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Night talk ft. Clary (17.05)

Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
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Faceclaim : Lee Jong-seok
Crédits : meteoraa (avatar) onlyjongsuk (gif)
Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
Description (1) : Night talk  ft. Clary (17.05) - Page 2 NPSpyu1W_o
Description (2) :
Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
RPS : 934
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Ji-hun Hwang
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
Qu’est-ce que cela voulait dire, être bien entouré ? Il avait relevé les pupilles, les avait glissé sur quelques livres qui étaient posés sur une étagère fixée en hauteur, et s’était fait sa propre définition. Beaucoup de personnes, je croise,  avait-il confié. C’était quotidien, les étudiants, les professeurs, les collègues de travail et les clients. Mais ça ne voulait pas forcément dire qu’on ne se sentait pas seul. Des sorties, je ne fais pas trop, avait-il contrasté toutefois. On se faisait trop souvent l’image des fêtes entre universitaires, des soirées alcoolisées qu’on voyait dans les films, mais lorsqu’on était à Harvard, il fallait travailler, et le temps personnel sur une semaine pouvait se compter sur les doigts d’une main – surtout si on ne voulait pas repiquer son année. La scolarité, ça coûte cher, avait-il donné la raison de son assiduité. Il ne pouvait se permettre de jouer au petit bonheur la chance, financièrement, il n’en avait pas le droit.

Les sports qu’elle pratiquait étaient nombreux, il avait commenté : boxe, t’embêter il ne faut pas alors. Il avait ri et fait comprendre, amusé, qu’il ne tentera jamais le diable. Bien accompagnée, n’oublie pas de l’être, lui avait-il conseillé lorsqu’elle avait avoué ne pas être totalement à l’aise avec l’eau, que tu te noies, ça serait dommage. Quoi que, si les miles entre eux n’étaient pas aussi nombreux, il aurait accepté de jouer le rôle du sauveteur à la perfection. Université , avait-il corrigé ; c’était encore un peu différent des clubs de natation, l’année dernière encore, aux championnats nationaux, je participais. Mais avec sa fuite, il avait dû tirer une croix dessus pour l’année 2021-2022. Il avait souri à sa remarque sur la cigarette et avait demandé : ça t’inquiète, les gens qui fument ? Était-ce une façon déguisée de vouloir prendre soin de sa santé ? Cette possibilité l’avait fait buguer sur l’écran, ses yeux fixaient la jeune femme intensément.

Il avait repris le fil de la discussion, pour ne pas la mettre mal à l’aise, lui proposant de se relaxer davantage encore en prenant le chemin du lit, et des draps. C’est vrai, rit-il en tirant de nouveau sur le filtre, tout de suite, remédier à ça, je vais faire ! Clope au bec, il se leva de son siège et disparut de l’écran pour aller retrouver ses vêtements de nuit qu’il disposait sur une chaise. Il réapparut pour jeter sa cendre avant qu’elle ne tombe et pompa à nouveau. D’une main il commença à défaire sa ceinture, de l’autre il ferma toutes les fenêtres inutiles qu’il avait ouvertes bien avant de tomber sur la jolie métisse aux cheveux roses. Ses yeux parcouraient l’écran, sa bouche balançait la fumée vers la caméra ; joueur. Tes yeux, ferme-les, lui conseilla-t-il, le grain de voix amusé, alors qu’il défaisait le premier bouton de son jeans. Il jouait, oui, parce qu’il n’avait aucunement l’intention de se défringuer devant la caméra.

Je reviens, prévint-il en déposant ses écouteurs sans fil sur le bureau. Il écrasa le peu qui restait du filtre dans le cendrier avant de se rendre dans la salle de bains. Il se rafraîchit, changea son sous-vêtement, enfila t-shirt large et short avant de se brosser les dents et d’étaler une crème sur son visage. Il soulagea sa vessie et revint auprès de sa belle inconnue en un temps record. Avec moi, je t’emmène, lui demanda-t-il la permission de la porter jusqu’à son lit, tout en installant à nouveau ses airpods.

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@Ji-hun Hwang Night talk  ft. Clary (17.05) - Page 2 2511619667
Alors finalement, il lui ressemble plus qu'elle ne l'aurait imaginé. A son image, il croise du monde plus qu'il ne côtoie ces mêmes personnes. - Je comprends, c'est aussi mon cas. son métier l'amène au plus proche de l'humain; pourtant, en dehors, c'est le calme plat. Quelques sorties, rares tout de même, avec les collègues; rien de très personnel. Métro-boulot-dodo, n'est-ce pas ? - Tu peux quand même t'autoriser une sortie ou deux.. Je ne pense pas que cela influence vraiment tes résultats. certains réussissent avec des comportements totalement excessifs, ces mêmes jeunes qu'elle ramasse parfois à la sortie des boîtes de nuit, trop alcoolisés pour ne serait-ce qu'ouvrir les yeux. Lui, semble raisonnable, nul doute qu'il ira au bout de son cursus.

