Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOXANA/SOFIA ❝ Every once in awhile there’s a crack in that wall ❞ - Page 2
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OXANA/SOFIA ❝ Every once in awhile there’s a crack in that wall ❞

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Je devenais une autre personne sous l’influence de cette drogue. Il m’arrive de m’énerver, mais je suis généralement calme. Il en faut beaucoup pour en venir à véritablement me mettre hors de moi. Je sentais la tension monter à l’intérieur de moi. Si Oxana ne lâchait pas l’affaire, j’allais vraiment péter les plombs – « Ouais, si c’est ce qu’il faut pour que tu te mêles de tes affaires, alors je le ferais. » - Lui répondis-je sèchement. Puis, je me retrouvais brusquement poussée contre le lavabo. Je manquais même de perdre l’équilibre. Je me sentais agressée. Comment osait t-elle ? Instinctivement, sans même que je réalise ce que j’étais entrain de faire, je levais ma main pour venir frapper la joue d’Oxana – « Je te déconseille de recommencer ça. Je ne me laisserais pas faire, jamais… » - Non, plus personne ne lèverai la main sur moi. Je me le suis promise depuis que ce malade m’a agressée. Un coup de chance m’a permis de m’en sortir ce soir là – « Je suppose que la conversation est terminée. » - Déclarais-je avec froideur avant de pousser la jeune femme pour passer.
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Je crois que là, nous étions peut-être entrain de franchir un point de non retour. J'observais Sofia qui s'était approchée de moi. Je n'avais même pas essayer d'esquiver le coup qu'elle me portait. Je voulais qu'elle comprenne qu'elle était entrain de peter les plombs et qu'en temps normal, JAMAIS, elle n'aurait agi de la sorte. Pas la Sofia que je connaissais, celle à qui j'avais confié tous mes secrets. Le coup ne faisait pas mal, enfin pas physiquement, c'est tout ce qu'il représentait, qui était douloureux. « Mais tu ne comprends pas que j'essaie de t'aider? T'es conne ou quoi?! » J'avais levé la voix mais c'était plus fort que moi. Je la rattrapais par le bras en disant: « Non cette conversation n'est pas finie! » Il fallait qu'elle réagisse. « Regardes-toi! J'ai l'impression de faire face à une étrangère. » J'essayais de me calmer et de ne pas dire de choses que je pourrais regretter mais il ne fallait pas qu'elle pousse le bouchon trop loin. Je n'écouterai que mon instinct, je lui aurais flanqué un allé-retour mais ce n'était pas la violence qui allait régler ce qui était entrain de se passer.
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Bien sûr que si, je comprenais qu’elle veuille m’aider. Le problème c’est qu’elle ne pouvait pas le faire. Du moins, je refusais qu’on m’aide. Qu’allait t-elle faire si je lui racontait toute l’histoire ? Je n’étais pas sûre qu’elle puisse grand-chose pour moi, vu la situation. Je sentais une pression sur mon bras. Elle me retenait. Quand allait t-elle comprendre que c’était mieux de me laisser partir ? Je me tournais pour lui faire face. J’allais répondre quelque chose, mais je me stoppai net à ses nouvelles paroles. Elle avait l’impression d’être face à une étrangère. Cette phrase raisonnait en moi. Elle avait raison. Je faisais n’importe et quoi et en plus, je l’avais giflée. Ma meilleure amie, la sœur que j’aurai aimé avoir, je l’avais frappée. Je restais silencieuse, complètement paumée – « Désolée, je… je ne voulais pas te frapper. Je ne sais pas ce qu'il m’arrive… » - Dis-je, coupable, perdue. Je passais une de mes mains dans mes cheveux. Tout ça me prenait la tête – « S’il te plait… laisse tomber. Je… je ne peux pas en parler. »

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Je ne savais pas si mes mots allaient avoir du poids face au comportement de Sofia. Mais je ne pouvais pas la laisser partir ainsi. Cela signifierai qu'elle ne représente rien pour moi. Et c'était faux. Je tenais à elle comme si elle avait été ma soeur biologique. Et si elle souffrait, je voulais qu'elle m'en parle, qu'elle me le dise. Je m'étais confiée à elle, elle pouvait faire la même chose. J'avais donc posé une main sur son bras. Je l'observais quand elle se retournait vers moi. A ses mots, je la lachais. « Non...non Sofia tu ne peux pas me demander de laisser tomber... » Mon ton de voix s'était radoucie parce que je me rendais compte qu'elle était vraiment très mal. Je gardais mes yeux bleus sur elle. « Tu sais que tu peux me parler... je suis là, et je ne bougerai pas. » Je ne l'avais jamais jugé, jamais. Même quand toutes mes amies ou une partie de ma famille me disait de ne pas la fréquenter, je suis restée à ses côtés. Parce qu'elle était mon amie, ma soeur, ma confidente et je ne voulais pas qu'elle l'oublie.
