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feel something — matteus

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@Matteus Bardsley dix-neuf juillet, fort de france ; martinique fin de soirée en boîte de nuit. t'avais tellement dansé que tes jambes étaient douloureuses. l'alcool avait coulé à flots durant cette soirée. tu avais tellement consommé de verres que tu redoutais d'aller regarder ton compte en banque sur ton application mobile, de peur de réaliser à quel point tu avais fait n'importe quoi ce soir. à quelques pas derrière ta bande de potes, tu ressentis l'envie d'uriner. ralentissant l'allure, tu les incitas à continuer tandis que tu te calas derrière une voiture pour vider ta vessie. le calme des ruelles de fort de france était olympien. rentrant ton sexe dans ton caleçon, tu remontas la fermeture de ton pantalon, reprenant le chemin du retour. le port où se trouvait votre bateau de croisière était encore loin. une bonne vingtaine de minutes de marche. un bruit attira ton attention. tu tournas la tête vers une ruelle perpendiculaire à celle où tu trouvais. dans la pénombre, deux ombres donnaient l'impression de frapper quelque chose ou quelqu'un au sol. plissant les paupières, tu t'avanças lentement vers eux, reconnaissant soudainement la victime. matteus. — eh ! crias-tu en bondissant furieusement vers les deux inconnus. serrant ton poing, tu le fracassas violemment contre la joue d'un des agresseurs, qui tituba en arrière. tu te tournas vers l'autre, qui reçu le main sort de ta part. violent coup de poing dans le nez, que tu sentis craquer sous la force de ton coup. — barrez-vous ! hurlas-tu tandis que les agresseurs s'en allaient à toute vitesse. — ça va ? demandas-tu en te penchant au dessus de matteus.
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@Drake Copperfield
la martinique était faite pour lui vu l'ambiance qui s'en dégageait. le rhum, l'ananas, l'ambiance festivale et la soirée libre à profiter des bars. il avait été rejoint par des connaissances mais il ne se déplaçait jamais en groupe - un électron libre, le matteus. comme à son habitude, il embrassait toujours les yeux fermés l'inconnu, sans se doutait du dnger qui pouvait se pointer au bout de la rue. les locaux étaient là aussi et le mélange battait son plein et alors qu'il commença à marcher pour rencontrer au navire, il sentit une présence l'oppresser. tournant de l'oeil, il vit juste un gars avec qui il avait parlé l'heure d'avant. l'autre était clairement entreprenant, matteus, lui, s'était quelque peu calmé depuis quelques jours. drake, évidemment. ses déconvenues aussi. mais il se sentait toujours aussi flatté d'être abordé de la sorte. une petite promenade pour parler avant de rentrer et le deal était accepté. mais le voilà plaqué contre un mur dans une ruelle, l'autre voulant le faire là. — euh, pas chaud, désolé. un des potes du type venait d'apercevoir la scène et dans un revirement de situation, il se prit un violent coup de poing, et une tête sur le mur. l'arcane ouverte. le nez qui saigne et il se retrouva vite à terre, sans aucun moyen de se défendre vu la carrure. des coups de pieds échangés tandis qu'il se recroquevillait, les larmes montantes. rien ne pouvait venir, sortir de sa bouche hormis des gémissements de douleur. quand ce cauchemar allait-il s'arrêter ?

