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@Ashton Van Horn | Tu l'as vu. Lui. L'homme qui t'a brisé le cœur. L'homme que tu as aimé comme personne. L'homme qui t'a laissée dans ta robe de mariée, esseulée, tristesse qui s'était emparée de tout ton être. Tu l'as vu et t'as pas su sur le moment si tu devais aller te planter devant lui. T'es restée là, pétrifiée, le coeur serré. Tu l'as suivi du regard, et quand il sortait de ton champ de vision, tu avançais. Numéro de cabine en mémoire, tu as tracé ta route, te demandant si tu allais avoir le courage nécessaire pour aller le voir plus tard.

Après quelques heures passées entre ta cabine et la piscine du bateau puis à nouveau ta cabine, tu as rassemblé ton courage et tu t'es plantée là, devant sa porte. Tu écoutais s'il était là, s'il était seul, si t'allais pas le déranger dans un moment intime avec un ou une autre. Est-ce que ça ferait mal, de l'entendre prendre du plaisir avec quelqu'un qui ne soit pas toi ? Sans doute. Mais non. Il est seul, ça ne parle pas. Seuls quelques pas se font entendre par moment. Alors ton poing s'abat sur la porte. La fierté se fait la malle. Envie de fuir qui s'amorce dans l'esprit.
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Posé sur le lit, à mater une série, tout en continuant de préparer les prochains cours. Prendre de l'avance pour faire valider mes initiatives par le directeur. Je râle quand on toque. Je n'aime pas être interrompu. mais la curiosité s'empare rapidement. J'ouvre la porte à la volée. Oh putain. Je la referme. Coeur qui s'enflamme. La panique me gagne. Mais qu'est-ce qu'elle fout là ? Je ferme les yeux, respire longuement. Voila ce qui se passe quand je me fous de la gueule de ma sœur et son comeback à récupérer sa nana. Se comporter comme un adulte, je le dois. Ou pas. Tant de fois, j'ai imaginé ce moment. En bien. En mal. En gueulant. En baisant. En tout et n'importe quoi. Mais c'était de l'ordre de l'imagination. Jamais .. Jamais, je n'aurais songé que l'être détenant ce cœur battant bien trop fort serait devant ma porte. Trop aimé, existe. Je l'avais aimé. Vraiment. Et je crois que je l'aimerais toujours. Mais c'est justement, cette dépendance, ce besoin de sa personne qui m'a effrayé. Alors que oui au fond, qu'elle porte mon nom, j'étais prêt. Mais ce jour-là, alors qu'elle était sublime - et je m'en souviendrais toujours - contrairement à elle qui ne m'a pas vu, j'ai failli. Venait-elle chercher vengeance ? Je finis par rouvrir la porte. Je t'en prie, entre. Que puis-je pour toi ? Me préparer à me manger un coup de poing.
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Pourquoi de le revoir, ça t'a fait cet effet là ? Pourquoi ça t'a rongé les tripes de cette façon ? Pourquoi l'envie de te planter devant lui est devenue obsédante toute la journée ? T'es pourtant passée à autre choses, dans d'autres bras, que t'as abandonnés avant que les sentiments ne se développent, avant qu'on t'abandonne encore. Pourtant, t'as envie d'être là, mais t'as également envie d'ailleurs partout sauf ici. Pourquoi est-il ici, au même endroit que toi ? Pourquoi ce bateau est si grand et à la fois, pas assez pour te tenir loin de lui ? Il ouvre la porte. La surprise fait qu'il la ferme aussi vite. Abasourdie. Sentiment d'incompréhension qui se lit sur ton visage. Sérieusement ? Pourtant, tu ne l'entends pas fuir loin de cette porte, et toi, t'as pas bougé non plus. T'es plantée là, comme une conne, à attendre, bras croisés sous la poitrine qu'elle s'ouvre à nouveau, sans avoir la certitude que ça se fera. Finalement, il apparait à nouveau. Toujours aussi beau de près, le bougre. Il t'aide pas. Il t'aide pas à effacer les souvenirs de vos moments partagés, de la passion de vos étreintes. Tu entres, ne sachant trop quoi dire. Tu inspires pour trouver la force de dire quelque chose. « J'étais surprise de te croiser ici. Et j'sais pas pourquoi j'ai eu envie de te voir. De te parler. » Tu ne le regardes pas dans les yeux. Pas encore. Trop tôt. Trop bizarre. Tu préfères fixer ses mains, ses épaules. T'arrêter aux épaules.
