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maybe it's time we talk (drakembre)

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YOU CAN'T RUN FROM YOUR PAST
septembre & drake


Il t'enfonçait un couteau dans le coeur. Plus, il parlait, plus le couteau s'enfonçait et plus tu saignais a l'intérieur. Tout ce que tu avais enfouie au fond de toi depuis des années remontaient a la surface. Tout ce que tu avais oublie remontaient comme un ouragan. Pourquoi faisait-il cela juste au moment ou vous retrouviez enfin? Tu restais colle contre la porte, tremblante incapable de bouger. Tu voulais crier, pleurer, mais rien, tu étais devenue inerte, sans aucun moyen d'extérioriser ce que tu ressentais. Il continuais a parler, a te dire qu'il ne mentait pas, que si il n'avait pas accepte, cela aurait juste été pire. Non, rien n'aurait pu être pire que de ne pas savoir, que de vivre pendant 4 ans sans la moindre idée pourquoi il était parti. "Tu sais ce que ça fait de vivre dans le doute, de ne pas savoir, de croire qu'on a été abandonne? J'aurai pu tout survivre avec toi. On aurait pu partir loin ensemble et faire notre vie ensemble. A la place, t'es parti. Tu m'as abandonner Drake. Ca fait 4 ans que je vis dans le doute. Tu sais pas ce que c'est que de vivre comme ca." Tu haussais la voix. Tu perdais ton tempérament. Le manque et la colère te rendaient comme cela. Surtout le manque en verite. Tu avais besoin de ton rail, tu n'arrivais plus vraiment a tenir. Il s'avançait alors vers toi. Tu te décalais sur le cote. "Je t'ai toujours aimée, encore maintenant... J'veux juste que tu m'pardonnes, qu'on s'retrouve... Même si ca sera jamais comme avant..." Tu déglutis. Lui pardonner? Non, tu n'en étais pas capable. Meme avec tout l'amour que tu lui portais encore aujourd'hui, tu ne pouvais pas te forcer a lui pardonner pour ce qu'il t'avait fait. Tu secouais la tete. "Je peux pas, je suis désolée mais je peux pas faire ça…pas maintenant. Montre moi que t'as change et peut-être que je pourrais mais la, je ne peux pas." Tu baissais la tete, avant de la tourner vers lui quand il dit "mon amour." Il commençait a pleurer. Ca t'énervait ça, qu'il pleure alors qu'il n'en avait pas le droit. C'etait sa lâcheté qui vous avez détruit, alors il n'avait pas le droit.
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"Tu sais ce que ça fait de vivre dans le doute, de ne pas savoir, de croire qu'on a été abandonne? J'aurai pu tout survivre avec toi. On aurait pu partir loin ensemble et faire notre vie ensemble. A la place, t'es parti. Tu m'as abandonner Drake. Ca fait 4 ans que je vis dans le doute. Tu sais pas ce que c'est que de vivre comme ca." Si, je le savais. Je savais ce que c'était, de ne pas savoir si un jour j'allais pouvoir la retrouver, que ce soit amicalement ou amoureusement, géographiquement ou non. Je n'avais que cette photo placardée au mur de ma chambre à Saint Pierre, que j'avais récupéré dans mon porte-feuille lorsque je suis venu à Cambridge. Qu'une photo en guise de souvenir, en guise de d'espoir, de but. Mais je ne l'avais jamais vue ainsi. S'énerver, comme ça, d'un coup. Elle devait être en manque, j'étais comme ça, à mon réveil moi aussi. Je baissais les yeux. "Détrompes toi... Elle secouait la tête, je savais que son pardon serait difficile à avoir. Mais j'osais espérer la rédemption. "Je peux pas, je suis désolée mais je peux pas faire ça…pas maintenant. Montre moi que t'as change et peut-être que je pourrais mais la, je ne peux pas." Je lui montrais mes bras, plus aucune marque de piqure d'héroïne, plus aucune marque sur mon corps provenant de la prise ou du manque de drogue. Puis j'attrapais mon porte-feuille, là où je cachais toujours mes prods. Plus rien dedans, sauf la photo où nous étions tous les deux ensemble et heureux, qui glissait pour attérir sur le sol. "J'ai changé... J'suis plus aussi...destroy qu'avant." Je savais que pleurer n'allait pas arranger mon cas, mais c'est parti tout seul. Je suis un faible. Je me ressaisissais rapidement. C'est pas à moi de pleurer, c'est d'ma faute si on en est là. Si tu veux m'frapper, me hurler dessus ou même me cracher à la gueule, vas-y. J'le mérite." Je la regardais droit dans les yeux, attendant quelconque réaction de sa part.
