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le fléau de mon existence (estyne)

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Je laisse la petite découvrir un à un ses cadeaux. Il y en avait plusieurs ayant été incapable de choisir qu’un seul. Déjà à Disney, j’imaginais très bien Tillie avec le pyjama, et j’étais sûre de faire bien avec la tête à coiffer. Si elle devient pas coiffeuse plus tard, je ne sais pas ce qu’elle pourra faire d’autres pour l’instant. Cette pensée me laisse échapper un sourire, avant de t’entendre vanter les mérites du cadeau. « Ils sont très bien tes cheveux, elle en a pris soin.» Légèrement moqueuse, grandement taquine. Par contre, je ne plaisante pas sur le fait que j’aime tes cheveux, ils donnent envie de glisser mes mains dedans. Un faible que j’ai. Puis dans d’autres circonstances, c’est plutôt agréable de maintenir une pression sur le cuir chevelu. Mais ça, ça sera pour plus tard - j’espère, ce soir ou un autre. J’ai promis de faire mes preuves, et ça commence par n’imaginer ce genre de moment tendre qu’avec toi, puisque notre dispute démarrait de ça. « Je sais que je suis douée.» Une main sur la hanche, l’autre jetant mes cheveux en arrière, le sourire en coin, faussement modeste. Tille fini par revenir, et j’ai les yeux émerveillés par les cadeaux. Je ne suis pas habituée à ce qu’on m’offre des cadeaux comme ça en dehors d’un événement particulier, encore moins venant d’un homme pour qui il se passe quelque chose. C’est naturellement que je te remercie avec un baiser à la commissure de tes lèvres. Baiser que tu ne rejettes pas, et dont je vois même le sourire qu’il te procure. Mon coeur s’emballe. Pendant que tu m’attaches le bracelet, la jolie tête blonde remonte sur sa chaise. « Vous avez très bien choisi.» me laissant porter jusqu’à toi lorsque tu m’attires, plaçant mes mains autour de ta taille. Fixant tes yeux bruns ténébreux, s’il n’y avait pas eu Tillie à côté de nous, je me serai fondu sur tes lèvres. Mais je m’abstiens, je sais que la petite à une tendance à chercher une maman dans chaque femme qu’elle croise. Je refuse de lui donner un faux-espoir sans savoir où l’on va avec son père, ou si je suis prête pour être une substitue de maman. Ton rire me fait tourner la tête vers Tillie qui semble mourir de faim. « Alors à table.» en même temps que je lâche ta taille, en souriant. J’attends que tu te places, prenant une à côté. Vous avez vos habitudes, je ne suis pas là pour les perturber. « Bon appétit tout le monde.» que dis-je avant d’attaquer. Il n’y a pas que la petite qui a faim, le stress faisait que je n’avais rien manger de la journée. Maintenant que s’est passé, je sens mon estomac réclamer son dû.

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Cette jeune femme savait comment te parler, comment te regarder pour te faire rire, sourire et te sentir vivant. Qui aurait crû que tu allais un jour, te laisser de nouveau approcher ainsi par la gente féminine ? Tellement de blessures, d’angoisse, tu avais subis cette séparation, difficilement et pourtant, tu te relançais la-dedans. Tu avais enfin réussi à faire le deuil de ces événements, plutôt difficiles. Elle était là, cette jeune femme à tes côtés, en face de ta fille. Des retrouvailles qui auraient pu être bien plus compliqué, mais tu savais faire la différence, tu mettais de côté cette petite dispute datant de quelques jours. Tu rigoles un peu en écoutant ses paroles « Tu es adorable, mais pas aussi magnifique que les tiens. » ce n’était pas comparable. Elle avait les cheveux blonds comme le blé, long et soyeux et que tu avais toujours adoré la regarder. Ça convenait tellement bien avec son corps, elle était parfaite à tes yeux, il n’y avait pas un autre mot pour lui correspondre. « Ça va les chevilles ? » lâchais-tu en rigolant, petit léger sur tes lèvres. Ton regard qui se posait sur la jeune femme, un baiser sur le coin de tes lèvres. Ça ne pouvait que te faire sourire, tu avais apprécié ce petit moment intime. Des cadeaux, tu n’hésitais pas à en faire, surtout à tes amis et tes proches. Elle était heureuse des cadeaux, c’était le principal, ça te faisait plaisir également de la voir ainsi. « On est plutôt doués ! » tu tirais légèrement la langue, tel un petit malicieux. Tu l’avais attiré près de toi, durant un petit instant, profitant de chaque moment présent. Jusqu’à ce que ta petite, commençait à ronchonner car madame avait faim et ne voulait pas attendre une minute de plus, en ayant le repas sous son nez. Tu pris place au bout de la table, en face de ta fille pour pouvoir l’aider si besoin. « Bonne appétit. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, ouvrant le petit paquet de nuggets de mademoiselle, versant la boisson dans son verre. A ton tour de t’occupe de ton repas « Merci encore. » soufflais-tu, posant ton regard sur la jeune femme.
