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you were my whole heart, what now ? (ash)

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Souviens toi, quand il prenait ta main avec son sourire qui voulait tout dire. Souviens toi de ton corps sur le sien, de ces moments qui n'appartenaient qu'à vous, de vos mots d'amour soufflés au creux de l'oreille une fois que les instincts étaient satisfaits. Ça provoque un frisson dans ta tête. Ça court le long de ta colonne, au creux des reins. Souviens toi des sourires satisfaits qui ne quittaient pas vos visages quand vous retrouviez tout le monde, après ces escapades privées. « Y a qu'avec toi que j'ai ressenti cette liberté, tu sais. » Tu souris, parce que c'est vrai. Si libre et en même temps si addict à lui. Époque révolue que tu voudrais vivre à nouveau, juste une fois. Tu devrais pas. Tu sais que tu devrais pas, mais c'est plus fort que toi. Tu veux être à lui, le temps d'une nuit. Assouvir cette tentation qui te bouffe depuis l'instant où t'es rentrée. Le manque avait été dur à surmonter. T'es comme une junkie qui veut un dernier fix. Une fois, ça fera rien. Tu peux pas retomber pour une dernière fois après tout ce temps. Ses mains sur tes joues, c'est aussi agréable que douloureux. « Si les astres ont toujours été de notre côté, c'est pas pour rien qu'on se soit retrouvés.. » Presque là où tout a commencé. Tes mains glissent dans sa nuque. « Parce que je sais que t'as sans doute eu aussi mal que moi. Parce que même quand j'étais au plus mal, j'ai pas su te détester. » Les coeurs s'ouvrent, les mots sortent. Il est sincère, tu le vois. Il s'en mord les doigts depuis quatre ans. Tu le sens. Tu viens relever son visage et tu déposes tes lèvres sur les siennes. En douceur. Te réapproprie ce territoire perdu. « Je te pardonne. Ça fait un moment que t'es pardonné. » Alors embrasse moi encore, fais moi tienne encore une fois, j'ai besoin de ça.
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Baiser qui réanime tous mes sens. A croire que je venais de boire une élixir de jouvence. Réapprendre à vivre, avec elle dans les parages. Possible ? Souffle qui nous manque et je colle mon front contre le sien. Le coeur pulsant dans les tempes. Le besoin de me confier. Ce moment que j'avais toujours voulu. Tu sais Izi, c'est pas que je voulais pas me marier avec toi. Parce que, wow, t'étais un ange dans ta robe. Et je m'en veux. Porter ton nom ou le tien, j'étais prêt. Mais .. J'ai eu peur qu'on s'installe dans notre routine. Qu'on perde cette liberté. Cette connexion. En un regard, on se comprend. T'es moi, t'es ma moitié, mon double. Un tout. Et j'ai flippé. Il a suffit d'une phrase stupide de mon témoin et j'ai fuit. Pas toi. Mais tout ce que représente le mariage. M'engager, je pense pas avoir de problème. Mais un papier, une alliance. C'est pas nous. C'est pas moi. Et oui, je culpabilise de m'en être rendu que le jour J. Alors qu'on en a bouffé des gâteaux pour le grand jour. Et j'en paie le prix. Ton absence, m'est douloureuse. Je ris, je baise, je fais des projets. Mais il n'y a plus cette sensation d'être à sa place, d'être complet. Est-ce que quatre plus tard, c'est suffisant pour accepter le mal que je t'ai infligé, j'en sais rien. Donc c'est fini les quatre ans sans toi ?
