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I've spent all of the love I saved, we were always a losing game (fallova)

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I'VE SPENT ALL THE LOVE I SAVED, WE WERE ALWAYS IN A LOSING GAME
ft. @Fallon Davenport
Lieu : Toronto, Canada
Date : 18 avril 2021

Il a suffit d'une publication de la femme que tu aimes sur meets pour paniquer intérieurement. Tu as questionné, t'as voulu savoir où elle comptait aller, combien de temps, pourquoi elle y allait. T'avais peur de la perdre définitivement, qu'elle prenne la décision de partir et de ne plus revenir. Alors sur un coup de tête, t'as pris des billets d'avion pour la rejoindre, débarquant au Canada à la recherche de la blonde. T'es pas forcément là pour prouver quoi que ce soit, l'esprit trop occupé par le fait de ne pas l'abandonner. Tu l'aimes, elle le sait. T'es prête à tout pour elle, et ça, elle s'en doute, tu l'as prouvé ces derniers mois. Tu espères secrètement que le fait d'être loin de Boston et de tout ce que ça impliquait entre vous pour t'en rapprocher, même si tu ne te fais aucune illusion, tu gardes l'espoir enfoui au fond de toi.

T'as enfin pu retrouver sa trace, elle t'a enfin dit où elle se trouvait, ne s'attendant sans doute pas à ta visite. Pourtant t'es là, après avoir hélé un taxi. Et t'es devant cette porte sur laquelle ton poing s'abat, ton sac de voyage à tes pieds, ton autre poing en appui sur l'encadrement de la porte, les lèvres pincées et le regard bas. Après tout, peut-être qu'elle n'a pas envie de te voir là..
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Tu en avais besoin, un besoin presque viscéral de rentrer au Canada. Tu sais que les examens approchent, le bal aussi, et même si tu as trouvé ton cavalier en la personne de Laurys tu n’es pas aussi heureuse que le son toute ces filles autour de toi qui choisisse déjà plusieurs options pour leur robe. Tu adores Laurys, disons que vous êtes actuellement dans le même mood tous les deux et plutôt que de ne pas du tout aller au bal ou d’y aller tout seul, ce qui ne te serais pas spécialement venu à l’idée, vous avez décidé d’y aller ensemble, simplement histoire de ne pas louper ça. Tu sais que ce genre de soirée amène son lot de drame et tu n’as qu’une peur, que ça te concerne et tu préfère encore être là pour y répondre. Il était midi et demi et tu étais là à l’aéroport prête à embraquer pour ton avion direction Toronto, tu n’as prévenu personne, que ton cousin que tu voulais qu’il t’héberge quelque jour. Il a proposé de te laisser son appartement pour toi toute seule ce soir, pour aller passer sa soirée chez sa copine mais demain il sera là pour s’occuper de toi. Tu es sincèrement contente de savoir qu’il sera toujours là pour toi. Arrivée dans l’avion tu prends une dernière photo que tu poste sur profil avant de te mettre en mode avion. Quelques heures après, une fois arrivé chez ton cousin, tu as remis ton téléphone en fonction et a découvert une tonne de message que tu as préféré ignorer, tu es là pour te déconnecter de Boston et de tes problèmes.
Tu avais passé la fin d’après-midi avec ton cousin a juste rire et prendre de ses nouvelles, tu avais hâte de parcourir la ville pour la redécouvrir au calme. Tu as besoin de ce retour au source. Le soir venu, comme prévu, ton cousin t’a laissé l’appartement pour toi, pour que tu te reposes. Ça faisait une heure qu’il était parti quand tu entends sonné, tu pense avant tout que c’est lui mais tu n’étais d tout préparé à ce qui t’attendais vraiment. Tu viens ouvrir et t’arrête net. Tu étais prête à tout sauf à la voir elle. « Tova ? Qu’est ce que tu fais là ? »
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ft. @Fallon Davenport

Quand t'as acheté tes billets, t'étais sûre que tu faisais le bon choix. Malgré les silences, les messages non distribués pour la blonde, malgré toutes ces choses qui auraient dû pousser ton esprit à abandonner tout ça, à ne pas rejoindre la porte d'embarquement. Mais t'as tenu bon, contre toi-même, contre tes doutes, tes craintes de faire tout ce chemin et prendre le risque de tout éclater, de te prendre un mur colossal dans la poire. Dans l'avion, tes doutes se sont montrés tenaces, plus forts encore que lorsque tu faisais valider ton passeport pour passer la frontière. Et si c'était toi qu'elle fuyait ? Et si elle voulait souffler loin de tes crises existentielles, de ta peur de l'abandon, de ta panique à l'idée de ne plus rien être de plus qu'une amie, étant donné qu'elle se refuse l'idée d'être avec toi. Le trajet semble interminable. Cinq heures de vol. Cinq heures de doutes, de peur, d'enquête pour être sûre de pouvoir la trouver au bon endroit et la surprendre.