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Oxana était une amie exceptionnelle. C’est vrai quelle est bornée et que ça me dérange qu’elle ne me laisse pas le droit de me défiler, mais c’est ce que font les véritables amis. Ils ne vous laissent pas tomber. Je savais bien que la blondinette n’était pas prête à laisser tomber. Il était peut-être quatre heures du matin, mais elle n’irait pas se coucher avant que je me décide à parler. Elle sentait bien qu’il y avait quelque chose d’anormal chez moi, tout comme je l’avais ressenti quand elle n’allait pas bien. On se connaît très bien et depuis de nombreuses années – « Je pense qu’on devrait aller s’asseoir. » - Je n’allais pas lui raconter ce que je traversais là debout au milieu du couloir. Je l’invitais à entrer dans ma chambre et à s’asseoir sur le lit. Je m’asseyais aussi. Je ne savais même pas par où commencer parce qu’il y’avait beaucoup de choses à dire. Je restais silencieuse pendant de longues minutes. Je baissais la tête avant de reposer mon regard bleu sur ma meilleure amie. Je ressentais l’envie de pleurer, seulement, aucune larme ne parvenait à tomber. Ces médicaments ont aussi la propriété de me « zombifier ». Parfois, je ne ressens à l’intérieur de moi qu’un vide total – « J’ai commencé à faire des crises d’angoisse après l’attentat à la bombe. Je sais que c’est complètement stupide. On a peine été touchés. Il y’a des gens qui ont été gravement blessés, d’autres qui ont perdus leurs amis. C’est juste que… c’était la goutte d’eau qui à fait débordé le vase. C’était trop à gérer pour moi… »
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Je soupirais intérieurement en voyant que Sofia semblait enfin décidé à me parler. J'avais eu peur d'être obligée d'employer les grands moyens. Mais je voulais que ça vienne d'elle. On ne pouvait pas aider une personne si cette personne ne voulait pas être aidée. Et Sofia venait de faire un pas vers cette voie. Cela me rassurait. Je la regardais alors qu'elle m'invitait à la suivre dans sa chambre. J'acquiesçais de la tête, la suivant docilement jusqu'à sa partie d'intimité. Je me posais ensuite sur son lit, mettant un bout de couette sur mes jambes. J'avais quelques frissons qui me parcourraient. Je ne savais pas si c'était dû à la fatigue ou si c'était le comportement de Sofia qui me mettait dans cet état. Je restais ensuite silencieuse, comprenant qu'elle avait besoin de temps pour débuter son récit. Et plus le silence s'installait et plus j'appréhendais ce qu'elle allait me dire. J'écoutais son récit quand elle prit enfin la parole. Après l'attentat? Je ne m'étais rendue compte de rien. Enfin, je l'avais vu prendre des cachets à ce moment là mais moi aussi j'en prenais pour toutes les courbatures et ecchymoses que nous avions eu en étant plaquées contre le mur. Puis je fronçais les sourcils. La goutte d'eau? Je l'observais, interdite quelques secondes. « Qu'est-ce que tu veux dire par « c'était la goutte d'eau qui a fait débordé le vase? » Est-ce qu'il y avait eu autre chose? Quelque chose dont elle ne m'avait pas parlé? Pourtant, je croyais que l'on se disait tout... en tout cas, c'était mon cas.
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J’avais toujours tout confié à Oxana : Mes peines, mes doutes et aussi les moments de joies. Seulement, cette fois-ci, les choses étaient différentes. Je ne pouvais pas aborder le sujet n’importe comment. L’agression, la bombe… ces choses là m’avaient beaucoup trop touchées et en parler, c’était encore une chose difficile pour moi. Évidement, Oxana me demandait pourquoi je parlais d’une « goutte d’eau qui avait fait déborder le base ». Je ne répondis pas immédiatement. Le silence s’installait entre nous une nouvelle fois. Je quittais la jeune femme des yeux pour regarder devant moi, le regard à moitié « dans le vide » - « Un homme m’a agressé quelques temps avant l’attentat à Harvard. » - Finis-je par avouer. Je me sentais mal, parler de ça et surtout à elle. Oxana s’était fait agressée par son propre fiancé et moi, je venais lui parler de ce que j’avais vécu – « Je me suis défendue, alors il a sorti une arme. Un couteau et j’ai eu la peur de ma vie. » - Ajoutais-je tandis-ce que les images me revenaient à mesure que je parlais – « Mais, il n’a pas eu le temps de me faire trop de mal… j’ai continué de me défendre. Je crois que c’est l’adrénaline causée par ma peur qui m’a fait réagir. » - Je m’arrêtais là. Je n’osais pas raconter le reste de l’histoire, la partie que Capp connaissait. – « Et après, un malade a posé des bombes sur le campus. J’ai… c’était juste trop pour moi, tu comprends ? »
