Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityle fléau de mon existence (estyne) - Page 3
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le fléau de mon existence (estyne)

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Posée dans le canapé, tu me rejoins sans traîner. Après tout, j’ai pris l’initiative d’aller dans le salon alors que c’est chez toi. Je préférais juste être assise, sait-on jamais comment la discussion peut tourner avec nos caractères aussi drôle soit-il, mais aussi un peu plus impulsif de ton côté. Quelques secondes, on parle de ces messages qui ont blessés, qui m’ont mise dans un état second, des mots forts qui ont été peut-être sur le coup de la colère. On efface pas des mots comme ça, cependant, on peut tenter de les atténuer. Et c’est ce que j’espère ce soir au plus profond. Alors je commence, je parle, j’ouvre mon cœur. Maladroitement, je n’ai jamais fait ça, je ne suis même pas sûr de m’y prendre comme il faut. Surtout que tu connais la vie à deux, la vie de couple, tu es passé par là. Un soupire de soulagement s’échappe après mon monologue à tes mots. Je tiens à toi, également. la tachycardie se fait ressentir, ma tête appuyant sur ta main qui passe sur mon visage. « C’est plaisant de l’entendre de vive voix.» Le rire léger et sincère, jusque là, on s’était dit les choses par messages. Les entendre c’est autre chose. T’écoutant, la tête répondant positivement à tes mots. J’aspire tout de même à ce que ça soit le seul été que je passe comme ça. Non pas que ce n’était pas sympathique comme été, il s’éloigne juste un peu de celle que je suis tous les jours. Et à cet fin d’été, j’aime penser que c’est toi qui me ramène à moi-même. « Je le pense.» Maintenant ton regard, à mon tour de me rapprocher de toi pour me mettre entre tes bras à moitié assise sur toi, les jambes dans le canapé. La grande enfant que je suis à besoin de ça, de ce contact, de cette réassurance aussi bien dans les mots que dans le confort de tes bras. « Je suis encore novice dans le domaine, j’espère que tu es patient.» que je rigole. Des choses à apprendre, il va y en avoir, tout comme des compromis, sûrement des mises à niveau à faire. Puis apprendre à conjuguer avec ta vie de père aussi. Nous connaissant, j’imagine qu’on arrivera à faire tout cela avec notre bonne humeur qui nous caractérise. J’ai envie d’y croire et que te laisser une chance d’entrer dans ma vie. « Tu penses que Tillie dort à poing fermé là ?» Une phrase pleine de sous-entendu, d'ailleurs, tu peux le voir à mon sourire. Et en même temps, cela peut aussi bien dire qu’on peut se regarder un film, ou qu’on profite comme deux adultes.
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C’était le flou, depuis la première fois que tu l’avais réellement rencontré. Cette étrange relation que tu avais entretenu avec elle, de l’amitié, mais avec un petit plus, sans même passer par la case : sexualité. Cette relation qui s’était atténue pendant le Summer camp, quand tu avais décidé de reprendre un avion pour retourner près de ta fille et famille. Finalement, la conversation avait repris quelques temps après, laissant quelque chose de plus fort s’installer, mais également destructeur. Deux caractères différents, mais tellement forts que parfois, il n’était pas possible de se comprendre. La discussion devenait stérile, les deux s’agaçaient et signait la fin. Ton voyage en Espagne t’avait fait le plus grand bien, comme pour ta princesse. Et c’est cette distance qui t’avait permis de comprendre ce que tu pouvais ressentir. Bien plus qu’une simple amitié, tu en voulais certainement un peu plus, mais peut-être, qu’elle n’était pas prête à te donner ça. Après tout, toi, tu connaissais le monde de l’amour, tu l’avais déjà vécu durant des longues années. Ce n’était pas forcément les plus belles de ta vie, mais disons que tu savais ce que ça donnait, les concessions qu’il fallait parfois faire pour y arriver. Ton regard s’était posé sur cette jeune femme, qui se trouvait face à toi. Ta main glissait sur son doux visage, écoutant ses paroles et répondant par la même occasion. Tu l’appréciais, tu tenais à elle, dire le contraire serait mentir. « Ça ne se voyait pas assez ? » laissais-tu glisser entre tes lèvres, léger sourire sur celles-ci. Tu la laissais prendre la place et la position qu’elle voulait près de toi, jouant un instant avec ses cheveux. Tu comprenais pourquoi Tillie était aussi attiré par les cheveux, c’était relaxant de jouer avec. Tu rigoles légèrement à ses paroles « Je vais tenter d’être patient, tu sais que ce n’est pas mon fort. Mais pour ça, je le ferais. » tu le pensais, tu lui laisserais le temps qu’il lui faudrait. Tu n’étais pas là pour la brusquer et finalement, détruire la relation qui commençait à se faire. Ton regard se pose de nouveau sur elle, rigolant à ses paroles. « D’ici peu de temps, elle dormira à poing fermé, c’est certaine. » ta fille ne mettait jamais trop longtemps à trouver le sommeil, elle tenait de toi pour ça.
