Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityabcdefu (charles&gigi) - Page 2
-38%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC gaming 23,8″ – ACER KG241Y P3bip à 99,99€
99.99 € 159.99 €
Voir le deal


abcdefu (charles&gigi)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je ne peux m’empêcher de lever les yeux au ciel face à ton manque de répartie et de discussion. C’est d’une tristesse. T’es d’une tristesse Charles mais je n’en dis rien, préférant te laisser penser que je ne t’en tiendrais jamais rigueur. Manque de bol, ça finira par ressortir, un jour, à Boston, quand tu me charieras. Parce que je n’ai aucun doute sur le fait que tu feras tout pour me faire chier, pour me charrier, pour me pousser à bout à un moment ou à un autre. Je n’ai pas besoin de ton aide, en tout cas. Et j’ai cette facilité folle à être à l’écoute de mes partenaires, ce qui n’est pas forcément le cas de toutes les personnes que je connaisse. C’est souvent une guerre d’égo et de satisfaction personnelle avant de penser à celle de son partenaire. Je me demande où est-ce que tu te trouves sur cette ligne mais ne pose pas la question. Curieuse mais pas trop non plus. Je sais de toute façon qu’un jour ou l’autre, je me poserai devant la porte d’entrée pour questionner ta conquête de la soirée. Ou peut-être même que j’enverrai l’une de mes amies pour te conquérir et me ramener les potins les plus intéressants. C’est un plan que je garde en tête mais pour le moment, je m’occupe de ce crétin face à moi. Les joutes verbales sont intéressantes mais quand il me fait basculer par dessus son épaule, je passe de la Gigi gentille à la Gigi hystérique que je peux être de temps à autre. Ça ne m’arrive pas souvent mais si je ne trouve pas cela drôle, je comprends ce qui m’attend et ça, je suis carrément contre. Génial ! Maintenant je n’ai même plus envie de te mordre. Que je peste en cherchant une autre astuce. Mes ongles se plantent dans son épiderme après m’être battue quelques secondes pour relever son tshirt et faire apparaître la peau de son dos. JE SUIS PAS UNE PRINCESSE JE SUIS UNE REINE. Que je beugle comme une gamine de dix ans, colérique à souhait. Si lui s’en balance, ce n’est pas du tout mon cas. Et lorsque je sens son bras s’appuyer un peu plus contre moi, je panique réellement. Non non non, Charles. J’ai le ton paniqué mais bien moins criard qu’il y a quelques minutes. Je m’apprête à le supplier quand il me fout sous l’eau froide et alors que chacun de mes muscles se tend, j’ai le réflexe d'agripper son t-shirt pour l’attirer avec moi sous cette eau gelée. Je glisse de ses bras, la crème solaire sur mes cuisses me libérant de cette prise et je me colle au mur de la douche, ma poigne le collant à moi. Nous sommes à quelques centimètres l’un de l’autre et je crie C’est pas possible d’être aussi con ! Ta mère t’a pas appris les bonnes manières ?! Et puisque je n’ai aucune force face à lui - je n’essaye pas de me débloquer mais bien de le nourrir au maximum. Si j’ai froid, lui aussi va avoir froid. Si tu voulais me voir sous la douche, fallait le dire ! Ces mots, je les crache, presque avec du défi dans la bouche. À bout, je vais le pousser à bout.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


« J'me souviens pas te l'avoir proposé. » cette aide. Et franchement, un éclair surgit dans mon esprit, l'imagination qu'un jour tu viennes me demander de te prêter main-forte. Nan putain je peux pas penser à ça, pas quand toi et moi ont se transforment en cactus. Ha si tu savais chère colocataire que je ne suis ni esclave ni maitre dans l'intimité. Frileuse ou fiévreuse, je sais comment m'en occuper. Je ne suis pas voleur de liberté, pas plus que je n'aime que l'on m'en prive. Sauf si c'est demandé, pour un jeu, une excitation ou une envie. L'accréditation est plus stimulante que le manque de respect. Neurasthénique que le monde entier n'est pas cette façon de faire et de penser. Comme pour exorciser mon extrapolation sur ta façon d'être au lit, je décide de refroidir