Très juste, en ce qui concerne la boxe et son tempérament; Clary ignore si elle doit préciser, évoquer, cette manie de mettre des gifles à tour de bras, au point que sa propre famille définisse cela comme l'un de ses traits de caractère. Nombreux sont ceux qui ont goûté à la virulence de sa paume, il est vrai. - Dans un autre monde, t'aurais pu jouer le professeur de natation. il semble si doux, et assez sûr de lui pour la mettre en confiance, elle ne lui aurait pas refusé ce "privilège". - C'est dingue ! Tu tiens plus de la torpille que du poisson, en fait. et Clary n'aura jamais que ses yeux pour observer, bien incapable de suivre le rythme. Elle n'a jamais fait attention à ce type de compétition, mais cela ne demande qu'à changer. - Tout le monde fume autour de moi, et.. C'est dommage ? Je veux dire, c'est pas parce qu'il faut mourir un jour que ça justifie de s'empoisonner l'organisme avant. le pompier mange déjà assez de fumée pour s'épargner le goudron supplémentaire, non nécessaire. Et lui, aura besoin de la pleine capacité pulmonaire pour soutenir l'effort brutal, pour accompagner chaque fibre musculaire vers la ligne d'arrivée. Alors oui, c'est bête. Autant se tirer une balle dans le pied avant même de commencer. Clary, à l'écran, n'en tire qu'une petite moue négative; impuissante face à l'addiction.

Les habitudes ne changeront pas en une heure. Ces gestes sont naturels, rien à voir avec un fumeur qui découvre encore la sensation du filtre entre ces doigts. La clope est oubliée, perdue dans la conversation, et le jeune homme bouge, disparaît pour revenir à la seconde suivante, commencerait presque à se déshabiller devant la caméra. Inutile de lui préciser quoi faire, les paupières se ferment naturellement; lèvres plissées pour éviter tout commentaire. Il joue, elle l'a compris. Si l'idée ne la dérange pas, l'excitation passagère se mêle aussi à l'appréhension. Du jamais vu, jamais fait. - J'allais pas regarder. affirme-t-elle, même si le simple fait de le dire à voix haute lui impose aussi le doute. La curiosité peut-être. - Pas de soucis. répondit-elle, abaissant légèrement l'écran de son ordinateur, comme s'il pouvait s'agir d'une source de tentation. Quelques minutes de silence, et Clary se demande si tout cela est bien réel. Cette nuit fait office de véritable décalage avec ses habitudes, une partie d'elle pourrait même croire qu'elle va bientôt se réveiller, après un rêve trop réaliste. Du micro lui parviennent à nouveau quelques bruits, et le voilà de retour. Changé, prêt à se coucher. - Emmène moi, je ne bouge pas. souffle-t-elle en lui offrant un sourire chaleureux, comme si tout cela était parfaitement censé. A son tour, Clary dépose l'ordinateur sur le côté, en profite pour rejoindre la position horizontale, plus confortable. Tête posée sur l'oreiller, buste à moitié enveloppé dans la couette, ambrées rivées sur l'écran, et son acolyte improvisé. - T'es le premier homme qui parvient jusqu'à mon lit, je te félicite. une plaisanterie sur fond de vérité. 

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Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
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Elle n’allait donc pas regarder. Ji-hun avait laissé un éclat un peu plus fort s’extirper d’entre ses lèvres, parce que son intention n’avait pas été de s'exhiber non plus. In fine, ils semblaient tous deux sur la même longueur d’ondes, bien que l’un paraissait être plus joueur et taquin. Il avait posé un regard vers la porte pour s’assurer que son rire n’avait pas dérangé les propriétaires chez qui il louait une chambre avant de fermer une autre page Internet qui répertoriait un nombre impressionnant de mots à connaître. Il avait prévenu de son départ avant de trottiner jusqu’à la salle de bains. Il s’était préparé à rejoindre le lit, à oublier les quelques traductions qu’il peinait encore à intégrer. Ça allait forcément rentrer à un moment donné, puisqu’il pratiquait au plus qu’il le pouvait pour ce faire, proposait à ses interlocuteurs d’ici et d’ailleurs des sujets de conversation variés, et ça lui plaisait à lui, autant qu’aux autres ; c’était le principal.

