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maybe it's time we talk (drakembre)

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YOU CAN'T RUN FROM YOUR PAST
septembre & drake


Tu étais la assise sur cette chaise a regarder ce visage. Ce visage que tu n'étais pas capable d'oublier. D'ailleurs, tu ne savais pas pourquoi tu étais la. Tu venais souvent quand il était dans le coma, il n'y avait rien a craindre a ce temps-la. Tu pouvais être la a le regarder sans jamais craindre qu'il se réveille devant toi. Tu avais encore du mal a faire face a lui, a lui dire tout ce que tu avais sur le coeur. Tu savais qu'un jour cela allait arriver, mais tu n'étais pas encore prête a cela. Il y avait encore beaucoup trop de blessures ouvertes et trop de trahisons que tu ne pouvais pas comprendre. Tu te levais alors, ne pouvant plus rester la. Tu ne saurais quoi faire si il se réveillait la devant toi. Tu allais toujours le voir quand il dormait. C'etait le seul moment ou tu arrivais a être face a lui. Meme apres tout ce temps, tu n'arrivais pas le quitter et a faire comme si ce n'était jamais passe. Est-ce que c'était cela le vrai amour? Tu n'avais pas cette réponse. Au moment d'ouvrir la porte, tu sentais un mouvement provenant du lit. Rapidement, tu soulevais ta capuche pour cacher tes cheveux. Parfois tu te demandais si tu ne devais pas revenir a ta couleur originale. Cela serait plus facile pour pas qu'on te reconnaisse. Tu restais la, main sur la poignée a attendre ce qu'il allait se passer. Si il venait vraiment de se réveiller, tu savais que tu n'avais pas d'échappatoire.
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Depuis janvier, je n'avais pas quitté cette chambre, ce lit, inerte, entre la vie et la mort au départ, puis mon état s'était stabilisé. Endormi comme un enfant. Je ne savais pas combien de temps ce sommeil allait durer, combien de temps encore j'allais rester branché à toutes ces machines, ce respirateur artificiel, car ils avaient peur que mon coeur lâche, tellement il semblait faible. L'obscurité était devenue ma meilleure amie tout ce temps. Mais récemment, je quittais cette obscurité pour revoir la lumière du jour, pour la première fois. Tout ce temps, je sentais sa présence près de moi, je sentais ce silence et ce regard presque réprobateur qui me visait. Cette présence que je reconnaissais au fond de moi. Puis plus personne durant deux semaines. Personne ne revenait me voir, même plus Septembre. C'est durant ces deux semaines que j'ai pu me réveiller un peu. Ce jour là, je m'étais simplement assoupi. Je bougeais dans le lit, changeant de position pour mieux dormir. Position initiale, sur le dos, la main sur mon abdomen, espérant que quelqu'un me sorte de ma sieste. Mais pas n'importe qui. Je voulais que ce soit Septembre, mon seul et unique amour, le genre de fille qu'on ne peux oublier. Et je m'en voulais de tout le mal que je lui avais fait.
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septembre & drake


Tétanisée était le mot qui décrivait exactement ta situation. Tu ne savais plus quoi faire. Partir ou rester? Est-ce que tu étais vraiment prête a l'affronter? Tu pensais que non, et tu étais convaincue que c'était le cas. Vous n'aviez jamais pu vraiment parler au moment de vos retrouvailles, puis il y a eu la bombe et ce fut le néant. Il y avait tellement de réponse que tu aurais voulu avoir, mais est-ce que tu voulais vraiment les entendre? Tu étais encore tellement perdue face a lui. Tu entendais toujours les mouvements dans le lit derrière toi. Est-ce qu'il s'était réveille? Est-ce qu'il avait remarque que tu étais la? Tu n'avais absolument pas envie de lui parler, tu fuiais encore une fois. Tu ne faisais que cela en ce moment. Fuir tes problèmes, fuir ton addiction a la drogue, fuir tes sentiments pour Sander, fuir tes retrouvailles avec Drake, il y avait tant de choses que tu ne voulais jamais avoir a affronter. Seulement, tu savais que cela allait bien arriver un jour ou non. Tu soupirais, lâchant la poignée. Et si tu partais tout simplement, et faire comme si tu n'avais jamais été ici. C'etait une possibilité, une bonne possibilité d'ailleurs. Tu repris alors la poignée et la descendit doucement. Au moins d'ouvrir la porte, tu entendais des nouveaux bruits. Tu déglutis. Par pitié, arrête, pensais-tu. Ne voyait-il pas a quel point il te faisait souffrir? Tu voulais au plus haut point oublier cette période de ta vie. Disparait Drake, disparait de ma vie, pensais-tu encore et encore.