l'ambiance. En route pour la douche, je suis obligé de fortement te maintenir, malgré les coups dont tu m'assènes. Te vient l'envie de me mordre et je sais comment te couper dans l'immédiat. Si ce n'est pas de tes dents que je finis marqué, ce sera des ongles que t'es entrain de planter. « T'es entrain de me déshabiller? » Parce que je sens le tshirt qui se soulève avant d'être monopolisé par ton hurlement qui me fait glousser « Stop t'exagère! » puis que tu sois l'une ou l'autre, c'est moi le roi là. Celui qui dicte les lois, les règles et tout ce qui viendra jusqu'à ce que l'eau coulera. Ce qui arrive. J'actionne la béquille et j'explose de rire même si je reçois un peu de flot. Moins concentré dans comment te maitriser, tu m'échappes des mains, ou plutôt des bras, et t'en profite pour m'attirer vers toi. Assurément pour que je sois tout autant mouillé. Si c'est pour que j'attrape froid, c'est raté parce que des bains glacés j'en prend souvent. Le sport ancré dans mes veines, c'est une méthode recommandée pour les muscles. Toi tu cries, moi je ris. Ma patte droite sur ta hanche, inconsciente de son emplacement, l'autre vient machinalement essuyer mon visage qui est aussitôt inondé. J'ai du mal à reprendre un sérieux mais je fais de mon mieux « C'quoi les bonnes manières? Ne pas t'y mettre habillée? » Je ne bouge pas, comme si t'avoir entre le mur et moi me plaisait. Un confort dans ce congélateur. Et ce que tu profères m'immobilise quelques secondes. T'es belle. J'observe tes yeux dans lesquels dansent des flammes. Dans une posture défavorisée, tu prend pourtant le contrôle et j'aime pas ça. « Parfois les actions parlent mieux que les mots nan? » Qui bluff qui?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Mes yeux roulent vers le ciel. Ta présence m’exècre au plus haut point. Il n’y a rien de plus à dire. Je te déteste, je te maudis, je peste intérieurement - et extérieurement - face au fait que tu sois là, dans la chambre à côté de la mienne. J’aurais pu avoir un jeune homme ou une jeune femme carrément sexy pour me tenir compagnie la nuit mais non… C’est toi que je me tape, devant cohabiter avec celui que je supporte déjà tout au long de l’année. Elles sont belles ces vacances. Enfin, elles étaient belles parce qu’elles viennent de s’arrêter au moment où mes yeux se sont posés sur ton visage. Esprit espiègle et toujours dans l’envie de se battre - et de gagner - on en vient vite aux mains. C’est la première fois que ça arrive, que l’on soit si proche et je dois dire que je déteste cette proximité. Elle me fait sentir - et ressentir - bien trop de choses pour que je sois calme et posée. Je ne sais pas l’expliquer mais tu retournes mon monde complet à chaque fois. Pas dans le bon sens du terme - malheureusement - parce que je rougis de colère, chacun de mes nerfs se tend et je fais tout pour te faire mal. Seulement voilà, cette position n’a jamais de celles dont on peut s’extirper facilement. Alors même si je tente de te mordre, de te griffer, je n’y arrive pas vraiment. Bien sûr, j’ai hâte de voir ton cul ! Que je grogne en continuant de tirer sur le t-shirt que je remonte pour laisser ma marque sur ta peau. Aucun doute qu’avec des griffures dans le dos, tu ne trouveras jamais personne et ne pourras donc pas m’ennuyer. Franchement, c’est ce que j’espère pour toi ainsi que pour ma tranquillité. Jamais. Que je lance entre deux protestations, incapable de me sortir de cette poigne que tu as, chose qui ne me plait absolument pas. Ça serait tellement mieux si je pouvais m’en sortir, te glisser entre les doigts et t’enfermer ici pour gâcher ta première journée. J’ai presque envie de te le dire, de te le demander : qu’est-ce que tu fous là alors que tu pourrais profiter de la ville ? Mais tu réussirais à trouver une réponse bidon et je n’ai ni le temps ni l’énergie d’écouter tes inepties. En tout cas, tout se passe rapidement. Je suis contre la paroi de la douche, l’eau froide qui me coule dessus et mes cris de surprise qui se mélangent à ceux de rage. Et ne pas me