Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitystaëlys | happier than ever
Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €


staëlys | happier than ever

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Stan Rutherford tu t'étais faite engrainée dans une beach party. les parasols en paille sombre recouvraient la plage tandis que le ciel lacté d'étoiles scintillantes reflétaient dans l'eau tranquille. tu ne savais pas si le fait de te retrouver durant toute une soirée les pieds dans le sable y était pour quelque chose, mais t'avais été à fond du début jusqu'à maintenant. à l'instant t, t'étais dans le mal. et pas qu'un peu. ton biberon de badoit/vin rouge avalé en dix minutes top chrono, tu t'étais faite payée une multitude de verres de vin et de piña colada. sur le moment, t'encaissais comme une pro mais après avoir dansé comme une dératée, t'assumais plus mais alors plus du tout. d'un pas mal assuré, tu t'éloignas du beach club où l'ivresse était omniprésente. tu t'en éloignas à petits pas, zigzaguant dans le sable comme une âme en peine. barbouillée, tu pensais à tout sauf à ta soirée. la moindre pensée dirigée vers l'alcool te donnait la gerbe. t'étais en quelque sorte phobique du vomi. t'avais l'impression que ton estomac allait ressortir par ta bouche si tu venais à vomir, chose qui était clairement impossible. tu t'assis lourdement dans le sable, sortant une cigarette de ton sac à main. tu farfouillas à l'intérieur, incapable de mettre la main sur un briquet. — putaaaaain, beuglas-tu. tu te redressas, repérant quelqu'un à plusieurs mètres de toi. — eh toi ! crias-tu en t'avançant vers lui. pas de réponse. — eh le mec au sombrero là, t'as pas un feu ? t'exclamas-tu d'une aisance qui trahissait l'état d'ivresse dans lequel tu étais.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Maëlys Carmichael | et ce n'était que le début de ce spring break. soirée numéro deux et voilà qu'il était déjà complètement ivre, sûrement l'alcool de la veille qui lui coulait encore dans les veines en plus de tous les shots qu'il s'était envoyé ce soir. c'était ce qu'il recherchait l'australien de toute façon comme à son habitude. et comme l'extase de l'alcool lui sentait pousser des ailes, il avait estimé que prendre un petit plus était une bonne chose. grâce à elvira, il avait de quoi profiter pendant le spring break, à ses risques et périls. s'éloignant discrètement (autant que possible) du groupe, stan prit un peu de distance sur la plage pour se couper du reste. l'idée était stupide, il était plus que repérable de loin avec son poncho multicolore et son sombrero acheté la veille. s'installant contre un petit muret, il commença à sortir le petit pochon qu'il avait dans sa poche lorsqu'une voix l'interpella. surpris, il rangea immédiatement son secret, le laissant passer inaperçu. la voix débraillée lui demande un briquet et se retournant vers cette douce mélodie, il explosa littéralement de rire. "mais ça va pas ou quoi ?" rien n'allait. ses cheveux, son maquillage, sa tenue... c'était une tenue ça ? il manque une brettelle sur cette robe ou c'est un mirage ? "t'as oublié la bretelle de ta robe après avoir baisé sur la plage ou quoi ?" il était mort de rire, fallait dire que c'était excessivement drôle. non ? hm ok c'était sûrement à cause de l'ivresse que tout était si hilarant. "j'ai pas de feu." dit-il finalement en cessant de rigoler.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Stan Rutherford il n'y avait rien de plus frustrant que de se retrouver avec une vogue gold au bord des lèvres et découvrir que l'on n'avait pas de briquet. la colère grandissant dangereusement dans ton esprit, tu te temporisas en te mettant dans le crâne que tu ne retrouverais jamais ton briquet rose bonbon. qu'il repose en paix. mais heureusement pour toi, un mec portant un sombrero n'était pas très loin, posté sur un muret. ton sauveur. lui et lui seul allait pouvoir enflammé la mèche de ta vogue. l'envie de vomir omniprésente, tu te concentras sur l'individu, l'appelant d'un voix déraillée et chevrotante. plus tu t'approchais et plus tu