Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAnd they say that time's a healer - Wesla - Page 2
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And they say that time's a healer - Wesla

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How long is this burn suppose to last?

C'est l'impression d'une destruction perpétuelle qui résonne en moi. Comme une vitale aliénation et à son terme la véritable destruction. Le remords permanent, la marque maudite d'un poignard dans le cœur refusant de se retirer pour me laisser crever. Le sourire cassé que l'on ma refilé je n'en veux plus, je ne veux plus le voir s'afficher pour se montrer au vide. Rien ne répond à mon sourire à part le silence de la douleur. "Bien sur que ce n'est pas facile..." t'as vu ma tête? T'as encore rien vu du bordel intérieur et des flammes qui sont entrain de tout ravager. Et puis, de qui t'es entrain de me parler? Comment t'arrives encore à piquer ma jalousie? Ma mâchoire bouge, visible sur mes joues, comme une invitation des nerfs. Ou plutôt, un passage furtif jusqu'a ce que j'ouvre la bouche "Tu parles de qui?" Clair et simple. Cela ne me brise pas le coeur, ca me le transperce de toutes parts. "Personne ne te demande de faire semblant Ella." Mes yeux dans les tiens. Je monte une des deux marches qui me sépare de la tienne. Ma main glisse de ta hanche, enfin, pour claquer contre ma propre cuisse. "Depuis quand me voir, c'est te sentir dans un traquenard?"  Je ne devrais pas ressentir cette colère, cette incompréhension face à ce moment et, pourtant, mes points bouillonnent, ma tête explose, je ne peux pas accéder à un moment de répit pour me préparer à ton départ. Je n'y arrive pas, car je ne comprends pas. J'aimerais y trouver de l'absurde à cette situation. "Je voulais simplement te voir.. Je devrais peut-être m'en excuser." Je baisse la tête. Je devrais te laisser monter et retourner dans mon bureau.

@Ella Marriott-W.
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the problem is that when it's too late, there's nothing you can do about it

Si ce n'est facile ni pour toi, ni pour moi, alors pourquoi on s'inflige ça hein ? Tu pouvais pas rester dans ta chambre, dans ton bureau ou je ne sais où ? Là, tu m'attendais carrément au milieu de l'allée et c'était tout sauf subtil. Je ne préfère rien relever parce que la colère qui monte en moi est déjà bien assez attisée par ton regard, par ta main sur moi et ces mots qu'on va bientôt s'échanger. " De Snow. Je ne lui parle plus, t'es content ? " Bien sûr que tu l'es et je suis presque sûre que tu n'arriveras pas à cacher ta joie plus longtemps que ça. Mais tu sais quoi, je t'offre cette cartouche juste pour que tu comprennes que moi, les problèmes je les gère, je ne les laisse pas s'immiscer continuellement dans ma vie, sous ma peau, les laissant me pourrir de l'intérieur. Je n'ai aucune pitié pour ce genre de choses et même si j'aime Snow de tout mon coeur, le coup d'hier ne passe pas et n'est pas prêt de passer. " Depuis quand ? Depuis que je t'ai ouvert mon coeur à New York et que depuis, tu n'as rien su me dire à part que ce n'était pas le bon moment " Si ce n'est pas le bon moment pour faire un trait sur celle qui t'attire dans ses filets et t'éloigne de toutes les personnes autour de toi, ce n'est pas aussi le bon moment pour moi, pour nous. Chaque choix que tu fais a une répercussion. En la gardant près de toi, tu me mets de côté et je ne suis pas de celle qui attendent un carrosse avec le prince charmant. " Ne t'excuses pas. Mais je peux pas Wesley. Je peux pas faire comme si de rien n'était. Je peux pas faire comme si j'avais pas l'impression que tu plongeais ta main dans ma poitrine pour m'arracher le coeur à chaque fois que tu me regardes " Histoire que tu saches ce que ça me fait, la douleur que je ressens, le mal que je ressens à chaque fois. " Eh bien… Voilà, tu m'as vu " Je souris légèrement et pose mon pied gauche sur la marche supérieure. " Tu peux venir avec le temps que j'aille récupérer Eden si tu veux " Pour lui dire au revoir et à demain. Tandis que nous c'est au revoir et à l'année prochaine, je crois. Ou peut-être à jamais.