forcer quand je te demande de me poser ? Que je lâche sèchement, m’accrochant toujours à ton t-shirt comme à une bouée de sauvetage. Mais ça te fait rire en plus. J’en serre les dents, me rendant bien compte que tout cela n’est qu’un petit jeu pour toi alors que moi, je suis clairement hors de moi. J’essaye de me contrôler mais l’envie de te repousser et de te gifler est si forte. En plus, ça claquerait bien avec l’eau… J’en rêve mais je ne bouge pas, gardant mes yeux ancrés dans les tiens. T’as pas d’autres conneries à me raconter par hasard ? Que je lance rapidement avant de rajouter Quand ça concerne mon corps, je préfère en parler. Ça a longtemps été mon instrument de travail et le respect a toujours été en haut de la liste de mes volontés à respecter. Ce n’est pas avec toi que ça va changer. Est-ce qu’on peut sortir maintenant ? J’aimerais éviter de choper une bronchite. Que je finis par dire, relâchant le tissu que je gardais en main jusque là, commençant à sentir comme une brûlure sur ma hanche - me rendant compte que c’est la chaleur provoquée par ta main sur ma peau qui se refroidit très rapidement.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Je n'arrive pas à m'arrêter de rigoler même si parfois mon sérieux revient le temps de parler pour t'embêter « J'le savais... » Que tu rêves de le voir ce postérieur que tu peux parfois admirer quand je me promène en boxer dans l'appartement que l'on partage. Moi je trouve que ces vacances que je voyais déjà comme un enfer, prennent une tournure amusante. Certainement parce que j'ai la dominance, parce que je parviens au bout de mon idée : allumer l'eau pour que l'on se retrouve entièrement mouillé. C'est froid mais je ne crains pas. Trop réchauffé par le plaisir de te voir rager, oué je vois cette rage sur ton visage. Je peux même parier que t'as envie de claquer le mien et j'ignore pourquoi tu te retiens. Je ne vais pas me plaindre, le sourire aux lèvres « Le but était de te refroidir dans tes idées tordues. J'allais pas m'arrêter avant l'arrivée. » celle de toi dans cette douche, inondée et en colère. Je te pousse à bout, ça en devient une passion. Sauf que t'inverse un peu la position, je ne résiste même pas un soupçon. « Des tas, mais tu mérites pas de les écouter. » parce que même moi je ne suis pas prêt à tout ce qui peut se passer dans mon esprit dans ce moment légèrement intimiste. Nous n'avons été dans une telle proximité, je suis perturbé mais hors de question de te le montrer. « Je t'ai manqué de respect?... répond sérieusement s'te plait. » Nan parce que j'ai eu un mauvais exemple dans la vie et je me suis fais la promesse de ne jamais importuner une femme. Est-ce que ma main sur ta hanche c'est déplacé? Elle s'est posée là parce que je me sens entrainé par l'ambiance et la complicité. C'est trop bon, putain, ça faisait longtemps. Tu sais, moi, la dernière fois que j'ai été plaqué comme ça contre un mur, c'est venu d'un mec qui pensait que je draguais sa copine. J'y peux rien si sa main est venue se glisser dans mon froc. J'avais pas trop les moyens de dire non sur le moment. J'me suis pris deux trois coups dans le bide et je suis parti dans un autre bar. Comme toi, t'as envie de te casser loin de moi. Tu lis que ça me déçoit? « Nan t'es pas si fragile. » tes yeux ne dansent plus. Qu'est-ce que j'ai dit? Tu me fixes d'un regard très noir et ça me bouffe. Je redescend en deux secondes. Faut pas parler, faut jamais parler, ça gâche tout. Alors tu veux partir? Tu m'laisse bouillir comme ça et tu te barres? Les doigts libres de toi inverse la position du robinet pour couper le liquide frais. Je pourrai lâcher ta peau pour te montrer le chemin de la sortie, mais je me contente d'un léger mouvement de tête et de quelques mots « Vas je t'en prie. Tu trouveras des serviettes sur le coté. » Merci ma mémoire photographique de pouvoir assurer l'information. Y'a même un peignoir accroché et un autre plié proche du lavabo « Fous pas trop d'eau partout. Tes vêtements vont dégouliner. » Une manière de te dire "vas-y tu peux te déshabiller je ne regarderai pas?" sauf si tu me donnes le droit.