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❝KOACE❞feat Grace & Konrad ✖ Tu étais dans ce couloir, assis par terre, la tête dans les mains. Tu t'en voulais, tu t'en voulais d'avoir balancé tout cela à Konrad mais, d'un autre côté cela te faisait du bien. Tout était claire à présent, il resterait un connard qui ne cherche qu'avec sa bite et toi une salope brisée qui couche parce qu'elle ne peut avoir autre chose que le corps des hommes. Tu soupirais doucement, t'apprêtant à repartir alors que la porte des toilettes s'ouvraient. Konrad en ressortait, t'adressant un petit « désolé ». Alors, comme ça Konrad était désolé. Tu n'en croyais pas tes yeux pour la première fois en deux ans tu l'entends t'excusais. Mais qu'est ce qu'il n'allait pas avec lui ? Qu'est ce qu'il n'allait pas entre eux ? Ils n'étaient pourtant pas différent et le proverbe : « Qui se ressemble, s'assemble. » n'était que foutaise, qui se ressemble, se détruit, se mutile mais, pas s'assemble sûrement pas. Enfin bref, il venait de disparaître, le film avait très certainement commencé et tu te devais de rejoindre ton rendez-vous. Trainant les pieds absolument pas contente d'être toujours ici, tu reprenais place à côté du beau brun qui ne manquait pas de passer un bras autour de tes épaules. Les images du film défilaient devant toi mais, seul Konrad occupé ton esprit. La scène qui venait juste de se passe tournait en boucle dans ta tête. Jetant quelques regards vers Konrad, tu soupirais. A présent, tu savais que l'amour faisait souffrir mais, tu savais aussi que tu avais fait la plus grosse erreur de ta vie en avouant tes sentiments à Konrad. Cela t'avait coûté ton honneur, ton coeur et une amitié qui était censée être indestructible.(Invité)
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† Koace †
Oui je sais ce que c’est d’avoir la sensation de ne pas exister jusqu’à ce qu’il te regarde, qu’il te touche la main, qu’il se moque de toi. Le but c’est que les autres voient que tu es avec lui... tu es à lui...
Elle venait de m'en foutre plein la gueule juste avec sa voix et ses paroles, je voyais maintenant la vérité en face, j'étais un connard, un beau, un vrai. Je lui avais tant fais mal que ça, jouer avec elle, jouer avec ses sentiments, elle a fait l'erreur de me les avouer et je me suis servis de ça pour trouver ce jeu, lui faire croire pou finalement lui montrer que je m'en fou, je suis un bel enfoiré et je ne m'en rend même pas compte, même avec elle, même après 2 ans. Je finis par sortir des toilettes, à venir prêt d'elle et lui sortir un "désolé", le premier depuis qu'elle et moi nous nous connaissons, je l'ai dis tellement peu de fois que je me surprend encore à le dire mais quand je le dis c'est jamais pour m'attirer les faveurs de quelqu'un, quand je le dis c'est sincère, j'ai des remords sur ce que je lui ai fais et je sais qu'elle l'a entendu, je ne veux pas l'entendre ajouter quelque chose, c'est tout ce que j'avais à dire, je retourne dans la salle, revient à ma place prêt de cette blonde, le film commence, je n'ai rien à faire ici mais je reste, je ne sais même pas pourquoi. Un regard discret vers l'arrière et je la voix prêt de son "mec", les voir ça me fou le seum mais c'est comme ça, les minutes passent, le film se passe, le générique arrive, je quitte enfin la salle avec cette fille mais une fois sortit du cinéma, je l'envoi chier, comme il le faut, elle me sort un beau "connard", c'est ce que je suis, je sais, je m'isole un peu, j'allume une clope, Grace m'a secouée, comme il faut.
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