Une fois devant la porte, tu luttes pour ne pas fuir, pour ne pas faire machine arrière. Et tu n'en as pas le temps, finalement. Parce que la porte s'ouvre sans que tu ne relèves le regard vers elle, parce que tu ne veux pas lire une possible déception dans son regard. Tu sens la stupeur dans sa voix, et tu ricanes nerveusement. Qu'est-ce que tu fous là, hein ? Tu vas répondre quoi, à ça ? Y avais-tu pensé, au moins, à cette question ? Sans doute pas. Sans doute que si, en vérité. Dire la vérité brute ? Broder un peu autour de la vérité ? « Je.. J'sais que si tu pars comme ça du jour au lendemain sans prévenir, c'est que ça va pas. J'voulais.. Prendre soin de toi, mais... J'peux rentrer à Boston si tu préfères. » Tu fais pas la fière, mais tu la regardes, enfin.
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Quand tu es partie pour le Canada, tu n’as prévenu personne, seul une photo dans l’avion que tu as posté sur ton profil peut indiquer que tu as quitté Boston. Tu avais besoin de retrouver tes sources, de respirer dans un pays qui t’a vu grandir et même s’il fait beaucoup plus froid ici qu’à Boston, tu t’y sentais bien. Entendre de nouveau des gens qui ont le même accent que toi déjà c’est super plaisant, tu te sens à la maison. Tu n’avais jamais pris le temps de profiter toute seule de cette ville, souvent tu étais là en famille pour les fêtes mais rarement tu te balade toute seule ici rien que pour profiter. Après une bonne après midi a discuter et rire avec ton cousin, il t’a laissé seul pour la soirée et la nuit. Tu ne sais pas trop quand il va rentrer mais il va surement rentrer demain dans la journée. Tu ne t’attends pas à ce qu’il te laisse l’appartement pour le temps de ton séjour, sachant que tu ne sais même pas combien de temps tu compte rester au Canada. Tu étais sur le canapé en boule devant une série quand tu entends frapper à la porte. Tout de suite tu penses à ton cousin, qu’il a oublié quelque chose et qu’il ne veut pas me faire peur en rentrant sans prévenir. Tu te lève et te rends à la porte et ouvre. Tu ne t’attendais pas à tomber sur ton ex et tout naturellement tu lui demande ce qu’elle fait là et sa réponse te retourne l’estomac. Elle te dit qu’elle sait que tu vas mal, qu’elle t’a cherché et retrouvé dans le seul but de prendre soin de toi. Tu sens ces larmes que tu retiens depuis si longtemps qui monte à tes yeux. Sans rien lui répondre tu viens la prendre dans tes bras et te met à pleurer silencieusement. C’était trop pour toi, tout ça c’était trop. Elle est surement la seule personne qui se soucie assez de toi pour faire ça, pour prendre l’avion et te suivre dans un autre pays.
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ft. @Fallon Davenport

Affronter son regard, c'était une épreuve à laquelle tu n'es jamais totalement préparée. Parce que tu as déjà vu l'amour comme la passion, la colère comme le dégoût, la déception et la tristesse dans les iris de la belle. Pourtant, cette fois, tu y vois le résultat de l'abandon total d'elle même, l'émotion qui déborde et qui submerge trop fort. Elle ne dit rien et vient se blottir contre toi, et toi, tu l'enlaces sans l'ombre d'une hésitation. Tu niches ton visage dans le creux de son cou, une main qui glisse dans sa nuque et tu restes silencieusement, religieusement de cette façon quelques temps. « Tu sais bien que j'te retrouverai au bout du monde, Fall.. » murmures-tu à son oreille, déposant un baiser dans son cou, rapide, insuffisant, sans cesser les caresses que tu offres à sa peau du bout des doigts. Tu resteras comme ça le temps qu'elle voudra, laissant l'étreinte suspendre le temps autour de vous, devant la porte de l'appartement, dans ce couloir étrangement vide de vie.