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il y a tellement d’émotions contradictoires qui se battent en moi. Je suis là à hurler que tu me gonfles, que je suis triste de te voir de l’autre côté de la porte mais, en même temps, je ne peux nier que je suis rassurée. Au moins, je sais que je ne serai pas avec un pervers et que je ne finirais pas attaquée, agressée ou séquestrée. J’ai entendu parler de cette folle histoire l’année dernière où un homme a séquestré des gens dans des cages et où la police a du intervenir pour les sauver. Des étudiants en parlaient dans l’avion et c’était complètement fou ! J’avais l’impression de suivre un épisode d’Esprit Criminel même si ce n’était absolument pas le cas. Alors là, même si tu me tapes sur les nerfs, je sais qu’il ne m’arrivera rien. J’ai confiance en toi et tu sais que mon fantôme viendra te hanter et te pourrir la vie, te poussant probablement à mettre fin à ses jours pour arrêter les frayeurs s’il venait à m’arriver quelque chose. C’est bien pour cela que mes crises sont excessives avec toi - il a la version contrôlée et incontrôlable de Gina-Gisela, le full package quoi. Au moins, tu ne pourras pas dire que j’ai menti. Et quand l’eau froide me coule dessus, je sais que je vais vriller. Été comme hiver, mes douches sont chaudes voire tièdes parce que je ne supporte pas l’eau froide. Pour moi, c’est un rappel de ces mois où mes parents ne payaient pas les factures, faute de moyens, alors je veux éviter cela. Après moi, c’est toujours le sauna dans la salle de bain et ça, il le sait. Mes yeux roulent à tes mots et je soupire fortement. Je vois bien que je suis en train de perdre pieds et que toi, tu gardes ton calme olympien. Ça me met dans une rage encore plus profonde, encore plus forte et ça risque de mal se finir cette histoire. Woaaaaw, l’ambiance a vite changé. Que je lance en plantant mon regard dans le tien. Non, on joue. Mais si une femme te demande de la poser, tu le fais la prochaine fois. Et là, je ne te donne pas l’autorisation de faire ce que tu veux de moi la prochaine fois mais juste que ça pourrait être mal vu ou perçu pour certaines femmes. Je ne suis pas là pour t’éduquer mais cela me tient à cœur parce que c’est un sujet important. Et maintenant que je te demande si l’on peut sortir, les mots sont choisis pour que ce soit une possibilité et non pas une demande clairement fermée. À tes mots, je souris largement, retrouvant ma folie et lance Ah ! Je savais que tu m’admirais. Complètement extrapolée mais je suis fière de ces mots, de ce sourire qui est revenu sur mon visage alors que mes yeux étaient noirs il y a quelques secondes. Jean qui rit, Jean qui pleure, c’est moi. Ce n’est pas que je switche facilement mes émotions mais juste que je vis et ça, ça peut perturber. Je te pensais plus accommodée à tout cela mais il semblerait que ce ne soit pas le cas. Une boule se forme dans ma gorge et je fronce les sourcils, sentant mes muscles se tendre en un claquement de doigts. Ta main qui quitte ma hanche, c’est le retour à la réalité à cause de la fraîcheur de l’eau qui coule sur cette partie préalablement cachée. Mh ok. Que je souffle à voix basse. Je te regarde et attrape ton menton entre mes mains. Je plante mon regard dans le tien et dis T’étais plus drôle y a deux minutes. Et ce n’est pas tout le but de nous deux que de se tirer dans les pattes, de se faire chier, de faire sortir le meilleur et le pire ? Je ne sais pas. Je relâche ton visage et soupire De même pour toi hein. Et je fais un pas pour sortir de la cabine de douche. Seulement, j’ai cette famille de cafard qui me grouille dans le bide et qui m’interdit de faire plus qu’un pas. Mes habits dégoulinent sur le tapis de douche et je me retourne Il se passe quoi ? J’ai besoin de savoir. Est-ce que j’ai dis quelque chose qui ne fallait pas ? Est-ce que ma colère passagère a été trop forte ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Je ne veux pas que