@Maxyne C. Lurton
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« Je suis comme une enfant, j’ai souvent besoin d’être rassurée.» Un fait réel, une constatation. Tout ce qu’il se passe est nouveau, risquant peut-être de perdre pied par moment. Le problème quand on a fuit l’idée même de s’attacher à quelqu’un pendant près de vingt-cinq ans. Le seul exemple d’une vie stable était mes parents. Et autant dire qu’avec tous les déplacements de mon père, je n’ai pas souvent eu l’occasion de les voir amoureux et épanouie. Il n’y a que quand ma mère a développé ses symptômes de maladie où mon père a tout lâché pour rester aux côtés de ma mère. Maladie qui au passage, j’ai peut-être hérité mais dont je refuse de faire les test, préférant vivre une vie à cent pour cent, plutôt que sous traitement. De toute façon, les premiers symptômes se reconnaîtront assez vite, même s’il sera trop tard. Ta main dans mes cheveux, tes caresses sont plaisantes, reposantes. « Et je tâcherai d’apprendre aussi vite que possible, je ne voudrais pas que tu perdes patience.» Je ris doucement, mais je le pense. J’ai failli te perdre une première fois, je refuse que cela se reproduise une seconde fois. Puis je suis loin d’être idiote, capable d’apprendre de mes erreurs. C’est plus la conjugaison des cours et les stages avec nous deux, les études ont toujours été la première de mes priorités. Je te questionne quand au sujet de Tillie, savoir si elle dort déjà ou non. Ça serait dommage de traumatiser une enfant de six ans dès les premiers soirs où elle me voit. « Donc aucun risque qu’elle ne vienne là ?» Mes yeux pétillent une nouvelle fois, la lèvre inférieur que je mordille. Une nouvelle fois, je change de position, à croire que j’ai la bougeotte ce soir. Cette fois-ci, je m’assois sur toi, une jambe de chaque côté face à toi. « A moins que tu ne commences à fatiguer ?» Et c’est la dernière fois que je te pose cette question. Ce soir, je suis passée par toutes les émotions. Et la conclusion de cette soirée dépasse tout ce que j’aurai pu souhaiter. Si devant Tillie, tout se faisait timidement ; si à Paris nous étions restés sage car nous nous connaissions à peine, là, c’est juste l’instinct d’une femme qui a envie d’être avec toi qui s’exprime. Mes bras s’enroulent autour de ta nuque, mes yeux ne demandent que ton accord avant de t’embrasser une nouvelle fois.  
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Tu avais remarqué que la jeune femme avait besoin que tu l’aides dans cette nouvelle relation, dans ce nouveau tournant dans sa vie. Elle avait dit plus d’une fois qu’elle n’avait jamais eu de relation très sérieuse, que des aventures passagères. Beaucoup trop prise par ses études, elle n’avait pas de temps à consacrer à un homme plus qu’une partie de jambe. Tu pouvais parfaitement la comprendre, tu résonnais comme ça avant, maintenant tu faisais passer ta fille avant tout. « Ça va j’ai l’habitude avec Tillie, je devrais m’en sortir avec toi. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, rigolant légèrement. Ton regard posé sur cette jeune femme, jouant directement avec ses cheveux. Tu ne voulais pas la presser, ni même gâcher tout ça, tu étais compréhensif et tu le serais aussi longtemps qu’il le fallait. « Ne te mets pas la pression pour autant. » laissais-tu échapper doucement. Il est vrai que tu pouvais te montrer impatient sur beaucoup de chose, mais tu gardais toujours un grand respect pour tout le monde. Alors, si elle avait besoin de temps pour pouvoir avancer, alors tu lui laisserais ce temps. Puis le sujet divagua un peu, pour terminer sur Tillie, si elle risquait de revenir, certainement pas, sauf si elle faisait un cauchemars. Malheureusement ce genre de chose, tu ne pouvais pas le gérer, mais tu l’entendrais t’appeler avant qu’elle ne débarque ici. « Tout dépend si les démons, viennent dans ses rêves ou non. » tu rigoles un peu. Ce n’était pas souvent, mais ça pouvait arriver. Mais au vu de cette fin de journée, ça ne risquait pas d’arriver, du moins tu l’espérais. Elle grimpait sur toi, pour finalement s’asseoir sur toi, tu rigolais de cette façon dont elle avait d’amener les choses. « Je vais pas te cacher que je commence à être fatigué, même si ce moment commence bien à me plaire. » tu savais parfaitement que tu serais incapable de faire quoique ce soit, ce soir, donc si elle attendait ça, elle ne serait pas forcément enchanté du résultat.