Il revint près du bureau, remit ses écouteurs sans fil et se maintint au meuble, buste penché en avant, dans l’attente de sa réponse. L’autorisation de la porter jusqu’à son lit accordée, il murmura : comme une princesse, je te porte, on va faire comme si. Il rit de sa bêtise avant de fredonner le rythme d’une chanson. Hm hm-hm-hm, continua-t-il en glissant sa pochette de travail dans le sac qui se trouvait aux pieds de la chaise, so imma care for yuh, chuchota-t-il le refrain de « earned it » en portant délicatement son ordinateur sur l’un de ses avant-bras, coz girl you’re perfect… Il glissa son portable entre ses chairs épaisses, retrouvant ses « hm hm hm » obligatoirement. Il donna pour seule vue une partie de ses clavicules. Il marcha en reproduisant l’air des trois prochaines phrases du titre, jusqu’à son lit, là où il se débarrassa de son mobile. The way you work’it, oupla, fit-il en jetant doucement son outil de travail sur les draps. Ah ! c’était amusant ; il adorait les karaokés.

Il défit les draps en demandant si elle connaissait la chanson, et s’allongea dans ceux-ci au moment où elle avoua n’avoir jamais encore accueilli un homme dans les siens. Oh jinjja*, se montra-t-il vraiment surpris en se couchant également de côté, tête maintenue en hauteur par sa paume, honoré, je me sens, vraiment. Sourire accroché aux lèvres, il choisit un meilleur angle pour la caméra, avant de reporter ses yeux sur la paramédic. Lui non plus n’avait jamais accueilli de femmes dans son lit, mais il trouvait ça moins sympathique à avouer en tant qu’homme, alors il préféra se taire puisqu'aucune question lui fut adressée à ce sujet. Aux motels, t’es abonnée, du coup , supposa-t-il avant de laisser son dos s’étaler de tout son long, bras droit sous sa nuque, visage tourné vers l’écran. Il soupira de bien-être avant de demander : de copain, tu n’as pas alors ? Ou chacun chez soi, tu préfères ?

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* Vraiment ?
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Le jeu s'entremêlait aisément aux axes plus sérieux de leur conversation, rendant l'échange aussi captivant qu'il n'était enrichissant; pour Clary, c'était comme de redécouvrir une sensation, un parcours du combattant laissé au placard depuis trop longtemps, puisque l'homme, à la finalité, avait toujours le don de la décevoir. Là, c'était différent. La force du virtuel, lui permettant de ne pas se verrouiller; procédure de défense inconsciemment figée dans un coin de l'esprit, un geste de main serait suffisant pour faire disparaître le jeune homme de son écran, et ainsi empêcher qu'il ne l'atteigne. Pourquoi songeait-elle au pire, lorsque le présent n'était que plaisir ? Le passé, toujours quelque part, souvenir sournois prêt à ressortir pour mieux la hanter. Respire Clary, il n'a rien fait. Il n'y est pour rien, et peut-être pourrait-il influencer de façon positive son futur, qui sait. A trop réfléchir, elle en aurait perdu le fil de sa première idée.

- Tu ne pourrais peut-être pas me porter. par combien de clichés allaient-ils devoir passer, avant que ses ressources ne s'épuisent ? Clary ne saurait le dire. D'abord l'apparence, puis le poids. Ce n'est pas faute d'avoir parlé sport, pourtant, et d'être consciente que sa silhouette est plutôt élancée; mais on ne retire pas un complexe aussi facilement. L'image de la princesse délicatement déposée sur le lit, relève plus du fantasme que d'une potentielle réalité; elle l'imagine dans le rôle du prince, mais c'est une autre qui se trouve lovée, au creux de ces bras. La rose écoute avec intérêt les quelques notes qu'il fredonne, tente de s'accrocher aux paroles pour distinguer un artiste, une composition, quelque chose qui pourrait l'orienter sur un style de musique; peut-être que la difficulté vient de l'accent, étant donné qu'elle possède "l'oreille musicale" mais ne parvient pas à mettre le tympan sur la chanson en question. - Je cherche.. Mais je vois pas. Le titre, please ? histoire qu'elle ouvre une page youtube, quitte à écouter le morceau en simultané. Ou plus tard, peu importe. Le voilà surpris par sa révélation supplémentaire; s'il savait, peut-être la verrait-il comme une vieille fille, bonne à adopter une dizaine de chats. - Abuse pas.. l'honneur, c'est quelque chose d'exceptionnel, au delà de ses propres sphères; elle n'en a point le mérite. Clary lui aurait volontiers retourné la question, mais le sujet tournait sur l'intime et c'était potentiellement trop délicat, pour être abordé de vive voix. - Aux motels ? Pourquoi irais-je au motel ? un léger froncement de sourcils, pour accompagner son incompréhension; elle n'avait pas saisi le fond de sa pensée. Chevelure rose ramenée d'un geste ample jusque sur l'oreiller, au dessus de sa tête, dégageant une pleine vue sur son visage, tandis qu'un autre sourire étire ses traits. - Nada, toute seule. réponse accompagnée d'un léger haussement d'épaules, c'est l'histoire de sa vie. Est-ce nécessaire de préciser qu'il est le premier homme - hors famille et collègue -, à qui elle s'adresse depuis janvier ?