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septembre & drake


On dit que l'amour règle tout, qu'on sait combattre nos plus grandes peurs par l'amour. Cependant, tu n'y arrivais pas. Drake avait beau parler, te montrer ses bras, tu n'arrivais pas a passer outre ce qu'il t'avait revele un peu avant. Tu avais toujours su que ton beau-père te voulait du mal, mais tu n'avais jamais pense que Drake accepterait ce genre de proposition. Tu n'aurais jamais cru qu'il était aussi faible, et cela te dégoûtait juste. Tu continuais a trembler. Il fallait que tu sortes de cet hôpital. Tu ne pouvais plus rester ici. A quoi bon te torturer ainsi? C'est la que tu vis quelque chose tomber par terre. Drake était toujours entrain de te dire qu'il avait change. Seulement, tu n'y faisais pas attention. Tu t'abaissais ramassant la photo. Il s'agissait d'une photo de vous deux. La meme que tu avait encore dans ta chambre. Tu te relevais. Vous étiez heureux sur cette photo, et tu souriais. Tu n'avais plus vu ce genre de sourire sur ton visage depuis bien longtemps. Celui ou tu étais bien heureux. Tu te tournais vers Drake, vos regards droit l'un dans l'autre. Il fallait que tu mettes fin a tout cela, que tu achevais votre peine une fois pour toute. "Arrete Drake, ça ne sert a rien. On ne pourra plus jamais être ensemble. J'aime quelqu'un d'autre." Tu étais entrain de l'achever, tu le savais. Cependant, tu devais le faire. Tu devais lui dire que tu étais amoureuse de quelqu'un d'autre, quelqu'un qui n'était pas comme lui, quelqu'un qui avait réussi a te faire sentir vivante a nouveau. Tu detournais alors le visage n'ajoutant rien, pensant a ce que tu venais de dire. Aimais-tu vraiment Sander? Ouais, c'était le cas, et meme si tu ne savais pas l'avenir que tu avais avec lui, tu savais qu'il ne pourrait qu'être mieux qu'un avec Drake.
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Je la voyais se baisser alors que je lui parlais. Je regardais rapidement pourquoi. La photo, notre photo, notre bonheur, passé, que j'espérais retrouver. Je repensais à cette époque, je m'en rappelle comme si c'était hier. Nous deux, jeunes et amoureux, souriant, dans le parc de Saint Pierre, un jour de soleil. Complètement stones. On voyait notre joie de vivre dans nos yeux, j'imaginais encore ce qu'il s'était passé après cette photo. Mais elle me ramenait rapidement à la réalité lorsque nos regards se sont croisés. "Arrete Drake, ça ne sert a rien. On ne pourra plus jamais être ensemble. J'aime quelqu'un d'autre." Je restais bouche bée, me reculant, secouant la tête frénétiquement. Ce n'était pas possible, pas maintenant que je l'avais enfin retrouvée. Elle n'avait pas le droit de me tuer intérieurement de cette façon. "Tu... Quoi ?" J'heurtais finalement le lit, m'asseyant, abasourdi par cette annonce. "Je... C'est qui ? Pourquoi tu... PUTAIN !" J'étais anéanti. Vraiment et surement pour la première fois de ma vie, j'avais compris bien plus de choses que je n'aurai pu imaginer. "Alors pourquoi tu venais aussi souvent me voir quand j'étais dans le coma, si aujourd'hui t'aimes quelqu'un d'autre ? Pourquoi t'es autant troublée d'être là ? Expliques moi, bordel !" Je perdais mes moyens, entre la haine que j'éprouvais contre moi-même et mon incompréhension.
