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abcdefu (charles&gigi)

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abcdefu (charles&gigi) 1f4cd cancun, mexique abcdefu (charles&gigi) 231a mardi 15 mars 2022 w/ @Charles L. Davies


Lorsque je suis arrivée à Cancun la semaine dernière, on m’a dit que suite à une erreur de réservation, j’allais devoir partager ma salle de bain avec quelqu’un. Surbooking, réservations dans tous les sens, il ne restait plus qu’une suite parentale. J’en occupe une partie depuis mon arrivée ici et la seconde partie - de l’autre côté de la salle de bain - sera occupée seulement vers la fin du séjour. Bon jeu, la réduction appliquée pour le soucis - à moi le remboursement - je n’ai pas trop rechigné, pas du tout même. Tant que je n’ai pas besoin de partager mon lit avec un inconnu, tout ira bien. Il est seize heures lorsque je rentre dans ma chambre et me laisse tomber sur le lit en position étoile de mer. Coups de soleil sur les épaules, je ferme les yeux quelques secondes et suis rapidement emportée par Morphée au pays des rêves dont je sors une grosse demi-heure plus tard, réveillée en sursaut par un bruit provenant de la salle de bain. Au début, je me demande si c’est l’un des coaties qui est venu dévaliser la salle d’eau et, rapidement, mon cerveau sort de ce brouillard dans lequel il était et je réalise que c’est aujourd’hui que mon camarade de salle d’eau arrive. Je m’extirpe du lit, regarde rapidement mon reflet dans le miroir - on ne sait jamais sur qui je vais tomber - passe une main rapide dans mes cheveux et me dirige vers la salle de bain. La porte est fermée de mon côté alors je toque doucement et souffle Bonsoir. Je suis la deuxième moitié de la salle d’eau. Que je dis en ouvrant la porte doucement. Gigi ench- Et quand mon regard croise celui du jeune homme en face de moi, je me décompose. Il me faut quelques secondes pour revenir à mes esprits et c’est une grimace de dégoût qui s’affiche sur mon visage. C’est une blague ? Tu viens voler la meuf que t’as pécho dans l’avion ? Que je soupire fortement, me demandant bien ce que j’ai fait au bon dieu pour me retrouver avec Charles. Jusqu’ici, il faut que je tombe sur lui, il faut qu’il me suive. Il semblerait que mes douces vacances viennent de prendre une tournure qui ne m’intéresse pas le moins du monde. Et si mon mood était au plus haut possible depuis mon arrivée, il semblerait que les quelques jours qu’il reste vont être un supplice. Aucun doute qu’il va faire un bordel monstre pour me faire chier et je n’ai pas la tête à ça. Si seulement il pouvait repartir de là où il vient…
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Partir quelques jours au spring break oui, mais à la seule condition d'avoir les meilleurs tarifs garantis. Se prendre un peu de vacances ne doit pas dilapider mes économies. Après le vol low cost, c'est à l'hébergement de me faire plaisir. Quand je me suis occupé de la réservation, j'ai pu bénéficier d'une remise alléchante avec comme seul inconvénient de partager la salle d'eau avec un voisin. Je le fais au quotidien avec une chieuse alors je peux m'accommoder le temps de mon séjour mexicain. Carte magnétique insérée à l'endroit destiné, la porte de ma chambre s'ouvre et je peux visiter mon nid douillet. Je suis franchement épaté par la beauté du lieu, la tête déjà remplie par tout ce que le lit va voir passer. Présentement, c'est ma valise que j'ouvre dessus pour déballer et ranger mes affaires. Quand arrive dans ma main la trousse de toilettes et le nécessaire à l'hygiène corporel, je fais marche vers la salle de bain. Tellement dans l'euphorie de mon arrivée, je ne veille pas à être silencieux ni à savoir si quelqu'un se trouver derrière cette porte. Ha, vu que ça toque, j'ai la réponse sans demander. Une voix féminine, j'ai vraiment tout gagné à vouloir boursicoter « Bonsoir, tu peux entrer. » La voix amplifiée pour traverser les murs et les yeux prêts à savoir si mon attenante sera la première à subir ma tentative de séduction. Patapouf... Ma trombine joyeuse devient blasée et je ne retiens pas l'effet que ton entrée me fait « Putain c'est pas vrai... » C'est une caméra cachée? Une blague de mauvais goût? Je ne te supporte pas assez sur Boston? « Nan je viens passer des bonnes vacances. Mais ça semble compromit d'un coup. » Le soupir désenchanté alors que mes mains reprennent le placement de mes produits. Je bougonne « Tu pouvais pas te prendre la suite nuptiale toi? » Au lieu de venir m'emmerder. Tu n'es pas mariée à un distributeur de billets? Et comme pour marquer que je suis dégoûté, je prend le droit de bouger certains de tes bidules pour que les miens viennent les remplacer. Dérangeant ce que tu avais surement organisé pour ta routine du matin.