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La porter comme une princesse, oui, parce que toutes les femmes méritaient d’être traitées avec tendresse, qu’importait le degré d’affection que l’autre lui dédiait. La réplique que la métisse avait sorti l’avait toutefois fait constater : ah ? Assez baraqué pour ça, tu ne me trouves pas. Il ne lui en avait pas tenu rigueur. Elle avait certainement d’autres critères physiques, et elle en avait parfaitement le droit. Il assumait toutefois ne pas ressembler aux hommes que l’on voyait dans les publicités, aux muscles gonflés par les séances de musculation. Lui était grand et fin, la faute à la génétique, mais est-ce que ça voulait forcément dire qu’il n'était pas fort ? Si elle avait été à ses côtés, pour sûr qu’il n’aurait pas hésité à lui prouver qu’il était capable de lui faire vivre un tour du monde, elle dans ses bras. Il avait fredonné ensuite, pour donner une ambiance.

Lit rejoint, il avait haussé les épaules : le titre, je ne connais pas. Dans un film, j’ai entendu. Un film un peu sensuel, qui mettait l’accent sur la vie d’un couple à la sexualité épanouie. Le premier qu’il s’était autorisé à regarder, parce qu’on le lui avait conseillé ; il devait encore terminé la saga. En Corée du Nord, ce genre d’œuvres cinématographiques étaient interdites, tout comme la pornographie. Enfin glissé dans les draps, il se trouva surpris de l’innocence qui transparaissait dans la voix de son interlocutrice de presque trente ans. Avec un garçon , avait-il lâché ; les motels étaient faits pour ça, aussi. Il avait secoué la tête avant de s’allonger de tout son long et lui demanda de laisser tomber sa remarque. C’est pas plus mal, d’être seule, déclara-t-il. Lui n’était jamais tombé amoureux, son cœur n’avait jamais battu plus fort, et ça ne faisait pas partie de ses objectifs.

Il avait d’autres ambitions, notamment professionnelles, qui prenaient tout – ou en grande partie – son temps. Et pas sûr qu’une fois qu’il sera  titularisé dans un laboratoire pharmaceutique, il puisse espérer en libérer. Il aimait à dire qu’on avait oublié de lui greffer le sentiment d’amour in-utéro pour éviter de se justifier quant à l’absence de relations amoureuses ; parce que d’autres, amicales et sexuelles, il en avait déjà eu. De prendre soin de toi, elle donne envie, ta bouille, glissa t’il après l’avoir observée pour la énième fois, des frères, tu as ? Si c’était le cas, ils devaient vraiment avoir envie de jouer un rôle protecteur auprès d’elle, non ? Deux filles, plus jeunes, mes parents ont eu, lui apprit-il, beaucoup d’années d’écart, entre elles et moi, c'était cool. Un grand-frère avec la fibre paternelle bien ancrée.

Ça t’a fait mal, changea-t-il de conversation ensuite, le trou dans le ventre. Il s’était senti obligé de compléter pour se faire comprendre. Que j’aperçois ça, c’est la première fois, confia-t-il à la jeune femme.

@Clary Killbane, Night talk  ft. Clary (17.05) - Page 2 1629572796
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@Ji-hun Hwang :heaart:
Ce n'est pas ce qu'elle voulait dire, et encore moins ce qu'il devait comprendre. Rien à voir avec son apparence, ou ces potentielles capacités; jamais Clary n'aurait osé faire le moindre commentaire à ce sujet. Un complexe au féminin, rien de plus. - C'est pas ça... un murmure, perdu dans le fond du gosier; si faible qu'il ne l'aura pas entendu. "Baraqué", c'est un terme qui ne correspond pas à sa mentalité; la rose se fiche bien des muscles roulant sous l'épiderme, des corps d'Apollon à en faire baver des demoiselles; rien ne saurait plus compter que l'esprit, l'âme d'une personne, à son humble avis. S'il savait cela, peut-être pourrait-il comprendre qu'elle le trouve plus intéressant que certains hommes, ceux qu'elle croise à la salle, par exemple.

