but when you think too hard eventually it starts to hurt (Jilace)

parking d'Harvard

@Jace Brekker — vendredi 23 septembre, 17:00pm

fin de ma journée, j'ai terminé de donner mon cours de théorie criminologique. dernière heure de la journée et même de la semaine, qu'on soit au lycée ou en école supérieur, les étudiants sont toujours plus dissipés et moins concentrés. je donne mon cours jusqu'au bout et fini par les libérer. j'emballe mon pc et mes fiches avant de souhaiter un bon week-end aux derniers retardataires et je quitte plutôt joyeusement les lieux. je suis pressée de rentrer chez moi pour ma soirée pizza/vin rouge et film en tête à tête avec moi même. en espérant que personne du clan Rothschild n'ai besoin de moi et que Jasper ou Camille n'insiste pas pour qu'on aille boire un verre dans un bar.. je sais que je ne saurais dire non. une fois à ma voiture, je pose tout sur le siège passager et quand je vais pour me diriger vers la portière conducteur, je me rends compte que je suis beaucoup trop proche de celle d'à côté. « putain c'est pas vrai » que je jure en plein milieu du parking. je vais réellement devoir me contorsionner côté passager pour accéder à mon volant ? à ce moment là, je n'ai même pas fait attention à la voiture garé à me gauche, à aucun moment je ne remarque que c'est la tienne et que tu pourrais débarquer à tout moment..

parking de la fac ; 17h / vend. 22/09/22

; @Jill Rothschild
tu sais pas comment t'as survécu à cette journée et encore moins à cette semaine. vendredi enfin. un des deux meilleurs jours de la semaine. t'es éreinté, vraiment. heureusement pour toi, ce soir tu sors pas. d'ailleurs tu comptais accepter aucune invitation à aller boire des coups ou quoi. non, tu comptes juste rester dans ta chambre à la adams avec rainer, à le regarder jouer aux jeux vidéos. non pas que tu sois un grand fan de ça, mais regarder les autres ça t'gènes pas. t'as juste à aller faire quelques courses pour cette soirée chill, rien de plus. et quand t'arrives sur le parking, t'aperçois que ta caisse est beaucoup trop proche de celle d'à côté. d'ailleurs, tu captes rapidement que la conductrice galère de fou à rentrer dedans. mains dans les poches, trainant des pieds, tu fronces les sourcils en la voyant galérer à rentrer. et plus tu t'approches, plus tu reconnais la caisse. merde. c'est celle de jill. et évidemment, c'est elle. qui des deux s'est garer proche de l'autre ? on s'demande. mais là n'est pas la question, c'est juste que... fallait que ça tombe sur elle. et ce que tu vas faire, c'est ce que tu fais depuis.. quelques semaines déjà. l'ignorer. même si pour le coup, c'était plus simple avant vu que vous ne vous croisiez plus. la poitrine qui se sert au fur et à mesure que tu t'approches de ta voiture, et donc d'elle par la même occasion. et tu la reconnais bien trop vite. tu la reconnaitrais parmi tant d'autres filles. mais bref. tu rentres rapidement dans ta caisse. mains qui se posent sur le volant, puis alors que t'allais démarreur le moteur, ton retard se tourne vers elle. t'as essayé de résister, ne pas la regarder, ne pas attirer son attention de quelque manière qui soit. trop tard. elle se met en place, enfin à son volant et vos regards se croisent. c'est le malaise le plus total. mâchoires qui se crispent, parce que tu sais pas trop comment réagir. t'as honte quelque part de l'avoir ignorée comme ça. mais t'es le genre à fuire les problèmes. votre relation en a engendré quelques uns. du coup, t'as fuis. aussi simple que ça. mais l'avoir à quelques centimètres de toi, c'est remuer beaucoup trop de choses douloureuses comme agréables. un mélange de sentiments, d'émotion... tu n'sais comment l'expliquer. et parce que t'es loin d'être un méchant, et elle loin d'être une fille qui ne compte pas, tu lèves rapidement et maladroitement la main pour lui faire signe, sourire léger aux lèvres. tu baisses la vitre côté passager finalement, attendant qu'elle fasse de même. et si elle s'barre, ce sera la honte complet.