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J’ai du mal a y croire. Izia dans ma cabine. Je n’ose pas la regarder. Beauté eblouissante. Aura sulfureuse. La perfection en son être. Et t’as fuit connard. Me parler. C’est bien la dernière chose que je voudrais faire. Je me pince les levres. Ne pas ceder. Je suis parti. Ce n’est pas pour rien. Refuser les menottes. Alors que j’ai conservé les alliances dans un coffre. Alors que son souvenir est encré sur mon corps. Ressaisis-toi Horny Main massant la nuque. « Me dire quoi ? » Hais moi, je t’en prie. Je m’efforce de bouger. Ouvrir le mini bar. Sortir deux bieres. Le peu d’alcool ne nous fera pas deraper. Et je me pose sur le fauteuil. « Comment … va ? T’es sur le bateau depuis le debut ? » Feindre la normalite alors que tout mon etre ne reclame que ses bras et son pardon.
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Si tu le regardes dans les yeux, si tu oses poser ton regard sur ses lèvres, tu vas avoir l'envie dévorante de les retrouver, de retrouver ce que tu avais, ce que vous étiez, le temps d'un instant. Il faut pas que j'le regarde. Pourtant, t'as envie bordel. T'as envie de te blottir contre lui, de respirer son parfum. De retrouver ta place dans ses bras. Faut pas. « J'en sais rien. Te parler de tout, de rien. Ça fait longtemps alors faire comme si on s'était vus hier, c'est un peu compliqué, non ? » Tu n'as jamais su le haïr. Tu l'as trop aimé pour ressentir de la haine. Tu le regardes bouger, et finalement tes bleutés se posent sur lui, sur son visage. Bordel, toujours aussi beau. Esprit troublé. « Bien. Et toi ? Ouais, c'est pour ça que j'suis surprise de t'avoir croisé qu'aujourd'hui. » Ça te bouffe, cette distance. Tu t'approches de son fauteuil, lentement. Ne pas le faire fuir. Tu t'installes sur l'accoudoir et ta main glisse sur sa barbe. « Ça te va bien. » Tu esquisses un sourire. Faire comme si tout était normal, alors que l'incendie prend de l'ampleur en toi.
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Agir l'air de rien, quand tout le corps flambe. Première gorgée, qui je l'espère, me sera salvatrice. Mais il n'en est rien. Le timbre de sa voix me torture. Oh merde, que ça m'avait manqué. Le flegme que je montre n'est que simulacre. J'ai envie de lui hurler de fuir. Que je n'étais pas celui .. Celui qui n'avait d'yeux que pour elle. Non. Je le suis pas. Si, connard. Et pire quand la distance s'est insinué entre nous. Hier n'a jamais existé entre nous. L'insouciance. La folie. La Passion. C'est Elle. Tout entière. Il n'y a jamais eu de lendemain. Que des présents. Que des corps enchevêtrés. Que des rires. Des regards exprimant ce qu'aucun mot ne fut suffisant. Et pourtant, je ne suis pas souvent dans ma cabine, sauf pour travailler. Plutôt dans les bras d'autrui, qui ne vaudront les siens. Ceux qui m'apaisent. Les esc... Le contact se fait. Rythme cardiaque qui s'accélère. Elle m'achève en un round. Je vais crever, c'est certain. Faible. Et machinalement, je me love dans sa main. Riant doucement. Fuir. C'est que je devrais faire aussi. Merci. Tu .. es .. Sublime. C'est loin d'être horny. Fais chier putain. Les orbes croisent les siens. Le myocarde cavale. Des années ont coulé et j'ai pourtant l'impression de redevenir ce petit dépendant. Je serre ma bière. M'agripper pour ne pas fauter. Et fixer le tableau face à moi. Les escales te plaisent jusqu'à maintenant ? Pourquoi la claque ne vient pas ?
