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Shut up or ... kiss me PV Konrad

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Konrad & Rose



Pour la trente deuxième fois depuis hier, j'étais confortablement installée dans mon bain et ce de bon matin. J'avais encore l'impression d'être sale et ce même si je venais de quitter l'enfer de cette île où des gens ont presque réussi à tous nous faire crever. Je vous jure si je viens à poser la main sur le responsable de toute cette mascarade, il regrettera d'être venu au monde. S'il avait eu l'intention de nous faire ouvrir les yeux, sur le fait qu'il serait parfois utile que les plus fortunés d'Harvard arrêtent de vivre dans l'excès, il avait bien râté son coup. Maintenant j'étais sûr et certaine que jamais je ne pourrais abandonner ce que l'argent peut m'offrir chaque jour. Je me contrefiche que les gens me pensent superficielle ou autre, s'ils sont jaloux c'est leur problème, pas le mien. Je me détendais tranquillement dance bain moussant, lorsqu'une illumination me vint à l'esprit. S'il y'a bien une personne qui doit être au courant du ou des responsables de mon calvaire, c'est Konrad. Ca se trouve c'est peut être lui, d'ailleurs, toujours à être dans les coups foireux ce mec. Pitoyable ! Il doit pas avoir grand chose à faire de sa vie. Ca me tue d'aller frapper à sa porte pour venir lui demander quelque chose, il va encore me prendre pour uen faible, ce que je suis nullement. Je m'habille donc le plus rapidement possible mais en y mettant grand soin tout de même, une robe moulante d'un bleu foncé et épousant mes formes. Je sèche vite fait mes cheveux, un coup de maquillage et le tour est joué. Il me faut peu de temps pour m'installer dans ma luxueuse voiture prenant la route qui me mène une fois de plus vers quelque chose de dangereux mais mon instinct me dit de m'y rendre alors je le suis comme d'habitude. Garée devant l'immeuble, je claque la portière, remet mes cheveux en place. Comme ça on dirait un ange, mais le démon n'est jamais très loin, surtout en ces circonstances. Arrivée devant la porte, je sonne. Je jure que s'il est pas là et que je me suis déplacée pour rien, je l'assasine la prochaine fois que je le voie. Déjà que j'ai des envies de meurtre sur lui, la plupart du temps, ce serait encore pire qu'à l'accoutumée. Je m'en fous de le faire lever de son lit même s'il est complètement défoncée, bourrée ou pire avec une fille. Il a intérêt à ramener sa petite personne vite fait bien fait.

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Shut up or ... kiss me

La soirée fut très dur, le jour m'aveuglait, j'étais à poil dans mon lit, une fille avec moi, deux filles ? Un plan à trois, super, je grimaçais comme pas possible, je voyais des fringues partout dans la chambre, même dans le salon en se concentrant plus loin, des cadavres de bouteilles, des mégots, je n'avais pourtant pas fais de fêtes chez moi, jamais et je me retrouve là, avec deux filles à poil, aucun souvenirs, comme d'habitude. Elles se lèvent, filent dans la cuisine bouffer un truc, je reste allongé, j'essaie de me rappeler mais rien ne revient, le trou noir complet et j'aime pas ça, trop boire, trop fumer, trop me défoncer, c'est devenu mon train de vie, ma sœur se retournerait dans sa tombe si elle me voyait, je ne parle même pas de mes parents. Je décide à me lever, j'enfile un caleçon et je rejoint les filles dans la cuisine, je sais pas qui elles sont, je sais juste que d'après ce que j'ai pu voir on a couchés ensemble et on a surement du passer la soirée ensemble, enfin c'est ce qui semble le plus logique. On sonne à la porte, bordel je sais même pas qu'elle heure il est, les filles bougent pas leurs culs, quelqu'un vient et elles restent à poil, assises sur leurs tabouret à boire leur café, je soupire les voyant puis je vais à la porte ouvrir et surprise, Rose. C'est pas trop le moment là... elle tombait mal mais à son visage, je voyais bien qu'elle s'en foutait et royalement.

