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I've spent all of the love I saved, we were always a losing game (fallova)

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Tu sais que t'es un fardeau pour elle, surtout au niveau de certains de ses amis et certains membres de sa famille. Tu sais que t'as causé beaucoup de souffrance dans son existence avant votre séparation et que ça ne s'est pas vraiment amélioré après. Tu sais que t'es un fardeau, un boulet accroché à sa cheville, que pour son bien tu ferais mieux de l'abandonner totalement, mais tu n'y parviens pas. Aimant qui est attiré par son alter égo, quand tu sors de son sillage, il y a toujours quelque chose qui te ramène à elle ou qui la ramène à toi. Alors tu te doutes que cette situation, ce retour dans sa vie soit une source de pétage de plombs supplémentaire. Et elle le confirme, que l'amour qu'elle te porte est un problème. Que le poids de l'amour est un problème. Phrase qui résonne dans le crâne, qui bouscule tout à l'intérieur. Tu déglutis, tes yeux se ferment, les mâchoires se serrent sous le poids de la culpabilité, mais tes caresses ne cessent pas, se veulent toujours tendres et apaisantes. « J'suis désolée d'être un problème, Fall.. J'suis désolée de t'aimer trop fort et de ne pas savoir m'éloigner de toi pour ton bien. J'suis désolée d'avoir causé tout ce mal et que.. Que les autres comprennent pas qu'on puisse pas lutter contre ce qu'on ressent l'une pour l'autre... » Ta gorge se noue, tu sens les larmes monter au bord de tes yeux et tu soupires lentement. Tu ne sais pas quoi dire de plus sur le sujet, sans te répéter des fois précédentes. « En septembre, tu subirás moins de pression avec les autres à Harvard. À la fin de ce semestre j'serai diplômée, ils te prendront moins la tête.. » Si cette annonce peut déjà lui enlever une épine du pied, t'as rien perdu.
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Tu ne voulais pas la blesser en lui avouant que c’était le fait que tu l’aime qui te faisait autant de mal. D’une part parce que tu es torturé quand tu la vois, quand tu pense à elle mais aussi à tout ce qu’elle t’a fait vivre dans le passé et d’autre part avec ce que les gens autour de toi pouvais dire. Tu sais qu’il faudrait simplement que tu arrête d’écouter les gens autour de toi mais tu es comme ça, au fond tu es toujours cette petite fille qui a peur de l’abandon et qui ne veux pas que ses amis la laissent tombé. Tu as ce besoin de reconnaissance, ce besoin de savoir que les gens pensent à toi et que tu compte pour eux. En attendant tu étais partie de Boston pour arrêter de souffrir de tout ça pour ne pas avoir à te justifier à chaque fois que tu vois ton ex. « C’est pas de ta faute, on a un passé compliqué que j’aurais aimé être capable de mettre de côté plus facilement mais il me hantera toujours » Bien sûr que tu auras toujours peur de son travail et de savoir qu’elle peut avoir encore ces envies d’aller voir ailleurs parce que tu ne seras jamais capable d’assez la satisfaire comme à l’époque où vous étiez ensemble. Tu n’en seras jamais capable. « Tu crois que ça va changer quelque chose que tu sois plus sur le campus ? » Tu ne vois pas tellement le rapport, tes amis auront toujours ce ressentis contre elle, ce passé qui comptera toujours aux yeux du monde autant qu’il t’a fait souffrir. Tu es convaincu qu’elle peut changé mais ton manque de confiance en toi t’empêchera toujours de ne plus penser à ce passé.