Le temps passe et tu desserre légèrement l'étreinte pour reculer ton visage, ta main quitte sa nuque pour relever doucement son menton vers toi. Ses yeux humides te fendent le cœur. Tu déposes tes lèvres sur son front. « Pourquoi tu pleures, ma belle ? Parle moi, dis moi tout.. » Ta voix est brisée par l'émotion qui te dévore de l'intérieur. Mais t'es là, tu vas pas la laisser seule.
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Tu as le cœur en miette, tu ne sais plus vraiment où tu en est que ce soit du côté de tes sentiments et tes relations ou encore dans tes études. Tu adore le journalisme, tu sais que c’est clairement fait pour toi mais les cours deviennent durs, les examens approchent à grand pas et tu t’es dis qu’en venant ici tu allais emmener ton ordinateur pour travailler mais tu ne sais pas si tu en seras capable. Alors oui, tu craques, tu n’en peux juste plus, toute cette pression sociale sur ton dos, ce que les gens veulent que tu sois ou qui ils veulent que tu fréquente, c’est trop. Alors oui, quand tu vois que la femme que tu aime depuis des années maintenant est prête à prendre un avion en quelques heures pour ne pas te laisser seul, tu t’effondre dans ses bras. Tu ne sais plus quoi faire. Non, tu ne savais pas qu’elle pourrait te retrouver n’importe ou dans le monde et tu ne sais pas si c’est flippant ou rassurant finalement parce que tu sais qu’au bout du compte tu ne seras jamais abandonné par elle. Après avoir pleurer surement tout ce que tu avais sur le cœur Tova relâche son étreinte te forçant à la regarder pour que tu lui dises ce qui ne va pas. « Je… Je suis fatiguée » dis-tu les yeux toujours brillant avant juste lui faire signe de rentrer parce que tu ne te sens pas spécialement à l’aise dans ce couloir avec l’écho qu’il fournit. Tu entre et la laisse fermer derrière elle avant de te remettre dans le canapé sous ce plaide qui avait une bonne odeur de lessive réconfortante.

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La dernière fois, c'était elle qui était là pour toi, elle qui séchait tes larmes, elle qui passait ses bras autour de toi devant Docteur Pepper et ses pingouins. Aujourd'hui, tu fais pas ça pour lui rendre l'ascenseur, tu fais ça parce que c'est clairement normal pour toi d'être là pour la femme que tu aimes, malgré le fait que tu saches que tu ne peux pas l'avoir. L'amour fait faire des choses dingues, tu le sais. T'as radicalement changé de vie ces derniers mois. T'as mis en hiatus ton gagne-pain, t'as abandonné la rue, tu calmes tes ardeurs, tu suis tes réunions religieusement, tu parviens même à te contenter de relations platoniques avec les gens qui t'entourent. Tu lui as dit que tu le ferais et tu tiens ta parole.
Tu la regardes, et tu sais que la fatigue n'est pas la seule chose qui provoque cette émotion chez elle. Tu l'as bien vu, cette silhouette amincie, qui résulte sans doute de toutes les choses qui la tracassent. Mais tu la suis à l'intérieur et tu fermes derrière toi, le sac posé de nouveau au sol dans l'entrée. Tu la vois se planquer sous son plaid et tu vas t'installer près d'elle et tu lui fais signe de poser sa tête sur tes cuisses. « Maintenant, dis moi les vraies raisons pour lesquelles t'as quitté Boston et pourquoi t'as réellement pleuré, s'il te plaît.. Tu peux tout me dire.. » dis-tu doucement. T'es un peu déboussolée de la voir comme ça, tu veux vraiment qu'elle se sente en sécurité contre toi.