@wesley patterson
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How long is this burn suppose to last?

Je pourrais garder cette poker face pour ne pas te donner satisfaction de me connaitre. Mais la tentation est trop grande. J'ai ce sourire, diabolique, qui se dessine doucement. "Oui." Parce qu'il existe un karma? Oh mais comment va t'il faire pour sauver ton honneur maintenant? Je pourrais presque avoir un soupçon de peine, mais je revois un court instant, son visage, et non. Il ne mérite rien venant de ma part. Les questions fusent, mais il ne s'agit pas de lui là. Mais de nous, et de cette souffrance que je peux sentir dans chaque mot qui sort de ta bouche. Et je regarde le résultat de ma mise en marche de la destruction. Je te fais douter, je te déçois, je t'ai abandonné, je t'ai blessé.. Ce sont les pires choses que je pouvais imaginer. Moi te faisant subir ça. J'enfonce celle qui m'à tiré vers le haut. Tu n'as cessé de te battre pour nous, de me dire quoi changer, ce qui n'allait pas, de me bouger. Et pendant ce temps j'échouais, inlassablement. "Tu vois.. Moi j'ai cette sensation quand tu ne me regardes pas. Et je suis égoïste de te le dire." Tais toi Wesley. Mes erreurs t'use. La patience est une qualité limité dont il ne faut pas abuser. Maintenant je dois vivre avec l'idée que du jour au lendemain on peut passer le point de non retour, qu'il ne sera peut être plus possible de revenir en arrière, et que c'est sûrement mieux comme ça pour elle. Ouais je te vois, et c'est insoutenable. Mes yeux baissés se relèvent pour rattraper les tiens quand tu me dis que je peux, venir avec toi. Mon expression se fait tendre. Je reconnais que c'est encore toi qui te sacrifie, qui te fait violence. "J'veux bien... Merci." Et on grimpe. Une fois au sommet, je viens me placer à coté de toi, le visage qui se tourne vers le tien. "Tu veux en parler?... De Snow." Pour nourrir ma curiosité, et vider ta colère. "Dis moi si je dois aller lui faire la misère." Essayer de te faire rire, c'est comme me créer mon propre antidote. Me faire une injection et prendre un bon shoot avant de me retrouver en manque.

@Ella Marriott-W.
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the problem is that when it's too late, there's nothing you can do about it

Je m'y attendais à cette réponse et pourtant mes yeux roulent comme des billes. Bien sûr que t'es content, que ça te fait plaisir de savoir que je ne parle plus à mon meilleur ami parce qu'il a été con, égoïste. Oh, je peux lui reprocher un tas de choses mais il y a aussi quelque chose que je me reproche : il prend la fuite à cause de toi, à cause de nous et ça, je ne peux n'en vouloir qu'à moi. Parce que je suis celle qui t'a mis sur un piédestal, qui t'a fait passer en premier en un battement de cil. Je suis celle qui a pris la décision de mettre notre couple en avant et de me laisser briser le coeur. Et c'est ça qui le peine. Cette peine que tu m'infliges et qui joue sur mes relations amicales actuelles. Parce que je ne suis plus moi, plus à cent pour cent. " La communication n'a jamais été notre fort. Alors dis ce que tu as à dire " Ça ne va pas dire que ça ne m'énervera pas mais je crois que si nous avions plus communiqué par le passé, nous n'en serions peut-être pas là. Peut-être qu'on aurait réussi à surmonté nos épreuves au lieu de se laisser enterrer vivant. Je ne sais pas. Et on ne saura jamais parce qu'il est impossible de réécrire le passé, de réécrire l'histoire. Et en haut des marches, je tourne le visage vers toi. " Non, je n'ai pas envie d'en parler " Parce que ça ne te regarde pas et je ne saurais même pas quoi dire. Que t'as foutu le bordel dans ma vie au point de faire de moi une ombre de vie, une ombre de douceur, une ombre perpétuelle qui n'attend que ton retour. Et je crois bien qu'aujourd'hui, c'est le moment où je me rends compte de tout ça. Que je t'ai perdu mais que c'était ton choix et que je refuse que tes choix me fassent défaut et aient une incidence sur ma vie actuelle. Ressasser le passé, se bourrer le crâne de 'what if', de possibilité, de rêves et d'attentes ne serviront à rien. Et je ne veux plus être rien. Je veux être moi. " Pas la peine d'aller le voir. Mon traitement est suffisant. On ne prend pas pour une idiote " Que je souffle en prenant le pas vers la chambre de Will. Je frappe et quand sa voix se fait entendre, je pousse la porte. " Mais regardez moi qui sort du bain, tout beau tout propre " Je file vers Eden, embrassant son père sur la joue - aussi jaloux de son fils que Wesley de mes meilleurs amis. Le seul Patterson qui ne me tourmente pas ne parle pas. Mais il écoute alors c'est déjà ça.