te disais que ce mec t'était familier. — mais qu'est-ce que tu branles ici ? soufflas-tu, bouche-bée. — mais nan j'hallucine, c'pas toi, j'vois flou c'est sûr, répliquas-tu en secouant mollement une main dans les airs. — le vrai stan s'habillerait jamais aussi mal, assuras-tu avec une certitude inébranlable. — baisée sur la plage ... répétas-tu, tes yeux se baissant sur ta robe tachée de partout. — hein ? putain je m'en rappelle pas ... j'ai vraiment baisé ici ? j'sais pas putain ! c'était avec toi ? je m'en serais souvenue sinon, c'est sûr, bafouillas-tu. tu te creusais la tête mais incapable de te rappeler ce que tu avais fais cinq minutes plus tôt. — t'as pas de feu ? impossible, tout le monde à un feu. t'as fouillé dans tes poches ? j'suis sûre que c'est toi qu'à pris mon briquet playboy. t'as des poches dans ta cape ? mais nan, c'est un poncho ? il a l'air doux, dis-tu en un temps record, faisant de l'ombre à nicki minaj et à son débit de rap élevé.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Maëlys Carmichael | il pourrait presque être ronchon qu'on ai pu le déranger dans sa tranquillité et sa solitude passagère pendant la soirée. mais en voyant ce qu'il avait sous les yeux, il était plutôt amusé. la blonde peina cependant à reconnaître stan, critiquant au passage sa sublime tenue locale. offensé, il jeta un oeil à son poncho. "hein... je le trouvais plutôt joli ce truc moi." haussant les épaules, il renonça à défendre sa tenue. c'était elle la spécialiste après tout, pourquoi batailler ? "alors je ne sais pas ce que t'as fait jusqu'ici mais t'as rien fait avec moi, ça c'est sur !" elle s'en souviendrait, il s'en souviendrait sur et certain. stan était complètement alcoolisé, mais le fait d'être allé prendre l'air plus loin sur la page semblait lui remettre un peu les idées en place et les yeux dans les trous. mais devant le débit de parole élevé de maëlys, il flancha presque. "c'était quoi la première question...?" demande-t-il, déboussolé. "attend, attend... j'ai peut être bien quelque chose..." il plongea ses mains dans ses poches, sentant un petit morceau de plastique au fond. surpris, il ressortit l'objet non identifié rapidement en faisant les yeux ronds, le brandissant devant l'anglaise. "me dis pas que... c'est un briquet playboy !" incroyable mais vrai. qu'est-ce que ce truc de meuf faisait dans ses poches, sérieusement ? s'il n'était pas si ivre, il se souviendrait probablement qu'il l'avait ramassé sur le bar du beach club en l'ayant vu abandonné. probablement pour aucune raison mais peut être était-ce le destin ? "c'est dingue !" s'exclama-t-il devant la tête choquée de la blonde. amusé, l'australien s'amusa à agiter le briquet sous ses yeux en le tenant en l'air, l'empêchant de l'attraper. "tiens donc, on va voir ce que t'es prête à faire pour le récupérer." dit-il en rigolant.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

@Stan Rutherford tu grognas, jetant un ultime regard de dégoût à sa tenue. ce n'était clairement pas tendance mais s'il se sentait bien ainsi, soit. t'étais pas sa mère pour lui dire de jeter certaines fringues même si ce poncho méritait clairement d'être immolé. — c'est certain ! et puis vu l'état dans lequel je suis, j'aurai plus vomis que jouis donc mieux vaut rester sages, répliquas-tu, passant une main mal assurée dans ta crinière blonde. t'avais les cheveux en pétard, comme si les feux d'artifices du quatorze juillet avaient abandonné les champs élysées pour s'installer sur ton crâne. tu levas les yeux au ciel, réfléchissant à ce que tu venais de dire quelques secondes auparavant. — j'sais plus, ça ne devait pas être très important, dis-tu en haussant des épaules. mais tout ça ne réglait pas ton problème. tu n'avais plus ton briquet playboy rose bonbon et tu avais tout sauf enfin de retourner à la beach party pour tenter de le retrouver. attentive, tu le regardas fouiller dans ses poches et il sortit ... — mon briquet ! voleur ! hurlas-tu en bondissant vers lui pour lui arracher des mains. dans ta tête tu avais été rapide comme l'éclair mais la réalité était totalement différente. facilement, stan t'esquiva. — s'il te plaît, donne-le moi ... le supplias-tu, le regard désespéré. le jeune homme ne semblait pas vouloir coopérer. — ok ok, j'te fais une démo de gym alors, grommelas-tu en reculant de quelques pas. tu réalisas une roue pitoyable, accompagnée d'une galipette de travers et pour finir, tu fis le pont sur une main. — tadaaaaa ! gueulas-tu. la tête à l'envers, un sourire niais au visage, tu attendais les compliments, aussi fière qu'une gymnaste aux jeux olympiques.