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Je savais qu'elle était là, qu'elle avait peur de me voir réveillé, peur de la vérité, des explications que j'allais surement lui donner. J'y avais longuement réfléchis le temps de son absence. Mais je savais que ça allait être différent que ce que j'imaginais. J'ouvrais un oeil alors que sa main glissais sur la poignée. Il ne fallait pas qu'elle parte. Je ne voulais pas qu'elle s'en aille encore. Alors, je me suis assis sur le lit, la regardant. Elle ne bougeait plus, je l'entendais déglutir. Je me levais finalement du lit, m'approchant lentement d'elle, espérant qu'elle ne parte pas en courant. Ma main voulait se poser sur son épaule, mais j'abandonnais finalement cette idée. "Septembre ?" dis-je, comme si je ne la reconnaissais pas, mais je reconnaissais son odeur, sa silhouette, sa présence, même si elle changeait de couleurs de cheveux souvent.
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Tu étais partagée entre l'envie de fuir et celle de rester. Ton coeur te disait de courir, de partir loin de cet endroit. Mais ton corps ne répondait pas, paralyse sur place, tu n'arrivais pas a faire un pas de plus. Tu avais envie de t'éloigner de cet hôpital, de cette chambre et de ne plus jamais revenir. Cependant, tu n'y arrivais pas. Plus tu entendis des mouvement derrière toi, plus tu avais envie de disparaitre. Tu aurais du partir quand tu entendis les premiers mouvements, et ne pas hésiter. Maintenant, tu t'étais la, et tu n'avais aucun échappatoire. Ta respiration était haletante. Tu avais peur, peur de ce qu'il allait se passer quand tu te tournais dans sa direction et que tu allais le voir devant toi. Meme apres 4 ans, il arrivait toujours a te faire souffrir autant. Il s'arrêtait derrière toi, prononçant ton nom comme pour faire qu'il ne te connaissait pas. Tu déglutis, une nouvelle fois. Ca y, l'heure de la verite était arrive. Allais-tu enfin savoir ce qui s'était passe il y a quatre ans? Il y avait tellement de questions qui défilaient dans ta tete, mais la peur qui était en toi submergeait ton envie d'avoir les réponses. Un silence c'était mis entre vous deux et apres quelques minutes, tu te décidais enfin de descendre ta capuche et de te retourner pour lui faire face. Tu n'osais pas le regarder dans les yeux. Ton regard était rivé sur le sol. "Salut…" chuchotais-tu. Tu essayais de ne pas fondre en larme devant lui, mais c'était tellement dure.
