Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOXANA/SOFIA ❝ Every once in awhile there’s a crack in that wall ❞
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OXANA/SOFIA ❝ Every once in awhile there’s a crack in that wall ❞

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Je me réveillais en sursaut et je sentais mon cœur faire des bons sous ma poitrine. J’avais encore fait un cauchemar. Si les médicaments étaient une barrière à mes crises d’angoisse la journée et m’aidaient à trouver le sommeil, ils n’avaient aucun effet sur mon subconscient. Je me redressais. J’avais mal à la gorge, comme si j’avais poussé un hurlement et en passant ma main sur mon visage, je constatais qu’une larme avait coulé sur ma joue. Quand est-ce que tout cela allait cesser ? Je me relevais et me dirigeais vers le bureau pour aller y dénicher mon tube de comprimés. Les filles ne rentraient pas dans ma chambre en mon absence, mais j’avais choisi de bien les cacher. C’est bizarre de savoir qu’on fait quelque chose de mal et de ne pas parvenir à y changer quoi que ce soit. J’avalais un des comprimés et buvais quelques gorgées dans ma bouteille d’eau posée sur la table de nuit. J’espérais ne pas avoir réveillé les filles. Je sortais de ma chambre. L’appartement était encore silencieux. Je me déplaçais en silence jusqu'à la salle de bain afin de me passer de l’eau sur le visage. Je me redressais et observais mon reflet dans le miroir. J’avais vraiment une sale mine...
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J'avais réussi à trouver le sommeil. Ce qui n'était pas très difficile ces derniers temps. Je m'endormais comme une masse et j'avais bien du mal à finir la révision de mes derniers examens. Et d'ailleurs, je ne savais même pas si j'allais avoir mon année. Avec tout ce qui s'était passé, avec l'attentat également, les professeurs étaient un peu moins sévères mais ce n'était pas pour cette raison que nos diplômes allaient être bradés. Et je n'avais pas l'intention de louper cette première année à Harvard. Bref, j'étais tombée comme une masse. Mais j'étais réveillée en sursaut, en plein milieu de la nuit. Je m'étais redressée vivement. Il me semblait avoir entendu quelqu'un crier. Assise dans mon lit, j'entendis ensuite du bruit dans l'appartement. Une porte qui s'ouvrait. Je me souvenais que Presley était absente, partie à une compétition sportive. Il ne restait que Sofia et moi. Sofia? Je repoussais le drap qui me couvrait jusque là avant de me lever et de sortir de la chambre. Il y avait de la lumière dans la salle de bain. Sofia se tenait devant le lavabo. « Qu'est-ce qui se passe? »
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Complètement perdue dans mes pensées, je n’entendais même pas les bruits de pas d’Oxana. Lorsque je la vis apparaître dans la salle de bain, je sursautais légèrement. Je pensais être seule. Je pensais qu’elle dormait. Elle me demandait ce qui se passait et je relevais mon regard sur elle – « Rien, sauf que tu as faillit me déclencher une crise cardiaque ! » - Répondis-je sur un ton un peu sec, parce qu’elle m’avait surprise – « Pourquoi est-ce que tu es debout ? » - Demandais-je. J’espérais que la jeune femme n’allait pas me poser trop de questions. Je n’avais pas vraiment envie d’expliquer ce qui m’arrivait. Et puis, elle était enceinte, alors je n’ai pas envie de l’inquiéter avec toutes mes histoires. Je n’ose même pas imaginer sa réaction si elle apprend ce que je traverse en ce moment.
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Je restais sur le pas de la porte, observant Sofia. Je fermais le peignoir que j'avais enfilé en me levant du lit. Je nouais la ceinture autour de ma taille. Aux paroles de ma meilleure amie, je répondis: « Je pourrais te rétorquer la même phrase. Tu m'as réveillé à crier comme une désespérée. » Elle avait vraiment une tête à faire peur. J'avais remarqué depuis quelques jours qu'elle ne semblait pas dans son assiette. Mais j'avais mis ça sur le compte des examens qui approchaient à grands pas. Est-ce que je me trompais? Sans bouger, je continuais à l'observer. « Qu'est-ce que tu as en ce moment? Tu sembles totalement ailleurs. » Et Sofia savait à quel point, j'étais tenace, alors je n'allais pas la lacher avant quelle ne me dise ce qui n'allait pas.