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C’est bizarre cette sensation, celle d’avoir envie d’être avec une personne, et de ne pas avoir envie de la quitter, que les messages dures sans s’arrêter. D’avoir besoin de savoir ce qu’elle fait, comment elle va, ou juste s’envoyer des taquineries à tour de bras. Je ne suis pas habituée, un peu perdue par tout ça. Autour de moi, on me pousse à me laisser aller, de vivre le moment présent et de voir. Puis, il y a cette petite fille où je sais que si elle me voit beaucoup, elle s’attachera et je pourrais potentiellement la blesser. Comme toi également. Encore dans l’euphorie des vacances, j’ai dû temps pour être là quand tu veux. Quand les cours reprendront, ça sera une autre histoire, incapable de délaisser mes études pour quelqu’un pour l’instant. Peut-être que j’apprendrai à conjuguer les deux, peut-être que tu m’y aideras d’ailleurs, bien que toi aussi tu auras des absences répétés avec tes déplacements pour tes stages d’études. Je sens que tout ça ne sera pas simple. Mais là, je suis chez toi, s’échangeant des cadeaux plus sublimes les uns que les autres, et j’avoue avoir été gâté. Un peu trop même, n’étant pas sûr de mériter autant. « Tu auras l’occasion de profiter de mes cheveux.» Caresse, et papouilles dans les cheveux, j’adore. Je me vois déjà poser devant un film comme ça avec toi, tes mains dans mes cheveux. J’entends Tillie rire quand je prend une fausse pose de star, un rire contagieux car je la suis dans son élan. Après un petit moment d’intimité, un peu trop bref à mon goût, mais la jeune demoiselle réclame son dû pour le repas. Et elle a raison, car ça risque d’être froid. Tout le monde s’installe, regardant le papa que tu es prendre soin du bon déroulement du repas de ta fille. « ça me fait plaisir, ce n’est pas grand chose.» Et c’est vrai que ce n’est pas grand chose, juste un petit repas fast food. En temps normal, j’ai un penchant pour la cuisine asiatique, seulement, c’est assez particulier pour prendre le risque que Tillie n’aime pas. Mcdo, j’étais certaine que ça passerait. On mange tous les trois tranquillement, rigolant de temps à autre sur ce que Tillie peut avoir de beau à dire sur ces vacances, ou sur ses copines qu’elle retrouve à la rentrée. Et elle en a des choses à dire, parfois ça se perd un peu dans tous les sens au point que ça en devient drôle. Le même bout-en-train que son père, on sait de qui elle tient. Le repas se termine tout doucement, d’ailleurs la blondinette était affamée car elle a avalé son repas telle une gloutonne.

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Parfois, il suffit simplement d’une personne pour basculer absolument tout ton être, tout ce qui se passait dans ta vie avant de la rencontrer. Cette jeune femme, avec qui tu avais parlé pendant un bon moment, que tu avais rejoins pour le quatorze juillet et revue peu de temps après au SC. Puis, elle avait fait sa vie de son côté et toi de ton coté, les chemins qui s’était séparé pendant quelques semaines et elle était revenue. Depuis, impossible de ne pas recevoir un message de sa part et encore plus depuis cette embrouille. Il était temps de mettre les choses aux claires, ce n’était pas normal d’avoir ce genre de réaction si les bases étaient posées. Alors, c’était le moment pour se parler, pour remettre cette relation dans le droit chemin. Est-ce qu’il fallait se suffire d’une simple amitié, ou de plus ? Pour toi, plus le temps passait et plus tu en parlais, tu désirais plus. Tu ne pouvais pas ressentir ça, pour une simple amie, ce n’était pas possible. Tu souris à sa réflexion « J’ai hâte. » comme tu avais hâte pour beaucoup de choses avec elle. Des geste que tu n’avais pas eu la première fois que tu avais passé du temps avec elle, là, c’était différent, tu te sentais un peu plus libre de tes gestes elle ne prendrait pas peur. Tout le monde s’installa pour manger suite à la réflexion de ta petite, elle avait faim et elle n’allait pas tarder à s’endormir. Ça se voyait sur son visage, malgré qu’elle avait débiter un nombre incroyable de phrases pendant le repas. Elle ne s’arrêtait jamais et malheureusement, il était impossible de lui enlever les batteries. Une fois que tu avais terminé le repas, Tillie commençait à luter contre le sommeil. Tu décidas de l’attraper tel un vulgaire sac à patate, avec ses cadeaux suite à ses ordres et hop direction la salle de bain pour se brosser les dents et après un rapide câlin à Maxyne, direction la chambre pour aller dormir. Tu pris le temps de la border un coup, l’embêtant pour la faire rire, déposant un baiser sur son front. Tu fermais la porte de sa chambre qui se trouvait au fond d’un petit couloir, assez loin du salon et de ta chambre. « La tempête est enfin terminé, le calme va être de retour. » soufflais-tu en regardant Maxyne, passant une main dans tes cheveux.