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La fatigue de la journée dans les pattes, la sociabilité poussée, je ne veux pas perdre le temps avant de rencontrer mon voisin - ou ma voisine - de chambre. Qui sait ? Peut-être que j’aurais une belle surprise. Je suis venue seule ici mais ai passé des moments plus que sympas et encourageants. Entre groupe de touristes ou même rencontres avec certains étudiants d’Harvard, j’ai tissé des liens qui dureront peut-être plus d’une journée ou deux. Les numéros de téléphone ajoutés au téléphone, ils me permettront de bouger une fois rentrée. Mais pour le moment, je ne pense pas à la maison mais reste bien ancrée à Cancun et prête à rencontrer mon partenaire de salle de bain pour les quelques jours qu’il reste. Et tout l’enthousiasme que j’avais jusqu’ici dégringole quand c’est ton visage que je reconnais. C’est à croire qu’il y a une caméra quelque part, que j’ai fait du mal à quelqu’un ou que l’hôtel a eu vent de notre relation chaotique et a décidé de nous mettre ensemble, pour le fun. Mais y a rien de drôles là dedans. Vraiment, ça ne me fait pas rire. Pas le moins du monde. Huit jours de tranquillité foutu en l’air… Par une tête de con. C’est vraiment ce que j’ai envie de dire mais je me retiens, ne souhaitant pas mettre le feu aux poudres de suite. Toi comme moi savons très bien que la dispute finira par éclater d’une manière ou d’une autre. Je me faisais une joie de cette nouvelle rencontre. J’ai presque envie d’aller à l’accueil et demander le relogement de Charles mais je sais que ce n’est pas possible. Erreur informatique à la con, je soupire. T’as cru j’étais la banque des États-Unis ou quoi ? Si j’avais le fric pour une suite nuptiale, je vivrais pas avec toi à Boston hein. Les choses sont claires au moins. On est tous les deux dans une situation où chaque dollars doit être économisé et ces dix jours au Soleil sont déjà un énorme trou dans mon budget. Racheter le Nirvana - enfin petit à petit - me semblait être l’idée du siècle mais c’est bien plus difficile que je ne pouvais l’imaginer. Peut-être que dans quelques semaines, je pourrais avoir un prêt, quelque chose pour m’aider à obtenir la totalité de ce bien immobilier. Pour le moment, ce n’est pas le cas. Mes yeux sur le lavabo, quand je te vois bouger mes affaires, je dis Non mais tu te crois où ? Touches pas à mes produits tu veux. Le partage, tu connais pas ? Et j’avance vers toi, te poussant pour récupérer mes affaires et les replacer comme je le souhaite. Bouges de là Charles, tu me fais chier. Et il vient seulement d’arriver. Mais je le déteste pour ça, pour venir gâcher mon petit moment au paradis. Je replace mes affaires dans un coin un peu plus restreint et je dis J’étais là avant alors tu t’adaptes. Deux gamins. Mais c’est ce que nous sommes alors comme ça…
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C'est comme une vague de haine qui m'avale quand tu fais ton apparition dans cette pièce où je rêvai d'une voisine qui embellirait mon séjour. Tout le contraire, un cauchemar éveillé que je suis entrain de vivre. Cette chambre me réceptionne à peine que j'ai déjà envie de m'enfuir. « Ho Cosette t'as pu profiter au moins. Moi, mon séjour n'a même pas débuté qu'il est déjà ruiné. » C'est comme ça que les prochains jours seront rythmés. A se renvoyer la faute, la balle et les coups foireux. Parce que je le sais, il va y en avoir, c'est obligé avec nous deux. Je n'irai pas me plaindre à la réception, je connais ce boulot et j'ai aucunement envie d'aller faire chier des innocents quand la seule qui mérite mon caractère infect se trouve devant moi. « Et pourquoi tu n'as pas une chambre avec ton mari? » J'ignore beaucoup de toi parce que ça fait quoi, deux mois qu'on se connait, mais cette information là j'en suis certain. Madame Desrosiers. Des rosiers mais