Aspen & Calvin - Comment improviser un cours privé

On est seul, autant en profiter pour faire un cours individuel ?

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Je lui avais demandé de me parler d’elle. J’aimais bien savoir qui était mes élèves. Pour moi, le rôle d’un enseignant ne s’arrêtait pas seulement à faire qu’une chose autrement dit, donner des cours. Non, pour moi il était important d’aider les élèves, les conseillers pour qu’ils fassent les bons choix et qu’ils aient un avis extérieur. Aspen me disait qu’elle avait grandis dans une famille riche, mais que ses parents n’étaient pas très présents. Hélas, c’est ce qui arrivait souvent. Mon père était souvent en voyage d’affaire, mais ma mère était tout le temps à la maison pour s’occuper de nous et elle avait un travail avec des horaires flexibles. « J’ai connu sa avec mon père. Du base-ball ? Impressionnant. Tu fais donc partie du club d’Harvard ? Ça ne m’étonne pas que tu fasses du mannequinat. Tu as le physique pour. » Elle était si contradictoire que s’en était surprenant. Puis, elle me demandait de parler de moi et voulait savoir ce qui m’avait poussé à venir ici. Je ne savais pas part ou commencer. « Tout comme toi, je suis né dans une famille aristocratique et qui a donc une très forte influence. Je suis né en Russie et j’ai toujours vécu entre l’Angleterre et la Russie. Je travail pour l’entreprise familiale en plus de mon métier de professeur. » Je marquais une pause. « En faite, c’est une amie qui m’a mit au courant qu’un poste ce libérait à Harvard. Je venais tout juste d’obtenir mon diplôme donc je ne pouvais pas manquer cette opportunité. »

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A la fin de mon monologue, il me posa toutes sortes de questions : « Le club de Base-ball ? Je n'en ai jamais entendu parler, il faut peut-être que je me renseigne un peu plus» dis-je en souriant. Il m'apprit qu'il était aussi née dans une famille assez, comment dire...particulière sauf que lui avait eu la tendresse de sa mère chose que je n'avais pas eu. Il ne manqua pas de me complimenter lorsque je lui annonça que je faisais du mannequinat. C'était très flatteur, surtout de la part d'un professeur aussi séduisant que lui. Il m'apprit comment il avait mis, pour la première fois, les pieds à Harvard. C'était vraiment surprenant comme histoire, vu l'enfance qu'il avait eu, je pouvais lui faire confiance vu qu'il partageait un peu de mon parcours. Je ne sus pas pourquoi mais dés qu'il me parla de son entreprise familiale en Russie, la mafia et le trafic d'armes me vinrent tout de suite à l'esprit. Je souris à cette pensée on ne peut plus incongru et totalement cliché. « C'est sûr qu'Harvard n'est pas l'université à louper vu le nombre de places limitées pour y entrer même en temps que professeurs, les places doivent être rares. » Surtout pour un un jeune qui venait tout juste d'être diplômé et qui cherchait un job, ça c'était de l'or en barre. Je me demandais comment il réagirait si une élève lui faisait du rentre dedans, et je sais très bien que c'est déjà arrivé sur le campus. Il faut dire que nos professeurs masculins étaient à tomber mais je pouvais dire que c'était très dure de ne pas succomber à leurs charmes envoutant. « Ça peut paraitre indiscret mais je me demandais si une déjà dans ta petite carrière, des élèves t'avaient déjà fait des avances ? Je sais que mon cousin, qui est professeur ici, en à souvent et c'est plutôt interdit non même si certains transgressent le règlement de l'université. »