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T'es déçue, pas de ce qu'elle t'a dit, mais des actes que tu as commis par le passé. Tes infidélités, ton incapacité à laisser tomber la prostitution pour sauver ton couple. Tout ce qui s'est produit est entièrement de ta faute et tu en paies le lourd tribut chaque jour depuis votre rupture. Mais t'as pris conscience de tant de choses ces derniers mois. T'as pris conscience que ton amour pour elle ne te quittait pas, qu'il ne s'était pas essoufflé ne serait-ce qu'un peu, qu'au contraire, il croissait, que c'était plus fort à partir du moment où tu l'as revue, le soir où tu l'as suppliée de t'embrasser sans qu'elle le fasse. C'est de ta faute si tout est si compliqué maintenant. Si ses amis et sa famille te détestent. Si les actes du passé la hantent encore. Si tu ne peux plus embrasser ses lèvres, étreindre son corps la nuit, le jour. « Bien sûr que c'est de ma faute, Fallon.. Si j'avais fait les choses correctement, on serait toujours ensemble, j'serai pas la raison de ton départ ici, j'serai pas non plus la raison des souvenirs douloureux qui te hantent aujourd'hui encore.. Si j'avais pas fait tout ça, on serait heureuses et ensemble. Et maintenant que j'ai viré toutes ces choses de ma vie, que j'ai tout arrêté, j'espère qu'on pourra avoir un nouveau départ, qu'on fera table rase de tout ce qui a été et ne sera plus. Qu'on pourra vivre comme on aurait dû vivre sans mes conneries.. » Tu parles beaucoup, Tova. Tu parles beaucoup mais t'es sincère, plus que tu ne l'as jamais été. Tu ne veux qu'elle. Tu ne veux plus voir qui que ce soit d'autre. Ne plus t'étendre contre d'autres enveloppes charnelles que la sienne. N'humer plus que son odeur sur le second oreiller. Tu ne veux qu'elle, jusqu'à ce que le destin ne vous sépare. « Si j'suis plus là, t'auras plus la pression de la Pfo sur les épaules. Tu verras plus les regards dédaigneux qui se posent sur moi et les messes basses qui évoquent sans doute la réputation que j'ai. J'serai juste la nana que tu peux voir quand tu veux et si tu le veux. Celle qui attendra sagement devant son piano en rentrant du travail. Qui aura passé une journée épuisante au tribunal ou au cabinet, à gérer des dossiers. J'serai juste la femme qui t'aime en dehors du campus. » Tu la regardes, tes caresses en automatisme suivent une cadence régulière et un trajet tout aussi régulier.
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Tu ne sais pas trop si c’était une bonne idée de tout dire à Tova mais si elle t’a suivi ici, si elle a pris l’avion pour venir jusqu’ici te retrouver elle a bien le droit de savoir. Tu lui ouvre un peu plus ton cœur, tu lui explique qu’en plus de tes examens et le boulot, ton problème viens du fait que tu l’aime et que ce passé que vous partagez toute les deux sera toujours dans un coin de ta tête et tu ne pourras pas forcément l’oublier du jour au lendemain. Mais tu tiens à dire que ce n’est pas sa faute si tu as fuis Boston comme ça sans rien dire à personne, ou presque. Tu te redresse pour lui faire face, tu ne peux pas la laisser dire tout ça. « On n’était pas prête à être ensemble je te l’ai déjà dit, c’était pas le bon moment pour nous » C’était dur d’admettre que votre histoire n’est pas arrivé au bon moment pour elle comme pour toi. Tu étais jeune, tu n’avais jamais vraiment été amoureuse ou même en couple avec quelqu’un et Tova avait cette vie bien trop prenante pour que tu ais une vrai place pour dans celle-ci. Tu ne sais pas si tu es prête aujourd’hui à retenter le coup, à lui laisser cette chance qu’elle te demande depuis des mois. Elle a changé tu le sens, tu le vois mais tu as toujours ce doute, cette appréhension. Elle t’annonce qu’elle a bientôt fini ses études et que l’année prochaine elle ne sera plus à Harvard et que ça changera tout pour toi. « Je comprends la logique de ton raisonnement » Oui c’est plus simple quand ta vie privée reste en dehors du campus, quand tu peux juste aller voir cette fille que tu aime sans que personne ne juge tes choix et sans que tu ai besoin de le caché sur le campus.