surtout des épines que tu aimes me planter. On dit que la meilleure défense c'est l'attaque, alors j'ouvre les hostilités en premier en dégageant tes petites affaires. « Tu peux trouver un autre endroit. » Tu connais mieux le lieu que moi nan? Ton corps qui bouscule le mien, je n'oppose pas de résistance. Je suis décalé d'un grand pas et je viens te fixer en harponnant ma lèvre inférieure de mes dents. Un geste qui me permet de retenir une insulte que je pourrai regretter. Je te fais chier? Ca ne fait que commencer. Te détester c'est comme prendre une bonne dose de drogue. J'en suis dépendant tellement c'est jubilant. « Ben t'as qu'a ranger mes trucs comme ça te convient. » C'est que pour trois jours alors je m'en fou si c'est pas comme je le veux. Tu vas trépigner de penser gagner alors que moi je vais me régaler de te voir aménager ce qui m'appartient. « En attendant j'vais visiter ta chambre. » Que je prophétise en te contournant pour avancer vers la porte que tu as antérieurement ouverte, à mon grand désarroi.
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Bah pars, vas demander à changer de chambres à la réception. Ne me demandes même pas de le faire parce que moi, je suis là depuis plus longtemps que toi, comme tu viens si joliment de le dire et je connais déjà la réponse. Mais pour te faire chier, je suis prête à te pousser à y aller. Ça te fera perdre du temps précieux, un temps que tu ne retrouveras pas et ça, ça m’enchante grandement.. Mesquine, vous dites ? Moi, j’en souris déjà intérieurement. Mais je sais qu’il va me falloir du temps et de l’acharnement pour te faire quitter la salle de bain et la suite qui communique avec la mienne. À la mention de Raphaël, je lève les yeux au ciel et soupire Tu le vois souvent à la maison, mon mari ? Et lorsque les murs tremblent, ce n’est pas grâce à Raphaël. Je n’ai jamais raconté la base de notre histoire à Charles et ne compte pas le faire de si tôt. Probablement jamais. Parce qu’il serait encore bien capable de me balancer à l’immigration et nous prendrions cher, Raphaël et moi. Il est rentré à Boston. Pour ce que j’en sais. Je ne saurais même pas dire si c’est le cas ou non. Nous n’avons pas forcément passé de temps ensemble ici parce que nos chemins ne se sont pas croisés. Sans compter que j’ai la sale impression qu’il est à des années lumières du moment présent quand on se voit. Ou peut-être que c’est moi qui l’est. Tout ce que je sais c’est qu’avec toi, je ne suis pas à des années lumières. Oh non, la salle de bain est bien réelle. T’es sur de toi là ? Que je lance en te lançant un coup d’oeil en coin. Non parce que sinon, le tout finira là où j’ai envie : dans les toilettes ou bien la poubelle, c’est une décision que je prendrais plus tard. Et je suis pas ta mère. J’aurais pu être sa grande soeur si les choses avaient été différentes mais ce n’est pas le cas. Bon sang, quel supplice on aurait été pour des parents communs ! Et quand tu avances vers ma chambre, je ne peux m’empêcher de lever les yeux au ciel. Quel crétin. Ce sont les plus jolis mots qui sortiront de mon esprit à ton sujet, tu peux en être sûre ! Tu vas payer ma chambre aussi à vouloir la visiter ? Que je dis, réorganisant ma partie alors que ta trousse de toilettes, je la balance dans le placard comme si c’était un t-shirt sale. Ça a la même valeur pour moi. J’ai pris celle avec le plus grand lit. Que je souffle avec un sourire sur le visage. Je te regarde déambuler dans la pièce et finit par dire Allez, sors de là, t’as rien à y faire pour commencer. Et il va être l’heure que je me prépare pour ma soirée. Évites d’être trop bruyant par contre quand tu baiseras tes étudiantes. Je sais à quoi ça ressemble et tu donnes vraiment pas envie. Tic tac, tic tac. Quand va-t-il déguerpir ? Va-t-il se lancer dans une guéguerre avec moi ? C’est tout ce que j’attends.