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T'as besoin de ça. De retrouver cette liberté perdue, les picotements aux extrémités, les fourmillements dans le ventre. Te sentir de nouveau vivante près de lui. Il s'ouvre à toi, sur la fin de votre histoire. Il t'a vue dans ta robe blanche. Il t'a vue alors que toi, tu l'as raté. Tu l'as cherché, attendu, et tu l'as plus jamais revu jusqu'à maintenant. Les mots font du bien comme ils ouvrent à nouveau une plaie. Pas de juste milieu dans une passion comme la vôtre, dans une relation aussi unique. Tu sens ton regard qui s'embue et tu préfères fixer le plafond que de laisser les larmes couler. Parce que cette discussion, tu l'as attendue depuis le premier jour où tout est parti à vau-l'eau. Mais est-ce que tu étais vraiment prête à entendre comme ça faisait mal de son côté aussi ? « Tu sais, on aurait pu en parler Ash... J'aurai tout accepté tant que j'pouvais être avec toi, même si on abandonnait ce mariage. Même si ça voulait dire qu'on avait bouffé des tas de gâteaux pour rien. Tu pouvais revenir après la cérémonie juste pour qu'on discute plutôt que de disparaitre dans la nature. J'suis comme toi. J'ris, j'voyage, je baise, je peins et tout, mais c'est plus pareil, parce qu'il me manque quelque chose. Parce qu'il me manque toi. Et si aujourd'hui ça veut dire qu'on doit juste rester amis pour se sentir complets, j'suis prête aussi. J'veux plus te perdre, Ash. Peu importe ce que ça implique. Alors oui, les quatre ans sans nous sont finis. » Tu effleures ses lèvres, attirée comme un aimant, avant de nicher ton visage dans son cou. « T'as toujours le même parfum. » Lèvres qui se perdent sur la peau.
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Je la serre contre moi. Ris à son compliment. Toi aussi, ça fait du bien. En paix. L'entendre dire que la punition était terminée me libérait d'un poids mais un autre s'engouffrait dans l'âme : la jalousie. Etre ami. Je serre la mâchoire. Je préfère même pas rebondir dessus. Je refuse qu'on se mette une étiquette. Non, c'est trop tôt. Ami. S'éloigner. Accepter consciemment qu'un autre la rendra heureuse. Non, je ne peux pas. Et je la serre davantage. On aurait pu en parler. Mais .. Tu me connais .. Tout s'est embrouillé. Et j'étais clairement pas en état de me pointer devant toi. Je ne saurais même pas te dire ce qu'il s'est passé le soir même. De la coke, de l'alcool et le reste, c'est néant. Les gars n'ont jamais voulu me raconter. Juste, j'étais misérable. Je relève mon t-shirt, montrant un Z sur le flanc droit. Et ça. Peut-être qu'on aurait pu s'épargner ce silence. Mais je sais pas si j'aurais pu assumer, auprès de nos familles. Ton frère doit me haïr. Mais, quelque part dans ce monde, tu seras toujours mienne. Je finis par m'allonger, la laissant se nicher correctement. C'était trop facile. Juste on accepte, on efface et on recommence ? Parle moi de ces quatre ans. Dis-moi tout ce que j'ai raté. Ces moments où j'aurais dû cueillir tes larmes. Ces rires qui font renaitre tant d'émotions. Que tant de tentatives de couples ont été tenté. Rappelle-moi combien tu es précieuse.