l'ambiance soit aussi froide que l'eau qui coule sur nous, mais j'ai bien trop peur de lui ressembler pour ne pas m'interroger sur mes manières de faire. Je ne ferai jamais du tord de manière consciente, alors si jamais j'en fais, j'ai besoin qu'on me le dise pour ne pas répéter l'erreur. Je n'ai pas pu sauver ma mère de ça, je ne pourrai pas le faire avec les autres femmes qui sont malheureusement, bien trop nombreuses, mais... je ne rajouterai pas de prénom à la liste trop longue des victimes d'irrespect, quel qu'il soit. Tu sais ce qu'elle me disait pour justifier son incapacité à s'en aller? Qu'elle s'en foutait d'avoir le front un peu bleu, deux ou trois côtes cassées par mois. Qu'elle s'en foutait d'aller chez le médecin, d'attirer l'attention par ses joues gonflées, par ses dents cassées. "Qu'est ce qu'il t'es arrivée? Tu es tombée?" Oui, tombée amoureuse oui. Et c'est très douloureux. C'est difficile à comprendre hein? Il la frappe, la trompe, l'insulte ; et elle, elle l'aime. Il lui arrive d'être effrayée, souffle coupé, trachée compressée, asphyxiée. Choquée, plaquée au sol par ces mains et ce corps qui lui ont fait tant de bien par le passé. Faut que j'arrête d'y penser. « J'tâcherai de m'en souvenir. » Bien que je vais devoir apprendre à différencier le sérieux du jeu. Mes yeux roulent sous ta suspicion d'admiration. Impossible de ne pas ironiser, de ne pas en faire des tonnes d'un faux-semblant « Ha mais oué j'suis carrément fan de toi. Tu penseras à me signer une photo? » Pour te rappeler tes anciennes années de succès. D'ailleurs, que je ne rechigne pas à ta demande, c'est un peu te traiter comme la diva que tu étais nan? Bizarrement, je crois voir que ça te déplait. Parfois, je ne sais plus sur quel pied danser. Mon menton saisi, impossible de ne pas avoir les deux yeux dans les tiens. Je baragouine difficilement avec la pression de tes doigts « Tu veux dire, quand tu me hurlais dessus? » T'étais la plus drôle des deux. Et même si je m'en sors avec des ecchymoses, ils sont de ceux que j'aime. De ceux qui, en un regard, peuvent me rendre heureux en me ramenant en ce lieu, à ce moment « J'fais toujours gaffe moi. » Mais pas quand il s'agit de dissimuler ce que je ressens. Je fixe le sol de la douche, en hésitation à en prendre une quand tu auras quitté la pièce mais ta question me fait remonter le visage brusquement. Prêt à être franc, tu me coupes dans mon élan quand je vois le torrent qui s'échappe de tes fringues alors que je te disais de faire attention une minute avant « MAIS T'ES SERIEUSE? » Imprégné par la précipitation, j'ôte haut et short pour finir en boxer et sortir de la cabine. Laissant mes vêtement dedans, à l'abandon. T'es plantée comme un piquet (Kelly  abcdefu (charles&gigi) - Page 2 1f440 ) et mon réflexe premier est de revenir vers toi, pour te pousser vers ce qu'on vient de quitter. Dans la délicatesse pour ne pas te blesser, ton dos retrouve la paroi. Une action vraiment enflammée, si nous n'étions pas des meilleurs ennemis. Mes mains sur tes épaules, je viens te fixer intensément, deux secondes avant de me mettre à rigoler. C'est nerveux je crois. « T'as le don de me rendre dingue toi. » De me faire vriller. Même de me faire douter sur ce qui pourrait me traverser l'esprit « Déshabille toi, j'vais te chercher le peignoir... » Si je parviens à lâcher tes pupilles devenues rieuses. Si je fini interner, inutile d'en demander la raison. Elle portera certainement ton nom. 