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Konrad & Rose



J'en avais parcouru du chemin depuis quelques mois. Pour la première fois de ma vie, je m'étais fais des ennemis à Harvard, je jouais avec les garçons, j'étais pleine d'assurance en me rendant chez un mec que je ne supportais pas. Je pensais pas qu'il était possible de haïr à ce point mais il y a un début à tout, il faut croire. Et bizarrement, ça me plaisait de déverser ma colère sur quelqu'un. De toute façon haïr est beaucoup plus facile que d'aimer, ça fait moins mal à vrai dire et tant mieux, j'en avais marre d'être blessée. Un peu de répit c'est toujours agréable. Enfin là en ce moment, j'étais tellement énervée par les jours que je venais de vivre qu'il ne vallait mieux pas s'approcher de moi, du moins c'est à leurs risques et périls. Cela dit c'est bien moi qui me jetait dans la gueule du loup ce soir même si c'était loin d'être un plaisir, je le faisais plus par obligation. Je voulais à tout prix trouver un responsable à mon malheur et mon choix c'était porté sur Konrad, comme si c'était normal. En même temps c'était bien son genre de ne me faire chier et il devait jubiler intérieurement s'il était au courant de toutes mes péripéties. Je restai de marbre devant la porte. Une minute, puis deux, je commence à m'impatienter avant qu'elle s'ouvre finalement à moi. Par le passé j'aurais été choquée de trouver un mec à m'accueillir en caleçon mais là non, et encore moins lui." C'est pas trop le moment là... " Qu'est ce que je disais, il est pas réveillé ça se voit à ses yeux encore un peu vitreux. Juste pour me foutre de sa tête de le voir dans un tel état, j'esquisse un large sourire." Et alors c'est pas mon problème, ça. " Je m'en fous de ses excuses qui tiennent pas la route et puis maintenant que je l'ai en face de moi, hors de question que je fasse demi-tour. Je finis par entendre quelques bruits à l'intérieur de chez lui. Je m'avance légèrement d'un pas, essayant de deviner la source." T'es pas tout seul? C'est pour ça que tu m'invites pas à entrer. " Ca sent la soirée de débauche à plein nez, sexe drogue et alcool. Je finis par lui lancer un regard plein de mépris. Il commence déjà à me dégouter.

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Shut up or ... kiss me

Plus de souvenirs, j'ai beau me concentrer, rien ne revient, ces deux fille squi boivent leurs café dans la cuisine, à poil en plus, elles étaient avec moi dans le lit, je suis aussi à poil, la logique serait qu'on est couchés ensemble, c'est ce qui s'est surement passer après une soirée mouvementé d'après ce que je peux voir, des fringues partout, des bouteilles vides, des mégots de clopes, même ceux de joints, la soirée fut corcée, la preuve j'ai plus aucun souvenirs. On sonne à la porte, c'est pas du tout le moment, j'ai la gueule de bois, les idées en vracs, les yeux explosés et deux pétasses chez moi, rien ne va et j'y vais quand même, je vais ouvrir en caleçon, classe, surtout quand c'est une fille comme Rose qui se tient debout devant la porte. Elle peut voir que c'est pas du tout le moment, je le lui fais tout de même savoir et tout comme elle me le fait savoir, elle s'en fou royalement, elle fait même un pas en avant pour voir ce qui se trame à l'intérieur, les filles ne savent pas rester discrètes Tu risquerais te faire un meurtre si tu entres... mais comme tu veux j'en avais rien à faire de ces filles, je ne les connaissais pas puis si elles tombaient nez à nez avec Rose, mon dieu que le quart d'heure allait très mal passé pour elles.

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Jamais je n'ai compris ce que tant de débauche peut apporter à un homme ou à une femme. Pourquoi tant de décadence, se réfugier dans la drogue ou l'alcool ? C'est possible de se détester tant au point de vouloir sombrer dans le vice et approcher de près la mort si ce n'est pas elle qui vous attrape avant. Cela dit, le jeune homme a bien des raisons de se détester, qui voudra d'un déchet comme ça dans sa vie, faut être réaliste parfois. Et encore il a de la chance d'avoir un corps parfait, c'est peut être la seule chose qui le retient encore à sa vie. D'ailleurs quelqu'un a du bien profiter de son corps la nuit passée. Je suis blasée et horrifiée à la fois, en pensant au fait qu'il n'a pas eu la décence de venir me voir. Quoique s'il était sous l'emprise de drogue, il ne devait pas être au top de sa forme, c'est peut petre pas lus mal du coup. Je mérite la crème de la crème moi, et rien d'autre." Tu risquerais de faire un meurtre si tu entres... mais comme tu veux. " Si c'est un moyen de me dire de partir, il se trompe grandement je compte bien rester. Je passe donc devant lui pour entrer dans l'appartement où règne une sale odeur d'alcool, sexe et j'en passe. J'en ai la chair de poule. Je finis par apercevoir non pas une mais deux filles en tenue d'Eve dans la cuisine. Haussant les sourcils, je leur lance un T-shirt que je tiens du bout des doigts et leur tend quelques billets." La fête est finie, maintenant vous décampez. Croyez moi, vous ne voulez pas me voir énervée de si bon matin. " Je les voie passer la porte. Pas gênée je leur fais un faux sourire et un signe de la main polie, en les voyant s'éloigner. Je peux enfin portée toute mon attention sur l'objet de ma visite." Maintenant, on a tout le temps de parler. " Je fixe son regard, seul moyen pour lui prouver que je suis plus forte que lui qu'importe ce qu'il pense. J'ai de la chance qu'il ne m'ait pas connu ces dernières années, du moins je crois.