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Alors je suis comparable à une enfant de six ans dans ma façon d’être. Mon rire se joint au tien, aussi léger et amusée. « Heureusement que tu as eu six ans d’expérience alors.» L’impression d’être timide dans tes bras, le regard troublé. Ça fait du bien de te revoir alors que tu rentres de ton voyage à Malagà. Ce besoin que de savoir qu’il y a toujours ce truc après t’avoir avouer que tu me plais. Qu’on se plait, qu’on est d’accord pour se dire qu’on n’est plus que des amis. Dès le départ, dès Paris c’était évident qu’il y a eu un feeling, une attraction qu’on n’explique pas. Mais c’était plus facile pour moi que d’ignorer cela, ne pensant pas un instant que mon cœur prendrait les devant pour s’attacher à toi. Je hoche la tête positivement à l’idée de ne pas me mettre la pression. Je ne me met pas la pression, mais tout de même. « Je ne veux pas prendre le risque non plus d’aller trop doucement et que tu te lasses d’attendre.» Bien sûr il y aura des ajustements, des compromis. Je me sens prête à essayer et voir où ça nous mènera. Peut-être nul part. Mais pour la première fois de ma vie, je veux essayer. Je te pose une simple question sur Tillie. Bien sûr, une question pas si innocente que cela. « J’espère que cette soirée, et la poupée Raiponce les éloignera.» Et même si la question était orientée, je suis sincère. Tu m’as déjà parlé des cauchemars qu’elle pouvait faire, et ça m’attriste pour elle. Espérons que ça lui passe avec le temps. Avec l’amour que tu lui donnes je n’en doute pas, bien que les traumatismes d’enfant peuvent laisser des traces même à l’âge adulte. Assise en amazone sur toi, mes doigts jouant avec la naissance de tes cheveux, ta réponse sur ton état de fatigue ne m’étonne pas vraiment. Le trajet en avion était long, et quand bien même tu as tenu un peu, il est normal que la fatigue l’importe. « Tu auras ce moment plaisant une prochaine fois.» comprenant ton état. Mes mains glissent jusqu’à tes joues, t’embrassant entre deux phrases. « Je vais te laisser aller te coucher.» Je profite de ses quelques minutes dans tes bras avant de prendre mes affaires pour rentrer.
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Cette jeune femme qui partageais ta soirée, qui aurait pensé que cette relation irait jusqu’à là ? Pas grand monde, c’était simplement des échanges par messages, des soirées ensembles. Finalement, il y a eu cette jalousie qui s’est petit à petit installée. Pour finalement, faire des naître des sentiments ? « Exactement ! » soufflais-tu en rigolant légèrement. Elle arrivait à te faire oublier parfois le négatif que tu avais dans tes pensées. Il est sur que ce chemin n’allait pas être des plus simples, entre toi et elle. Maxyne est cette jeune femme qui n’avait jamais réellement eu de longue relation, elle avait finalement, tout à apprendre dans ce genre de situation. Quant à toi, tu avais déjà eu un long passé avec ton ex, tu avais perdu confiance en elle, tu avais vécu un calvaire durant plusieurs années. Tu ne pouvais pas partir, car tu ne voulais pas perdre ta fille. Elle était absolument tout pour toi, alors à la fin, tu étais resté près d’elle, dans le cadre du père. Elle était partie, bien évidement, tu avais perdu tout tes repères, l’a avait été difficile pendant un moment et finalement, tu avais ressenti la délivrance quelques mois après. « Il m’en faut beaucoup pour m’en lasser. » tu parlais en connaissance de cause. Un léger sourire sur tes lèvres, l’air décontracté, même si finalement ton regard était rempli de fatigue. Elle changea de position pour se mettre au-dessus de toi, la position amazone. Cette position que tu aurais adoré dans des autres circonstances, mais dans cet état, tu ne pourrais pas faire grand chose. C’était bien au-dessus de tes forces, même si l’envie était très présente. Tu haussas les épaules « Je verrais bien durant la nuit. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Ton regard se posa sur la jeune femme, son visage d’ange, ses cheveux blonds comme le blé. Elle était si douce, si compréhensive « Ce n’est que partie remise. » petit visage malin, la prochaine fois, tu ne laisseras pas ta chance passer. Tu prolongeas son baiser, ce moment si délicat. « Je vais te raccompagner quand même. » tu savais qu’elle venait en uber en général, tu n’allais pas la laisser attendre seule.
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