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La situation entre nous a tout de quelque chose d’irréel. Du rire aux larmes. Du jeu à la haine. On est un peu comme ce ciel bleu qui s’assombrit en un claquement de doigts. On ne sait pas s’il va pleuvoir, ce qu’il va se passer ni comment ça va se finir mais tout peut arriver. Est-ce que la pluie que je sens au loin, le ciel bleu, la tempête ? L’imprévu, incapable de contrôler les éléments mais aussi ce qu’il se passe entre nous. En même temps, c’est incompréhensible alors comme ça… Aucune surprise ! Nos yeux ne se quittent pas et il y a tellement de choses qui passent à travers eux, ils communiquent plus que nous, c’est clairement flippant. Comment peut-on se faire doubler par deux paires d’iris, sérieusement ? Mais c’est une question pour demain parce que les pics d’humour sont balancés comme des boulets de canon. C’est à voir qui va se le prendre en pleine face en premier. Je suis douée pour éviter, fais gaffe à toi Charles parce que tu risques de prendre cher. Je ne me laisserais pas avoir une seconde fois face à un homme. J’ai surement quelques head shot plutôt sympa, tu serais ravi. Que je balance avec un large sourire, comme pour te piquer encore plus. Il y a tellement de choses qui me traversent l’esprit et qui s’écrasent contre mes langues. Il est malin, ce cerveau, à tout faire pour que je ne dise pas de conneries, que je ne pousse pas trop loin. Je n’ai pas envie que ça dure quatre jours. Le soleil du Mexique m’attend. Il t’attend aussi, toi qui n’en a pas encore profité. Ouai, probablement ça, j’aime te crier dessus, je te trouve drôle avec ta tête de merlan fris. Et l’absence de coopération, de réaction, de.. je ne sais quoi me désespère au point où j’abandonne ton visage et la discussion. Je ne veux vraiment pas perdre mon temps et là, c’est tout ce qu’il se passe. Toi ou moi, on perd notre temps. Mais je n’aime pas laisser les choses en suspens comme ça alors je te pose une autre question, une dernière question et ta réaction est tout aussi exagérée que les miennes. Putain mais c’est qu’on fait la paire tous les deux. Deux sangs chauds sauf que toi, tu viens d’un pays où il faut rallumer le chauffage en plein mois d’avril. Mais calme toi ma parole ! Que je renchéris alors que tu te déshabilles devant moi. Je fais un pas en arrière, surprise mais tu ne me laisses pas le temps de m’échapper - et de sauter dans ton lit - parce que je me retrouve à nouveau dans la cabine de douche. T’es barge ma parole, complètement barge. Et tu le confirmes par tes mots. Ce rire qui sort de tes lèvres, je ne le comprends pas vraiment, pour ne pas dire pas du tout. Perplexe, j’arque un sourcil et souffle Sérieusement, il se passe quoi là ? Et parce que je ne suis pas du genre à me faire prier quand il est l’heure de me déshabiller - surtout quand le jeans de mon short commence à peser, j’attends ta réponse, ne quittant pas ton regard. Mes doigts sur mon bas, j’enlève le bouton, descends la braguette et le laisse tomber dans un bruit sourd sur le carrelage de la douche. Ma culotte couleur ocre couvre mes parties intimes et mes fesses. Et comme si je voulais être sûre que tu ne profites pas de la vue, je retire rapidement mon haut - me retrouvant seins nus devant toi - et te balance mon t-shirt au visage. Il s’y pose de manière tout sauf gracieuse dans un bruit sourd, lui aussi. J’en ris parce que tout cela est surhumain. Arrêtes de mater pervers. Que je lance. Il est où mon peignoir d’ailleurs ? Bouges pas, je vais attraper mon peignoir. Gardes tes yeux cachés pendant que je sors de la douche et que je me cache sous l’éponge. Le bras tendu, je tourne le visage juste pour voir si tu écoutes bien ce que je t’ai demandé.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


« Une ça suffira, j'vois ta tronche tout le temps. » Jusqu'au Mexique. J'vais te dire, la vie, c'est pas si beau. Ceux qui la font passer pour du sucre filé se sont fait bourrer la gueule avec des raffineries. Et finalement dans mon quotidien, heureusement. Heureusement, chaque jour, je le dépense avec toi. C'est ça, le plus vrai. C'est de savoir que tu vas revenir chez nous, que tu vas passer la porte. C'est à n'y rien comprendre. Vraiment. C'est que ta peau, et puis ta voix, et puis tout, autour de toi, tout. La vie c'est pas si beau. Heureusement, chaque matin, quand le sommeil se retire. Je n'ai qu'a parcourir notre appartement pour te voir à mes cotés. Le vrai c'est ça. C'est que je ne trouve pas les mots, et ils n'existeront jamais. C'est pas beau. C'est pas bon ni juste ni beau. Des fois c'est douloureux, ça