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C'est ma vie, l'alcool, la drogue, le sexe, je peux pas vivre sans, plus maintenant, je suis entré dedans si jeune, que maintenant essayé d'en sortir serait vraiment dit comme un miracle. Je peux être défini comme un vieux déchet à ruiner ma vie comme ça, surement mais je m'en fou, je sais que je suis détester par pas mal de monde car je joue le véritable et parfait connard mais j'ai mes raisons, peu de gens le savent mais je joue les connards parce que j'ai peur, parce qu'au fond, je suis un trouillard. Rose l'ignore, elle me déteste parce que je suis vert et parce que je suis un connard, elle a le même avis que d'autres, beaucoup trop d'autres mais c'est comme ça. Elle est là, devant moi, je sais qu'elle ne va pas me lâcher, je sais comment elle est mais je ne veux pas que mon appart devienne un troisième Kill Bill, mais vu comment elle à l'air d'être ce matin, je pense que quoique je dise, elle ne changera pas d'avis. Elle entre, face à face avec les deux filles, elle garde son calme et les remballe comme il le faut mais tout en gardant son calme, je tiens la porte et je les vois se barrer, elles ne comprennent pas mais moi si, la bleu ne supporte pas de me voir avec d'autres qu'elle, tout simplement, je souris discrètement refermant la porte et me retournant je la regarde ne quittant pas son regard Bon tu veux me parler de quoi Slader ? je m'adosse à la porte, croisant les bras, petit sourire aux lèvres.

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Si semblables et si différents à la fois, c'est ce que nous étions. Nos façons de vivre sont aux antipodes l'une de l'autre mais notre façon de penser est elle très similaire. Nous étions un cocktail explosif près à se déclencher au premier mot, regard, ou contact. Il ne valait mieux pas se retrouver dans les parages quand nous étions tous les deux ensembles, de toute façon il est très rare que je me montre en public avec lui, ce n'est même pas pour sa condition de mather mais juste que j'ai pas envie qu'on se demande ce que je fous avec lui. Ce sont nos affaires personnelles et elles resteront privées. J'aime pas qu'on s'immisce dans ma vie, qu'on lise en moi comme dans un livre ouvert. J'ai assez de mon frère pour cela à vrai dire. D'ailleurs pas sûr qu'il apprécie cette fréquentation qu'est Konrad. Il ne m'a jamais vu avec des mecs de son genre, mais faut croire qu'il y a une première à toi. C'est peut être pas la meilleure des choses que j'ai faite dans ma vie mais si c'est le destin, c'est irrévocable, et puis aussi surprenant que cela puisse paraître, je pense que me détacher de lui ne serait pas tâche aisée autant de son côté que du sien. Nous voilà enfin seuls depuis que les deux tepus ont levés les voiles, comme quoi on peut bien faire tout en restant correct. J'ai l'art et la manière, soyez pas jaloux les gens." Bon tu veux me parler de quoi Slader ? " commence t'il collé à la porte. Il doit avoir un peu de mal à se porter visiblement. A sa question, l'expression de mon visage devient plus froide et fermée. " Alors ça t'amuse toi et tes copains de laisser des gens de crever au bout milileu de l'océan. Pathétique vraiment! Y'a des gens qui ont une vie tu sais. " Comme d'habitude je n'y vais pas par quatre chemins. Il a de la chance que je sois pas violente et que je controle mes gestes sinon je lui aurai déjà refait le portrait à de nombreuses reprises.

