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Alejandro ne pouvait qu'acquiescer. Oui, ils pouvaient compter l'un sur l'autre, les derniers mois, les dernières semaines, le montraient bien. Il n'était pas prêt de la lâcher cette Alizée et elle non plus, il savait qu'il pouvait compter sur elle, qu'elle ne le fuirait pas à la première occasion, ne disparaitrait pas sans prévenir au moins. Le beau brun sourit, avant que son amante, amie, complice et tant d'autres choses indéfinissables viennent l'embrasser. Un beau baiser, qui lui rappelait puissance mille pourquoi il a besoin de la voir plus souvent ou pourquoi en tout cas, quand ils se voient, il se sent si... bien. Alejandro n'a pas beaucoup de gens dans son cercle d'intimes et c'est vrai, il peut se donner beaucoup de mal pour eux, mais il s'en donnait particulièrement pour Alizée. Cela commençait peut-être à le trahir un brin. De son côté, la jeune femme ne se faisait pas de grand plan, celle qui venait de traverser une fausse couche en plus d'être la mère adoptive d'un gamin et de vivre avec une maladie grave, aspirait seulement à passer un bon moment.
-Ça me convient.
Il aime cette approche à courte vue qu'elle peut avoir, sans se préoccuper du reste, de ce qu'on pensera, de ce qu'on dira, du boulot qu'il pourrait avoir ou pas du reste. Alors ils filent, s'arrêtent pour manger vite fait, avant de parcourir les derniers miles qui les conduisent au chalet qu'Alejandro avait loué pour le week-end. D'emblée, Alizée s'esclaffe. Pourtant, ce n'est pas un château en France avec majordome et tout. Évidemment, Alejandro est content de voir sa réaction.
-Seulement loué. Je me suis dit qu'un endroit discret, dans la nature, ce serait sympa.
Alizée ne se plaignait pas de l'absence de luxe. Elle ne s'en était pas plainte en Afrique, elle ne semblait pas prête à le faire ici. Qui aurait cru qu'une jolie bourgeoise française puisse se passer de luxe le temps d'un week-end? Alejandro suit la belle à l'intérieur une fois qu'il a débarré avec les clés et la laissait découvrir: le salon avec le foyer, la chambre et la salle de bain à l'étage, la cuisine américaine.
-Je n'ai pas eu beaucoup de temps à moi ces derniers temps, j'avais besoin d'un week-end comme celui là et puis, c'est notre premier week-end ensemble depuis l'été alors... Non, je ne fais pas les choses à moitié Alizée.
Et le beau brun s'approche, avec ce regard, pas dangereux mais... si, dans un certain sens. Il embrasse la belle, avec chaleur, brûlant même. Il ne faut jamais bien longtemps pour que le désir grimpe avec elle. Pourtant, il y met fin, à cet échange prometteur, pour brandir ce qu'il venait d'attraper dans la poche de son veston une clé, qu'il tenait entre ses doigts et agitait entre le visage d'Alizée et le sien.
-Il n'y a qu'une clé pour le chalet, mais j'ai une autre clé pour toi.
Qu'est-ce qu'elle ouvre? Alejandro esquisse un sourire, prend la main de son amante et l'entraîne dehors à nouveau, à l'arrière du chalet cette fois. Normalement, elle a été livrée hier, il avait parlé au livreur pour faire certain. Une Ducati, aux couleurs inverses à la sienne. L'Espagnol enlève la toile pour dévoiler la moto, la moto à Alizée désormais.
-Je ne sais pas si tu as le permis mais... comme je sais que tu aimes en faire, je me suis dit...
-Ça me convient.
Il aime cette approche à courte vue qu'elle peut avoir, sans se préoccuper du reste, de ce qu'on pensera, de ce qu'on dira, du boulot qu'il pourrait avoir ou pas du reste. Alors ils filent, s'arrêtent pour manger vite fait, avant de parcourir les derniers miles qui les conduisent au chalet qu'Alejandro avait loué pour le week-end. D'emblée, Alizée s'esclaffe. Pourtant, ce n'est pas un château en France avec majordome et tout. Évidemment, Alejandro est content de voir sa réaction.
-Seulement loué. Je me suis dit qu'un endroit discret, dans la nature, ce serait sympa.
Alizée ne se plaignait pas de l'absence de luxe. Elle ne s'en était pas plainte en Afrique, elle ne semblait pas prête à le faire ici. Qui aurait cru qu'une jolie bourgeoise française puisse se passer de luxe le temps d'un week-end? Alejandro suit la belle à l'intérieur une fois qu'il a débarré avec les clés et la laissait découvrir: le salon avec le foyer, la chambre et la salle de bain à l'étage, la cuisine américaine.
-Je n'ai pas eu beaucoup de temps à moi ces derniers temps, j'avais besoin d'un week-end comme celui là et puis, c'est notre premier week-end ensemble depuis l'été alors... Non, je ne fais pas les choses à moitié Alizée.
Et le beau brun s'approche, avec ce regard, pas dangereux mais... si, dans un certain sens. Il embrasse la belle, avec chaleur, brûlant même. Il ne faut jamais bien longtemps pour que le désir grimpe avec elle. Pourtant, il y met fin, à cet échange prometteur, pour brandir ce qu'il venait d'attraper dans la poche de son veston une clé, qu'il tenait entre ses doigts et agitait entre le visage d'Alizée et le sien.
-Il n'y a qu'une clé pour le chalet, mais j'ai une autre clé pour toi.
Qu'est-ce qu'elle ouvre? Alejandro esquisse un sourire, prend la main de son amante et l'entraîne dehors à nouveau, à l'arrière du chalet cette fois. Normalement, elle a été livrée hier, il avait parlé au livreur pour faire certain. Une Ducati, aux couleurs inverses à la sienne. L'Espagnol enlève la toile pour dévoiler la moto, la moto à Alizée désormais.
-Je ne sais pas si tu as le permis mais... comme je sais que tu aimes en faire, je me suis dit...
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