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Odeur connue, rassurante. Odeur qui te ramène dans cette bulle confortable que tu aimais tant, une bulle que vous partagiez avant, et que vous semblez retrouver maintenant. Équilibre précaire et agréable. Quand il te serre ainsi contre lui, t'as l'impression d'être à nouveau sienne. Comme avant. Mais c'est pas le cas, tu le sais. Faut pas t'emballer. « Même les jours d'après. Parce que j'crois que le soir même, j'ai fini mal aussi. J'ai bu, fumé comme jamais.. J'voulais m'anesthésier... Ne plus rien ressentir. » Tu regardes son flanc, marqué d'un Z. « J'imagine que tu sais même pas pourquoi cette lettre. Kéo est en rogne après toi. Il voulait pas que j'vienne te voir, mais comme il est en Chine.. il saura rien. Et j'aimerai croire que quelque part dans le monde, tu seras toujours à moi. » Le corps qui s'allonge sur le sien, sentir les battements de son coeur contre ma paume, respirer son odeur, inlassablement. Parler de ta vie. « J'ai voyagé avec Kéo quelques temps avant d'entrer à la fac de la Nouvelle Orléans. Là-bas, j'me suis fait une petite réputation de peintre. Mes profs trouvaient que j'avais assez de talent pour entrer en art à Harvard et m'ont poussée à demander un transfert. Comme tu peux le voir, j'ai encré ma peau, aussi. L'été dernier, j'ai fait un road trip à pieds, avec mon gros sac de voyage et un duvet, des fois j'dormais chez des gens, d'autres fois dehors. J'faisais des peintures et des dessins pour vivre, c'était sympa et constructif. J'ai appris pas mal de choses en deux mois. J'suis jamais retombée amoureuse. J'suis serveuse dans un bar karaoké et des fois, j'entends des immondices auditifs. » Tu ris doucement. « Et toi, t'as fait quoi pendant quatre ans ? » Dis moi que tu me cherchais dans toutes ces femmes que t'as séduites, dis moi que t'en as pas séduit tant que ça. Dis moi que ce qu'on avait, tu pourras jamais le retrouver ailleurs que dans mes bras. Rappelle moi combien notre liberté était précieuse. Rappelle moi l'homme que j'ai tant aimé, et que j'aimerais toujours.
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Apprendre qu’elle fut au plus mal. Les amants, dans un meme etat. Communiquer ne fut pas mon meilleur atout a ce moment là. Expliquer que le Z etait pour elle. Mais que déchiré, le tatoueur avait entendu que Zia. Pourquoi l’avoir dans la peau ? Parce que c’était vrai. Des traces indélébiles references a nous ornent le derme. Jamais de grosses pièces mais chaque regard posé me ramene à elle. La sanction était implacable. Je ris quand elle m’explique que mon prochain bourreau ne sait pas qu’elle faute. Et pour sûr, il m’en flanquera une le grand blond. Toujours a toi que je murmure. Puis je l’écoute me conter ce que j’aurais dû connaître, là où notre influence mutuelle aurait dû mener. Qui sait, on aurait choisi nos activités. Réitérer nos escapades. Mariés et heureux. Un gosse en cours. Et pourtant c’est d’effroi que je frissonne. J’embrasse le haut de sa tete. Ca ne me surprend pas de toi, barouder est la plus enrichissante des expériences. Va falloir me montrer tous tes tatouages et m’expliquer leur signification. A quand une expo de tes oeuvres ? Harvard me fait tiquer. Ou comment être condamné. Liberté d’aimer, on repassera. Ca devrait m’arranger. Entretenir des relations avec des eleves, c’est non. Et si je le devine, on sera dans le meme bâtiment. Ca devrait me maintenir à distance. Alors .. pourquoi je l’imagine déjà sur mon bureau, tete entre ses cuisses ? merde Je souris a l’image autant qu’a la mention de son mention. Pauvres petite oreilles Je me lisse la barbe. Quand .. J’ai fuit, je suis allé voir mes parents, j’ai dit que je ne voulais plus être me successeur de l’entreprise. J’ai des parts et de maigres responsabilités. Ca me va amplement. Je prefere être comme le Golden Boy qui enchaîne les relations. J’ai terminé mon annee a distance puis j’ai postulé a Harvard en 2017. Depuis, je torture des eleves en tant que prof de langues étrangères. Menton redressé, baiser volé. Notification qui se fait entendre sur l’ordi et le referme aussi. Tu m’as tellement manqué