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Alors j’avais bel et bien hurlé durant mon sommeil – « Désolée. » - C’est la seule chose que je trouvais à dire. Avant même qu’Oxana ne reprenne la parole, je savais que j’allais avoir le droit à un interrogatoire. Hurler dans son sommeil, ça n’a rien de très commun. Je veux dire, tout le monde fait des cauchemars, mais en général, les gens ne hurlent pas dans leur sommeil. Oxana m’observait et bizarrement, j’eus l’impression d’être examinée, chose qui ne me plaisait pas du tout. La fameuse question tombait. Je lançais un soupir, agacée et je fixais ma meilleur ami de mes yeux fatigués : « Je n’ai rien. » - Lui répondis-je simplement, mais je savais bien que la jeune femme ne se contenterait pas de cette réponse là – « Je n’ai plus le droit de rêvasser un peu et d’être fatiguée ? » - J’espérais que cette explication lui suffirait, mais bon, j’étais persuadée qu’Oxana ne s’arrêterait pas là. Elle est aussi bornée que moi – « Donc tu peux retourner te coucher, tout va bien, encore désolée d’avoir fait du bruit. Je ne voulais pas te réveiller. » - Oui, j’espérais qu’elle retourne au lit, au moins, elle ne me poserait plus de questions.
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Je fronçais les sourcils aux paroles de Sofia. Elle pensait vraiment que j'allais croire ce qu'elle venait de me dire? Franchement? Je repoussais mes mèches de cheveux que j'avais sur mon front et je lui demandais: « Dis moi, est-ce qu'il y a marqué « conne » sur mon front? » J'étais fatiguée et je n'allais pas me contenter de ses explications vaseuses. J'étais un peu à l'ouest en ce moment, mais je voyais bien qu'il se passait quelque chose. « Et je ne dirais pas que tu « rêvasses », mais que tu es complètement ailleurs... » Et cela me faisait peur dans un sens. Je ne savais pas ce qu'elle avait... bien qu'un doute douloureux étreignait mon cœur. « Alors tu vas me dire ce qui se passe. » Je n'avais absolument pas envie de bouger d'un centimètre avant d'avoir eu une bonne explication. Et j'en voulais une. Si Sofia se mettait à hurler dans son sommeil, c'était qu'il y avait vraiment une histoire là dessous. Je m'étais confiée à elle sur un sujet que j'aurais voulu enfouir. Mais je lui avais dit parce que je lui savais confiance. Et j'espérais que ce soit réciproque.
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Je soupirais aux paroles de ma meilleure amie. C’était stupide d’avoir espéré que mes explications bancales lui suffisent. Je détestais quand elle était obstinée comme ça. Je détestais qu’elle me connaisse aussi bien. Évidemment qu’elle avait remarqué que quelque chose clochait chez moi, parce qu’elle me connaît mieux que personne. J’avais osé espérer qu’elle soit distraite par sa grossesse un peu plus longtemps, afin qu’elle ne remarque pas que je n’allais pas bien. Oxana avait raison. Ces temps-ci, j’étais complètement ailleurs. Il m’arrivait d’avoir des sortes d’absences en pleine conversation et même ma mémoire me fait parfois défaut. J’oublie certaines choses. Je suis distraite. Je ne suis là sans être vraiment là. Cela fait parti des divers effets secondaires des médicaments que je prends. Ce qui ne m’empêche pas d’en prendre. Au moins, maintenant je ne fais plus de crise de panique en pleine journée. C’est tout ce qui importe tant pis pour les effets secondaires – « Qu’est-ce que tu veux que je te dise, Oxana ? » - Dis-je, un peu agacée par son entêtement à vouloir savoir ce qui se passait. J’étais plus irritable que d’ordinaire avec les cachets – « J’ai beaucoup de choses à penser en ce moment, c’est tout. » - Je marquais une courte pause – « Contente ? L’interrogatoire est terminé maintenant ? » - Je m’avançais vers elle – « Tu me laisses passer ? » - J’avais bien l’intention de repartir dans ma chambre, loin d’elle, loin de ses question – « J’aimerai aller me recoucher avant que notre petite conversation ne réveille Presley. » - Je retrouvais le silence tandis-ce que je regardais Oxana. Je fronçais légèrement les sourcils avant de me souvenir que Presley n’était pas là cette nuit.
