austin + sous tension, relation explosive.

\|	sous tension, relation explosive ; avec Austin

— Nos deux corps sont si proches, nos lèvres se frôlent, nos regards accrochés. Y a tes mains qui me caressent dans le bas du dos et je frissonne. Mon regard qui se pose sur tes lèvres à plusieurs reprises. J'ai tellement chaud. Dans ma tête y a beaucoup de choses qui se passent. Ma main dans ta nuque, qui caresse ta peau. Je t'écoute et je souris. Je viens te prendre dans mes bras, fermant les yeux. Ça s'anime dans mon bas-ventre, la respiration chaude. « Là, maintenant je te veux. » que glisse au creux de ton oreille timidement. Comme si ça s'imposait à moi.

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Austin voit trouble. Si le monde autour de lui et de la brune semble s’éclipser petit à petit, il a l’impression de perdre pied. Pourtant, il a l’habitude d’être si proche de Karma, d’avoir des gestes ambigus l’un envers l’autre. Mais aujourd’hui, ces gestes n’avaient rien d’ambigu. Quand Karma resserre son emprise sur lui, l’américain sent son cœur manquer un battement. Qu’est-ce qu’il lui arrivait bordel ? Pourquoi Karma lui faisait autant d’effet ? « Karma … tu es sûre ? » lui demande-t-il, parce qu’une fois qu’ils auront franchi cette ligne tacite entre eux, plus rien ne sera comme avant. Pourtant, il ne peut cacher l’attirance qu’il ressent pour elle en ce moment précis. Ses lèvres sont si proches de celles de la jeune femme. L’une de ses paluches quitte la taille de la brune pour courir jusque sa joue, qu’il caresse doucement comme si Karma était une petite chose fragile qu’il avait peur de casser. Il lui effleure la peau, sa main évoluant sur sa joue, son cou, puis son épaule. « Parce que moi aussi j’te veux » .

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\|	sous tension, relation explosive ; avec Austin

— Je me suis toujours interdite de penser à toi de cette façon. Et pourtant chaque fois que nous avons passer nos nuits ensemble ça me trouvait. Sentir ton corps contre le mien ça me faisait du bien. Te toucher savoir que tu étais avec moi. Mais j’ai aussi rêvé de tes mains sur mon corps. Imaginé le goûts de tes lèvres. Dans la cabine, les choses sont allés trop loin, mon corps est un brasier. Tu me demandes si je suis sûre et y a mon cœur qui s’emballe. Bien sûr j’ai peur des conséquences, de ce qui va en ressortir. Mais j’en ai vraiment envie. Je ne peux plus me voiler la face. Au pire on fera face ensemble à ce qui se passera ensuite. Tu en as envie aussi, on est là à se bouffer du regard. Les choses sont dites. Alors timidement, je viens approcher mes lèvres prêt dès tiennes et je t’embrasse. Doucement, fermant les yeux pour en ressentir toute la saveur. Je cligne plusieurs fois des yeux, revenant à moi et te regarde. « Je.. On peut encore.. Enfin si tu veux.. » Ce baiser était tellement bien que les mots me manquent. Mais tu peux encore faire marche arrière.

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