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Vrai que l’Espagnol est discret sur sa vie privée. Une vieille habitude, une façon de se protéger, même avec ses proches. Puis, il en parle si on s’y intéresse.
Alejandro venait de lâcher une bombe. Oh, il n’est pas naïf, il avait même prévu d’avouer ces sentiments à Alizée ce week-end, il y avait un moment qu’il y pensait. Il attendait juste le bon moment et ce moment lui avait paru être le bon. La belle blonde semble surprise, mais au moins, elle n’était pas en train de se rhabiller ou quoi. Détendu, le beau brun esquisse un sourire.
-Tu as bien compris.
La belle, son amante, semble encore plus hésitante. Alejandro la jaugeait de son regard noisette. Lui-même commençait à douter. Venait-il de faire une gaffe? Après, elle devait commencer à s’en douter. Cela fait des mois qu’ils sont amants, ils se sont beaucoup confiés l’un à l’autre et l’Espagnol ne pouvait rester de marbre encore bien longtemps. Au final, Alizée répond « c’est réciproque ». Ce fut au tour du beau brun de froncer les sourcils.
-C’est… « réciproque »?
Répète-t-il, le fameux terme employé mis en valeur dans son ton de voix, question qu’elle perçoive bien la question, tant au niveau de la réponse que du choix de mot, presque politicien. Oui, il aurait préféré entendre « moi, aussi », ou mieux encore « je t’aime moi aussi », mais à la fin, c’est de la sémantique et Alizée le montre bien en venant l’embrasser avec passion et n’en fallait pas plus pour chasser la question qu’il se posait. Après un tel baiser, Alejandro se sentait un peu plus à l’aise de détailler ses sentiments.
-Je sais qu’on ne s’est rien promis, c’est une des beautés de notre liaison, on ne se pose pas de grande question, on la vit, c’est tout. Mais si je t’aime et que tu m’aimes, ce serait logique qu’on soit en couple, non?
Voilà, l’Espagnol faisait la grande demande. Ok, ce n’est pas une demande en mariage, mais quand on connait Alizée, c’est tout comme presque. En même temps, faut voir comment le beau brun pose la question à la mine de rien, comme un simple fait évident.
Alejandro venait de lâcher une bombe. Oh, il n’est pas naïf, il avait même prévu d’avouer ces sentiments à Alizée ce week-end, il y avait un moment qu’il y pensait. Il attendait juste le bon moment et ce moment lui avait paru être le bon. La belle blonde semble surprise, mais au moins, elle n’était pas en train de se rhabiller ou quoi. Détendu, le beau brun esquisse un sourire.
-Tu as bien compris.
La belle, son amante, semble encore plus hésitante. Alejandro la jaugeait de son regard noisette. Lui-même commençait à douter. Venait-il de faire une gaffe? Après, elle devait commencer à s’en douter. Cela fait des mois qu’ils sont amants, ils se sont beaucoup confiés l’un à l’autre et l’Espagnol ne pouvait rester de marbre encore bien longtemps. Au final, Alizée répond « c’est réciproque ». Ce fut au tour du beau brun de froncer les sourcils.
-C’est… « réciproque »?
Répète-t-il, le fameux terme employé mis en valeur dans son ton de voix, question qu’elle perçoive bien la question, tant au niveau de la réponse que du choix de mot, presque politicien. Oui, il aurait préféré entendre « moi, aussi », ou mieux encore « je t’aime moi aussi », mais à la fin, c’est de la sémantique et Alizée le montre bien en venant l’embrasser avec passion et n’en fallait pas plus pour chasser la question qu’il se posait. Après un tel baiser, Alejandro se sentait un peu plus à l’aise de détailler ses sentiments.
-Je sais qu’on ne s’est rien promis, c’est une des beautés de notre liaison, on ne se pose pas de grande question, on la vit, c’est tout. Mais si je t’aime et que tu m’aimes, ce serait logique qu’on soit en couple, non?
Voilà, l’Espagnol faisait la grande demande. Ok, ce n’est pas une demande en mariage, mais quand on connait Alizée, c’est tout comme presque. En même temps, faut voir comment le beau brun pose la question à la mine de rien, comme un simple fait évident.
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