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C'était pas le bon moment. Cette phrase, tu la connais sur le bout des doigts, maintenant. Mais quand est-ce qu'on sait que c'est le bon moment ? Comment s'en rendre compte si on essaie pas ? Cette question te brûle les lèvres, encore une fois. Et maintenant que t'es prête, l'est-elle également ? Est-elle prête à passer de nouveau ce cap à tes côtés ? T'en sais foutrement rien. Parce que les signaux sont paradoxaux, embrouillent tes sens, à chaque fois. Le fameux Je t'aime, mais.. qui flingue. Parce qu'il y a toujours une condition derrière, un souvenir du passé qui fout un coup de massue. Tu ne dis rien. Tu laisses les choses en suspend, comme une cuirasse que tu ne veux pas retirer par peur d'une réponse douloureuse. Et tes neurones s'agitent, connexion brutale à la réalité de l'heure qu'il est réellement. « Je.. Tu veux qu'on dorme ensemble cette nuit ou tu préfères que je restes dans le canapé ? » Pas que la fatigue t'accable tant que ça, bien qu'elle soit bien présente, mais tu ne veux rien bousculer de cet équilibre fragile.
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C’était toujours compliqué pour toi de revenir sur ce sujet, sur pourquoi vous vous êtes séparées et pourquoi tu n’arrives pas à avoir envie d’officiellement te remettre avec elle. Tu l’aime c’est indéniable mais c’est tellement plus compliqué que ça pour toi. C’est si dur pour le monde entier de te comprendre ce que tu ressens et ce que tu vis et c’est pour ça que tu as fuis Boston pour rentrer ici à Toronto. Tu avais besoin d’air, besoin de te retrouver avec toi-même mais tu n’es pas mécontente de voir Tova à ta porte ce soir parce que tu sais que tout est différent ici. Après en avoir fini avec cette conversation, ton ex petite amie te propose de dormir sur le canapé, tu sais que même si tu aimerais dormir avec elle ce n’est peut-être pas une bonne idée. « Je pense que c’est pas une bonne idée, mais pour l’instant je veux juste regarder un film et rester là avec toi » Te retrouver poser sur ses jambes comme tu l’étais il y a quelques minutes, sentir sa main dans tes cheveux et voir ton angoisse redescendre.
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Juste rester là, comme ça, juste vous deux, sans personne autour pour commenter cette proximité, cette attirance indéniable, ce besoin d'être ensemble et loin de tout ce qui ronge l'esprit. Juste elle et toi. Sa tête sur tes cuisses, tes doigts sur sa peau ou dans ses cheveux. T'as longtemps parcouru son corps, effleuré tant de fois son visage, appris par cœur la pureté de ses formes. Tu pourrais créer une mélodie pour visualiser chaque centimètre de sa peau, une ribambelle de symphonies pour délier les mots qui n'ont pas pu sortir depuis longtemps. Et si tu savais que ce refus allait se présenter, tu n'en reste pas moins déçue de voir qu'il reste une barrière, invisible mais tenace qui se dresse entre vous. « Alors on reste comme ça, et je te laisserai tranquille quand tu iras dormir. » Tu glisses une main sous le plaid, effleure la peau de sa hanche avant de la recouvrir et tu cherches sa main, de manière hasardeuse. Besoin de cette chaleur. Besoin de te rattraper à cela.
T'es concentrée dans le film, du coup. Obnubilée, captivée par l'écran qui te tient éveillée. T'as cette sensation de chaleur qui ne quitte pas ton corps, chaleur douce et agréable liée à sa présence contre toi. Mais tu ne dis rien, ne fais rien. Tu tiens, par tu ne sais quelle force d'esprit.