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septembre & drake


Toi qui détestais qu'on te fasse souffrir, tu étais entrain d'infliger toute la peine possible a Drake. Tu ne le faisais pas par plaisir, mais parce que tu devais le faire. Tu ne pouvais pas lui mentir et lui faire croire que tout irait bien entre vous et que vous pourriez revenir en arrière. Cependant, ce n'était pas possible. Il fallait qu'il sache que tu avais trouve quelqu'un d'autre, quelqu'un qui te rendait vivante, qui te laissait être toi-même. Tu avais fini par tomber amoureuse de Sander sans meme te rendre compte et une fois que tu avais remarque qu'il y avait quelque chose tu étais directement partie sur la défensive, ayant bien trop peur de souffrir a nous a cause de l'amour. Drake t'avait beau forge, il t'avait aussi bien détruit. Drake s'énervait alors. Ouais, c'était bien ca. Il devait te détester. Meme si il avait été l'amour de ta vie a un moment, il fallait que vous passiez outre l'un de l'autre. Vous ne pouviez plus vivre dans le passe. Tu ne pouvais plus faire. Tu t'étais enfermée dans ton passe bien trop longtemps, et tu ne pouvais plus continuer a vivre ainsi. Il fallait que tu avances, que tu commences a vivre dans le présent et que tu penses a ton avenir. Tu restais indifférente alors qu'il perdait ses moyens. Il te demandait qui c'était, et pourquoi tu étais venue le voir. Tant de questions auxquelles tu n'étais pas sure de vouloir de répondre ou meme que tu n'étais pas sure qu'il aurait la force de les entendre. "Un gars que j'ai rencontre a New York y a quelques années." Tu ne dis pas le nom de Sander, tu savais que bien trop de quoi Drake était capable. Il pouvait passer du mec gentil, adorable a celui qui hésiterait pas a aller casser la figure d'un gars si il n'avait pas ce qu'il voulait. Puis, ce n'était pas un mensonge. Tu avais bien et bel rencontre Sander a New York alors que Drake et toi étiez toujours ensemble. A ce temps-la, il n'y avait encore rien entre vous deux. C'etait apres que les choses ont escales. Tu croissais tes bras devant ta poitrine. Ton regard était vide. Tu pris alors une grande inspiration. "Parce qu'importe ce qui se passe, tu appartiens a ma vie, tu a été la première personne que j'ai aime et si maintenant j'aime quelqu'un d'autre c'est de ta faute. Si tu n'avais pas été aussi lâche, on serait toujours ensemble. On aurait été heureux, mais non, t'as prefere te barrer avec l'argent de mon beau-père, comme si ta famille n'était pas déjà assez riche comme ca." On pouvait entendre l'amertume dans ta voix, cette haine que tu avais envers lui d'avoir été lâche. Tu étais peut-être faible mais jamais n'aurais-tu fais quelque chose comme cela.
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J'avais fait souffrir Septembre par le passé. Mais pas de cette manière. Je n'avais pas rencontré quelqu'un d'autre, j'ai juste faibli sous la pression que son beau-père me mettait depuis des mois. J'avais mal, au fond de moi, au fond de mon âme. J'étais blessé dans mon amour propre, mon égo avait prit un sacré coup dans la gueule. Le pire, c'était qu'elle restait stoïque. Comme si rien ne l'atteignait dans mes propos. Un gars que j'ai rencontre a New York y a quelques années." Je la regardais, essayant de garder mon calme. Quelques années ? Combien ? Je soupirais comme font les femmes en plein accouchement, grande inspiration, lors expiration. Je devais garder le contrôle de moi-même. Elle croisait les bras et me lâchait une nouvelle bombe en pleine gueule. "Parce qu'importe ce qui se passe, tu appartiens a ma vie, tu a été la première personne que j'ai aime et si maintenant j'aime quelqu'un d'autre c'est de ta faute. Si tu n'avais pas été aussi lâche, on serait toujours ensemble. On aurait été heureux, mais non, t'as prefere te barrer avec l'argent de mon beau-père, comme si ta famille n'était pas déjà assez riche comme ca." Bla bla bla. Avec des si on referait un monde utopique et à notre bon vouloir. Tu veux savoir où il a attérit le pognon de ton enfoiré de beau-père ? J'm'en suis servi de papier toilette ! J'en ai filé à des clochards aussi, parce que j'en voulais pas de son argent sale ! Et me dit pas que j'suis encore dans ton coeur, t'aimes un autre connard que moi, parce que oui, j'suis le plus gros des connards de cette terre. J'suis plus rien pour toi et j'peux t'le prouver. J'attrapais la photo de nous deux et la déchirait en deux, formant une séparation entre Septembre et moi. J'étais énervé et je l'ai assez rapidement regretté.Je regardais Septembre. Putain, qu'est-ce que j'avais fait ? Mon plus beau souvenir, mon dernier souvenir...