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T'avais pourtant réussi à continuer ta vie sans lui. T'avais réussi à le laisser dans un coin de ta tête, dans une case de souvenirs heureux. T'avais réussi à balayer la douleur, à oublier comme tu n'avais d'yeux que pour lui. Gamine de dix-huit ans trop naïve de croire qu'un amour comme celui-ci pouvait durer toujours, est devenue une femme incapable d'offrir son coeur à quiconque désormais. Myocarde enfermé dans une écluse hermétique, dont l'imperméabilité a décidé de foutre le camp à la seconde où tes iris l'ont vu. Et l'écluse, elle, est désormais détruite. Ne restent que les vestiges autour du palpitant affolé. « Ça fait des années qu'hier s'est instauré entre nous. Les lendemains, eux, ne sont jamais apprus. » Quatre ans que le passé est présent. Quatre ans sans se voir, sans entendre le son de sa voix ailleurs que dans ton esprit. Quatre ans à chercher un bout de lui dans les êtres qui ont partagé tes nuits, sans jamais trouver. « Sans doute occupé dans d'autres cabines, j'me trompe ? » Rien ne t'étonnerait plus que le contraire. Sculpté comme Adonis, qui ne voudrait pas se laisser séduire ? Son visage qui se love contre ta main, tu en veux encore plus. Bordel, me fait pas ça Ash. S'il te plaît, me torture pas plus. Pourtant il te complimente, attise la flamme. « Merci.. » Les regards se croisent, se soutiendraient presque, jusqu'au moment où il le détourne. Le coeur hyperactif ralenti un peu. « Ouais, je.. c'est sympa, les Caraïbes. Ça change. Et toi ? » Tu regardes ta bière, à laquelle tu n'as toujours pas touchée. T'as chaud, t'es pas bien. Ou trop bien. Tu abandonnes ta veste légère, que tu poses derrière lui, effleurant son dos.
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Slow burn. Et ce n'est pas un titre de film adulte. Non, c'est l'univers dans lequel, on vient de se plonger. Etions-nous fait pour se résister avant .. L'impact ? Sa trace dans mon dos brule. En jouait-elle ? Pouvions nous le permettre ? Des lendemain routiniers, je suis d'accord. Oui, je peux lui concéder cette triste vérité. Enchainer les coucheries sans jamais retrouver cette félicité dont elle m'offrait sans filtres. Je m'y suis noyé. Redemandé. Apprécié. Me sentir unique. Paniqué. Et tout détruire. Slow burn, le cœur revit douloureusement. Quatre ans était hier quand son parfum remplit la cabine. Et c'est quand elle la quittera que ça fera mal. On n'oublie jamais. J'ai vécu avec son absence. Des dates m'ont fait souffrir. Des mots m'ont mis en colère. Ma lâcheté m'a plongé dans des abysses sans fond. Et je me suis ressaisis. Aimer, une nouvelle fois, je ne sais pas faire. Je refuse de le faire. C'est un cadeau qui lui a été destiné. Et pour le moment, personne n'a su le prendre ce cadeau. Le voulais-je ? Je crois que je n'ai pas encore accepté l'idée. Je m'occupe à parfaire mon bronzage. Et tu sembles en faire de même. Pourquoi confirmer ce qu'elle sait déjà. Et l'imaginer dans d'autres draps anime ma jalousie et une rage que j'avais su taire. Slow burn, le corps désire le sien. Retrouver notre connexion. Je finis par fuir, en m'installant sur le lit et lui céder le canapé. Niveau deux de la résistance ? C'est clairement une partie du globe que j'aime. Même si j'aime les sports d'hiver, cela ne vaut pas le soleil et l'eau transparente. Le plaisir d'enfiler son maillot et d'aller nager. De se dorer au soleil. Ou même pouvoir toucher sa femme quand les regards sont bien loin de savoir ce qu'il se trame véritablement. S'en souvient-elle ? Tu restes tout le mois d'Aout ?