parking d'Harvard

@Jace Brekker — vendredi 23 septembre, 17:00pm

le dilemme qui s'annonce. est-ce que je raye la caisse à côté de moi pour entrer dans ma voiture. ou est-ce que je me contorsionne en rentrant par le siège passager pour faire la gymnaste et arriver au volant ? je réfléchis quelques secondes et je fini par abdiquer. allez, ça va me faire faire des exercices, c'est pas plus mal. j'ouvre la portière et je me faufile tant bien que mal jusque derrière le volant. presque décoiffé, je descends le pare-soleil pour me regarder dans le miroir, remettre mes cheveux en ordre, vérifier mon maquillage et ... j'ai la sensation d'être observée. pas du tout agréable quand on est une femme seule dans un parking un peu obscure. je tourne la tête à gauche et là mon coeur loupe un battement. putain non, pas ça. des semaines que je n'ai pas de nouvelles de toi, des semaines que je me fais violence pour n'en demander à personne, des semaines que je pense à toi en me disant que je suis vraiment qu'une pauvre conne. une femme de 35 ans avec la maturité sentimentale d'une ado de 16 ans quand il s'agit de toi. t'as ramollit mon coeur, tu m'as donné la sensation d'être vivante et maintenant que t'es plus dans mon quotidien, j'ai parfois l'impression d'accuser une rupture. je suis pathétique. autant que mon palpitant qui se serre à ton regard, à ton sourire. j'avale difficilement ma salive. j'ai envie de m'enfuir, j'ai envie de crier, peut-être même un peu de pleurer. allez Jill reprends toi. je me racle la gorge, j'essaie de faire bonne figure et je baisse doucement la vitre de ma fenêtre. « salut » que je lâche, la gorge serrée. ça me fait mal Jace, ça me fait un putain de mal de chien de te voir. je sais pas si j'aurais pas préféré qu'on se recroise plus, plutôt que de devoir supporter mon coeur qui s'emballe à ta vue. « tu vas bien ? » les banalités entre nous, c'est tout ce que je déteste putain.

parking de la fac ; 17h / vend. 22/09/22

; @Jill Rothschild
t'as l'air tellement débile avec ton sourire concon scotché aux lèvres. le sourire le plus maladroit que t'aies jamais fais. elle t'as prise au dépourvu jill là. bon en même temps, elle est là elle aussi par le plus grand des hasards. après des mois sans vous croiser, elle pensait surement pas te trouver collé à sa voiture. et pourquoi baisser cette fenêtre comme ci tout était ok ? non parce que ya rien qui est ok là et ça se ressent dans tes gestes. tout était devenu si compliqué entre vous d'un coup. t'aurais préféré qu'elle garde ses sentiments pour elle. que ce soit pour toi ou même pour le reste. t'as même envie, l'espace d'un instant, qu'elle t'fasses un fuck et qu'elle se barre. mais non, elle baisse sa vitre, et se met à te faire la conversation. en même temps, ça aurait été gênant, que vous vous regardiez sans rien vous dire. héhé. ― salut. sourire pincé, mais sincère. t'es vraiment pas à l'aise. doigts qui se resserrent autour du volant, t'hausses les épaules, fuyant quelques fois son regard ― euh, bah disons que... les études et moi quoi... ricanes doucement en venant la regarder de nouveau. et tu ne peux nier que le bleu de ses yeux t'avais manqué. ça suffit pour te déstabiliser d'un seul coup. tu viens te racler la gorge, puis reportes ton regard sur ton barre brise. oh une mouche. allez, on va fixer la mouche, si tu quittes la mouche du regard avant la fin de votre conversation, tu ne sors plus ni ne bois plus d'alcool jusqu'à la fin de l'année. on croit en toi jace. c'est c'que tu te répètes dans ta tête. ― et toi ? et t'as l'air con à regarder cette mouche. c'est pas super poli brekker ça. regard qui s'écarquilles quand la mouche quitte le barre brise pour prendre la poudre d'escampette ― mais noooon. que tu dis tout en la voyant s'envoler. t'as perdu ton point de repère. et voilà, tu recroises de nouveau son regard. et t'as l'air encore con ― chiantes ces mouches... héhé on touche le fond.