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Le repas se passe tranquillement. Enfin presque. Tillie est un moulin à parole et elle ne s’arrête pas un instant entre deux nuggets. Ça ne manque pas de me faire rire à quelques reprises, c’est qu’elle en a des choses à raconter. La petite fille se frotte aussi souvent les yeux, baille de temps à autre. Le petit cœur de cette demoiselle s’endort en mangeant. Aussi bien que le repas ne dure finalement pas très longtemps. Et c’est un rituel du soir qui commence. Tillie arrive dans mes bras pour me faire un petit câlin rapidement, ne manquant pas de la serrer dans mes bras quand elle me fait un bisou avant de rejoindre son lit. Posée contre l’encadrement de la porte, les bras croisés sous la poitrine, je me permet d’assister à cette scène attendrissante du bonne nuit. Un petit signe de la main avant que la porte ne se ferme, Tillie ne réclame pas plus et ne fait plus aucun bruit. De quoi supposer qu’elle se soit endormie avec sa nouvelle poupée. Ensemble, on rejoint le salon, il ne reste plus que nous deux. Dire que le stress n’est pas de retour serait mentir. Jusque là, Tillie nous avait éviter d’aborder certains sujets, sauf que là, il ne reste plus que nous, les deux adultes. « Elle ne s’arrête pas un instant, je vois de qui elle tient.» Je rigole doucement pour ne pas réveiller la petite alors que sa chambre s’éloigne et qu’il semble peu probable qu’elle m’entende. Revenant dans la pièce principal, je débarrasse la table des emballages de nourriture. Mon côté maniaque fait que j’ai dû mal à laisser les choses traîner, ou attendre le lendemain pour être fait. L’avantage, pas de vaisselle, ça va vite et c’est parfait. Puis ça m’occupe aussi les mains, sans savoir trop quoi en faire. « Tu es fatigué ou... ou tu veux que je reste un peu ? » La deuxième option est celle qui m’emballe le plus, forcément. Mais je suis assez tolérante pour comprendre qu’à l’image de Tillie tu as envie d’aller te coucher. Après tout, les heures de vol sont fatigantes mine de rien.  Devant la petite fille, c’était plus facile les gestes d’attention. Tu m’intimides encore plus maintenant que l’on est juste tout les deux. Il faudra bien qu’on se fasse violence, on a des choses à se dire je pense.

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Une pipelette, tu savais d’avance que tu allais certainement te faire convoquer pour ce problème où avoir un petit mot. Malheureusement, tu ne pouvais pas l’empêcher de parler, elle tenait bien de toi pour ce point là. Ça te faisait toujours autant rire quand tu l’entendais t’expliquer une journée classique, ce qu’elle avait pu faire et tu en passais. Une fois le repars terminé, il était temps pour la petite demoiselle d’aller se coucher. Fatiguée, elle s’endormait à moitié sur la table, les yeux qui luttaient, mais finalement, elle ne disait rien à ce que tu l’accompagnes se brosser le dents, enfiler un pyjama et hop au lit. Tu passais toujours ce temps pour lui déposer un baiser sur le front, lui raconter une histoire quand elle en avait envie. Mais là, elle s’endormait avec ses nouvelles affaires, les magnifiques cadeaux de Max. Tu fermais la porte derrière toi, un silence plat, elle n’allait pas faire long feu, certainement déjà dans les bras de Morphée. Tu rigoles en l’écoutant, elle n’avait pas vraiment tord « En effet, un de mes défauts. » soufflais-tu doucement, avec un léger sourire sur tes lèvres. Tu l’aidais à ranger la table, nettoyant rapidement la table d’un coup d’éponge et d’une serviette. Ainsi tu n’aurais pas à faire de ménage demain, ça t’arrangeait bien car tu n’avais pas la tête à ça. « Non tu peux rester, ça va. » ton regard se posant sur la jeune femme. Il est vrai que tu étais fatigué, mais tu pouvais tenir encore quelques heures. De plus, tu voulais passer du temps avec elle, en sa compagnie et il y avait tant de choses à éclaircir. Malgré que la conversation avait été plus simple, la tension était tout de même présente. Sans trop réfléchir, tu décidas de l’approcher, lui attrapant sa main, plongeant ton regard dans le sien pour finalement déposer tes lèvres contre les siennes.