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Tout était entrain d'escaler. C'etait bien pour cela que tu n'avais plus meme envie d'être la. Tu ne pouvais plus l'écouter. Plus il s'énervait, plus tu avais envie de pleurer et de partir. Tu n'en pouvais tout simplement plus. Tu aurais cru que ça aurait facilite les choses si il avait su pour Sander, mais visiblement, cela ne fait qu'empirer les choses. Tu fermais les yeux alors qu'il déballait sa colere sur toi. Il te demandait depuis quand, tu n'osais meme pas répondre. Tu l'avais rencontre alors que tu étais encore avec Drake, mais a ce moment-la, vous n'étiez qu'amis rien de plus. Maintenant, ce n'était plus le cas. Tu ne savais meme plus ce que vous étiez depuis que vous aviez couche ensemble et que tu lui avais avoue ce que tu ressentais pour lui. Ton regard s'était pose sur le sol. Tu avais envie de fumer ton joint pour te calmer mais vu que vous étiez dans un hôpital, c'était plutôt impossible. A la place, tu essayais de garder ton calme du mieux que tu pouvais. Soudain tu entendais un sorte de déchirement, comme si on déchirait une morceaux de feuille en deux. Tu relevais ta tete, et c'est la que tu vis, votre photo déchirée en mille morceaux, votre dernier souvenir anéanti. Tu commençais a sentir les larmes que tu avais retenu tout ce temps couler sur tes joues. Comment avait-il pu faire ça? Cette photo, c'était tout ce qu'il restait de vous et lui, il avait tout détruit sous un coup de colère. La haine commençait également a monter a toi. Tu te ruais sur lui, l'attrapant par son t-shirt. "Comment tu peux juste déchirer cette photo? je suis si insignifiante que cela? Tu t'en fiches juste, tu penses toujours qu'a toi et a ce qui te rendrait mais jamais aux autres et a leur bonheur!" Tu gueulais encore plus, mélanger avec les pleurs, la situation devenait incontrôlable. "Comment tu peux penser que je ne te tiens plus dans mon coeur? Qu'importe si je suis amoureuse de Sander maintenant, tu as été la première personne a qui j'ai su m'ouvrir. Seulement…seulement…" Tu le lâchais, reculant jusqu'au mur derrere toi avant de te laisser effondrer sur le sol. "il a été la quand j'en avais le plus besoin…quand tu étais dans le coma et que j'ai cru que tu allais mourir, il a été la comme un ami. Tu peux pas m'en vouloir de tomber amoureuse de quelqu'un qui est la pour moi alors que je mourrais a petit feu." Tu sanglotais, effondrer sur le sol glacial de l'hôpital.
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Elle ne répondit pas à ma première question, je ne cherchais pas plus loin. J'étais blessé, anéanti, énervé et triste à la fois. Je ne savais plus par quel état je pouvais encore passer. C'était un coup dur à encaisser. Mais je me devais de le faire. Comme si de rien était. Mais je n'allais pas pouvoir l'oublier, j'en étais sur. Elle était tout pour moi, et j'avais tout perdu sous la pression, comme un con. Et plus ca allait, plus je la perdais, encore plus lorsque j'avais déchiré notre photo en deux. Elle se mit à pleurer et s'avançait vers moi, m'attrapant par le t-shirt. "Comment tu peux juste déchirer cette photo? je suis si insignifiante que cela? Tu t'en fiches juste, tu penses toujours qu'a toi et a ce qui te rendrait mais jamais aux autres et a leur bonheur!" Je la regardais dans les yeux. T'es pas insignifiante putain ! Si tu l'étais, j'réagirais pas comme ça et j'm'en voudrais pas d'être parti, ni d'avoir déchiré mon plus beau souvenir ! Et ca m'ferai pas du mal de te voir pleurer ! Je ne gueulais pas aussi fort qu'elle, je savais que j'avais eu tord. "Comment tu peux penser que je ne te tiens plus dans mon coeur? Qu'importe si je suis amoureuse de Sander maintenant, tu as été la première personne a qui j'ai su m'ouvrir. Seulement…seulement…" Elle s'effondrait au sol après m'avoir lâché, continuant sa phrase. "il a été la quand j'en avais le plus besoin…quand tu étais dans le coma et que j'ai cru que tu allais mourir, il a été la comme un ami. Tu peux pas m'en vouloir de tomber amoureuse de quelqu'un qui est la pour moi alors que je mourrais a petit feu." Je baissais les yeux, sans savoir quoi dire, regardant les deux morceaux de photo séparés au sol. Sander... Je vois... Et ca aurait changé quoi, que j'meurs ? Tu aurais fini avec lui, effaçant avec le temps les souvenirs et la douleur de ma mort, voilà tout. Je ne serai qu'un souvenir de ta vie désormais, il va falloir que je l'accepte. Je parlais doucement, me dirigeant vers la porte. Tu veux fumer une clope, dehors ? Je n'avais plus la force de m'énerver, je voulais seulement sortir de cette pièce. Je lui tendais la main pour l'aider à se relever.
