait vibrer n'importe qui.. moi j'y suis pour rien dans tout ça. c'est toi qui fait tout. et tu pensais certainement pas qu'en quittant ton dernier cours ce soir, t'allais lui dire tout ça. enfermés dans ta voiture. puis tu viens, hésitant, saisir sa main tendrement pour l'amener à tes lèvres ― j'crois que c'est pas en s'disant tout ça qu'on va y arriver... sourire discret qui vient se dessiner sur ton visage. le regard brillant d'malice.
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@Jace Brekker vendredi 23 septembre, 17:00pm


on tâtonne encore, on évalue comment l'autre réagit, on essaie de voir les réactions l'un de l'autre pour savoir si on peut se dompter à nouveau ou si on doit se dire au revoir encore une fois. et bordel j'ai pas envie de ça. je suis pas prête, là dans l'habitacle de ta voiture à te dire au revoir. je suis pas prête à te voir partir tout cours en fait Jace. j'ai pas envie, j'en ai pas la force, je veux pas essuyer cette douleur encore une fois. te regarde soupirer et poser ta tête contre l'appuie tête de ton siège. t'es beau. t'es vraiment beau et c'est tellement dur d'être si proche et si loin de toi à la fois. « c'est ce que tu faisais alors ? » je rigole doucement. « j'suis même pas étonnée » parce que je peux dire que je te connais bien. parce que j'aime faire attention à tout tes petits détails. j'aime juste faire attention à toi. « arrête avec ça » à mon tour de soupirer et de poser ma tête contre l'appuie tête de mon siège. « je m'en fous des autres. oui je peux aussi me sentir belle dans le regard des autres mais c'est dans le reflet de tes yeux que c'est le plus important. je contrôle pas Jace, c'est.. c'est juste toi que je veux et c'est tout. » j'ai baissé la voix à la fin de ma phrase. « j'aime toutes tes petites manies, j'aime tes incertitudes, j'aime des peurs, j'aime tes défauts, je sais pas.. c'est comme ça » je plante mes yeux à nouveau dans les tiens. je sais pas quoi te dire de plus, juste que tu fais battre mon coeur un peu plus fort que les autres. le contact de ta peau contre la mienne me fais frissonner. c'est tellement bon quand tes lèvres touchent ma main que je ferme les yeux quelques secondes, juste pour m'imprégnier de la sensation, avant de capturer l'instant avec mes yeux. « je crois pas. de toute manière j'ai pas envie d'y arriver.. » je tends l'autre main et je viens caresser ta joue, puis de mon pouce ta lèvre avant de te sourire sincèrement et passer ma main sur mon visage.
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parking de la fac ; 17h / vend. 22/09/22
; @Jill Rothschild
la situation est loin de s'arranger si tu te comportes comme ça avec elle. c'est pas en faisant tout ça, en lui disant ces choses qu'elle cessera de penser à toi ou d'imaginer que vous deux, il puisse y avoir un avenir. parce que toi même t'en sais rien. t'es pas le genre stable et elle, elle a peut-être besoin de ça finalement. parce qu'elle est vieille et qu'elle a besoin de se marier et de faire des gosses. ouais, tout toi de penser ça. et t'es pas prêt à lui offrir tout ça. c'est ça qui te fais peur. grimaces en acquiesçant ― ouais. je préférais me concentrer sur un truc pour éviter de te regarder et de.. d'avoir l'air idiot. mais gros fail. et lorsqu'elle énumère tout ce qu'elle aime chez toi, c'est la poitrine qui te sers encore un peu plus. ouais non clairement, ça va pas t'aider tout ça. long soupires qui s'échappe de tes lèvres, sa main que tu viens porter à tes lèvres tout en levant lentement ton regard vers elle. le moment qui se fait de plus en plus intime. et comment te sortir de tout ça ? t'en sais rien, t'as aucune envie de briser cet instant, alors que t'as qu'une envie c'est de l'embrasser. d'habitude, c'est pas ce qui te retiens, mais disons que maintenant t'essayes d'être un peu plus sérieux et réfléchi quant à tes actions. t'as aucune envie de lui briser le coeur, c'est très loin d'être ton but. main qui vient caresser sa joue, tandis que tu ne la lâches pas du regard. puis tes doigts viennent jouer avec une mèche de ses cheveux ― et toutes ces semaines où j'essayais de m détacher de toutes ces pensées liées à toi... foutues en l'air. perte de temps voilà. tu viens te mordiller la lèvre, tandis que l'smile est toujours braqué sur tes lèvres ― et là, j'vais m'avancer pour t'embrasser. faudrait que tu me repousses, ça aiderait, s'te plait. que tu lâches tout en avançant ton visage vers le creux de son cou. ce parfum.... tu l'avais pas oublié.