Nevermind. Ce n'est pas important. Elle espère ne pas l'avoir blessé, avec une réflexion qui ne lui était pas personnellement destinée. - Alors, le nom du film peut-être ? qu'elle aille chercher, pour se faire une meilleure idée. Fronçant ensuite les sourcils, lorsqu'il évoqua le mot "garçon", associé à un éventuel détour par un motel quelconque. Incapable de faire le lien, quand l'idée générale ne laisse, pourtant, aucunement place au doute. Clary évolue à des années lumières de ce genre de pratique, au point de ne même plus y songer. - C'est agréable, pour une indépendante comme moi. Mais.. C'est parfois pesant, aussi. avoua-t-elle en soupirant, imaginant une présence chaleureuse à la place de son ordinateur. Se blottir contre une force rassurante, elle l'avait déjà fait, et l'expérience s'était avérée concluante, sur le long terme. Et pourtant. Enveloppée dans le silence, la solitude, Clary n'était pas certaine de pouvoir, à nouveau, ouvrir ses draps à qui que ce soit.

- Tu aimerais, toi ? prendre soin de sa bouille, de son teint virant à nouveau au rouge piment. C'était étrange, de réaliser à quel point elle pouvait devenir proche d'un inconnu, sous prétexte qu'il ne pouvait pas, justement, venir poser son empreinte sur sa peau. - Des frères et soeurs, oui. Plus vieux et plus âgés; famille nombreuse. difficile de résumer, tant l'histoire familiale est décousue. Des liens aussi forts que complexes. - Tu dois être un grand frère poule. Tu vis avec ? peut-être faisaient-elles partie de ce "tout le monde dort ici", prononcé au début de leur échange. Clary l'imaginait sans mal, attentionné et protecteur, véritable source d'inspiration pour ces soeurs.

Tournant inattendu emprunté par le jeune homme, ravivant la flamme rosée sur les joues féminines; elle en avait oublié son crop-top, et le bijou naturellement dévoilé. - C'est un piercing, ce "trou". Ca m'a fait mal sur le coup, mais c'est vite passé. et c'était bien la première fois qu'on lui posait la question. L'inconnu était aussi le premier à y faire attention. Sourcil légèrement relevé lorsqu'il avoua ne jamais en avoir vu auparavant, quand Clary prône ouvertement la liberté de corps et d'esprit, dévoile à la seconde suivante son oreille, décorée de plusieurs bijoux. - Pourtant, c'est plutôt répandu.. Un peu comme les tatouages. ou les colorations capillaires. - T'en penses quoi ? un avis masculin, pour changer. L'avis d'un homme qui découvre aussi bien l'art que la femme qui le fait vivre, à la finalité.

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Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
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Faceclaim : Lee Jong-seok
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Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
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Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
Cinquantes nuances de Grey avait été sa réponse, et il l’avait accompagnée par un : en avoir entendu parler, tu as dû forcément. On lui avait rapporté que ça a avait connu un succès planétaire quelques années auparavant, il était un peu en retard sur la tendance. On lui avait envoyé la bande annonce de 365 jours , mais une chose après l’autre. Et puisqu’elle avait avoué se sentir seule parfois, peut-être lui aurait-il proposé de venir terminer la saga à ses côtés, si elle avait été dans l’un des états qui entourait celui dans lequel il vivait. Plus pour une question de partage que pour une raison ridiculement perverse ; il aimait les contacts physiques, mais n’était pas de ceux qui y pensaient constamment non plus. Alors, un petit-ami, tu devrais chercher, suggéra-t-il, si la solitude la pesait ; tout semblait si simple dans sa tête – une solution pour un problème.