parking d'Harvard

@Jace Brekker — vendredi 23 septembre, 17:00pm


mais qu'est-ce que tu peux être conne ma pauvre.. mais qu'est-ce que t'es la reine des idiotes aux pays des grosses tanches. pourquoi je te demande si tu vas bien hein ? tu peux me l'explique ? pourquoi me soucier de savoir si tout va bien dans ta vie alors que je n'y suis plus, alors que j'ai l'impression d'avoir été dégagé ou alors j'ai choisi de m'en extirper et que ça me fait un mal de chien. pourquoi je me suis sentie obligée de te poser cette question débile qu'on pose toujours en société alors que les 3/4 tu temps on s'en branle de la réponse ! parce que tu crois qu'il va te dire "ah bah je dors plus et je mange plus depuis que toi et moi c'est terminé Jill, j'ai besoin de toi, t'es mon oxygène, je t'aime.." PAUVRE CONNE ! putain mais c'est fou d'être aussi bête à 35 ans. on dirait que j'ai rien vécu. mes mains sur mes genoux, je les tripatouille dans tout les sens. si tu me voyais Jace, tu te foutrais sans doute de ma gueule. moi la Rothschild qui a toujours l'air de savoir quoi faire, je suis complètement perdue devant toi. « ouais je vois. j'espère que ça va aller » j'espère que nia nia nia. j'ai envie de me mettre une baffe.. j'essaie de te regarder droit dans les yeux parce que c'est le seul truc qui me fait pas paniquer, étrangement. la nana monté à l'envers quoi. pourtant le pourrais m'y perdre dans ton regard. comme quand je plongeais dedans sans aucune peur et que je pouvais lier tes lèvres aux miennes. « rien de nouveau. le boulot, les cours à Harvard tout ça quoi » palpitante ma vie hein ? oh t'as peut être bien fait d'arrêter de me fréquenter, une trentenaire qui bosse c'est pas palpitant. je te vois tripper sur ton pare brise et je me dis que je dois être vraiment chiante à te retenir avec mes banalités. du coup je vais pour te dire au revoir que tu t'excites sur une mouche. wtf. je me penche un peu pour mieux voir dans ta voiture. « euh tout va bien ? » t'as prit un truc ou t'es le Jace qui réagit bizarrement quand il est gêné ?

parking de la fac ; 17h / vend. 22/09/22

; @Jill Rothschild
t'es à deux doigts d'chialer ta race à la voir partir cette mouche. putain c'est quoi son problème ? tu te rappelles pas avoir fait du mal à une mouche un jour alors pourquoi quand t'as besoin d'elle, elle se barre comme ça ? ouais elle doit surement penser que t'as pris un truc chelou. pourtant non. c'est juste le simple fait d'sa présence non loin de toi qui te rends complètement débile à souhait. hausses les épaules, tout en restant focus sur le pare brise alors qu'elle se penche un peu pour essayer de capter c'qui se passe parce que clairement, t'as l'air complètement perché là ― une mouche. puis tu déglutis difficilement, te rendant compte que là, ça craint un max. puis tu la regardes en crispant les mâchoires ― juste je... c'est pas comme ci vous vous connaissiez pas tous les deux. quand t'es comme ça, c'est juste que t'es défoncé à mort. là, rien à voir ― ça m'fait... c'est bizarre. grimaces légèrement, puis te racles la gorge ― t-ton frère va bien ? ça aussi c'est la merde. t'être brouillé avec ton meilleur pote, c'est vraiment la loose. alors ouais, t'es sur que vous deux ça reviendra. c'est certain. mais l'histoire derrière cette embrouille, c'est un peu la raison du fait que tu t'es éloigné d'elle. tu lui en a voulu à jill indirectement. en réalité, c'est pas de sa faute. elle a juste avouée ses sentiments au mauvais moment. vous vous étiez juste revus une fois après le summer camp. et après plus rien. plus après que vous vous soyez 'embrouillés' avec sim.