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La petite fille s’est endormie dans son nouveau pyjama avec sa poupée Raiponce. Je me doutais avoir viser juste avec les cadeaux et je n’imaginais pas autant. Ça m’a fait sourire de la voir s’endormir comme ça, attendrie par toi t’occupant d’elle entre quelques petites blagues et un bisous sur son front. Un petit bonne nuit sortant de nos bouches à tous les trois, et il ne reste plus qu’une porte de chambre fermée et nous deux. « Un défaut ? J’aime bien ton côté bout-en-train.» que je dis en riant. Une chose de plus que j’aime chez toi, et un point commun de plus entre nous. Je ne suis pas la dernière pour dire des bêtises, faire le petit clown. Ça promet de bonne partie de rigolade entre nous. On range rapidement ensemble les restes du repas, je jette, tu nettoies, un travail d’équipe. Une fois fait, je te demande si tu souhaites que je reste ou non. « Alors je reste.» Je ne peux empêcher un sourire quand tu me le dis, bien que je ne sais pas forcément quoi dire ou quoi faire, me disant qu’on doit être plus sérieux, plus adultes dans les minutes à venir. C’est toi qui casse en premier la distance involontaire qui était en train de se faire en prenant par la main. Mon cœur pourrait sortir de sa cage thoracique tellement je le sens battre. Les yeux dans les yeux, en l’espace d’une fraction de seconde, tes lèvres se posent sur les miennes. Naturellement mes mains se posent sur tes bras, appréciant le contact. C’est comme si depuis nos messages, où j’ai reconnu que tu me plaisais, j’attendais ce moment. Je ne peux m’empêcher de sourire, ma tête posée contre ton menton quand on se laisse enfin une occasion de respirer dans notre baiser. Le premier. Je laisse un court silence se faire, nous laissant le temps d’apprécier avant de parler. « On doit vraiment parler ? Parce que je ne sais pas vraiment par où commencer.» avouant maladroitement que je ne suis pas douée avec les mots quand il s’agit de ce que je ressens. En temps normal, soit je ne vois rien, soit je fais fuir les hommes pouvant s’intéresser à moi. Autant dire que je suis dans une situation encore inédite dans ma vie, et que je vais avoir besoin de ton aide.  
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Tu avais beau du devoir grandir plus vite que tu ne l’aurais imaginé en apprenant la grossesse de ton ex, devenir père et surtout célibataire en charge de cette petite. Tu avais muris rapidement, mais dans le fond tu avais gardé un peu ton côté enfantin. Tu étais un peu un grand enfant, toujours prêt à te lancer dans n’importe quelle connerie. La liberté, les soirées, ce n’était pas pour rien que tu avais rejoins les rangs de la Dudley, ça te correspondait plutôt bien. D’un côté ça t’avait pas mal desservie durant ta jeunesse avec tes maitresses, tes professeurs. Régulièrement repris par tes parents, mais tu n’avais jamais changé sur ce point. Tu espérais que ta fille en prendrait le même chemin, avoir cette joie de vivre, cette énergie débordante. Si tu pouvais éviter d’être convoqué, ça serait avec plaisir, mais sinon tu te rendrais à ces entretenues, même si dans le fond, tu savais déjà comment tu réagirais avec ta fille. Tu la comprenais, tu te voyais en elle, surtout quand elle décidait de faire la gueule pour x ou y raisons. « Bon ça va, si tu apprécies cette facette. » un petit sourire en coin. Le ménage fait, les déchets jetés dans la poubelle. Tu préférais qu’elle reste encore un peu, il y avait de la place pour plusieurs dans ce logement. Elle pouvait même rester dormir, dans une autre chambre si elle ne voulait pas dormir en ta compagnie. « Parfait. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu décidas de briser la glace, ce moment bien trop silencieux en l’attrapant par la main. Un simple geste qui te faisait déjà vibrer, ton regard plongeait dans le sien. Puis tu décidas de l’embrasser, déposer tes lèvres contre les siennes. Elle prolongea ce baiser, avant de débiter quelques mots. « Disons qu’il serait bien d’en parler non ? » tu voulais mettre les choses aux claires. « Ça serait mieux pour éviter les disputes non ? » un léger sourire.