Un sourire s’était invité à nouveau sur ses lèvres galbées. Dire non, je ne pourrais pas, avait-il fait. Pouvait-il se permettre de dire « oui » sans la faire fuir, toutefois ? Il avait détourné le regard pour le poser sur le deuxième coussin qu’il n’utilisait jamais. Un oreiller tout moelleux, j’ai, pour ta  tête, l’avait-il informée après avoir attrapé le fameux pour le lui montrer, jamais servi. Il avait testé la fiabilité devant la caméra, en le tâtonnant de ses mains pour en prouver la mollesse et la douceur qu’il promettait. Et…, avait-il commencé en le remettant à sa place, pour tes joues, j’ai ça. Il avait tapoté son t-shirt, au niveau de son torse, là où se cacher des petits pectoraux ni trop durs ni trop souples. Confortable, je le suis aussi, avait-il glissé, si les câlins, tu aimes ça ; était-ce le cas, ou avait-elle peur de la proximité ?

Famille nombreuse, s’était-il exclamé, combien ? Dans son pays natal, il était rare que tant d’enfants d’un même foyer survivent. Il avait connu la famine à ses premières années de vie, et on lui avait conté le nombre de décès que la Corée du Nord avait déploré en 1997. La nourriture n’était pas toujours abondante, tout dépendait des récoltes. Il y avait des jours durant lesquels on était rassasié, et d’autres durant lesquels les ventres hurlaient du matin jusqu’au coucher – parfois même après. Et c’était même le cas chez l’élite, dont il avait fait partie. C’est vrai, s’était-il souvenu de sa relation avec ses sœurs, m’en occuper, j’aimais beaucoup. Un temps utilisé qui avait supposé la question suivante, il se doutait. Non, avait-il secoué la tête. Et après une hésitation brève, il avait ajouté : où elles sont, je ne sais pas. Il avait hoché les épaules.

Une séparation douloureuse dont il ne parlait pas, - pas beaucoup, en tout cas, et qui l’avait obligé à changer de sujet pour ne pas être confronté au récit de son histoire ; on n’aimait pas les nord-coréens, pas vrai ? Il se pencha un peu vers l’écran, à la force de ses abdominaux, pour venir compter les pierres qui ornaient son oreille. C’est brillant, constata-t-il, ça attire. L’œil et la lumière, ça les attirait tous deux. J’aime bien, fut-il bref, tout en reprenant place sur son lit, voir ça en vrai, j’aurais bien aimé. Les curiosités de l’homme et du scientifique entremêlées. La beauté de la chose, et ce que ça pouvait apporter. Quand on touche, ça te… kajil kajil*, la questionna-t-il en imitant la sensation d’être chatouillé. Est-ce qu’il y avait une sensation agréable qui s’en dégageait depuis qu’elle s’était faite percée, aux oreilles et au ventre ?

C’est sexy, un peu, avoua-t-il avant de sentir une chaleur poindre sur ses joues, sans qu’elles ne deviennent davantage colorées. Il laissa un faible rire s’échapper avant de tapoter ses pommettes à tour de rôle de sa paume gauche. Peut-être qu’une pratique peu catholique s’était invitée entre temps dans sa tête, et avait fait monter la fièvre. wae geugotegwanhae saengakhaneunji moreupnida…**, murmura-t-il, surpris de lui-même, avant d’aspirer une bouffée d’air entre ses lèvres rieuses. Ça va, rassura-t-il la jeune femme qui ne devait pas comprendre grand-chose, la nuit, c’est pour ça. Il avait raison de mettre ça sur le coup de la fatigue. Sur le corps, d’autres trucs, tu as aussi, interrogea-t-il quant à ces particularités qui la rendaient plus sublime et intéressante encore, pour ses yeux.

@Clary Killbane, Night talk  ft. Clary (17.05) - Page 2 1881463262

* Guili-guili
* Je ne sais pas pourquoi je pense à ça...
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@Ji-hun Hwang :heaart:
Bien sûr, il fallait que cela tombe sur ce film en particulier. Une thématique on ne peut plus connue, sans qu'elle n'ait, pour autant, regardé le contenu. Finalement, elle ne connaissait la chose que de réputation; quelques images ici et là, diffusées sur internet, mais aucun visionnage à proprement parler. - Je connais juste de nom.. C'est pas vraiment mon style. la sexualité, sans être tabou, faisait partie de ces sujets dont elle se tenait éloignée. Et cela rejoignait naturellement l'absence de chaleur humaine entre ses draps, son incapacité à se livrer entièrement à autrui. - Ca pousse pas sur les arbres.. avait-elle plaisanté, consciente qu'au fond, le problème ne venait que d'elle. De son rapport à l'autre.