@wesley patterson
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Te dire quoi? Que j'ai voulu passer un moment avec toi, pensant sans doute que tu pourrais taire mes angoisses au moins pour quelques temps. Que je suis vraiment désolé que tu te sois à ce point, éprise de cette idée d'une histoire à vivre avec moi, que tu en as manqué les signaux annonciateurs de la chute ? Un peu comme l'enfant qui continue de pédaler sur son vélo en sachant qu'il finira bien par tomber, que je suis navré que tu aies remis de l'énergie là où tous auraient certainement sautés avant de percuter le mur du désespoir. Cet échec me fait un mal de chien, je pourrais te le dire sans honte. Je n'imagine pas que tu ne le saches pas. Et pourtant ces mots qui chahutent mon esprit ne suffiront pas. Sont-ils témoins de mon incapacité à te rassurer, à te guider vers le paradis ? Sont-ils si fades que te les envoyer ne changera qu'en pire le cours de notre histoire, si elle respire encore ? Je ne saurai le dire. Les mots me semblent futiles et moqueurs. Ils sont cruels non ? Comme ceux là "Tu n'as pas ce courage de lire dans mes yeux, la crainte de cet abandon inévitable." Aussitôt prononcés, que je me serre la mâchoire m'insultant de sombre idiot dans cette montée des marches. Au moins, j'ai évité ton regard suite à ma phrase légèrement assassine. "Bien." je ne vais pas t'obliger à te confier. Si tu ne le fais pas, c'est que tu ne le veux pas. Et je reçois également ton affirmation que je n'ai pas besoin d'aller à la rencontre de ton meilleur ami. Bien dommage, je suis dans une dynamique où, frapper quelqu'un me ferait le plus grand bien. Encore plus si, j'ai en plus de ça, le bonus de lui faire fermer sa grande gueule. Il m'irrite, d'une simple pensée, j'ai cette colère qui monte. Et putain, que ce n'est pas le moment. La porte s'ouvre, par dessus ton épaule je peux voir mon frère et mon petit prince. Je souris doucement. Sans montrer le pincement au coeur que procure cette scène. "Eh! Plus personne ne bouge!" Forcément que vos regards viennent sur moi, je rigole légèrement avant d'aller attraper Eden pour le prendre dans mes bras. Une petite ruse pour l'avoir en premier. Ma bouche qui vient le mitrailler de baisers sur ses joues, son cou, son ventre. Ma dose de bonheur. "Hmmm.. t'es sur de vouloir partir avec tata?" Que je questionne cet amour qui, ne pourra pas répondre. Mais, j'ai la certitude que la dite tata en question, le fera volontiers.