te prend au milieu du ventre comme un arbre qui s'écrase. Ce n'est plus croire, ni mentir. C'est savoir, même lorsqu'on se trompe. Faut pas penser que ça se fait toujours d'évidence. Savoir que la seule direction de tout, le seul sens, c'est le temps. Et que tu peux toujours le passer à fuir, à tricher, à faire ce que tu veux. Le temps s'en fout ; il est pareil. Tu sais toi t'as plus de substance que tous les langages réunis, c'est ça la vérité. T'es plus vraie ; tu débordes et m'asperges. C'est le soleil au dessus. Tu nous libères et je reviens. Réduisant la proximité une nouvelle fois pour que tu n'inondes pas autre chose que moi. Tu ne comprends pas toi et je ne peux pas juger ça en prétendant que tu ne captes jamais rien. C'est juste que tu n'es pas dans le même mood que le mien « Mais rien. J'te dis de faire gaffe et toi tu défiles dans la salle de bain. » Un sourire « Du coup ça m'rend dingue. » Ha qu'il est bon que tu ne puisses pas rentrer dans ma tête pour savoir ce que je pense. Encore moins quand tes mains déboutonne ton short en jean. J'ai les pupilles sur l'action avant de relever brusquement les deux sur la paroi. Je crois qu'il faut que je m'éloigne de là. Un pas hors de la cabine, c'est à ce moment là que tu décides de t'entrainer pour le lancer de poids. Je prend ton haut mouillé de plein fouet dans la tronche. Choqué, j'ai les bras ouverts mais je n'ose plus bouger. « Mater quoi? Toi?  » J'en pouffe de rire et continu de faire la statut. Vous connaissez la technique pour regarder sans être accusé de le faire consciemment? Nan? Regardez bien. Avant même de poser la question, ma main vient enlever le vêtement d'un coté, ce qui laisse la possibilité à un seul oeil de voir. Et c'est quand il admire le spectacle qu'on demande « C'est bon?  » Et à ce que je vois, nan.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je lève les yeux au ciel et ronchonne, parce que je veux le dernier mot, C’était pour que tu choisisses. Mais t’auras pas le choix Charles, je te donnerai celle que j’ai envie de partager et puis c’est tout. J’aurais presque pu essayer d’être gentille mais on sait tous les deux que ça ne nous correspond pas. La preuve en est, on se chamaille comme des gamins, on se tue du regard - et on essaye avec les mots - mais ce n’est pas franchement concluant. La preuve en est, on est toujours là à se heurter l’un à l’autre, à chercher, à pousser. C’est ce qui nous qualifie. Le feu et la tempête. Y en a pas un pour rattraper l’autre et je crois que nos voisins de chambres risquent de regretter d’être venus au monde parce que de ta vie, je ferai un Enfer. J’en ai envie, j’en ai besoin. Et quand tu réagis de manière excessive, je perds pieds. Ce n’est pas toi l’irrationnel du duo en temps normal, c’est toujours moi qui joue à la maman, moi qui crie quand tu ne respectes pas ce que je te dis, ce que je te pousse à faire. Mais là, c’est toi qui déboulonne et ça me perturbe autant que ça m’intrigue. Putain, il se passe quoi là, Charles ? C’était drôle mais là, ça ne l’est plus vraiment. Mes yeux sur toi, j’attends tes explications et quand elles arrivent, quand je vois ton sourire nonchalant sur ton visage, je ne peux m’empêcher de lever les yeux au ciel. Dramaking. Voilà ce que t’es. Je défile pas, je suis à dix centimètres de toi. Et tu ne m’as jamais fait défiler. La salle de bain serait une piscine si c’est là dedans que je me lançais. Parce que les hanches doivent rouler, la tête se tenir haute et les cheveux, les enlever du chemin. Ils doivent sublimer et non pas gâcher ou couvrir quoi que ce soit comme c’est le cas à l’heure actuelle. T’y connais rien et tu parles, ça pourrait presque m’énerver mais je n’ai pas le courage. J’ai juste envie de te faire chier plus que de criser. C’est une envie qu’on doit partager parce qu’on a les mêmes réactions débiles. Non le pape, crétin. Que je lance en levant les yeux au ciel, passant à côté de toi pour aller chercher le peignoir, les seins à l’air. La fraîcheur de la pièce fait réagir ma poitrine et mon