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Mathieu & Ocyllie ♠ Wake Up Everyone

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Mathieu ft. Ocyllie
Wake up everyone



Le peu de nourriture que j’ingurgitais et un manque évident de sommeil ne pouvaient pas faire bon ménage et je venais tout juste de l’apprendre. Entre deux cours, je décidais de me rendre à la salle de danse du campus afin de pouvoir me détendre un petit peu, me relaxer quelques minutes. J’en avais besoin. La danse était bien plus qu’une simple passion pour moi. C’était un art de vivre. Je ne pouvais pas vivre sans passer au moins une ou deux heures par jour à laisser mon corps s’envahir de musique et bouger. J’étais douée, très douée et je le savais. Je voulais être la meilleure et je n’hésitais pas à m’infliger quelques doses supplémentaires de danse dans les veines, mais là j’étais sur le point de faire une overdose. Comme à mon habitude, je n’avais pas voulu écouter mon corps. Je n’en avais fait qu’à ma tête. D’ailleurs, cette dernière commençait à tourner et à me faire horriblement mal. Je luttais, continuant d’exécuter une chorégraphie que je connaissais sur le bout des doigts. J’y voyais flou, mais je continuais de combattre le mal pour arriver au bout de mon enchainement. Je n’entendais plus grand-chose mise à part quelques bourdonnements. Je n’avais pas le temps de dire ou de faire quoi que ce soit, que déjà je pouvais sentir le parquet se dérober sous mes pieds. Ma tête venait heurter le sol et mon corps inerte était pâle. Je donnais l’impression de dormir, pourtant il n’en était rien. Que venait-il de m’arriver ? Impossible de mettre une réponse sur cette question. J’avais du mal à ouvrir les yeux. La lumière me donnait envie de vomir. Je ne savais même pas où j’étais. La pièce était blanche, aveuglante. Je tentais de me redresser, mais une atroce douleur dans le bas du dos et dans le crâne me freinait dans mon élan et m’arrachait une grimace. Je tournais brièvement la tête pour apercevoir Mathieu. Mais qu’est-ce qu’il foutait là celui-là ? « C’est quoi ce sketch-là ? Je suis où et pourquoi t’es là ? » Même après un malaise, je gardais toujours mon caractère de peste. J’étais même certaine qu’il s’était intensifiait.
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Je m'étais promener dans l'université aujourd'hui et j'avais entendu que Ocyllie était à présent à l'infirmerie car elle avait fait un malaise. J'avais entendu ça d'une discussion entre deux élèves qui marchaient devant moi. Tout ça semblait vraiment récent et je me devais d'aller lui rendre une petite visite. Je m'étais donc diriger vers l'infirmerie où je demandais le numéro de la chambre de madame Nicolson. On indiqua qu'elle était dans une des premières chambre du couloir de droite. Je frappa à la porte sans réponse, je décida d'entrer et aperçu qu'elle n'était pas encore parmis nous. J'allai m'asseoir à côté du lit et la regardait quand celle ouvrit les yeux pour me regarder et m'engueuler ça me fit sourire. "J'ai entendu que tu as fait un malaise et je suis directement venu ici te voir, je m'inquiètais pour toi."
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Un malaise ? Genre moi, la petite brune qui était connu pour être aussi solide qu’un roc, invisible comme Jackie Chang et encore plus puissante que le soleil – mes chevilles vont très bien, mais merci de vous en soucier – j’étais tombé dans les pommes. Qu’elle mignonne petite blagounette. J’avais envie de lui rire au nez, mais bon c’est un peu mal poli, du coup je ne le faisais pas. Cependant je ne pouvais pas retenir le rictus espiègle et moqueur qui berçait mes lèvres. « Prends-moi pour une idiote. Tu sais très bien que j’ai une santé parfaite et puis de toute façon je ne suis pas stupide et je m’en souviendrais si j’avais fait un malaise. » Tout de même je ne perdais pas encore la mémoire, je n’étais pas assez vieille pour me faire diagnostiquer un Alzheimer. Quoi que, je ne disais rien, mais je ne voulais pas admettre à Mathieu que je ne me souvenais pas très bien de ce que je faisais avant que je ne me retrouve dans une chambre à l’abominable odeur de javel. Et puis, au fait, nous étions le matin ou l’après-midi ? J’avais un peu perdu la notion du temps tout à coup. Et si Mathieu avait raison ? Non, impossible, j’étais Ocyllie la guerrière moi, pas une vulgaire petite nature qui reste dans un coin à jouer les plantes verte. Je poussais un soupir d’exaspération avant de reprendre : « Même si je doute fort être tombé dans les pommes, le fait que t’inquiètes pour moi et beh … je trouve ça mignon. » Je lui adressais un sourire. Après ceci il ne pouvait rien me refuser, du coup voilà que je venais lui demander : « Tu ne veux pas m’aider à m’échapper, parce que je suis certaine qu’il doit y avoir erreur sur la personne, c’est très certainement Athénaïs qu’il voulait interner et comme elle me ressemble comme deux gouttes d’eau et bien ils ont dû se tromper de personne. » Mes pupilles se posaient sur la fenêtre comme pour l’inciter à ce qu’il l’ouvre.
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Ocyllie avait bel et bien été prise en charge à l'infirmerie. Mais elle ne me croyait pas qu'elle était tomber dans les vappes. Ça me faisait râler que j'allais quitter la chambre de suite de colère. Je ne la connaissait pas comme ça, d'habitude avec moi elle était plus sympathique. "Et ben si je te le dis ! Je le sais quand même mieux que toi. Arrête de me prendre pour un con." Ce qui me touchait, c'était qu'elle trouvait le fait que je m'inquiète pour elle mignon. Mais en attendant elle. me prenait pour un imbécile, elle me demandait même si je pouvais l'aider à s'échapper car c'était sûrement une erreur de personne. "Tu m'exaspère, au revoir." lui dis-je avant de tourner les talons et de sortir sans qu'elle eut le temps de dire le moindre mot. J'étais à présent dans le couloir sur le chemin de la sortie.
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Non, mais il était sérieux là ? Je ne savais pas quoi faire. Je le regardais partir comme si j’étais, soudainement, impuissante face à ce qui était en train de se passer. Bien sûr que non je n’étais pas en train de le prendre pour un con étant donné que je n’avais pas la moindre idée de ce que je foutais là. Je n’arrivais pas à articuler le moindre mot et je le regardais sortir de la pièce. Alors comme ça, je l’exaspère ? Je restais quelques secondes à fixer la porte, sans savoir quoi faire, quoi dire. Finalement, je tente de me redresser encore une fois, mais le bas de mon dos me fait souffrir le martyr. Je coince un petit peu à cause de la douleur et je fais une grimace pas très jolie à voir avant de m’égosiller d’une voix pourtant si enfantine et pleine de détresse : « Mathieu !! Mathieu s’il te plait, reviens. » Je ne suis pas sûre qu’en au fait qu’il fasse demi-tour et qu’il rentre à nouveau dans la pièce où je me trouve. J’ai des courbatures de partout et je ne sais même pas pourquoi. Ma tête me fait mal et je n’ai pas la moindre idée de pourquoi je suis aussi mal. « Mathieu, s’il te plait ne me laisse pas toute seule. » Intérieurement, je suis en prier pour que mes cris de détresse lui transpercent le cœur et qu’il revienne à mon chevet. A ce moment-là, j’étais mal, très mal. Malgré la douleur, je finissais par me lever. J’avais la tête qui tournait et bien du mal à faire deux pas, mais je persistais quand même. Il me fallait le retrouver. Hors de question que je reste seule ici.
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J'avais quitter la chambre sans le moindre mot, sans même attendre qu'Ocyllie puisse me dire le moindre mot. Sur ce coup là, je ne voulais pas la voir ni même lui parler, elle pouvait être si différente de celle que j'appréciais. C'était un peu honteux de partir comme ca en la laissant seule alors qu'elle venait seulement d'ouvrir les yeux, mais il fallait qu'elle réfléchisse ! Il fallait qu'elle change ce côté de sa personnalité ! Je l'entendis me demander de revenir à ses côtés, elle ne voulait pas rester seul, pour lui remettre un petit coup sur la tête, je tourna les talons et revenis à l'entrée de la chambre où je la trouva debout. "Tu ne veux pas rester seule ? Ben appelle tes fabuleux amis, ils viendront avec plaisir ! Ils aiment profiter de toi ma belle ! Maintenant, tu te recouche et tu les attend." C'est sur, j'étais dur dans mes paroles mais j'avais besoin de lui dire ce que j'avais sur le coeur depuis quelques temps. Ca allait la faire réagir, du moins c'est ce que j'espèrais. Je me tourna pour repartir en direction de la sortie mais en restant sur place à attendre ce qu'elle allait finir par me dire tout de même.