@Ella Marriott-W.
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Tes mots m'arrivent aux oreilles et je serre les poings pour ne pas m'énerver, pour ne pas vriller complètement et te faire la peau sur le champ. Je n'ai pas ce courage de lire dans tes yeux ? J'en ai rien à foutre de ce qu'il y a à lire. Tout ce qu'il se passe ici, par messages, ce que je ressens et la manière dont je me sens est la suite logique de ta lâcheté, de ton indécision. Tu m'as fais penser que j'étais la seule, l'unique. Pas ton choix. Parce qu'il n'y a jamais eu de choix. Ton évidence, tout simplement. Et maintenant que t'es devant un choix, t'es incapable de le faire. Parce que t'es lâche. Que tu préfères faire souffrir sur la longueur que de tirer le coup final. Tu nous as tué et enterré sans nous laisser une quelconque chance. " Cet abandon inévitable… " Que je soupire en secouant la tête de droite à gauche. Et je ne préfère même pas répliquer, répondre un peu plus parce que je suis entrain de perdre ma patience et l'envie de te coller un coup de pieds pour que tu vacilles et dévales les escaliers est la seule envie que je ressens à ce moment. De la haine à l'amour il n'y a qu'un pas. Mais c'est la même chose dans l'autre sens. Et je crois qu'on est au bord de la haine. Et je l'ai tenu à distance pendant un bon moment mais je ne peux plus. Je n'ai plus la force. J'ai juste envie de baisser les bras, de la laisser m'envahir et d'avancer. Dans la chambre, les lèvres sur la joue de Will, je file vers Eden mais ta phrase me fait m'arrêter en chemin. Tout ça pour me passer devant. Je mords ma langue et prends quelques secondes pour ne pas te coller ma Louboutin dans les fesses. T'es en bonne position pour la recevoir. Et plutôt que de répondre tout de suite, je m'incruste et quand Eden me voit, un sourire se dessine sur son visage. " Bonjour petit Amour de ma vie " Et d'un léger coup d'épaule, je te fais te décaler pour embrasser Eden sur le nez. " La vue est plus belle comme ça hein ? Ton oncle il a cru que c'était Halloween avec un mois d'avance " Et face à nos enfantillages, Will reprend Eden pour aller l'habiller. Je sors mon cellulaire de ma poche et écris rapidement un message à Karl. " Tu peux prévenir ton équipe que Karl est là dans cinq minutes pour charger le coffre " Cinq minutes et nous filons de là. Bon, si Eden est prêt, ce dont j'ai un petit doute. Je lève les yeux de mon écran et te regarde dans les yeux. Tu vois, je l'ai le courage. Tu me le donnes. Celui de te prouver que tout ce que t'as à me reprocher est infondé. Et à ça, je gagne sans soucis aucun.

@wesley patterson
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Mon coeur est en sang. J'ai le ventre ouvert. Je suis allongé sur le dos, immobile, enfermé en moi-même. Locked in. L'insoutenable douleur qui se répand en moi consume ma peau comme du papier d'Arménie, et transforme mon âme en un tas cendres. Je ne suis plus que souffrance, effroi et désolation. L'angoisse discontinue qui me suit comme une ombre me donne la nausée. Parfois, je me dis que je vais peut-être même en mourir, de ce chagrin. Ce serait romantique. Mais ce serait davantage encore fuir ce qui est, détourner mes yeux rougis de la nécessaire réalité nue. Alors je ne mourrai pas. Je vais continuer de vivre et prendre cette douleur comme il se doit, de face, et en plein coeur. La recevoir telle qu'elle s'offre à moi, immense, profonde, totale. Je pleure des larmes d'acide brûlantes, qui ne sortent pas. C'est une cystite oculaire. Des larmes coupantes qui pleurent vers l'intérieur de mon corps, et qui finissent par me noyer entièrement dans mon désespoir. Cette hémorragie d'eau salée invisible me fait sombrer inexorablement, profondément, dans une eau noire, lugubre, mortifère. Je suis une blessure, ouverte, qui saigne, et saigne encore. Et qui ne se referme pas. Pourtant, je porte ce masque, tout sourire devant la bouille de Eden. Qui lui, l'offre à Ella quand elle vient planter son visage dans le décor. Je fronce les sourcils, comme pour intimider le seul être qui n'aura jamais à craindre de moi. Mon corps se fait légèrement bouger. Et c'est toi que je viens fixer de ce regard. Avant de t'entendre, et d'avoir les yeux ouverts en grand d'étonnement. "Et tata elle devrait garder ses vannes pour son one woman show." Un sourire hypocrite, pour plaisanter. Avant de voir mon frère nous retirer son fils, l'air désespéré de nos gamineries. Je souffle, faisant une moue boudeuse. Avant de ressentir ton regard, de tourner le mien et de vivre enfin l'affrontement. Ne te démonte pas. "Tony est déjà devant l'entrée." Ton insistance, l'impression d'être défié. Je ne lâche pas. Sauf que, ce produit quelque chose que je ne contrôle pas. Une chose a laquelle, je n'étais pas tout a fait préparé. Mon visage juvénile de part nos bêtises précédentes, se métamorphose en celui un visage envieux de ton corps. Ton regard venait de le transformer. Tous mes traits étaient désormais animaux. Des yeux de biche, séduisants et taquins, des joues de lion, à l'appétit charnel. Un sourire, l'appât.