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« Je veux que tu me dises la vérité tout simplement! » Allez Oxa, calmes-toi. Cela ne va rien apporter de bien si vous êtes toutes les deux en colère. Je l'observais. J'avais du mal à reconnaître ma meilleure amie à cet instant. Elle était pale, elle avait des cernes sous les yeux, des yeux étranges. Est-ce qu'elle prenait quelque chose? De la drogue?? L'éventualité de cette réalité me fit froid dans le dos. Non j'aurais sûrement remarqué quelque chose. Quoique depuis mon retour de Russie, j'avais un peu de mal à reprendre pieds. J'étais peut-être à côté de la plaque? Peut-être qu'elle était juste fatiguée. Mais non, ce n'était pas possible. Elle n'agissait pas comme d'habitude. Elle était sur la défensive et sèche dans ses paroles. Je me mettais devant la porte afin de l'empêcher de « fuir » cette discussion. Je voulais qu'elle m'explique ce qui était entrain de se passer. « Non tu ne passeras pas. Pas avant que tu me dises ce qui se passe. » Puis à ces derniers mots, je jetais un oeil à Sofia. « Presley ne sera pas réveillée. Pour la simple et bonne raison qu'elle n'est pas là. Tu ne te souviens pas? La compétition de natation?. » Presley nous avait rabâché les oreilles avec son voyage à Boston. Et je l'avais eu cet après-midi au téléphone. Elle était très contente de son hôtel et de tout ce qui avait été mis à disposition de l'équipe de natation.
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Il était tout à fait hors de question que je lui dise la vérité ! Je n’étais pas encore prête à le faire. Et puis, elle n’avait pas besoin d’entendre mes problèmes, elle en avait assez de son côté. Je refusais de lui faire partager les miens, de l’ennuyer avec ça – « C’est la vérité. » - Articulais-je tandis-ce que je m’avançais vers elle avec la ferme intention de fuir cette conversation. Je n’avais plus de mensonge à inventer. Je ne savais pas quoi lui dire pour qu’elle lâche l’affaire, pour qu’elle me laisse tranquille. Le pire dans cette histoire, c’est que si les rôles étaient inversés, j’agirais certainement comme elle. Je ne peux pas lui en vouloir de s’inquiéter pour moi. La blondinette me bloquait le passage et je me sentais comme « piégée ». J’avais l’impression de n’avoir aucun moyen d’échapper à cette situation, à cet interrogatoire – « Si, la compétition de natation, c’est vrai... » - Lui répondis-je un peu troublée. Comment est-ce que j’avais pu oublier ça ? J’eus un moment d’absence, le regard dans le vague, puis, je reportais soudainement mon regard sur Oxana – « Bon, tu te pousse ou il faut que je te fonce dessus pour passer ? » - Répliquais-je, sur la défensive. Je ne réalisais même pas ce que j’étais entrain de dire. Ma seule idée était en fait de partir de là et qu’elle cesse de me regarder avec ces yeux là – « Je n’ai rien à dire, tu perds ton temps, alors laisse moi passer avant que je m’énerve ! »
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Sofia allait finir par me faire perdre patiente. Il était quoi? Quatre heures du mat? Et j'avais envie d'aller me coucher. Mais je n'allais pas franchir le pas de ma chambre avant que la brunette m'explique ce qui se passait. J'en avais assez de ses silences, de ses discussions futiles qui n'avaient qu'une raison, gagner du temps ou changer de sujet de conversation. Là, il était hors de question que je bouge. Soit, elle me disait ce qui se passait, soit nous allions devoir employer les moyens forts. Je m'inquiétais pour elle. Elle avait été là pour moi et si quelque chose n'allait pas, j'étais là pour elle. Mais encore une fois, elle faisait la têtue, chose dont j'avais l'habitude parce que j'avais le même caractère. A ses paroles, je l'observais. Est-ce qu'elle était sérieuse là? Elle voulait en venir à cette extrémité? Je la voyais s'énerver et je sentais à mon tour, la colère s'emparait de moi. Je mesurais une bonne tête de plus qu'elle et je lui faisais face à présent. « Quoi? Tu vas me pousser pour que je te laisse sortir? » Je m'approchais d'elle avant de la pousser violemment contre le lavabo. « C'est comme ça que tu veux qu'on agisse? Qu'on emploi les moyens forts? » Elle avait oublié à qui elle parlait. Je n'aimais pas son attitude et encore moins le ton qu'elle employait pour s'adresser à moi.
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