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Il ne pouvait pas me laisser seule ici, il en était capable. Je le connaissais assez bien pour savoir qu'il allait faire demi-tour et venir à mon chevet. Peut-être même allait-il me prendre dans ses bras, me rassurer et me dire que tout allait très bien se passer ? J'étais prête à lui courir après, même si mes jambes n'avaient pas l'air d'avoir vraiment envie de faire la course à ce moment précis. Je continuais de l'appeler, de le supplier de me rejoindre. Je ne voulais pas rester seule. C'est bizarre, mais ce décor m'avait toujours fait extrêmement peur. Je me sentais mal, très mal et c'était à ce moment là qu'il décidait de faire son apparition. Il restait dans l'encadrement de la porte et me parlait, presque, comme si j'étais son chien. Sous le choc, je le regardais avec des yeux comme des billes. J'ouvrais la bouche, mais aucun son n'en sortait. Je ne savais pas quoi lui répondre pour être franche. Mes amis aimaient profiter de moi ? Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il était en train de dire, ce qui lui passait par la tête. Il m'ordonnait de me recoucher et d'attendre bien sagement. Il était hors de question que je lui montre une seule de mes faiblesses, même s'il en connaissait quelques uns étant donné notre précédente relation et le fait que nous soyons encore proches. Tout en restant debout, et en n'était pas vraiment très stable et en équilibre, je croisais mes bras sous ma poitrine. Une fausse grimace de gamine capricieuse et pourtant si adorable s'emparait de mon visage avant que je ne vienne déclarer :  « Hors de question que je me recouche tant que tu ne seras pas là, sur cette chaise. » Je désignais le siège d'une signe de la tête.
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Bien sûr que j'avais mon caractère, un caractère de cochon que certains diraient mais je me plaisais ainsi. J'étais revenu jusqu'à l'encadrement de la porte pour lui dire ce que je pensais d'elle et elle en resta bouche-bée, j'espère que ca allait enfin la réveiller. J'attendais après que la jeune fille sorte quelques mots de sa bouche même si elle semblait en avoir la difficultée. J'étais un grand râleur et ca tout mes proches le savaient et on ne pouvait pas me changer. "Je m'asseois, tu te couche... ça me convient." Bien sûr je m'approcha d'elle par de petits pas pour venir m'asseoir sur la chaise qui était à côté de ce lit d'infirmerie aux draps blancs. Je détestais cette environnement mais pour la jeune fille et tout autres proches, je ne pouvais faire autrement que de venir et passer au delà de tout ca. Je l'observais en attendant que celle-ci grimpe sur le lit, elle semblait fatiguée.