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Entre elle et moi c'était si compliqué, je ne pouvais pas la voir en peinture, je vous jure d'une parce qu'elle appartenait à la confrérie que je déteste le plus sur ce campus et de deux car elle me ressemblait beaucoup trop caractériellement et ça me cassait les couilles, qu'elle me tienne tête ou qu'elle me provoque ou quoique ce soit d'autre, moins je la vois mieux je me porte. Mais plus je la vois, mieux je vais, c'est étrange à comprendre mais depuis qu'elle est entrée dans ma vie, elle peut pas en sortir et je ne veux pas qu'elle en sorte, quelque part j'ai besoin d'elle, sans elle se serait différent, c'est compliqué à comprendre mais ma vie n'a rien d'une vie simple. Elle vient de les renvoyer de chez moi en toute tenue, elle était restée calme, elle leur avait même affichait un petit sourire, faux certes, mais ça restait un sourire, elle m'impressionnait sur ce point là, si ça avait été moi, j'aurais péter un câble et à la limite de parler par la force pour qu'on se barre mais elle savait se contrôler, elle avait cette classe que je n'avais pas et que je n'aurais surement jamais. On étaient fin seul, et adossé contre la porte d'entrée je lui demandais de quoi voulait-elle parler, ça devait être important vu son insistance à vouloir entrer et me voir, enfin bref, elle lâchait le morceau. Oulà va pas trop vite s'teu plait ! Tu parles de quoi là ? Quel océan ? J'te suis pas Rose. c’est vrai j'avais du mal à capter sur le coup, elle m'accusait encore d'une chose, soit je l'avais vraiment fais mais je ne m'en souvenais pas trop défoncé ou soit elle me confondait avec un autre mais elle me détestait tellement que j'étais le coupable parfait.

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C'est indéniable que ce connard est un poison qui est entré en moi dès les premières minutes de notre rencontre. Pour me débarasser de lui, il faudrait me saigner, hélas j'ai encore assez d'estime pour ma vie pour le faire et puis je ne guère envie de le laisser échapper, même si je ne l'avouerai jamais. Je suis beauoup trop fière pour émettre l'idée qu'il a ce pouvoir de m'affaiblir. Je ne sais pas comment il fait et d'ailleurs ça m'énerve. J'ai beau me dire que je le déteste, que j'ai rien à faire avec lui, ni même lui parler, il revient toujours un moment où, lui ou moi, cède à la tentation de revenir. Impossible de résister, comme deux aimants nous nous résistons et nous attirons à la fois. Un jeu dangereux où forcément l'un de nous perdra pied un jour. J'ai décidé de prendre le risque, ça vaut peut être le coup après tout. Seul l'avenir me donnera la réponse. Le mystère, c'est toujours bien après tout, d'ailleurs j'aime beaucoup en jouer. Mais là c'est bel et bien lui qui se jouait de moi. Comme s'il pouvait jouer les innocents avec moi ? J'avais envie de lui balancer un seau d'eau à la figure pour le réveiller. Il est déjà chiant au naturel alors quand il a la tête dans le cul, c'est encore pire. Une main posée sur la hanche, et le regard persistant sur lui, je commençai peu à peu à bouilloner. Je suis tellement de mauvaise humeur aussi que ça n'arrange pas la chose. Je pose la main sur son torse, le plaquant ainsi un peu plus contre la porte." Fais pas le malin, veux-tu. On sait tous que vous les mathers détestaient les Eliots par pure jalousie. Y'a que vous pour avaoir monté ce coup de tous nous abandonner sur une île déserte. " J'enlevai ma main de son corps, en soupirant. Je savais qu'il allait ignorer pour me pousser à bout, ce que je ne tolèrerai pas d'ailleurs. Je suis pas le genre de fille qu'on peut prendre pour une conne, c'est fini ça.

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Je sais que je suis mal pour elle, je sais que si je n'étais pas dans sa vie, dieu qu'elle vivrait beaucoup mieux mais désolé pour toi bébé, je suis là, dans ta vie, tu peux pas m'en faire sortir et je suis pas prêt d'en sortir. Elle et moi on se détestent à un point monstre et on s'attirent à un point monstre, ce mélange est juste si compliqué et en même temps si étrange. Elle vient chez moi, elle virent deux filles, et là maintenant qu'on est tous les deux, je sais que je peux avoir une longueur d'avance, je sais que si je veux je peux la faire craquer mais pas tout de suite, avant elle veut parler, parlons. Je ne la suis pas, soit disant je l'aurais laissé sur une île avec ses potes bleus, j'avais rien avoir là-dedans moi enfin on ne m'avait strictement rien dit si les coupables étaient bel et bien les mathers. Elle s'était approchée, jusqu'à venir poser son doigt sur mon torse, je souriais, ce petit sourire qui l'énerve, elle insiste pensant vraiment que c'est moi mais je n'y suis pour rien J'y suis pour rien moi.. j'ai mieux à faire que de vous faire galérés même si ça me tente grave, désolé Rosie chérie, j'y suis pour rien. je me bougeais de là, passant juste à côté d'elle gardant ce sourire et j'allais dans ma chambre enfiler un jean et un t-shirt Tu sais fazllait pas trouver ce prétexte à la con pour venir me voir, je sais que je te manque... lui disais-je sortant de la chambre tout en lui délivrant un joli petit clin d’œil bien provocateur.

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