et le batman de la martinique débarqua en trombe, chassant les individus. de la voix, il crut reconnaître drake. forcément. la douleur était vive. — oh, aussi frais que la rosée du matin. il serra les dents, tentant avec grande difficulté de se relever. — j'aurai pu finir à l'hospice du coin.. ou à la morgue. s'il n'était pas intervenu, c'était probablement ce qu'il s'était passé. — merci. lacha-t-il en grinçant des dents. — p'tin la vache, ils y sont pas allé de main morte. l'un des deux voulait m'pécho mais j'ai dit non et j'ai pas compris. il tenait à peine de bout, frébrile et tremblant, le t-shirt taché de sang. — tu peux m'aider pour aller à ma cabine, steuplait ?
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@Matteus Bardsley dix-neuf juillet, fort de france ; martinique t'avais l'impression d'halluciner, d'être ravagé par l'alcool et d'imaginer matteus par terre, en sang, alors qu'il ne l'était pas. mais lorsque tu croisas le regard du jeune homme, tu compris que c'était la réalité. une réalité triste et déprimante. maintenant que ses agresseurs étaient loin de toi, tu te penchas vers le garçon, lui demandant comment est-ce qu'il allait. — au moins tu as toujours ton humour, c'est pas mal, souris-tu en lui tendant une main afin qu'il se remette tranquillement sur pieds. tu acquiesças ses paroles d'une grimace. en effet, si tu n'étais pas arrivé au bon endroit au bon moment, tu ne sais pas ce qui aurait pu arriver à matteus. — normal, j'allais pas laisser mon puceron se faire déglinguer par quelqu'un d'autre que moi, plaisantas-tu d'un pâle sourire. — ouais on va rentrer tranquillement mais montre-moi ton visage avant, déclaras-tu en le tirant doucement vers toi. tu pris sa tête entre tes doigts, observant ses plaies silencieusement. — pas besoin d'aller à l'hôpital, j'vais devoir te soigner tout ça. allez en route. d'un soupir, tu passas une main autour de ses hanches, le tirant légèrement vers toi.
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@Drake Copperfield

il faisait clairement moins le mariole pour l'instant. la situation l'avait drastiquement calmé et il prit de grandes inspirations comme pour résister à la douleur qui l'envahissait à chaque fois qu'il faisait un mouvement trop brusque. il était reconnaissait que l'autre ait sauvé la mise. — ahahaha, mais dis-moi, tu m'avais pas dit que t'avais un bachelor en clownerie. ton sarcastique, il aurait ri en temps normal à sa blague mais là, il ne le sentait pas. s'il avait été seul, il se serait probablement mis à pleurer, recroquevillé en boule. l'autre voulait voir son visage. pourquoi faire ? le bardsley ne comprenait vraiment pas pourquoi. — en plus d'un en médecine, visiblement. la dernière chose qu'il voulait, c'était de foutre les pieds à l'hopital. j'ai une trousse à pharmacie dans ma cabine, ça d'vrait le faire, vraiment. insista-t-il. ses parents étaient à fond derrière ça : toujours à voir s'il avait de tout, des médocs pour les maux de têtes, des bandages, pansements, désinfectants comme s'ils pensaient que leur fils allait succomber à chaque coin de rue. ils commencèrent à marcher, parfois allant plus vite quitte à serrer les dents. hors de question de s'éterniser ici. — tu faisais quoi toi ? demanda-t-il en chemin.

lorsqu'ils arrivèrent devant sa cabine, il lâcha un énorme soupir de soulagement. — bordel, pire qu'un marathon. il avait l'impression que le trajet était sans fin. il entra le premier, laissant le soin à l'autre de fermer la porte derrière lui. sans aucune gêne, il se débarrassa de ses pompes, de son pantalon, de son t-shirt, se mettant en caleçon devant le miroir pour contempler ses blessures de guerre. il n'avait plus aucune pudeur face à drake. — forcément, j'aurai quelques bleus. et quand au plus voyant, il alla chercher sa trousse à pharmacie pour la confier à drake. — tu veux le faire, mrs l'infirmière ?
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@Matteus Bardsley dix-neuf juillet, fort de france ; martinique tu esquissas un sourire. malgré ce qui venait d'arriver à matteus, il gardait son humour qui lui était propre. tu l'aidas à se relever, grimaçant quelque peu en voyant les blessures qu'il avait sur son visage. ces enculés ne l'avaient pas loupé. tu observas son visage, acquiesçant d'un hochement de la tête lorsqu'il te dit qu'il avait une trousse à pharmacie dans sa chambre. — t'es prévoyant, c'est bien, répondis-tu. tu te mis en route à ses côtés, passant une main sur ses hanches pour l'attirer contre toi. t'avais envie qu'il se saute épaulé, qu'il se sente en sécurité à tes côtés. — j'étais en boîte avec des potes, lui répondis-tu simplement. tu sortis ton téléphone, voyant que l'un d'entre eux t'avait envoyé un message. tu claquas un lu, rangeant ton portable dans la poche arrière de ton jean. [ ... ] — t'as été brave, le taquinas-tu en pénétrant à ton tour dans sa chambre. tu t'installas sur le bord du lit, l'observant se déshabiller devant toi. — et pas qu'un. il aurait plusieurs bleus mais visiblement, il avait eu plus de peur que de mal. tu te redressas quelque peu, acquiesçant sa proposition. tu récupéras la trousse à pharmacie et tu invitas le garçon à s'asseoir sur le lit. tu pris une chaise pour t'installer face à lui. — attention, ça risque de piquer, prévins-tu en appliquant un coton de désinfectant sur son arcade sourcilière.
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@Drake Copperfield