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En vérité, j'avais moi-même peur de la vérité, de ce qui allait se passer après que je lui ai raconté ce qu'il s'était passé il y a quatre ans. Peur de ce qui m'attendait maintenant. Je ne sais plus rien sur sa vie. Je ne sais pas si elle s'est reconstruite, si elle a quelqu'un d'autre dans sa vie. J'ai peur que les vérités de Septembre me heurtent comme un véhicule à pleine vitesse. Quelques longues minutes sont passées avant qu'elle ne se retourne, enlevant sa capuche, laissant apparaître ses cheveux longs, turquoises et verts. Elle n'a pas changé son style décalé, ce qui me plaisait d'autant plus chez elle. Je n'avais pas eu le temps de tout lui expliquer avant l'attentat, nos échanges étant si succins. Elle m'adressa un "Salut…" murmuré, presque inaudible. Elle fuyait cependant mon regard. "Ca m'fait plaisir, de te revoir... Tu peux t'asseoir s'il te plait ?" dis-je assez gêné de la situation qui commençait à s'installer doucement entre nous. "J'dois...t'expliquer ce qu'il s'est passé il y a...quatre ans."
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Ton regard était posée sur le sol et tes pieds. Tu l'évitais de tout ton ame. Tu ne savais pas comment tu allais réagir si jamais tu le regardais dans les yeux. Tu savais que tu risquai de pleurer et ton corps fondre sous le choc. Tu paraissais très forte de l'extérieur, mais en verite, tu étais très fragile. Tu avais tout simplement forme une énorme carapace autour de toi pour ne plus jamais souffrir. La souffrance et la tristesse qui grandissaient dans ton coeur faisait en sorte que la seule solution que tu avais était la drogue, ta douce compagnon depuis maintenant 8 ans. Et dire que c'était la personne en face de toi qui t'avait initie a cette vice. Ironique n'est-ce pas. "Ca m'fait plaisir, de te revoir... Tu peux t'asseoir s'il te plait ?" Tu ne dis rien, ne sachant pas quoi dire. Tu étais contente qu'il soit encore en vie, mais rien de plus au fond. Tu secouais la tete. Tu préférais rester debout près de la porte, la ou tu pouvais fuir le plus rapidement possible. "J'aime bien être debout." dis-tu toujours en chuchotant. Tu avais vraiment du mal a sortir un mot de ta bouche et quand Drake t'annonçait enfin qu'il allait te dire ce qu'il s'était passe il y a 4 ans, tu avais juste envie de le baffe, mais tu te retiens. Tu levais tes yeux vers lui et le regardais droit dedans. Tu avais réussi a prendre ton courage a deux mains pour lui faire face, meme si tu commençais a sentir les larmes montes. T'es qu'un sale menteur Drake, pensais-tu. "Comment veux-tu que je te crois apres tout ce temps?" retorquais-tu froidement.
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Je regardais Septembre. Elle avait changé depuis la dernière fois que je l'ai vue. Son addiction à la drogue se voyait, je ne me trompe jamais là dessus. Elle a plongé, par ma faute. Si je ne l'avais pas initiée il y a huit ans, elle n'en serait pas là. On en serait pas là. Elle ne me regardait pas, comme si voir mon visage maintenant que je suis réveillé éveillait en elle une faille impossible à fermer. Elle ne répondit pas lorsque je lui disais que ca me faisait plaisir de la revoir. Je baissais la tête, comprenant rapidement que ça la faisait souffrir, et le pire c'est que je comprenais ce qu'elle pouvait ressentir. "J'aime bien être debout." Elle était plantée devant la porte, prête à fuir dès que notre conversation allait prendre plus d'ampleur. Je ne répondis pas, hochant simplement la tête. Je relevais la tête et vis son regard dans le mien, limite presque rempli de haine. Mon regard dans le sien, lui, était plein d'excuse et d'amour que j'essayais tant bien que mal de cacher. "Ecoutes... Ton beau-père m'a payé pour sortir de ta vie. J'avais pas envie de le faire, mais j'avais peur des conséquences que cela allait avoir. Alors, j'ai accepté, comme un con. Mais je n'ai jamais cessé de t'aimer, Septembre... Encore aujourd'hui, après quatre années, j'ferai tout pour te retrouver, te prouver que je t'aime, et que j'ai changé. Si c'était pas le cas, tu crois que j'serai venu ici quand j'ai su que tu faisais tes études à Harvard ?" Ses yeux s’humidifiaient alors qu'elle lançait froidement "Comment veux-tu que je te crois apres tout ce temps?" Je soupirais. Elle venait de m'enfoncer comme une lame au fond du coeur. Parce que même après tout ce temps, j'suis là, face à toi..." lançais-je alors que je m'asseyais sur mon lit d'hôpital.