corps complet. Un long frisson parcourt mon échine et lorsque ta voix me revient, je tourne rapidement le visage pour voir si tu ne fais pas le con. Ça n’a pas l’air d’être le cas et je souffle Presque. Deux secondes Speedy Gonzalez. On est dans le bon pays en plus, ça t’irait bien comme surnom. Oh mon dieu. Voilà mon prochain coup, faire tourner la rumeur que ton surnom est Speedy Gonzalez parce que tu es beaucoup trop rapide au lit. Sourire sur le visage, j’enfile le peignoir et alors que je ferme la ceinture autour de ma taille, je lance un C’est bon. tout en faisant glisser ma petite culotte en dentelle le long de mes cuisses puis de mes jambes. Je la ramasse et la jette dans le baquet à douche. Voilà, comme ça je ne pourrais plus transformer la pièce en piscine. Le sourire est narquois et mes yeux se glissent sur ton torse puis ton entre-jambe. Gigi, les yeux ! En haut ! J’arrache mon haut et le fais rejoindre le reste de nos vêtements. Je m’occuperai de ça plus tard. Prête à tourner les talons, je te lance un dernier regard Monsieur est content, c’est bon ? De m’avoir fait sortir de mes gonds aussi vite, de m’avoir foutu sous l’eau fraîche et d’avoir profité de la vue ? Parce que j’ai fait celle qui n’a rien vu mais ce n’est absolument pas le cas. Oops pas oops. Mateur. Pervers. Ça m'intrigue.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Je vais me taire et t'accorder celle-là. Parce que débattre sur une photo n'est clairement pas dans mes priorités quand toi et moi on se retrouve là, dans une salle de bain à moitié dénudés. Pour faire taire les envies insensées de mon esprit, j'opte pour la maniaquerie d'un lieu de vie temporaire. Qu'est-ce que j'en ai à faire que la salle de bain soit inondée? Dans quelques jours je serai dans l'avion directement chez moi. Enfin chez nous. J'men fou, t'en foutais partout. Ho que je le sens ton envie de rentrer dans du conflit, continuellement. Mais j'ai trop de voix à faire taire dans ma tête pour me concentrer a 100% dans un combat verbal. Je ne te laisse pas trop en profiter pour autant, surtout quand tu insinues des choses. Vraies, mais pas obligé de le notifier et d'en être convaincue Mais toi j'crois tu espères des trucs... Ce que tu ne sais pas c'est que pour éviter de souffrir, j'apprécie ce que l'on est et j'évite de fantasmer sur ce qu'on pourrait être. J'ai envie de te remercier quand ton haut vient s'écraser sur ma face, parce que je pourrai l'utiliser pour cacher un peu de mes expressions, cacher mes yeux qui n'auraient aucun scrupule à me trahir sur certains de mes désirs. Nan mais c'est toi qui abuse, t'es une tortue. Ou plutôt ma torture. Que je m'inflige seul, trop tenté pour résister. Un oeil qui peut profiter de la vue, sans se soucier des tiens qui peuvent le capter. Aucune réaction excessive? J'ai donc été discret. Une fois l'autorisation, je laisse le vêtement glisser sur mon épaule, laissant de l'eau ruisseler sur mon torse. Tu me donnes un aperçu d'effeuillage burlesque, à m'en faire déglutir. J'aurai pu pendre de la langue sauf que je suis bloqué par ton regard fureteur. Tu t'approches et je me dis que je ne suis peut-être pas le seul à ressentir des... ha non. T'as juste voulu me débarrasser de ton linge trempé. Bien. Tu vois quand tu veux. Tu peux quand même faire mieux. Ca dépend de quoi. Parce que je sais que ça va t'intriguer. Ma tête se baisse pour admirer mon boxer qui commence à bien coller et je relève les pupilles pour les poser sur toi. Tu vas sortir ou pas? Parce que j'vais me foutre à poil. J'suis moins doué que toi pour les strips. Genre mettre le peignoir, faire descendre sur la jambe de manière sensuelle, tout ça,... Après tu peux regarder. Mais pas toucher! Comme si je continuai dans mon rôle de papa, à te donner des ordres. Vu le surnom dont tu m'as affublé, mes pouces passent sous le bord élastique et je commence à descendre mon accoutrement minime. Ce qui découvre mon pubis soigneusement taillé. Ni trop, ni pas assez.  
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)