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Communiquer aurait sans doute apaisé tous les maux. Mais ni lui ni toi avez tenté d'en passer par là, préférant s'infliger la souffrance de l'absence, coeur noir et vue du monde en monochrome. Plus aucune nuance de couleur vive autour de toi. Tes oeuvres étaient sombres, à la hauteur de ton état émotionnel. Tu aurais voulu pourtant avoir la force de le retrouver, même au bout du monde. Mais tu te disais que l'abandon était peut-être une réponse à lui seul. « T'as déjà essayé de me retrouver ? » Question qui sort de ta bouche sans aucun filtre. Peut-être que la réponse fera mal. L'histoire derrière le tatouage étire un sourire, malgré tout. Parce qu'il t'a dans la peau, de manière indélébile. Une lettre qui le ramène à toi chaque jour. Éviter au maximum le sujet Kéo, trop protecteur envers toi quand ça concerne Ashton. Tu sais qu'il veut le cogner, que ça finira par arriver, le blond te l'a confirmé avant même que tu te retrouves ici. Murmure qui fait bondir dans la cage thoracique. Qui fait sourire, qui fait renaître ce que tu pensais ne jamais retrouver. Résumer cette vie que tu as appris à vivre sans lui. « C'est avec toi que j'ai appris à aimer ce genre de choses. Te montrer tous mes tatouages, ça voudrait dire dévoiler ce qui se cache sous les tissus aussi. On verra, peut-être bientôt, peut-être jamais. » Redevenir la gamine joueuse et insouciante le temps d'un instant, sourire angélique qui se dresse. « T'as vu ça ? Elles souffrent parfois, les pauvres. » Tes bleutés le regardent avec attention, ton esprit s'abreuve de ses paroles. Pincement au coeur quand il dit enchaîner les relations. Puis tu apprends qu'il est professeur de langues étrangères. Tu comprends que vous serez amenés à vous croiser régulièrement au détour d'un couloir. Ça s'emballe dans ton esprit. « Tu veux pas me donner des cours particuliers, de temps en temps ? » Provocation sous couvert de réelle question. Cours que tu ne veux prendre qu'avec lui. Esprit qui vous imagine sur son bureau, fantasme bestial. Bordel. Baiser qu'il te prend sans te laisser l'occasion d'y répondre. « Tu m'as manqué aussi, tu sais.. Tout de toi.. » Tu te redresses sur lui, mains qui glissent sur son buste. Redécouvrir son corps du bout des doigts, tissu gênant pour les capteurs sensoriels. Tu retires ton haut, que tu envoies sur le canapé, dévoilant les motifs sur les clavicules et le plexus. « Tu veux connaître lequel en premier ? » Tu joues avec le feu, installée ainsi sur lui. À te dévoiler de cette façon. Touche moi, brûle moi.
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Les questions comme des couteaux affutés. Faisant saigner le sevrage. La toiser en coin. A notre date, j'allais fureter ton profil, savoir si tu perdais pas trop de poids. Est-ce que ça compte ? L'angoisse tenace broyant le bide, de voir apparaitre une photo d'elle avec un autre homme. Se manger une claque. Cesser d'arroser l'espoir. Me retirer, me noyer dans nos souvenirs. Chaque année. Aveu dit. Qu'allait-t-elle en penser ? Avait-elle fait pareil ? Voulais-je le savoir ? Petite femme se montre taquine. Les habitudes ne changent pas. Tu me le montreras, parce qu'on ne peut pas priver le commun des mortels de l'Art. Et l'occasion de passer les empreintes sur son derme. Je me redresse sur mes avant-bras. Je peux te donner des cours, dans l'enceinte de l'université. Mais cela signifierait que tu dois partir sur le champ. Les relations prof-élève ce n'est pas mon genre. Compter sur sa raison pour qu'elle fuit ? Ne pas s'engager dans cette folie. Ne pas faire trembler ce principe. Qui déjà s'étiole. En plus, tu serais vraiment une élève sage ? Alors que j'ai déjà l'imagination qui fomente tous les interdits. Et ce fichu bureau. Songer à son frère, à mon métier devraient suffire, à éteindre tous mes instincts. Devraient. C'est mal parti quand chacune de ses caresses fait éclater les réminiscences que le cerveau a toujours tenté de taire. Le cœur reprend une nouvelle course à la découverte de son épiderme. Et les doigts viennent machinalement retracer les motifs. Tu vois, il n'y a jamais de jamais entre nous. Bout de l'index passant lentement. Je t'écoute déposant un baiser sur celui aux clavicules.