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@Jace Brekker vendredi 23 septembre, 17:00pm

je sais bien qu'au fond on tourne autour du pot. je sais bien qu'au fond ce qu'on est en train de faire ça n'arrangera rien les choses. le problème est toujours là, je veux quelque chose que t'es sûrement pas capable de m'offrir et tu veux de moi quelque chose dont j'ai peut-être moins envie, j'en sais rien. alors est-ce que simplement se laisser porter par nos émotions c'est une bonne idée ? surement pas. est-ce que je le fais parce que quand je suis avec toi je me gère pas du tout ? oui. définitivement oui. « t'es mignon quand t'as l'air idiot » que je te lance en souriant. je crois que je t'ai vu dans pas mal de situation. saoulé, triste, nerveux, heureux, excité. une palette de sentiments que j'ai pu observer, parfois calmer, parfois alimenter. voilà ce qui fait que je suis tombée amoureuse de toi Jace. c'est que quand t'es avec moi tu joues pas, t'es toi et j'aime l'homme que je vois, c'est aussi simple que ça. tu me dis que tu penses que j'ai besoin de quelqu'un de sérieux, mais regarde nous là. on est pas sérieux ? à avoir une discussion posée, à mettre des mots sur des ressenties. tu sais être sérieux quand tu le veux et j'ai pas besoin que tu le sois tout le temps. avec le boulot que je fais, j'ai besoin de fun et de folie quand je rentre du bureau, pas d'un père de famille en costard qui me parle de l'éducation de deux morveux et d'un week-end dans les alpes avec la belle famille. bordel non. ta main qui remet en place une mèche de mes cheveux. ma poitrine qui se soulève de plus en plus profondément pour gérer cette vague d'oxygène qui m'envahi. « j'ai donc trouvé un domaine où t'es nul, m'oublier » je ris doucement, mes iris qui captent les tiennes sans jamais vouloir les lâcher. j'ai plus envie de voir ton visage uniquement que dans mes souvenirs. « ok alors .. » ton visage qui s'approche dangereusement du creux de mon cou. « oh non pitié Jace s'il te plait ne m'embrasse pas » que je dis ça avec la voix d'une actrice extrêmement mauvaise. aucun effort de fait. je souris et je viens tourner la tête dans ta direction, tes lèvres à quelques centimètres des miennes. « embrasse moi » que je te chuchote.
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; @Jill Rothschild
tu te sens tellement ridicule quand t'es comme ça. pourtant, t'es pas le genre à faire semblant. t'arrives pas à jouer un rôle. complètement perdu le gosse. t'essayes de te sauver de la noyade, mais tu t'enfonces à chaque fois davantage. elle te connait, elle sait comment t'es, c'est pas comme ci elle te connaissait pas pour le coup. c'est même pire parce qu'avec elle, tu peux pas tricher. et t'acquiesces, grimaçant légèrement. en effet, t'es nul pour l'oublier. ― en même temps, nous deux, ça date pas d'hier. une relation comme la notre, ça s'oublie pas comme ça. et jill, c'est pas une meuf qu'on oublie facilement. tous les moments passés avec elle, tu t'en souviens encore comme ci tu venais de les vivre tellement ils t'ont marqués. et en l'espace d'un instant, t'as envie d'oublier toutes ces dernières semaines. juste mettre tout ça de côté et de profiter de l'instant. elle est à tes côtés et tu meurs d'envie de l'embrasser. ta main vient doucement saisir son poignet, t'approchant un peu plus d'elle. éclates de rire à sa réaction tellement mal jouée, puis quand elle reprend son sérieux, que ses lèvres n'attendent que les tiennes, tu ne les fais pas plus attendre et viens l'embrasser tendrement quelques instants. puis ta main vient s'poser sur sa cuisse tandis que vos lèvres se séparent ― ces lèvres m'avaient manqué. que tu chuchotes tendrement, sourire espiègle aux lèvres.
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