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Maëlys Carmichael | une mine de dégout s'étire à son tour sur les lèvres de stan, une image de vomi qui pop up dans sa tête. la blonde avait sale mine clairement, mais il n'était guère mieux lui avec son air de mexicain raté. et d'ailleurs, en bon spring breaker dépravé, il peinait à comprendre ce que faisait ce briquet dans sa poche. stan ne fumait pas alors la raison pour laquelle il avait ramassé ce feu restait incompréhensible. mais avec l'alcool, on en fait beaucoup des choses qui n'ont ni queue ni tête après tout. "j'ai rien volé ! j'ai... trouvé !" dit-il avec une certitude de plomb. il l'empêcha de l'attraper, à son plus grand désespoir. s'amusant d'elle, il la défia se donner son possible pour le récupérer et il éclata de rire en voyant sa tentative des plus... originale. elle avait réussi à faire tout ça sans vomir ? trop forte. "ce talent ! incroyable !" s'exclame-t-il en applaudissant. "tiens, attrape !" il jette le briquet, malheureusement sa vision n'était pas optimale. la frappe était beaucoup trop forte et le briquet se retrouva plusieurs mètres derrière maëlys.  "oups." lâcha-t-il d'un air coupable. "bon c'est pas une très grande perte... tu l'avais déjà perdu de toute façon." il hausse les épaules. "et entre nous... c'est pas très distingué comme objet..." dit-il sur un air de réflexion intense.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

@Stan Rutherford comment était-ce possible que stan détienne en otage ton briquet playboy ? t'en avais strictement aucune idée. pourtant tu étais persuadée de ne pas l'avoir croisé durant la soirée. dans tous les cas, t'étais bien trop éclatée pour te remémorer les moindres instants de ta soirée. il l'avait et ne voulait pas te le détendre, c'est tout ce que tu allais retenir. utilisant tes lointaines années de gym, tu réalisas de terrifiantes figures sur le sable. le manque de grâce était évident. pourtant, t'avais l'impression d'avoir dead ça salement. une fois ton pont terminé, tu te redressas maladroitement, sentant que toutes ces cabrioles t'avaient retourné l'estomac. — j'suis prêt pour les jo, répliquas-tu d'une voix mal assurée. il te lança ton briquet. tu le regardas s'élancer au dessus de toi, sans prendre la peine d'essayer de l'attraper. — mais t'es con ! t'écrias-tu. — tu pouvais me le donner de main en main ! ta main, regarde, c'est ça. tu mets le briquet dedans, tu l'avances vers moi et hop je le récupère. c'est pourtant simple, soupiras-tu, l'air désespéré. — flemme de me la jouer détecteur de métaux pour le retrouver, tant pis, tu m'en rachèteras un, grommelas-tu en t'installant à ses côtés sur le muret. — vu ta tenue, j'te permets pas de prononcer le mot distingué, répliquas-tu, ne prenant même pas la peine de poser tes yeux sur son énorme chapeau et son poncho.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Maëlys Carmichael | cette entrevue n'avait strictement aucun sens. comment de venir se défoncer la gueule tout seul sur la plage il en était venu à regarder maëlys faire une roue ivre morte sur la plage ? la vie était faite de bien des surprises, décidément. tout comme ce briquet playboy qui sortait de nul part et qui venait à nouveau de disparaître dans le sable brûlant de cancun.  "les jo de la loose ouais." dit-il en rigolant. non les jeux olympiques n'étaient pas faits pour elle, sauf s'ils ouvraient une catégorie gym sous influence de l'alcool. "et bah t'avais qu'à pas le perdre à la base hein !" pesta-t-il. "t'en racheter un ?! j'ai dépensé mes derniers pesos dans ce magnifique costume..." dit-il en souriant en coin. ce costume lui avait coûté trois fois rien et de toute façon, il ne risquait pas d'être à sac. il avait largement de quoi lui racheter son foutu briquet. mais il n'en avait pas envie, tout simplement. "tu critiques, tu critiques... tu fais que ça !" broncha-t-il. soudain, le Beach bar fit péter les enceintes puisque le son tripla jusque vers eux. les yeux de stan s'ouvrirent en grand, comme si le lui intérieur était en train de se réveiller. (le son) une musique jouée par des mariachis venait de commencer et clairement, il avait décidé que ce serait son moment. prenant position, il se mit à bouger sur le rythme de la musique, tentant quelques pas de salsas clairement douteux. mais le sourire béas scotché aux lèvres montrait le vrai plaisir qu'il prenait à danser là dessus. il se mit même à chanter, un genre de yaourt espagnol mais qui faisait plutôt bien l'illusion. "vamos guapa, baila conmigo!" lance-t-il à Maëys avec un accent plus qu'exagéré, lui tendant une main sans arrêter sa danse endiablée.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

@Stan Rutherford après un pont qui ressemblait plus à une table basse, tu te redressas difficilement. te mettre la tête à l'envers alors que t'avais bu l'équivalent d'un vignoble français, ce n'était pas futé. — tu feras moins le fanfaron quand j'aurai l'or autour du cou, assuras-tu en dressant la tête avec fierté. — roh mais arrête de mentionner ton poncho là, mes yeux brûlent déjà pas la peine de t'attaquer à mes oreilles ! dis-tu d'une mine horrifiée. tu te traînas jusqu'au muret où tu t'installas difficilement, soupirant comme si tu venais d'escalader le mur de berlin. tu sursautas brusquement lorsqu'une musique tonna bruyamment au loin. frayeur qui dura que quelques secondes puisque stan accapara ton attention. les sourcils froncés, tu le regardas bondir dans le sable. ses pieds se mirent à bouger de gauche à droite, en rythme avec la musique mexicaine. — qu'est-ce que c'est ça ... murmuras-tu, bouche-bée, balancée entre l'envie de rire ou d'hurler d'effroi. tu finis par saisir la main qu'il te tendit, un sourire amusé se dessinant petit à petit sur tes lèvres. — tequila, tequila, tequilaaaa ! chantais-tu en te trémoussant comme une grand-mère un samedi soir à l'ephad. — aaaaaah ! j'ai marché sur un serpent ! gueulas-tu, faisant un bond en arrière. t'abaissant prudemment pour tâter le sable, ta main empoigna un objet en plastique. — MON BRIQUET ! LET'S GOOOOOOO ! dis-tu en allumant la flamme, reprenant ta danse tout en secouant ta tête de gauche à droite.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
@Maëlys Carmichael | la musique mexicaine qui retentit de façon intense dans ses oreilles, le mariachi à lui semble s'éveiller pour venir révéler tout son potentiel. un sombrero de qualité médiocre, un poncho dont les coutures semblaient s'évader, une sala plus que bancale et une maitrise des paroles assez douteuse, voilà la recette de stan le mariachi. mais lui, ça l'éclate, il continue le spectacle juste pour les yeux de maëlys et pour son plaisir. il l'invite à le rejoindre dans sa endiablée, grâce à laquelle elle retrouva d'ailleurs son fameux briquet. ce feu était saint, même perdu sur une plage de plusieurs kilomètres, ils finissaient toujours par le retrouver. incroyable, mais vrai. la flamme de son briquet allumée, ils continuèrent de danser tous les deux sur des pas de salsas compliqués. la musique continua de s'intensifier quand une odeur de brûlé vint picoter les narines de stan. ses yeux s'écarquillèrent quand il comprit que l'anglaise venait de mettre le feu à son sombrero. ni une ni deux, il attrapa le chapeau de paille pour voir une légère flamme s'en échapper. le jetant par terre, il l'écrasa sous des poignées de sable pour éteindre le feu. "nooooooon, mon chapeau ! c'est une tragédie." s'exclama-t-il, dépité. "tu vas m'en racheter un jeune fille ! je ne passerai pas un jour de plus sans mon sombrero." lâcha-t-il en regardant sévèrement la blonde. la fin du règne de stan le mariachi était là.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)