Et lui, avait visiblement décidé de la charmer. Grâce au virtuel, Clary ne se sentait pas contrainte, de prime abord, à abréger la conversation, ou détourner l'attention. C'était presque agréable, de jouer sur ce fil, plus intime. Preuve étant qu'il venait de lui tirer un énième sourire, chose rare venant d'un homme. - Un jour peut-être, je viendrais l'essayer. elle n'y croyait pas, mais c'était beau aussi, de rêver. D'imaginer ce que pourrait donner sa tête, sur cet oreiller à l'apparence accueillante; de s'imaginer à son côté, voir.. Contre lui, comme il venait de le suggérer. - Si j'avais la chance de te rencontrer.. Peut-être que je pourrais être tentée. avoua-t-elle, sentant son coeur s'emballer à cette simple idée. Tout ça, c'était encore abstrait; de loin, il était facile de se projeter. Mais peut-être, tout comme ce soir, parviendrait-il à la mettre suffisamment en confiance pour qu'elle saute le pas.

- Disons que c'est compliqué.. Famille recomposée, si tu vois ce que je veux dire. des demi-frères, demi-soeurs, un arbre généalogique dont elle ne connaissait même pas toutes les branches. A en croire sa réaction, cela paraissait extraordinaire. Mais, quand vint son tour de s'exprimer sur la question, Clary sembla percevoir un fond de tristesse. Fronçant à nouveau les sourcils, lorsqu'il déclara ne pas savoir où elles se trouvaient. L'envie de demander pourquoi, et la peur de mettre les deux pieds dans le mauvais plat. Sans doute était-ce douloureux, pour qu'il change subitement de sujet, en vienne à lui parler de son piercing au nombril, qu'elle avait oublié de masquer. La rose aurait aimé revenir sur cette interrogation plus sérieuse, mais ne voulait surtout pas le blesser dans son discours. Finalement, pour une femme peu à l'aise avec son corps, la voilà qui découvrait son oreille, l'approchait de la caméra pour lui montrer les bijoux, écartant quelque peu la couette au passage. - Peut-être un jour, qui sait ? Sur moi, ou.. Une autre. même si, réflexe psychologique idiot, le fait d'être la "première" lui donnait une fausse impression, celle d'incarner une sorte de première fois, et une petite pointe de fierté en ressortait. - Personne n'a jamais essayé.. puisque personne ne pouvait l'approcher aussi facilement. Clary misait peut-être, même inconsciemment, sur un détail plus sensuel qu'autre chose. Sexy. C'était le mot, et le but recherché. - Merci.. souffla-t-elle, refoulant une petite bouffée de chaleur en gesticulant, tandis qu'il se tapotait les joues, comme s'il venait d'éprouver cette même sensation. Difficile à dire, puisqu'elle ne comprenait pas un traître mot de ce langage-ci. - La nuit, en effet.. soupira-t-elle, cherchant à calmer sa respiration, légèrement trop rapide. - J'ai quelques tatouages, des petites pièces. On ne les voit pas au premier coup d'oeil. confia-t-elle, sans oser en dire plus à la première intention. Des éléments plutôt intimes, jamais réellement dévoilés.



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Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
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Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
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Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
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Ça serait cool, avait-il lancé ; qu’elle vienne essayer cet oreiller laissé à l’abandon, et se perde dans ses bras. Bien qu’il ne savait pas aimer, Ji-hun n’était pas avare de tendresse. Plus affectueux qu’amoureux au cours de sa vie, il propageait aisément un peu de bonheur autour de lui, auprès d’une gente qui ne le laissait aucunement indifférent pour autant. Il trouvait ça plus simple, n’avait pas la foi de se prendre la tête et se détourner de son objectif professionnel. Trop carriériste, peut-être ? De toute façon, leur rencontre restait peu probable. Ils naviguaient ainsi entre rêves et réalité. Elle pouvait véritablement compter sur une grande famille, de celles qui ne survivaient pas dans son pays d’origine. Ça l’avait surpris, et en même temps réconforté. Derrière les frontières de la Corée du Nord se trouvaient des populations qui ne voyaient pas mourir leurs enfants.

Autre qu’une natalité à terme, il y avait aussi ces lots de libertés, dont la modification corporelle. Il n’y avait jamais pensé, pas avant de rencontrer la paramédic, et, finalement, trouvait ça de bon goût. Découvrir des oreilles et un nombril percés ne semblait pas de trop à ses yeux, tout comme les colorations capillaires. Les questions avaient fusé dans sa tête, et il n’avait pu se retenir de les poser. Il aurait aimé pouvoir observer tout ça de plus près, et peut-être être celui qui l’aurait chatouillé le premier, de son index, de ses lèvres – et même sa langue. Cette image avait réussi à chauffer ses joues et il s’était empressé de les apaiser au contact de sa paume. Ce genre de pensées était inconvenant, pas vrai ? Il s’était indirectement excusé avant de reprendre le fil de leur conversation. Cachés, ils sont, demanda-t-il confirmation, sans oser jouer de sa curiosité ; cachés où ?