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Tu avais vraiment péter un cable sur le coup. Tes nerfs avaient complètement lâche et tu t'étais retrouve a bout. Tu n'en pouvais absolument plus. Tu voulais que cela s'arrête, que cette dispute prenne fin. Tu avais fini par t'effondrer sur le sol en pleure. Tu comprenais pas pourquoi apres autant de temps, il arrivait encore a te faire quant d'effet et a autant te faire souffrir avec ses mots. Si seulement, il ne s'était pas tellement infiltre dans ton système, tu aurais juste pu le laisser derrière toi le moment ou il s'était barre, mais a la place, tu n'arrivais pas a le faire sortir et il te mangeait de l'intérieur. Est-ce qu'il voulait vraiment te détruire jusqu'a ce qu'il y avait vraiment plus rien de toi? Soudain, il se mis a parler de mort, de sa mort et comme quoi ça m'aurait fait du bien. Il avait tord, comment pouvait-il penser cela? Tu secouais la tete. "Non, s'il te plait. Je peux pas t'oublier, je veux pas que tu disparaisse aussi simplement de ma vie. C'est pas parce qu'on peut plus être ensemble comme avant que ça veut dire qu'on doit faire comme si rien ne s'était jamais passe." Maintenant que tu l'avais retrouve, tu ne te voyais pas faire comme si il n'avait jamais existe. Tu ne l'aimais peut-être plus de la meme sorte qu'avant, mais tu tenais toujours a Drake. Il te proposait alors d'aller fumer une clope dehors. Tu hochais la tete pour acquiescer prenant sa main pour te relever. Tu essuyais rapidement tes larmes. "Je savais pas qu'elle te laissait sortir les infirmiers." Dis-tu sur un ton plus calme. Cette dispute avait peut-être vraiment été nécessaire pour que vous puissiez sortir tout ce que vous aviez garde en vous durant ces quatre dernières années.
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Plus la discussion avançait, plus j'étais faible. La voir en larmes me brisait un peu plus le coeur à chaque fois, comme si une infime partie de moi était sensible et humaine. Je voulais que cette prise de tête cesse, que tout rentre un minimum dans l'ordre, même si ca ne rentre pas dans l'ordre que je voudrais, car elle ne reviendra jamais vers moi, j'en prenais conscience petit à petit. Alors que je parlais de ma mort, elle secouait la tête. "Non, s'il te plait. Je peux pas t'oublier, je veux pas que tu disparaisse aussi simplement de ma vie. C'est pas parce qu'on peut plus être ensemble comme avant que ça veut dire qu'on doit faire comme si rien ne s'était jamais passe." Dans un sens, j'essayais de capter un arrangement de situation, peut-être de l'amitié, je ne savais plus trop. Ce n'est qu'une vaste vérité dans un sens. Si j'étais mort le jour de l'attentat, tu aurais refait ta vie comme bon te semblait. Mais j'suis pas mort, c'est ca l'truc. J'me résigne à penser qu'on s'remettra ensemble, même si j'aurai toujours cette lueur d'espoir au fond de moi. Mais si j'peux au moins être un temps soit peu ami avec toi, j'trouverai ca génial. Après, j'suis pas sur que tu sois prête à me donner ton amitié... Je la regardais avant qu'elle n'attrape ma main pour aller fumer. J'avais vidé tout ce que je pensais depuis tout ce temps, même si ca n'était pas sorti correctement, pas comme je voulais. "Je savais pas qu'elle te laissait sortir les infirmiers." J'esquissais un léger sourire. Parce que tu crois que j'écoute tout le monde ici ? Non sérieusement, mes poumons n'ont pas été atteints, je marche normalement, j'vais bientôt sortir...du coup j'fais ma vie, je reste qu'aux horaires qu'ils me donnent, le reste du temps, j'suis dehors. Je me résignais à lâcher sa main doucement, pour ne pas être trop entreprenant et ouvrait la porte, la laissant passer en premier, pour enfin aller dans le petit parc de l'hôpital fumer nos clopes, ou un joint.
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