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Je laisse un bruit s'échapper, un duplicata d'un ébrouement de cheval « J'vis avec toi, je ne vais pas aller les emmerder. Je pense pouvoir survivre. » Et si ça me fait chier, je me consolerai en te faisant subir ce sentiment en triple. Ne me remercie pas pour tant de générosité. Je soumet les différentes possibilités pour te voir quitter ta chambre, mais tu trouves réponse à tout. « Si tu crois que je fais attention a tout ceux que tu ramènes. » Mari ou nan, je ne suis pas un inspecteur de police. Alors quand tu m'informes qu'il est rentré à Boston j'aimerai te dire que j'en ai rien à carrer mais je me contente d'un pincement de lèvres et d'un regard si vide qu'on pourrait croire que mon âme vient de me quitter. C'est d'ailleurs bizarre que je sois autant flegmatique avec toi, d'autres seraient déjà passés par la fenêtre. Bon, faut avouer qu'au fond je t'aime bien, t'es mon ennemie préférée. « Ben c'est juste pour que tu ranges à ta manière et que t'arrêtes de me faire chier pour un tube de dentifrice et un flacon de parfum. » Je minimise la quantité de produits de beauté. J'aime prendre soin de moi, soigner cette peau qui dans le passé était peuplée de boutons. Ta décision m'importe peu alors je m'aventure dans ta chambre pour voir un peu. Et pour beaucoup enquiquiner mon monde. « Calme toi t'es loin d'être une oeuvre d'art, j'vais pas payer l'entrée de ton musée. » Dans la pièce, j'observe autour de moi mais rien de croustillant à me mettre sous la dent. Heureusement que tu es une bonne adversaire et que tu es toujours partante pour me tendre une perche « C'est logique, il faut de l'espace pour ton égo démesuré. » J'aurai pu attaquer sur ton fessier mais jouer sur le physique c'est petit. Et puis, je le regarde assez souvent pour témoigner qu'il est parfaitement ajusté. Je pirouette pour te faire face, le regard mutin et le sourire élargi. « T'es jalouse ma Gigi? » Certain que la marque possessive va t'agacer, tout comme mon initiative de m'asseoir sur ton lit « Tu vas encore mieux entendre ici. Je vais p't'être même faire ça dans la salle de bain tien. » Et mes dents se montrent dans l'insolence la plus charmante.