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J'écoutais les paroles de Sofia sans l'interrompre. Je sentais mon ventre se tordre à ses premières paroles. Je ne la quittais pas du regard. Elle avait été agressée et menacée avec un couteau et elle ne m'avait rien dit? Pourquoi? Je ne comprenais pas. On ne s'était jamais rien caché jusqu'ici. Pour elle, c'était ça la définition de l'amitié? Être là quand tout va bien et dès qu'un problème arrive, fermer les yeux. Est-ce qu'elle ne me faisait pas confiance? Je lui disais toujours tout mais apparemment, c'était à sens unique. Le silence s'était à nouveau posé entre nous à la fin de ses paroles. « Tu aurais dû en parler avant. » J'étais déçue. Déçue de me rendre compte qu'elle avait gardé tout ça pour elle, déçue de faire une piètre amie au point qu'elle a préféré garder tout ça pour elle plutôt que de se confier. Le ton de ma voix avait une pointe d'amertume. « Ça t'aurais éviter de devenir cette fille... » Je soupirais, lasse de tout ça. Je me relevais du lit pour faire quelques pas dans la chambre, arrivant jusqu'à la fenêtre. Seules les quelques lumières des lampadaires, éclairaient le quartier. Tout était calme. Puis je finis par regarder à nouveau Sofia: « Il faut que tu te prennes en main. L'hôpital doit avoir un service pour les addictions. » Il fallait être idiote pour ne pas comprendre que Sofia avait tenté d'apprivoiser sa peur avec des medocs ou ce genre de truc. Elle était accro et ça se voyait. « Tu dois t'y inscrire. » Je me tournais à nouveau vers elle.
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« Je sais, mais j’en étais incapable. » - Oxana était dans le faux si elle pensait que je ne lui faisais pas confiance. La question n’était pas là. Le sujet était simplement trop délicat à évoquer. Je suppose qu’elle sait ce que c’est. Et puis, quand j’ai entendu son histoire avec Dmitri, je n’ai plus eu envie de lui parler de mon agression. Oxana avait déjà assez de problèmes comme ça. J’ai toujours fais passer le bien des gens que j’aime avant le mien. Je restais assisse sur le lit, le regards un peu dans le vague, tandis-ce qu’Oxana se relevait. Ma meilleure amie avait très vite compris ce qui m’arrivait. Je n’avais pas eu besoin d’être plus explicite pour qu’elle comprenne que j’étais actuellement dépendante aux médicaments – « Non. » - Déclarais-je, sûre de moi. Je n’avais aucune intention d’aller à l’hôpital et de suivre une cure de désintoxication. Je relevais les yeux sur Oxana – « Je ne vais pas aller en cure, Oxana. Ces médicaments sont la seule chose qui me permette de tenir. Tu ne comprends donc pas ? Hors de question que je redevienne cette pauvre fille qui panique au moindre bruit. Je refuse. Je me sens mieux maintenant, tu ne peux pas me demander d’arrêter ça. » - La seule idée de devoir me passer de ces médicaments me donnait rendait déjà nerveuse. J’étais pourtant bien consciente du danger que représentait cette addiction, d’un autre côté, mais je m’en fichais complètement. Je suppose que c’est ça, être accro.
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Un sujet délicat? Je lui avais parlé de mon viol. C'était pas un sujet délicat ça?? Mais je savais que je devais le faire, pas seulement parce qu'elle avait remarqué que quelque chose n'allais pas. Mais bien parce que je lui faisais confiance et que j'avais besoin de lui dire pour me sentir un peu mieux. Mais Sofia avait préféré faire solo sur ce plan. Après tout, cela la regardait. Mais je n'avais pas l'intention de la laisser devenir une vraie junkie. J'étais encore son amie aux dernières nouvelles et je devais lui faire comprendre d'une façon ou d'une autre, qu'elle ne pouvais pas continuer à agir de cette façon. C'était juste impossible. Elle ne voulait pas comprendre? J'allais devoir employer les gros moyens. A ce niveau, je me fichais royalement de ménager sa susceptibilité ou autre. C'était sa santé qui était le plus important. Le reste pourra ou non être réparé plus tard. Ce n'était pas le plus important. Aux paroles de Sofia, je gardais mon regard bleuté sur elle. Puis je répondis, calmement mais fermement aussi. « Attends là, c'est pas une demande. Tu VAS en cure. Il n'y a pas d'autres solutions. C'est tout. Je te demande pas ton avis. Il n'y a donc rien à refuser. Soit, tu te fais soigner, soit je te dénonce à l'administration. Alors ce sera fini d'Harvard et de la danse. Avec cet antécédent d'addiction, ce sera pas facile de retrouver une place ailleurs. » J'étais dure, je le savais. Mais je ne pouvais pas faire autrement. Sofia était têtue et il lui fallait un électrochoc pour qu'elle réalise qu'elle était entrain de glisser dans un trou profond. Et je n'avais vu que cette solution pour la faire réagir.
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