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À quoi vous jouez, là ? À quoi ça rime, tout ça ? Ta mère t'a toujours appris qu'à trop t'approcher du feu, tu te brûles. Il est cette sublime danse orangée qui réchauffe et éclaire l'obscurité. Il est celui qui attire l'oeil dans la pénombre, qui aimante quand la chaleur fait défaut. Le danger d'une attirance encore trop présente maintenant que tu es là. Il ne répond pas à l'éventualité de sa présence dans d'autres cabines, dans d'autres bras, et ça brûle au fond. Traînée d'essence prête à s'embraser, mais le volcan que tu es restera en sommeil. Il n'est plus à toi. Il est à qui veut de lui, tu n'as rien à dire. Tu n'as rien à dire parce que toi aussi, tu t'es lancée à corps perdu contre d'autres corps qui n'étaient pas le sien, qui ne t'offraient pas les mêmes sensations au fond de l'âme. Seul lui, a su entrer dans cette bulle. Seul lui, a su voir en toi de cette façon, accepter ce que tu étais, tes peurs, tes faiblesses, ton manque de confiance en toi. Il était ton pygmalion, ta source d'inspiration, ton moteur, autant dans sa présence que dans son absence. Il fuit. Encore. Moins loin, moins douloureusement. Pourtant, ça créé un vide dans ton espace. Si proche et pourtant si loin. Sourire qui s'étire pourtant quand il parle des escales. Parce que ça te parle bien plus qu'il le pense. Première gorgée qui passe l'oesophage. « Ça me rappelle des souvenirs, quand on s'éclipsait tous les deux dans des criques.. » Le regard le détaille alors qu'un sourire nostalgique se peint sur tes lippes. Tout ce que vous avez vécu, c'est toujours dans ton esprit. Rien ne s'est étiolé. « Ouais, tu vas devoir supporter le fait de me croiser aussi longtemps que tu resteras. » Tu ris doucement, puis tu te lèves, tu fais les cents pas. Calme toi, bordel. Calme toi, idiote. Tu lui fais face. Tu restes là, une minute, peut-être deux. Juste à le regarder. À vouloir résister à la tentation. Vouloir fuir. Ne pas réussir. Tu t'approches, brise la frontière confortable que la distance offrait. Tes mains se posent sur ses épaules, tes jambes de part et d'autres de son corps. Myocarde qui s'affole encore plus. Lèvre qui se mord quand ton front se pose contre le sien. « Rejette moi.. Dis moi que tu peux pas, que tu veux pas. Que j'suis en train de faire une connerie.. »
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Elle evoque des souvenirs plaisants. Et je ne peux pas le nier. Ca oui, on n'a jamais su se retenir. Cette liberté que je n'ai vecu qu'à ses côtés. Cette confiance sans retenu, sans gêne. A nu dans tous les sens du terme. Je ris tout en hochant la tête. Deviendrons-nous .. ami ? Mon propre cerveau vient de me rire à la gueule. Les pro pour semer notre entourage, je confirme. Un autre temps. Qui semble me rattraper quand madame van horn prend de l'audace. Et. C'est. La. Merde. Pourquoi elle me fait ça ? Une vengeance ? Me rendre malade et se barrer ? J'ai envie de la repousser ? De préserver tout ce travail, le sevrage. Mais comment voulez vous que je puisse le faire ? Elle m'avait tellement manqué. Violemment. Douloureusement. Mes mains enveloppent ses joues. Tu me demandes ça à moi ? Tu sais que c'est impossible. Les Etoiles ont toujours été alignées pour nous. Je me pince les lèvres. Aies de l'ego Ashton. Ne pas céder le premier. Pourquoi tu me mets pas une gifle Izi ? Je t'ai laissé dans ta magnifique ? Je t'ai abandonné. Je suis un salaud. Et tu es là, sur moi. On se remémore des souvenirs. Alors que j'ai été degueulasse avec toi. Et j'en suis pas fier. Et que j'ai eu mal de lui faire ça. Je te demande pardon que je lâche dans un souffle. J'ai merdé. Tête baissée, parce que, tant de fois, j'ai voulu prononcer ces mots.
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