L’imagination semblait plus importante que le savoir ici, parce qu’elle se voulait illimitée ; sacré Einstein, il avait complètement raison. Ton prénom, je ne le connais pas, remarqua-t-il en jetant un regard sur le pseudonyme qu’elle avait utilisé. Si je connais, dans mes rêves, si je le murmure, peut-être qu'apparaître tu pourrais , fit-il, amusé. On savait tous que c’était dénué de sens, mais n’était-il pas beau de l’espérer ? L’espoir faisait vivre, c’était ce qui permettait aux individus de traverser les moments difficiles. Ji-hun , fut-il le premier à se présenter, comme pour lui donner confiance. Il épela chacune des lettres qui le composaient avant de le répéter doucement : Ji-hun. C’est coréen. Il attendit que vienne son tour, mais qu’importait si elle était prête à révéler son identité ou pas, il déclara : cette nuit, dormir avec toi, je vais faire.

Pour ne pas la laisser seule avec ses tourments, pour empêcher les cauchemars de la hanter à nouveau, son âme gravitera pour protéger la sienne.


@Clary Killbane,  Night talk  ft. Clary (17.05) - Page 2 208576344

(Ji-hun Hwang)
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@Ji-hun Hwang :heaart:
Elle aussi, semblait de cet avis; il serait cool, de pouvoir tester son oreiller, voir son torse, à titre de repose-tête. Lovée dans ces bras, elle l'imaginait sans mal; petite fleur, haute comme trois pommes, protégée par le physique avantageux du nageur. Alors, elle hocha la tête, d'une surprenante sincérité, volontaire dans cette idée de "lâcher prise", même avec un homme dont elle ne savait pas grand chose. Une bouille étudiante dont elle aimerait apprendre davantage, c'était certain. De la à envisager plus, il y avait un monde. Clary avait conscience d'être compliquée, trop exigeante, ou toujours en quête d'une excuse pour se saborder; à l'arrivée, c'était toujours la même histoire: impossible de faire entrer qui que ce soit dans son quotidien. Après tout, ce dernier était déjà suffisamment rempli; entre famille et collègues, elle avait largement de quoi faire. Rien d'intime, certes, mais le parfait prétexte pour ne surtout rien changer.

Autant de choses pour surprendre le jeune homme; la famille, et les artifices personnels. Ces bijoux, plaisirs d'aujourd'hui, autrefois ciment des fondations de son indépendance; marques visibles de cette liberté, celle que Clary s'est appropriée. Son ex petit ami n'avait même pas jugé utile de venir les caresser, ou de jouer avec d'une quelconque façon; ce joli brun est bien le premier à envisager l'acte, et le plaisir qui pourrait en découler. Image tournant à l'érotisme, que la rose s'empresse de chasser; allons donc, ce n'est pas correct. - Utilise ton imagination, et devine où ils sont. souffle-t-elle, malicieuse, joueuse prise dans la folie du moment. Dire qu'elle l'incite à découvrir son épiderme, au sein de son esprit, pour trouver les courbes et motifs cachés. Cette forme d'intimité ne lui ressemble pas. Et puis, comme il le lui fait remarquer, ce n'est même pas par là qu'ils devraient commencer. Pink_Ivy, le pseudonyme qu'elle utilise à toutes les sauces, et notamment sur meets; double référence, autant à la couleur qu'à son deuxième prénom. - Peut-être. Peut-être serais-je un jour réalité. Ou peut-être devras-tu te contenter d'un rêve. susurra-t-elle en lui souriant, imaginant avec difficulté ce que pourrait donner une rencontre physique. Nul doute que le virtuel aide à casser les barrières, et les frontières. - Heureuse de te "rencontrer", Ji-hun. Moi, c'est Clary. le juste retour, puisqu'ils n'allaient probablement pas être amenés à se revoir. Ou à se croiser, parmi les probabilités de rencontre sur ce site. - Tu sais, en principe je coupe l'ordinateur pour dormir.. Et puis, à ce rythme, je vais faire une nuit blanche. quitte à se coucher tard, autant ne pas fermer l'oeil du tout. Un rapide coup d'oeil au réveil lui indiqua que son hypothèse allait probablement se vérifier, sa période de repos ne pourrait être que repoussée.



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