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C’est ce dont tu avais besoin, juste être là, posée avec celle que tu aimes dans une intimité où personne ne pourra le savoir et personne ne pourra te juger. Tu en avais marre de tout ces regards sur toi tout ces gens qui se disent tes amis et qui pourtant ne veuillent pas te laisser faire tes propres choix. Tu n’es pas capable aujourd’hui de te mettre en couple de nouveau, que ce soit avec Tova ou avec n’importe qui d’autre mais tu veux passer du temps avec elle comme si le monde extérieur n’existait pas. Tu reposes ta tête sur ses jambes avec ton plaid. « Merci Tova » Elle te comprenait peut-être plus que ce que tu ne le pensais. Tu sens sa main sur ta peau c’est surement ce qui t’as le plus manqué. Elle fini par trouver la main, tu prends l’initiative de venir entrelacer tes doigts avec les siens. Ta journée avait été épuisante et tu avais du mal à voir le film et à vraiment le comprendre mais tu force sur tes yeux jusqu’à la fin. Quand le film se termine tu te redresse, t’enroulant dans ton plaid. « Je crois que je vais aller dormir » L’attente à l’aéroport, le vol et ta petite balade dans la ville t’ont vraiment fatigué.
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Ne rien fircer, ne rien précipiter, laisser les choses se faire au moment opportun. Même si c'est physiquement complexe de devoir résister à l'appel de sa chair sous tes doigts, de la proximité dangereuse et latente des corps qui interagissent comme des aimants, même si dans ton crâne tu ressens l'insuffisance, tu comprends que cette barrière, c'est sa façon de se protéger de toi, de cette attirance, de cet amour dévorant. Tu grappilles ce que tu peux, de quoi étancher cette soif d'elle qui te tient si fort, trop fort. Un bout de peau caché sous le plaid, son corps contre toi, vos doigts qui s'entrelacent. Tu mords ta lèvre tant ça te fait du bien. Geste simple qu'elle se serait refusé si vous étiez à Boston. Simple geste dont la portée est bien plus grande à tes yeux. " De rien, Fall.. " souffles-tu doucement, caressant le dos de sa main doucement avec ton pouce. A la fin du film, la voilà qui se lève, entourée dans son plaid, signe que la nuit sera plus amère sans elle à tes côtés. Tu te relèves à ton tour, te plante devant elle un instant, avant de poser tes lèvres au coin des siennes. " Je te souhaite une bonne nuit, alors.. " Tu esquisses un léger sourire avant de te reculer et de prendre à nouveau place sur le canapé, retirant tes chaussures avant de t'allonger. C'est avec l'esprit en fusion que tu cherches le sommeil qui, malgré la fatigue du voyage, ne vient pas.
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Être auprès de Tova te fait du bien mais tu sais qu’actuellement tu ne veux pas plus que ça, pas plus que te retrouver là, la tête sur ses genoux. Tu passes tout ce film dans cette position voulant simplement souffler un peu. Tu as quitté Boston pour vivre un peu de calme et tu n’as pas le force de te prendre la tête avec ton ex alors tu agis comme tu le sens, sachant très bien qu’elle acceptera chacune de tes décisions parce que depuis des mois c’est toi qui mènes la danse. Tu as toujours eu le cœur sous en emprise, cette emprise qui t’as fait croire que c’était normal de partager ta petite amie avec de parfait inconnu parce que tu ne serais jamais suffisante à ses yeux. Aujourd’hui c’est toi qui décides de la tournure que prendra cette relation. A la fin du film tu t’apprête à aller te coucher, Tova vient embrasser ta joue pour te souhaiter une bonne nuit. « Bonne nuit » dis-tu avant de t'en aller dans la chambre que son cousin t’avais laissée. Tu passe une bonne demi-heure à tourner dans ton lit sans trouver le sommeil. Après avoir pesé le pour et le contre, avoir surement laissé couler une ou deux larmes qu’il te restait sur le cœur, tu te lève et va doucement dans le salon. « Tova ? tu dors ? » Tu ne voulais pas spécialement la réveiller non plus, ce n’était pas le but.
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