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Kol & Liz'
L’avoir dans mes bras c’était comme revivre tous ce qu’on avait pu vivre avant, tout ce qu’on avait pu ressentir l’un l’autre. Aujourd’hui j’avais réellement l’impression que nous n’avions plus réellement de moment ensemble, rien que tous les deux, même ça c’était devenu tellement compliqué, je regrettais … tellement … En me mariant avec Key’, je l’avoue en parti j’avais réellement espéré ne plus ressentir ce que je ressentais pour elle, mais rien n’y faisait même pas l’amour que je portais à Key’, rien ne pouvait effacer les sentiments que j’avais pour Liz’, car cela durait depuis trop longtemps, j’avais besoin d’une rupture … définitive. Mais la réelle question à se poser, est-ce que je le pouvais réellement … non je ne pouvais pas, je pouvais me résilier à me séparer d’elle. « Je suis autant perdue que toi, si tu savais... Je sais pas ce qui est en train de nous arriver. Je comprends plus rien... » Moi non plus je comprenais plus rien du tout … « Tu veux quoi toi Kol ? Tu veux qu'on s'éloigne, qu'on fasse une pause ? Ou... » Je la serrais encore plus fort contre moi à ce moment-là. «Tu veux carrément m'oublier ? Dis-moi ce qui tu veux sincèrement.. du fond du coeur.. » Non je ne voulais pas l’oublier, je voulais même plus la quitter c’était plus fort que moi … à croire qu’on était définitivement lié tous les deux, tout simplement par ce qu’on s’aimait tous les deux encore. Je mis alors ma main dans ses cheveux passionnément, je la serrai encore plus, je sentais alors son parfum, son odeur, était comme une libération dans tout ce bordel qui semblait aujourd’hui me suivre pas à pas. « Tout ce que je veux pour le moment c’est toi Liz’ … » j’avais envie de l’embrasser … c’était plus fort que moi, j’avais une de mes main sur sa joue … non je ne pouvais pas faire ça … je ne pouvais pas envers Key’. Je me reculais alors. « Non … c’est pas possible ! On ne peut pas ! » J’avais mal … résister c’était tellement dur … mais j’en avais pas le droit, j’aimais Key’, et elle était la femme de ma vie, Liz’ c’était terminé. « Pardon … pardon … »
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