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C’est vrai que sur ce coup, tu n’as pas tort. Ça m’arrache le cerveau, le cœur et chacune des cellules de mon corps mais tu as raison. Cela fait déjà deux bons mois que l’on fait l’un avec l’autre alors on devrait pouvoir réussir à se supporter quelques jours de plus. Ces vacances étaient funs le temps qu’elles ont duré et si j’avais l’argent pour, je lui paierais un jour ou deux de plus pour pouvoir rentrer tranquillement à Boston à la fin de la semaine. Manque de bol, on va rentrer en même temps, probablement sur le même vol low cost et je ne préfère pas y penser. Aucune envie de me gâcher ces derniers jours au Paradis. En tout cas, je suis ravie de voir que tu ne fais attention à rien parce que cela veut dire que je pourrais faire entrer le pire des bonhommes dans l’appartement et t’accuser de ses faits et gestes que t’aurais aucune idée de savoir qui est le coupable. Si un jour on me retrouve morte dans mon lit, tu seras donc le premier coupable. Et si t’es aussi intrusif à la maison qu’ici, y aura ton ADN de partout. Franchement, c’est tout bénèf quand j’y pense. Un plan machiavélique se monte tout seul dans ma tête alors que je me débarrasse de tes produits et range les miens de manière un peu moins étalée. Je sais me faire discrète quand il le faut et même si ça me coûte, je le fais un peu ici. Parce que je compte bien m’étaler autrement. Dans ton esprit, me glisser dans chacune de parties de ton âme pour te pourrir de l’intérieur. Je veux être cette sensation désagréable qu’un insecte nous grimpe dessus et ce, jour et nuit. Tes mots me parviennent aux oreilles et je ne peux m’empêcher de grimacer. J’essaye de concurrencer avec toi. Mais bon, pas facile. J’accepte ma défaite. Est-ce que je suis en train de m’incliner face à toi ? Claro que no. J’ai juste envie de jouer un peu, de te montrer que même lorsque tu essayes de m’appuyer en plein coeur, je n’hésite pas à répondre tout aussi rapidement et facilement. Niveau égo, je crois que toi comme moi on est sur la même taille. Sur le possessif utilisé, j’arque un sourcil et reste muette quelques secondes. On se connaît ? On a élevé les cochons ensemble ? Non. Je ne crois pas. J’hésiterai pas à entrer dans la salle de bain pour venir noter la performance et te donner des conseils histoire de la faire jouir. Il n’y a rien de plus triste qu’une partie de jambes en l’air où il n’y a qu’un partenaire qui profite. Je te regarde et me dirige vers la baie vitrée que j’ouvre, baissant la clim au passage. Par contre, je ne suis ni ta Gigi ni jalouse. On va directement mettre les points sur les I. La jalousie est bien quelque chose qui ne fait pas parti de mon vocabulaire et tant mieux. Mes hommes, je les préfère un peu plus âgé, mature et qui ne posent pas leur cul sur mon lit après cinq heures de vol en classe économie. En gros, ils n'ont rien à voir avec toi alors bouge de là, tu veux. La chaleur du Mexique pénètre dans la pièce et mes yeux ne quittent pas ton visage. Une légère brise s’invite et fait bouger ma tenue sur mon corps. Ta présence m’importune, t’as pas autre chose à foutre que de squatter ma chambre ? Je me rapproche de toi et me plante face à toi, te forçant à lever le visage pour ne pas avoir à regarder mon ventre. Je te manquais à ce point ? C’est presque mignon. Que je lance, attrapant ton menton dans ma main, caressant ta mâchoire du pouce, un sourire narquois sur le visage.
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Je ne suis pas un amateur, en l'espace de deux mois j'ai pu apprendre comment tu fonctionnes. Me laisser gagner pour mieux attaquer. On peut laisser croire que nous sommes des opposés en tout point, mais c'est faux. Nous ignorons simplement que l'on se rejoint sur un objectif. Moi aussi je veux être ton manque de conscience, la mélodie qui résonne dans ta tête, la tumeur qui se développe dans ta gorge et ce feu qui brûle à l'intérieur de toi. L'incendie qu'on arrête pas. « Les toilettes vont se boucher à cause de toute la merde que tu sors. » Calé de manière simple avant de trouver place sur le lit. La provocation est au centre de nos échanges, qui se qualifient plutôt d'altercations. On se repousse sans cesse, mais comme deux bons aimants, on s'attire sans que ce soit contrôlable. Quand je m'éclipse, tu rappliques. D'un coté, je vais me réfugier dans ta chambre alors c'est logique « Tu n'auras qu'a te joindre à nous. J'apprend mieux avec une démonstration. » Si je souffle cette invitation c'est uniquement parce que je sais que ça va te faire contorsionner ton visage pour exprimer ton dégout. Je pourrai en rire d'avance mais je suis déjà trop occupé à devoir manifester la tristesse sur ma moue qui a du mal à sérieusement coopérer. Forcé de rigoler à la description de ceux qui s'offrent le droit de te posséder. Je ne me laisse