parking d'Harvard

@Jace Brekker — vendredi 23 septembre, 17:00pm

je me sens traversée par tellement d'émotions en même temps. je suis contente de te voir, de voir que tu vas bien, que tu viens toujours en cours et que ça a l'air d'aller pour toi. je suis surprise de te retrouver après cette absence. je suis gênée aussi, de te revoir alors que ça fait des semaines ou même plus que je n'ai aucune nouvelle. j'en donne pas non plus tu me diras. j'ai juste essayé de contenir le peu d'amour propre qui me restait et de garder ma dignité. on ressent pas la même chose l'un pour l'autre. alors j'ai pas envie de me donner en spectacle à te demander quelque chose que t'as clairement pas envie de me donner. je suis triste aussi de voir comme tout s'est précipité, comme tout s'est compliqué et de voir les étrangers qu'on est devenu alors qu'on était si proche. t'étais un de ceux qui me connaissait le mieux que ce soit ma personne ou mon corps. je t'entends parler d'une mouche et je souris doucement. t'es stressé. je le vois. je te connais par coeur, t'as tendance à te parler dans ta tête et de faire des trucs insensé quand t'es nerveux. je trouvais ça adorable et je dois malheureusement avouer que c'est toujours le cas. t'es toujours aussi beau Jace, et ça devient compliquer de te regarder quand je te parle. mais j'essaie, je tiens bon. « ça me fait bizarre aussi de te voir Jace » je m'en doutais pourtant que ça finirait pas arriver. « je suis désolée de la manière dont ça s'est terminé » notre truc là, je sais pas trop comment on peut appeler là. je me mords la lèvre de nervosité et inspire un grand coup. « sim va bien. enfin comme on pourrait aller sans son meilleure ami » je voulais pas me mettre entre vous, j'ai jamais voulu gâcher votre relation. voilà pourquoi j'aimerais que vous vous réconciliez, je m'efface de toute manière.

parking de la fac ; 17h / vend. 22/09/22

; @Jill Rothschild
lèvres pincées, tu grimaces quand elle te dit que ça lui fais bizarre à elle également. biensur. si ses sentiments sont toujours là, c'est certain que ça doit être bizarre. ça lui fait surement mal  aussi. t'en sais rien. toi tu sais que si tu serais à sa place... bref, t'arrives clairement à te mettre à sa place. t'as jamais nié que tu ressentais rien pour elle. sinon, t'aurais jamais pris la peine de rester dans cette relation qu'était la votre pendant des années. savoir que tu risquerais de te mettre à dos sa soeur et son frère, qui sont tes meilleurs potes. bref. tu lui as surement jamais dis, mais rien que ce que vous faisiez tous les deux, ça suffisait pour qu'elle sache à quel point elle était importante pour toi. tu déglutis difficilement, puis acquiesces d'un signe de tête ― pas autant qu'moi... mais c'est la vie hein ? t'as perdu beaucoup dans l'histoire, mais c'est comme ça. ça devait bien arriver un jour. t'aurais plus parié sur une fin pour sim et toi, qu'une fin pour jill et toi ― ouais.. comme moi quoi. faut pas croire que je sois le seul à l'avoir cherché. sim n'est pas tout blanc et toi t'as pardonné direct. lui, il t'a fait comprendre, qu'entre jill et toi, c'est toi qui avait déconné. et ça, t'as pas trop encaissé. et indirectement, t'en a voulu à jill ― j'crois qu'il s'en remettra de toute manière.. puis tu viens à la regarder enfin un peu plus intensément ― comme nous on s'en remet quoi.. ouais on essaye en tout cas.