@Ella Marriott-W.
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" Mon plus grand fan est juste devant moi " Que je lâche en te lançant un sombre regard. Si tu crois que tu vas avoir le dernier mot avec moi, tu te mets le doigt dans l'oeil et peux aller jusqu'à te gratter l'omoplate. Et puisque le sujet de notre querelle est parti, je prépare notre retour vers le Copley avec une facilité déconcertante. Je suis déjà entrain de scanner la chambre des yeux pour voir si tout est à portée de mains. J'ai tellement envie de partir d'ici pour ne plus jamais y remettre les pieds. La colère ressentie plus tôt est ancrée dans mon estomac et elle ne souhaite pas se déloger de là. Impossible. Encore moins quand je vois ton visage changer. Je vois chaque muscle bouger, changer et s'il y a un mois, ça m'aurait enflammer, ça me fait juste perdre la raison. Je bouillonne de l'intérieur et ne lâche pas le regard. " Tu crois quoi là ? " Que je demande en faisant un pas vers lui, toujours mon regard ancré dans le sien. J'ai des envies de meurtre et il peut le voir dans mes yeux. Parce que là, je n'ai aucun désir pour lui. Ce n'est pas le moment pour ça. Tu vois Wesley, y a des moments pour tout. Et toi tu perds les tiens. " Que je vais te dire de m'emmener dans la chambre juste à côté ? Celle qui était la mienne il y a encore quelques semaines ? " Et je prends le temps d'articuler chaque mot que je souffle à voix basse, pour que Will ne nous entende pas. Tu dois sentir mon souffle sur ton visage. " Réveille toi Patterson, c'est pas un de tes rêves, c'est la réalité " Que je dis un peu plus fort. Et puis, à quelques centimètres de toi, je lance " Will, je prends le sac de lange d'Eden, je vous attends dans la voiture. Prends ton temps " J'attrape le sac sur le lit, donnant volontairement un coup dans ton torse et sors de la chance. C'est pas un putain de jeu. Mon coeur n'est pas un trampoline sur lequel tu peux sauter de la sorte. Et une fois de sortie, les talons qui claquent, j'hurle " Lenny merci de prendre la moitié des Hagelsald et de les livrer au Copley. Je n'ai pas que ça à foutre d'attendre, dès qu'Eden est dans la voiture, fini ou pas, on démarre ! " Et même si ton chauffeur n'a pas entendu, je pense qu'à ma voix, toute ton équipe a compris qu'il fallait le prévenir et se dépêcher. Parce que même si je n'ai plus de pouvoir ici, je ne me gênerais pas de leur dire ce que je pense d'eux.

@wesley patterson
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Tant de barrières nous séparent encore. Mais quand tes yeux se noient dans les miens, j'ai l'impression que même l'océan me parait vide, et petit. On construit un monde, de nos jeux de regards. J'ai l'impression d'avoir un volcan en moi, quand tu te trouves à quelques pas de moi. Deux pauvres idiots. Ta voix fait couler la lave, mais pas de la manière dont mon corps le désire. Ma langue s'invite sur ma lèvre inférieure pour ensuite me la pincer des dents du haut. Les sourcils froncés, je t'observe approcher d'un pas. Ma tête se penche en arrière, comme pour que mon air se fasse un peu plus méprisable. Vexé d'être contré de la sorte. "Pourquoi aller loin, quand un lit est juste là." Tu veux voir ce coté de moi? Celui du connard qui n'a aucun scrupule à son idiotie? C'est cadeau. Ce que je vois dans ton regard, ça me transperce et ça me blesse. Moi quand on me blesse, je ne me roule pas en boule au sol. Je rétorque. "J'suis bien réveillé. T'inquiètes même pas de ça." Je ne me recule pas, te laissant ainsi, a une proximité bien trop réduite. C'est donc devenu comme ça entre nous Ella? Haineux? Ton coup sur mon torse me fait bouger de quelques centimètres. Je souffle de rire, brièvement. Je reste ainsi un instant, avant de t'entendre hurler dans le manoir. Ca vrille dans mon cerveau, t'as ce don aussi crois pas, d'activer la colère. Je sors, pour suivre ton chemin, en haussant tout autant la voix "Erwen! Victor! Allez aider Lenny et Tony à charger la voiture. Tout de suite!" Ca file droit. Un silence de mort se fait, seuls Les Échos de nos pas résonnent. Tu veux de l'autorité à t'en hérisser le poil? "Eden ne montera dans cette voiture qu'une fois qu'elle sera chargée." Lenny qui, ne connait pas encore cette facette de son patron, se permet d'apporter une petite objection "Mais Mademoiselle Marriott a dit que..." "Que tu pouvais la fermer et charger cette foutue voiture." Mes yeux noirs sur lui, ma mâchoire se serre encore et encore. Un massacre, c'est ce que je vais faire si la tension ne redescend pas.