il prit place sur le lit, attendant sa sentence. il ferma les yeux, serrant les poigs et attendant que l'autre effectue ses soins sur son arcane. il voulait dédramatiser la situation. — au pire, ça m'fait un p'tit coté aventurier slash bad boy. le must have de la séduction. mais tout de même ça piquait et il le sentait. — à choisir, je préfère avoir mal quand tu m'prends que ça. lâcha-t-il avec un petit rire. mais ça ne durait que quelques minutes jusqu'à ce que drake ait enfin fini de faire les soins pour ça. après coup, il se releva pour se regarder à nouveau dans le miroir. — mouais, on va dire que je reste passable. voir s'il était présentable, surtout en compagnie de drake. il hésita à prendre une douche - qui serait davantage symbolique que nécéssaire mais enlever les impuretés de l'acharnement subi. — dis, tu pourrais rester avec moi ce soir ? ils ne l'avaient jamais fait mais dormir seul ce soir lui paraitrait si... fade. le besoin de compagnie, de se savoir en sécurité était primordial maintenant. il se posta face à lui, caressant sa joue avant de l'embrasser.
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@Matteus Bardsley dix-neuf juillet, fort de france ; martinique installé face au jeune homme, tu appliquas du désinfectant sur du coton, que tu tapotas doucement sur l'arcade sourcilière de matteus. il était mal au point, c'était sûr, mais ça aurait pu être pire. il avait été chanceux que tu passes dans le coin à ce même moment. — j'pense qu'il t'en faudra plus pour avoir un côté badboy, souris-tu en tapotant délicatement le coton contre sa plaie. tu observas la blessure et pris un coton propre, afin d'appliquer davantage de désinfectant sans pour autant abimer sa blessure plus qu'elle ne l'était déjà. — ouais j'comprends. au moins quand j'te baise, tu termines pas en sang. tu boites le lendemain mais t'es toujours beau-gosse, plaisantas-tu en rangeant tranquillement la trousse à pharmacie. tu te tournas vers matteus, qui s'observait dans le miroir. — mais oui t'es beau, le rassuras-tu d'un soupir, t'étirant quelque peu les bras en arrière. — ouais j'peux, répondis-tu d'un haussement d'épaules. matteus te caressa la joue et t'embrassa, baiser que tu lui rendis tout en caressant la peau nue de son bas du dos. — mauvaise idée de commencer ça, t'as pris assez cher ce soir, souris-tu en laissant ta main glisser sous son caleçon, afin d'y caresser ses fesses.
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— Drake au summum du romantisme.  cria-t-il d’un petit rire face à sa remarque. Comparaison sur un même verbe aux sens multiples - se faire démonter. Or, au moins il se sentait quelque peu plus soulagé et serein de le savoir avec lui cette nuit, ayant accepté de dormir avec lui. Se collant à lui pour lui extirper un baiser, il eut envie presque de ronronner. Il y avait vraiment que dans ses bras ou il avait ce tel sentiment d’apaisement et de sécurité. — Tu peux pas savoir à quel point j’aime quand t’as prise sur mes fesses.  De multiple façons, à chaque fois. Il n’y avait qu’à le voir, dénudé, le caleçon déformé.  Il vint l’embrasser de nouveau, lui soufflant plus intimement. — J’ai envie de me sentir désirable et désiré.  malgré ses blessures, malgré la violence et la douleur, il avait quand même envie d’essayer. Même un peu. — Peut-être pas d’intensité ou de brusqueries c’est soir, juste de la tendresse et de la douceur si c’est dans tes cordes.  Il joua un tour de ses mains, les glissant pour enlever le haut de Drake avant de les poser sur son torse bouillonnant.
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@Matteus Bardsley dix-neuf juillet, fort de france ; martinique
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