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Au fond tu es reconnaissante à Tova de t’aimer autant pour être capable de prendre cette avion sans savoir si au finale tu allais accepter sa présence. Cette femme tu l’aime depuis des années et ça ne changera probablement jamais. Elle est la seule personne au monde à t’avoir fait ressentir ça. Tu as besoin d’elle dans ta vie tu le sais très bien mais les gens autour de toi qui parle, qui te disent de surtout ne pas retourner vers elle, qu’elle soit s’éloigner de toi, ça te fait douter, ça te met une pression totalement inutile sur les épaules. Alors simplement être dans ses bras et lâcher tout ce que tu as sur le cœur à travers tes larmes. Tu fini par la faire entrer dans l’appartement de son cousin avant de te remettre dans le canapé sous ce plaide qui t’as réchauffé et réconforté depuis quelques heures déjà. Tova vient te tenir compagnie et te fais signe de t’allonger sur ses jambes. Tu viens poser sa tête sur ses jambes et ferme les yeux pour ne pas te remettre à pleurer. Tu prends une grande inspiration pour lui répondre, elle veut savoir pourquoi tu as quitté Boston comme ça sans prévenir. « J’avais besoin de vacances, d’air, de souffler » Tu viens resserrer le plaide sur toi. Tu sais que dans une seconde elle te demandera ce qui te pousse à vouloir souffler alors autant que tu lui dises tout de suite. « Les examens me stressent et j’ai l’impression de stagner » dis-tu simplement, ne voulant pas trop en dire comme ça.
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T'es prête à tout pour cette fille, à tout traverser, à tout sacrifier, à tout donner, tout abandonner pour ses beaux yeux, pour cette belle âme qui fait chavirer tous tes sens. Tu l'as sans doute prouvé à l'instant même où ton poing s'est abattu sur la porte de l'appartement de son cousin, où ta silhouette lui a fait face alors que ton regard fuyant n'osait pas affronter le sien. Mais t'es là. T'es là et tu comptes pas la laisser comme ça, dans un tel état émotionnel, dans les larmes, les doutes peut-être. La tête de l'ingénue posée sur tes jambes, les gestes viennent naturellement. Tes doigts glissent dans ses cheveux, viennent frôler la peau de sa joue délicatement, et avant que tu ne puisses poser une quelconque question sur ce qui la fatigue tant au point d'en pleurer dans tes bras et de quitter les États-Unis, elle évoque le stress des examens et la peur de rester au même point, stagnation effrayante. Mais t'es loin d'être dupe, Tova. Le stress, tu sais que ce n'est que le problème de façade, que les vraies raisons sont plus profondes, plus enfouies. « Moi je crois en toi, Fall. T'es une femme brillante et tu vas tout déchirer lors de tes exams. Mais je sens qu'il n'y a pas que ça. Tu sais que tu peux pas me mentir, que j'sens ce genre de choses. Vide ton sac, hurle moi dessus si ça te soulage d'hurler sur quelqu'un. J'te laisse pas tomber. Je ferai plus cette erreur. »
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Tu pensais sincèrement être capable de cacher à ton ex petite amie la raison qui t’as poussé à quitter Boston. Le stresse des examens tu pouvais le gérer dans ton appartement en t’enfermant dans ta chambre devant une série de la même manière que tu le fais dans ce canapé mais tu avais besoin d’air, besoin qu’on arrête de te juger sur les choix que faisaient ton cœur. Comment tu avais pu penser qu’elle ne verrait pas que tu continue à cacher encore une information qui t’as fait complètement craquer en la voyant. Tu étais là posée sur ses jambes les yeux fermer voulant juste profiter de la douceur de ses gestes. Elle essaye de te rassurer en te disant que tu es brillante et qu’elle croit en toi, c’est déjà ça. Tu as du mal à croire en toi-même, tu te dis que tu ne deviendras jamais journaliste comme tu le voudrait et que tu resteras danseuse parce que ça tu sais faire. « Je t’aime Tova, il est là le problème » Ce n’est pas un peu dur de lui lâcher ça comme ça ? Tu es mal parce que tu l’aime, parce que la monde entier te dit que tu dois t’éloigner d’elle mais que ton corps et ton cœur seront toujours attiré par elle et c’est plus fort que toi. Mais personne ne comprend que tu ne la raye pas de ta vie après les mois de douleurs qu’elle t’a infligé. Peut être simplement que tu n’as pas été assez honnête avec elle à l’époque, tu as préféré coucher avec un des ses amis que de lui dire que son métier te faisait du mal. T’es pas toujours bien dans ta tête Fall, et aujourd’hui tu as replongé, replongé dans ce gouffre de la dépression, celle qui te fait tendre de nouveau vers l’anorexie, ton dernier vrai repas remonte à une semaine et le reste ce n’est que de temps en temps un sandwich maison mais tu n’as pas faim, plus depuis des semaines.
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