@Ella Marriott-W.
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Il y a deux jours, j'aurais rêvé de ce que tu me dis, de la perche que tu me tends. Mais là, tout est différent. Tu me fais halluciner, vriller et ce n'est pas beau à voir. C'est même très moche. Et je n'ai pas envie de renchérir parce que je serais bien du style à me laisser tomber sur le lit et remonter doucement ma jupe sur mes cuisses. Mais la tête n'est pas là et le coeur non plus. Alors que ce dernier me tombait dans les parties intimes dès que je posais les yeux sur toi. Aujourd'hui, j'ai juste envie de t'étriper. Et j'espère que ça passera parce que c'est une émotion qui consomme énormément d'énergie. Un vrai vampire, les crocs plantés dans la nuque à sucer mon énergie. C'est terrible d'en arriver là. Mais je crois que tout ça, c'est le rappel que c'est fini et qu'avant que je te fasse la tête au carré, il vaut mieux que je file. Parce que j'ai terriblement envie de te faire du mal. Et je ne parle pas de mal moral, psychologique ou autre. Je parle bien d'une douleur physique. De laisser mes pulsions sortir et déglinguer tout ce qu'il y a devant moi. Je ne réponds donc pas à tes pics parce qu'il n'y a rien à dire. À part d'aller te faire foutre. Mais je voudrais bien qu'Eden n'entende pas les paroles de sa tata. Je serai un modèle avec lui, son modèle. Et j'espère qu'il ne tiendra pas de toi pour les relations personnelles. Ni à son père en fait. Vous êtes les opposés mais deux sombres idiots, quoi qu'il en soit. Un qui gâche tout, l'autre qui est le plus gros benet de l'histoire. Mais je l'accepte. Et puisque tes décisions ne me conviennent plus, je me suis retirée de notre relation, je me retire désormais de ta vie. Ta voix tonitruante tente de couvrir la mienne, mes yeux roulent vers le ciel et quand Lenny tente de contrer tes ordres, je pose une main sur son épaule parce qu'il est juste à côté de moi. Tes mots m'exaspèrent. " Écoute Lenny ou tu vas pointer au chômage d'ici ce soir " Que je dis. Une rapide pression sur son épaule et je file vers Tony. Un clin d'oeil dans sa direction et face à la porte grande ouverte, je lance " Bon courage à vous ! Et n'oubliez jamais que si vous vous faites virer, le Copley est toujours à la recherche de nouveaux employés " Avec ceux qui démissionnent et ceux que je vire, il y a toujours de la place pour personne. Et même si j'aimerais être dramatique, je ne sors pas en claquant la porte. Au lieu de ça, je te regarde dans les yeux et souffle " Et bonne soirée, monsieur Patterson " avant de tourner les talons et de quitter ce putain de manoir, le coeur qui bat à mille et la douleur dans le haut du coeur. S'il y a bien une chose que je déteste, c'est de sentir mon coeur battre comme ça dans ma poitrine. Une petite crise de tachycardie comme il le faut. Karl me dévisage et d'un signe de mains, il ouvre ma porte et file pour aider les autres employés qui sortent et entrent rapidement du Manoir. Plus y a de mains, plus vite ça ira.

@wesley patterson
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