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Tu croyais que cette addiction à lui était terminée. T'es plus vraiment sûre de ça, au plus t'es dans ses bras. « Ça va, j'ai pas trop perdu en quatre ans ? On peut dire que ça compte, oui. » Ne pas avouer que durant des mois, tu passais des heures sur son profil, peur au ventre de le voir s'afficher avec une autre fille que l'une de ses soeurs. Le voir heureux avec une autre, ça t'aurait sans doute anéantie. Feindre la réciproque pour ne pas passer pour une fille cringe. Regarder les photos où vous étiez ensemble pour satisfaire le manque et l'absence. Puis la cadence s'est amoindrie avec le temps. Et c'était vrai, pendant deux ans, tu n'y allais qu'à votre date. « Sois un peu patient alors, et tu découvriras l'oeuvre des années et de mes expériences. » Imaginer ses doigts qui retracent les motifs sur ta peau fait grainer ta peau avant même que les choses ne puissent se produire. Partir sur le champ, tout sauf ça. Tu secoues la tête. « Et si j'ai pas envie de partir ? Si je veux rester là, avec toi encore un peu, ça veut dire que tu me prives de ton savoir ? » Il peut pas te priver de sa présence à peine retrouvée. Tu peux pas te résigner à promettre d'être une sainte si l'instinct s'anime avec virulence. L'interdit attire toujours. Savoir que tu ne peux pas l'avoir à partir du moment où tu seras son étudiante, te donnerait sans doute envie de braver cette prohibition. Si bien que tu lèves le voile sur ta peau, uniquement couverte à la poitrine désormais. Comme tu l'imaginais si bien, il vient dessiner les motifs du bout de ses doigts avec lenteur. « Uniquement des toujours. » Désir ardent qui s'insinue à contact de ses lèvres sur la clavicule. Expliquer chaque signification. Pourquoi les différentes lunes entre les seins, le tournesol sur l'avant bras, l'attrape rêves sur l'épaule, ceux qui ornent les chevilles. Puis tes mains se glissent dans son cou, tombent le long de ses épaules, de ses bras, remontent lentement. « Pourquoi ça me fait ça, à chaque fois que j'suis avec toi ? » L'envie de bien plus que ça. L'envie de lui qui prend possession de ton être au point d'en devenir viscéral. Tu l'embrasses encore, traduit le désir au travers du baiser. Le coeur qui s'emballe. « J'veux être à toi, maintenant.. » Murmure contre sa bouche. Aveu direct.
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L'enfer est toujours et violemment pavé de bonnes intentions. Cela fait mal de retrouver la femme qu'on a sauvagement aimé. Ca broie le cœur. Ca bouffe les entrailles. Perdu entre ma déontologie et l'homme fou. Ces baisers au gout d'encore, la pureté de la quiétude. Retrouver ma place. Savoir qu'on se brulait mutuellement. Répondre à ses caresses, à ses lèvres. Et ce désir ardent, détériorant lentement ma résistance. Je vais avoir du mal à prouver que j'existe quand elle est mon monde. Elle le fut une année. Et revient avec une force à faire vaciller mes convictions. Si j'écoute wilde, tu ne quittes plus ma chambre jusqu'à la fin du summer et je ne t'approche pas de toute ta scolarité. Si je ne l'écoute pas .. Choisir mes mots avec justesse .. Je peux devenir ton prof particulier mais on tient nos distances pendant un mois. J'attrape doucement son manteau pour la regarder franchement. Que veux-tu vraiment Izia ?
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