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Une fois de plus, pour obtenir ce que je voulais, je venais de faire un caprice sans même m'en rendre compte. Le fait que l'appelle au secours en le suppliant de venir tout en prenant une voix, un air adorable était un caprice. Je n'étais pas le style de nana qui se voyait refuser tout un tas de chose. J'avais un caractère de cochon et ce dernier prenait bien souvent le dessus, mais j'essayais de le cacher lorsque je me trouvais en compagnie de quelqu'un que j'appréciais, comme Mathieu. Bon d'accord, là je ne l'avais pas vraiment caché, mais pour être franche, je ne savais même pas ce qu'il venait de me passer par la tête. Il finissait par faire demi-tour, par me rejoindre et moi je lui donnais l'ordre, ou presque, de s'installer sur la chaise qui se trouvait là, à mes côtés. Il le faisait tout en accentuant bien sur le fait qu'il fallait que je me couche à nouveau. Tout en poussant un soupir, je venais m'asseoir sur le matelas, glissant mes jambes sous la couverture. Une grimace s'emparait de mon visage tellement les courbatures était douloureuse. Ma tête venait se poser sur l'oreiller. Je frissonnais. J'avais froid. Petit soucis. Je tendais l'un de mes bras pour attraper la couverture afin de me couvrir, mais je ne parvenais pas à l'attraper et je ne pouvais plus bouger tellement j'avais mal de partout. « Tu pourrais me faire passer la couverture s'il te plait, j'ai un peu de mal à bouger et j'ai un peu froid aussi. » Que je lui demandais d'une voix douce et presque honteuse.
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Elle me suppliait et faisait sa petite moue et voix capricieuse. Je ne voulais pas la retrouver et l'aider ou quoi que ce soit mais je ne voulais pas non plus la laisser dans cet état et surtout seule. Je pesais le pour et le contre des choses mais voilà, derrière tout ca, j'avais un coeur. J'étais donc venu m'installer sur la chaise que la jeune fille m'avait indiquer et celle-ci me remonta sur le lit en glissant ses jambes sous la couverture et déposant sa tête sur le petit oreiller. Elle me demanda ensuite de lui passer la couverture, je m'approcha, la prit et lui mis tout en long de son corps pour qu'elle soit entièrement découverte. Je me mis ensuite assis sur le bord du lit à la regarder dans les yeux tout en restant dans le silence absolu.

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