parking d'Harvard

@Jace Brekker — vendredi 23 septembre, 17:00pm


je déteste cette situation Jace. moi je voulais qu'on continue à passer des soirées ensemble, je voulais qu'on aille au restaurant, qu'on se dévore du regard tout le temps du repas et qu'on finisse par exploser l'un contre l'autre à l'arrière du bâtiment. que tu viennes dormir chez moi et qu'on regarde des films ensemble en mangeant ta pizza préféré. je voulais qu'on aille en boite, que tu dises à tes potes que tu paries 200$ si t'arrives à gérer la petite brune aux yeux bleus de la table à côté et qu'ils voient flou quand tu m'embrasserais si facilement. je préférerais qu'on soit en train de faire ça à l'arrière de ma voiture plutôt que de se regarder comme deux idiots. je crois que la colère a laissé place à la tristesse et la nostalgie. je t'en voulais d'avoir couché avec Astra alors qu'on le faisait tout les deux. je me suis dis que je devais pas être assez, que je devais pas être aussi bien que ma soeur pour que t'aies besoin d'aller en chercher une autre dans le clan Rothschild. et le simple fait d'imaginer qu'après t'avoir avoué mes sentiments, t'aies continué à la voir ça me fou les larmes aux yeux. qui a dit que l'amour c'était beau et délicieux ? je moi je trouve ça horrible en réalité. « je sais pas tout ce qu'il s'est passé entre vous et je veux pas le savoir. ça me regarde pas. sache juste que même s'il fait le fier, tu lu manque » le reste c'est entre vous. j'en ai marre de jouer les mères et de protéger tout le monde quand moi, je souffre de mon côté. « ouais enfin moi je m'en remets pas vraiment » que j'avais souffler en déviant mon regard du tien pour fixer mes doigts qui se tordaient dans tout les sens. je sens ma respiration qui recommence à s'emballer, ma poitrine qui se soulève difficilement. je sais pas quoi faire là, bouffé entre l'envie de passer du côté passager de ta voiture et celui d'essayer de te dire au revoir, pour de bon.

parking de la fac ; 17h / vend. 22/09/22

; @Jill Rothschild
c'est rare qu'on te voit dans cet état. d'habitude, t'as toujours le smile aux lèvres, toujours décontracté, pas forcement sur de toi, mais toujours à l'aise et ça se ressent dans ta manière de faire. là, tu sais pas comment réagir face à elle. ya comme un malaise qui s'est installé. et jamais ça ne t'étais arrivé auparavant avec elle. surement parce que tu dois ne pas te montrer tel que tu es en ce moment. t'as beau essayer de t'occuper l'esprit dès que tu te mets à penser à elle, à ce qu'était votre relation avant tout l'bordel, c'est dur là de le faire alors qu'elle se tient physiquement à quelques centimètres de toi. et toi, dès que tu te sens décontenancé, ça se remarque. t'as beau vouloir faire semblant, t'y arrives pas. et t'as pas envie de raviver l'histoire entre sim et toi non plus, alors tu te contentes juste d'hausser les épaules ― ouais ouais, bah j'note. j'ai pas trop le temps en ce moment donc.. l'excuse est un peu pourrie, mais bref. c'pas le moment pour le coup. et si quand ton moment sera venu, que tu viendras le voir et que tu te mangeras un vent, tu verras à ce moment là quoi faire. sim il a surement plus de fierté que toi. toi c'est juste que ya trop de trucs qui se passe dans ta tête. t'as besoin d'être serein pour faire ce genre d'approche. et tu l'es pas encore totalement. et quand elle te confies qu'elle s'en remet pas vraiment, tu grimaces légèrement en détournant le regard. au moins, elle, elle est honnête ― ouais mais.. tu t'en remettras forcement. putain pourquoi il a fallu que vous vous croisiez ? pourquoi maintenant ? c'est encore trop tôt. beaucoup trop tôt.