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Apparemment, elle n’était pas au courant pour le club de base-ball. Si j’avais pus lui être utile, tant mieux. Je lui avais parlé de moi, après, qu’elle me l’est demandée. En effet, les postes d’enseignements étaient assez limitées, mais je dois dire que le doyen avait trouvé intéressant de m’avoir dans son équipe en raison de mes origines. Il avait été ravi d’apprendre que j’avais choisis d’être le responsable de la maison des Eliot, car mon cousin et ma cousine en faisait partie. De plus, ça lui donnait une bonne réputation. Parfois, il me donnait l’impression d’être un vrai maniaque, une sorte de collectionneur. « Tu comprends pourquoi je ne pouvais pas passer à côté. Puis, c’est agréable d’enseigner à des élèves qui ont un but. » Les étudiants ici, étaient triés sur le volait. Ils étaient intelligent et surtout ils savaient où ils voulaient aller. Après un moment, elle posait la question fatidique. Je ne pensais pas qu’elle l’aurait fait. Comme quoi ! Cette fille est surprenante. Je ne souhaitais pas y répondre, mais je le faisais par pur politesse tout en évitant de m’y inclure. [color=#5F9EA0]« C’est ce qu’on raconte. »[color] Je lui souriais poliment. « Pourquoi cette question ? Tu sais, c’est comme partout. Il y a toujours des élèves qui s’entichent des professeurs parce qu’elles y voient une sorte de fantasme et puis il y a les mecs qui dérapent. Enfin, c’est partout pareil. Il suffit juste de ne pas faire l’erreur et de garder de vue notre rôle, autrement dit, celui d’un adulte, un tuteur et rien de plus. » Je mentais dans le fond. J’avais déjà céder à certaines avances, mais après tout je n’avais que 25 ans.

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C'était vrai, les étudiants étaient tous triés sur le volet et j'avais fais les frais de cette inscription. Je me rappelais le jour de mon inscription, il fallait absolument que je plaise au doyen c'était tout ce qui m'importait. J'avais acheté une toute nouvelle tenue rien que pour l'entretien. J'étais tellement stresser ce jour-là que j'avais dépensé des sommes folles dans des boutiques de luxe afin de me déstresser. Je souris en repensant à ce souvenir, j'avais tellement été soulagé lorsque ma lettre d'acceptation était arrivée. Lorsque je posa ma question, j'attendis une réaction de sa part. Il semblait à moitié gêné mais répondis tout de même. « Pourquoi cette question ? Parce que je sais que ça arrive souvent dans les universités mais je pense que ce ne sont pas les élèves qui s'entichent des professeurs. Je pense que ce n'est juste qu'une envie de découvrir autre chose, de pimenter son quotidien. Les gens aiment faire des trucs dangereux. » Je ne le pensais pas sincère sur cette question. Je sentais qu'au fond de lui, il ne disait pas la vérité déjà d'une parce qu’il trainait constamment avec Milena et cette pimbêche de Skylar. « Tu vas pas me dire que t'as jamais tenter l'expérience ne serait-ce qu'une fois ? Tu sais il ne faut pas mourir bête ! » dis-je en rigolant.

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L’interdit attirait toujours les humains. C’était un fait. Prenons un exemple, pourquoi les mecs compliqués attiraient autant les femmes ? C’était un vrai mystère. Je crois qu’on avait tous peur de l’ennuie et de la routine. « C’est vrai. Il faut prendre des risques pour vivre pleinement. » Je lui souriais malicieusement. Aspen essayait de savoir s’il m’était déjà arriver de fréquenter des élèves, mais ça je ne lui dirais pas. D’un parce que je me méfiais et que je ne voulais pas que ça remonte aux oreilles du doyen. Déjà, lorsqu’il avait apprit que Skylar était ma fiancée, j’avais été obligé de signer un gros chèque pour qu’il ferme les yeux. De deux, parce que c’était ma vie privée et que je n’étais pas du genre à me confier. Je savais que venant d’elle ce n’était pas méchant. « Mystère et toi tu n’en as jamais pincé pour un de tes profs ? »

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Il n’arrêtait pas de sourire, sans doute pour cacher sa gêne ou...sa culpabilité ? Je voyais dans son regard qu'il ne me dirait rien mais j'avais posé cette question dans l'optique de le connaitre un peu mieux. Comme, en plus, je l'avais déjà vu plusieurs fois aux côtés d’élèves de mon âge. Il pensait sans doute que je répéterais tout à la seconde même où il aurait prononcer ses paroles. Mais je n'étais pas du genre à faire ça ou alors si c'était quelqu'un qui m'avait vraiment fait du mal.
Comme je l'avais imaginé, il esquiva ma question en m'en posant une autre. Est-ce que j'avais déjà été attiré par un de mes profs ? Je ne pense pas du moins tant que je n'avais pas vu M.Mikhaïlovitch. « Pour tout te dire non, tu sais les profs en général ne sont pas ceux qu'on voit dans les films ou les séries. Les élèves ont toujours des préjugés et il sa-vair que les doutes étaient purement fondés. Mais depuis ce début d’année, on peut dire que ton charme ne me laisse pas indifférent et je ne suis pas la seule.» dis-je en souriant.