pas démonter, je participe en te laissant penser que je valide avant de rajouter « J'vais me consoler en notant que t'as pas dit "plus beau". » même si je ne vais clairement pas me rabaisser au niveau de ceux qui t'aide à concurrencer Disney pour le nombre d'entrées. Je piste ton défilé, de mes yeux qui ne te quittent plus. « Squatter ton lit n'est pas le programme choisi pour mon arrivée mais... maintenant que je sais l'effet que je te fais, j'vais peut-être rester encore un peu. » ou beaucoup. Ton corps qui atteint le mien, ma tête en arrière pour que mon visage se relève, je laisse ta main se placer sur ma mandibule. « Arrête de rêver. » Ma mâchoire que tu dois sentir s'actionner sous ton pouce « Quoi que, y'a un truc qui me manque... » La langue qui marque un arrêt sur ma lèvre supérieure, signe que je vais encore piquer. « T'entendre m'insulter. » Et ton ventre je le place rapidement contre mon épaule pour te soulever quand je me redresse. Un bras pour t'encercler pendant que l'autre s'occupe de gérer tes jambes. « Il faut d'abord te rafraichir les idées. T'as cru me manquer. » Et c'est dans ce porté que je marche vers la salle de bain. Pas dur de discerner où je veux t'emmener.
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Si on m’avait dit que j’allais finir par vivre avec le plus gros emmerdeurs que la terre ait connu, je ne crois pas que j’y aurais cru. Insupportable et envahissant, voilà comment je te vois à ce moment même. T’es même pire que les grains de sables qui s’immiscent absolument partout quand on est à la plage, c’est pour dire. Le soupir facile, j’essaye de ne pas trop faire attention à toi et à tes mots. T’es frais comme un gardon, reposé et clairement prêt à me faire chier, je le vois sur ton visage. S’il y a une chose pour laquelle tu es nul, c’est bien pour cacher tes émotions. Ou peut-être que tu n’essayes pas de le faire avec moi, qui sait ? Moins cinq points, elle était nulle celle-là. Que je balance depuis la salle de bain avant de venir te rejoindre dans ma chambre. Ennemies to lover, voilà ce que mes collègues me répètent quand je parle de nos disputes, de nos différences. Ennemies to Mon Cul oui, je ne te supporte pas et c’est réciproque. Et face à tes mots, je lève les yeux au ciel. Juste pour pouvoir la faire jouir un peu plus fort et me dire que t’es mieux que moi ? Merci mais non merci. Sans compter que me taper le plan de mon coloc sous ses yeux ne m’émoustille pas vraiment. Je suis sûre que c’est le kink de certaines personnes mais clairement pas le mien. Je connais deux trois choses sur le sujet, pas sur que ce soit un signe de satisfaction. Après tout, mon quotidien - ou presque - a été de jouir sur commande pendant des années. Alors, là dessus, sur la simulation et tout ce qui va avec, j’en sais un rayon. Mais qu’est-ce que t’es basique ma parole… Que je finis par soupirer quand tout ce que tu relèves c’est que je n’ai pas dit que je cherchais un homme plus beau. Mais en tout cas, cela me prouve que l’on ne se connaît pas tant que ça. Vraiment. La beauté n’est pas mon critère de sélection. Je ne vais pas dire que je peux avoir qui je veux - en fait, si - mais j’ai besoin de plus qu’un beau minois. Pour profiter une soirée, certes, mais ce que j’aime le plus c’est de réitérer la chose et ce n’est pas un critère subjectif qui me pousse vers un homme plutôt qu’un autre. Eh bien mets toi à l’aise. Que je lance en roulant des yeux vers le ciel juste avant de me diriger vers toi. Les mots prononcés, les pics lancés, je dois dire que c’est agréable. C’est un peu comme si mon défibrillateur personnel était là et ça, c’est merci. Ton menton entre mes longs doigts, je te regarde - te jauge plus qu’autre chose - et arque un sourcil avant de rire. Ma main quitte ton visage et mon index se pointe vers toi alors que je recule doucement. Je le savais ! T’as des délirs bizarres ! Mais moi aussi du coup. Enfin ça, je le savais déjà. Et alors que je cherche à me reculer, tu m’attrapes et me soulève facilement. Je bats des jambes et dis Charles poses moi. Je donne des coups sur ton épaule et ton dos et ne t’écoute même plus Charles ! Si tu ne me poses pas je vais te mordre l’épaule ! Et alors que je comprends où tu veux en venir - oui, il m’a fallu quelques secondes pour relier les points, surprise par ton bras sous mes fesses - j’hurle CHARLES T’AS PAS INTÉRÊT À FAIRE ÇA ! Mes cheveux ! Mon maquillage ! Je suis toute habillée ! C’est ton délire la douche pas le mien !!! Et je tente de me contorsionner pour avoir accès à n’importe quel bout de peau et te mordre. Ça me semble impossible - avec du gras, ça serait plus facile - alors je me penche en avant, tel un sac à patate sur ton épaule. Si je passe à l’eau, t’y passes aussi ! Parce que là, tu pourras pas allumer le jet, me poser et te barrer en courant. Une chose est sûre, je te déteste.