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En l'espace de quelques minutes, tu avais radicalement change. Tu étais énervée qu'il se soit réveille quand tu étais la, mais en le voyant de toi en chair et en os, si pres, tu avais envie de pleurer. Tu étais tellement fragile, et dire qu'il y a 3 ans, tu avais decide de mettre les voiles pour aller a Harvard. Au fond, tu n'as jamais vraiment été la fille forte. C'etait toujours Drake qui te poussait a te rebeller contre la mère et ton beau-père, c'est lui qui t'avait tout appris sur la drogue. Il commençait a parler, vos regards interpose l'un sur l'autre. Il commençait a raconter, et plus il disait, plus t'avais envie de commettre un meurtre. Comment, comment cela avait pu arriver? Est-ce que ton bonheur t'était-il interdit? Ton beau-père voulait-il te ruiner jusqu'a la subordination de ta part? Tu te mis a trembler. Tu n'arrivais pas a faire la différence entre le manque et la colère que tu éprouvais pour ta famille. Tu tremblais juste, impossible a te contrôler. Tu secouais la tete, tu n'arrivais pas a croire Drake. Cette histoire était juste irréaliste. "Non, arrête. Arrete avec tes mensonges. Dis moi la verite. J'ai le droit de savoir. Pourquoi t'as fais ça? Tu m'a jamais aime c'est ça, c'était juste un gros mensonge pour te servir de moi." Tu disais n'importe quoi, tu avais complètement perdu la tete. Tu ne voulais tout simplement pas croire que ton beau-père a pu payer Drake pour qu'il disparaisse de ta vie. Quel genre de personne faisait cela? Qui faisait cela? Tu reculais jusqu'a te trouver dos contre la porte, impossible de bouger. Tu retenais toujours les larmes. Tu n'avais pas envie de pleurer, mais tu avais tellement mal.
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La vérité éclatait enfin. Une vérité qui blesse, qui torture. Mais il vaut mieux une vérité qui fait mal, qu'un mensonge qui fait plaisir. Septembre n'en revenait pas, elle tremblait, elle ne me croyait pas. "Non, arrête. Arrete avec tes mensonges. Dis moi la verite. J'ai le droit de savoir. Pourquoi t'as fais ça? Tu m'a jamais aime c'est ça, c'était juste un gros mensonge pour te servir de moi." Je la fixais du regard, presque désolé de lui avoir craché ca en pleine gueule aussi radicalement. C'était presque ignoble de ma part de lui faire ca. Si ca avait été quelqu'un d'autre, je m'en foutrais. Mais c'était la femme de ma vie, celle que j'ai toujours aimé. Je soupirais. "J'te mens pas, Septembre..." dis-je en baissant la tête. Je me sentais vraiment mal. "J'ai pas eu l'choix... Enfin, j'aurai pu l'avoir, mais il aurait fait de nos vies un enfer, pire que maintenant..." Je la voyais se reculer, se retrouvant dos à la porte. Je voyais qu'elle avait envie de pleurer, je le sentais. Je me levais d'un bond du lit, m'approchant doucement d'elle, posant ma main et mon front contre la porte. "Je t'ai toujours aimée, encore maintenant... J'veux juste que tu m'pardonnes, qu'on s'retrouve... Même si ca sera jamais comme avant...". J'avais envie de la prendre dans mes bras, de sentir à nouveau son odeur, ses lèvres sur les miennes. Mais il ne fallait pas, pas maintenant... "Pardonnes moi, mon amour..." Ce dernier m'a échappé, tout comme la culpabilité qui grandissait dans mon être, faisant couler une larme au coin de mon oeil.
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