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Je lui avais demandé si elle avait déjà été attirée par un professeur. Sa réponse me surprenait, mais en même temps elle me faisait plaisir. Je savais que je ne laissais pas certaines étudiantes indifférentes comme Athénais par exemple, mais je ne savais pas que c’était pareil pour Aspen. Elle n’avait rien montré en cours contrairement à certaines. Automatiquement, mon égo fut flatté. « Merci du compliment. » Dans mes paroles, j’étais moins sur la réserve, parce que maintenant, je savais qu’elle n’allait rien dire de ce qui se passerait dans cette salle. « Vous ne laissez pas indifférente non plus. » C’était sorti tout seul. Cette fois-ci je la regardais franchement. Il fallait le reconnaitre, Aspen était jolie, dire le contraire serait mentir. Quelque chose me disait qu’elle en avait conscience. Pou être aussi franche il fallait avoir une certaines confiance en soit.

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Je sentais qu'en lui révélant cette petite attirance, il ne resterait pas de marbre. Il devait sans doute se poser plein de questions sur moi, et sur pourquoi je lui avais dis ça ou alors le contraire que j'étais une fille trop légère et peut-être même une nympho ? Je sortis cette idée de ma tête avant qu'elle ne vienne gangrener mes idées. Je ne savais pas vraiment pourquoi j'avais dis ça, surement parce que c'était la vérité et que j'étais une personne franche et honnête.« Je ne l'ai surement pas montrer pendant vos cours parce que je ne voulais que personne ne voit cette faiblesse.» dis-je en souriant. Je fus étonnée que ça réponse soit : "Vous ne laissez pas indifférente non plus". A vrai dire j'étais au bord de la surprise comme de la joie. Je n’essayais pas si il fallait que j'en ai peur ou au contraire que je saute sur lui. On était quand même dans une salle de cours et tout le monde pouvait entrer à n'importe quel moment...mais c'est ça qui était bien, ça donnait un peu de piment. Tout en m'approchant de lui, je lui toucha la main et lui sourit « Je pense que nous devrions en profiter tant qu'il en est encore temps. » dis-je en me mordant les lèvres ce qui me fit une moue super sexy, je savais que personne ne pouvait résister lorsque je faisais cela.

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Une faiblesse ? Elle savait comment amadouer les hommes, mais moi je n’étais pas comme tout le monde. « Astucieux. » Je décidais de rentrer dans son jeu pour voir jusqu’où ça irait. J’aimais bien tester les limites. Je lui avais dis qu’elle ne laissait pas indifférent. Suite à cela, j’avais pu voir un léger changement de comportement. Ayant un peu plus confiance, elle se rapprochait de moi et venait me toucher la main en me disant que l’on devrait en profiter. Je murmurais en réponse mi-amusé mi-curieux. « Ah oui ? Selon vous comment devrions-nous en profiter ? » J’attendais sa réponse tout en vérifiant que la porte de l’amphithéâtre était bien fermée. Je ne voulais pas que l’on nous entende au risque de m’attirer des problèmes. Je me demandais ce qu’elle avait en tête. Aspen était donc le genre de fille à tout faire pour avoir ce qu’elle voulait, du moins, c’est ce qu’elle me laissait penser. D’un autre côté, c’était une cabot. Ça ne m’étonnait donc pas. C’est filles osaient plus de choses, car elles avaient plus confiance en elle que certaines.

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A mes mots, il vérifia si la porte de l'amphi était bien fermée. Grr ça promettait quelque chose de dangereux, j'adorais ça. « Eh bien c'est très simple, assouvir les principales besoins de l'Homme.» Je me rapprochais de plus en plus de lui mais je le sentais quelque peu réticent. Il avait peut-être des appréhensions concernant le fait d'être enfermé, seul, avec une élève pour seule compagnie qui lui faisait, en plus de cela, des avances. Peut-être qu'il était inquiet pour...sa petite amie. Je ne m'étais jamais vraiment posé la question mais il devait sans doute en avoir une mais si c'était vrai pourquoi agir ainsi avec moi ?

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