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Le plus grand des traîtres? C'est mon visage? Cet idiot ne sait rien garder pour lui. Mais je me demande si il exprime bien ce que je ressens pour toi. Si il te montre bien comment je te vois. T'as bon fond, mais faut taper dedans pour le savoir je crois. T'es autoritaire, tu mets ça sur le coté protecteur mais t'es juste chiante et tu aimes tout contrôler. Oué t'es celle qui dicte la route quand elle ne conduit pas. « Tu mérites pas mieux. » Pas désolé de briser tes illusions. T'emmerder c'est ma drogue, j'ai la confirmation maintenant que t'es en face de moi et que je me demande comment j'ai pu survivre ces derniers jours avec ton absence « Je n'ai pas la prétention d'avancer ça... » Parce que premièrement, je n'ai rien à te prouver et deuxièmement,... J'ai l'impression d'être en soirée avec mes potes, fasciné par cette capacité qu'à la masculinité à tout transformer en concours de bite. « T'es une experte toi j'oubliai. » Mes yeux qui roulent, t'en fais ce que tu veux de cette phrase qui pourrait être une insinuation ou nan. Tu me traites de basique quand moi je juge me contenter du peu que je peux prendre. Les compliments tu ne vas pas les sortir alors je viens les fabriquer, jonglant avec tes mots pour les tourner en ma faveur. Tu m'invites à me mettre à l'aise mais tu viens immédiatement me déranger. La tête penchée, dans une position désagréable, on continue de se boxer verbalement. Monte en moi l'envie de te pousser à bout, de te faire devenir vulgaire parce que oui, ça m'exciterait presque. Comme une plume, je te soulève pour te poser sur mon épaule, prenant soin de rapidement te maitriser. Ta joute verbale dérive en coups sur les parties accessibles de mon buste. Nan je n'ai pas mal, je rigole en restant concentré pour éviter de te claquer quelque part, le but n'est pas de te faire finir à l'hôpital. « Ha j'aime aussi quand on me mord alors vas-y... Mord moi. » Les deux derniers mots prononcés d'une voix plus suave, pour plaisanter et te laisser te faire des idées. « Pas intérêt? Tu sais comment me motiver!  » Tu me dis non j'entend oui. La douche à ma portée, j'entre dedans au moment où t'affirmes qu'on est dans le même bateau. « Mais princesse, je m'en balance d'être mouillé. » Si tu pensais que ça me ferait chier, nada. Puis, même si c'était le cas, t'entendre hurler neutraliserait la négativité pour me remplir de bonheur. Mon bras sous ton fessier se resserre car l'autre se tend pour que ma main atteigne le robinet « T'es prête pour notre première douche ensemble bébé? » Pas de décompte ou de réglage, c'est l'eau froide que j'actionne. Que fusent les insultes maintenant. Je ris comme un gosse fier de sa connerie, mais j'évite de penser à la suite. C'est l'impulsivité qui parle et je ne veux pas me lancer dans des suppositions de ce qui pourrait arriver.
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