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Ce n’est pas bien compliqué d’apprécier cette facette de toi, car j’ai la même. Et ce n’est pas le seul point commun qu’on a. C’est même assez fou en fait le nombre de points communs qu’on a. Si je n’ai pas tendance à croire en l’âme-soeur, pourtant quand je te vois, j’aime imaginer que tu pourrais être mon alter-égo au masculin. Celui que me ressemble sur plusieurs points dans le caractère et dans la façon d’être. Si la vie t’a mis sur mon chemin de toute façon, c’est qu’il y a une raison. A aucun moment, même pendant notre dispute, je n’ai regretté d’avoir accepté ton invitation sur meetsachussets. Ton parfait sonne tellement bien à mes oreilles, et je n’ai pas le temps de répondre que tes lèvres se posent sur les miennes. C’est doux et tendre à la fois, bien loin de notre univers parfois enfantin. Bien que les fameux papillons dans le ventre sont bien présents, pour parler comme une enfant. Un sourire béat s’étire sur mon visage, alors qu’on entame un autre tournant de la soirée. « Je pense aussi oui.» Et je sens que ça ne peut pas être qu’une partie de plaisir. Je prend les devant pour aller dans le salon, m’assoire dans le canapé. Histoire d’être bien installer pour une discussion posée. « Je ne veux plus qu’on se dispute comme ça.» Rien que d’y penser, j’en ai le cœur qui se serre. Il y a eu des messages assez dures, qui auront un peu de mal à se faire oublier. L’impression de n’être qu’une traînée à tes yeux à ce moment-là, je ne peux plus ressentir ça. Posée à côté de toi, je pose mes jambes sur les tiennes, voulant être proche de toi. « Je tiens à toi. Vraiment. » Les joues rougissantes, ce n’est pas simple de savoir par quoi commencer. « Je sais que c’est pas forcément facile à croire. Cet été, je te cache pas, je me suis amusée oui. C’était la première fois que je passais un été... comme ça.» que je commence, cherchant mes mots de temps à autre pour ne pas dire de bêtises. « Mais là, j’ai envie de me concentrer sur toi, et uniquement sur toi. Des soirées comme ce soir, je ne fais pas ça avec tout le monde.» Loin de là même. C’est une première pour tout dire. Tout comme passer du temps avec ta fille, je sais comme ça te tient aux tripes que ça se passe bien avec elle. Si je m’en moquais, je ne déploierai pas autant d’efforts.
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Tu ne savais pas où tu allais, cette relation, tu ne savais pas si tu arriverais à la gérer, comme tes sentiments. Ton coeur tu l’avais récupéré en miette, une fois piétiné par ton ex. Depuis, tu avais encore du mal à savoir ce que tu voulais, tu n’appréciais pas de la savoir dans les bras d’un homme, dans le lit d’un autre. Pourtant, rien n’a été choisi, ni même dit, tu ne savais même pas ce que tu étais réellement pour elle. Un simple ami, un plan cul, un couple, tellement de mot et aucune réponse. Le temps de déposer ta petite dans son lit, de la border, de lui faire un léger bisous et de t’éclipser. Le silence était de nouveau de retour, un petit temps de rangement, histoire que ton logement soit de nouveau propre. Ça t’évitera de passer du temps demain à faire de la vaisselle, tout ce dont tu avais horreur. Tu avais décidé de briser la glace, déposant tes lèvres contre les siennes. Un baiser simple, mais délicat et qui en voulait dire long également. Elle s’installa sur le canapé, c’était certainement la meilleure solution, tu pris place à ses côtés, le regard posé sur elle. Tu l’écoutais et tu acceptais ce qu’elle disait. « Je suis d’accord avec toi, je préfère qu’on évite ce genre de dispute. » soufflais-tu doucement. Tu n’étais pas très doué pour parler, mais sur ce point, tu ne pouvais que la rejoindre, tu n’étais pas du genre à apprécier les disputes. Ça te blessait bien plus que tu pouvais le montrer, préférant cacher absolument tout ça, garder enfouie. Tu caressas son doux visage, devenant légèrement rouge, ça te faisait sourire, elle était tellement mignonne. « Je tiens à toi, également. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu acquises doucement « Tu sais je ne te reproche rien, tu as bien raison de t’amuser et profiter de ta vie. » tu pouvais parfaitement la comprendre, tu avais fait ça après ta rupture, apprendre à revivre, profiter du moment présent. « Ça me touche ce que tu dis. » ton regard plongé dans le sien, c’était réel, ça te faisait du bien d’entendre tout ça.
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