[HOT] Lukas & Ocyllie ♠ You may have my number. You can take my name but you'll never have my heart

Oui, la brunette avait douté des capacités sexuelles du jeune homme et elle le lui avait fait comprendre de plusieurs manières, comme en lui disant qu’il en fallait bien plus que ce qu’il pouvait penser pour la faire hurler de plaisir. Elle avait même poussé le vice jusqu’à lui dire qu’elle connaissait bien chacun des endroits de cette université pour y avoir pratiqué quelques parties de jambes en l’air bien plus que torride. D’ailleurs elle tenait à remercier Soliman pour chacun de ses purs moments de plaisir. Bien vite, les deux jeunes gens se retrouvaient dans l’eau, en tenue d’Adam et d’Eve et dans des positions plus que suggestives. Au grand étonnement de la demoiselle, il arrivait à lui arracher soupirs et gémissements de plaisir. Ses ongles s’enfonçaient dans le dos du garçon. Un nouveau signe qui montrait le plaisir que prenait la danseuse. Il se retirait d’elle pour la faire se tourner, avec plus ou moins de violence qui donnait un petit côté sauvage au moment et qui rendait encore plus folle la demoiselle. Il parcourait la nuque de la jeune femme de ses lèvres avant de pénétrer à nouveau en elle et de recommencer son petit jeu de rein. Il savait y faire, il n’y avait aucun doute. La belle venait se mordre l’intérieur de la joue pour éviter de pousser un petit cri, mais ne pouvais pas s’empêcher de laisser s’échapper un énième gémissement de plaisir. Elle prenait son pied, mais il était hors de question qu’elle le lui avoue haut et fort, comme il voulait très certainement l’entendre.

Non je ne la bouffais pas entièrement, mais je prenais plaisir à la faire gémir de la sorte. Un petit sourire naissait sur mon visage avant de repartir de plus belle et de repartir bien plus profond et plus vite. J'aimais déjà jouer avec elle. Tant de haine pour tant de plaisir. C'est pas permis. Elle ne pourra que me kiffer par la suite. De toute façon, toutes les meufs que je me serre finissent par me kiffer. Je suis tellement un dieu de partout. L'expérience y joue beaucoup. Je joue encore de quelques uns de mes coups de reins pour ensuite perdre le contrôle et ne penser qu'à ma jouissance personnelle et à accélérer de malade, et à forcer, peut-être un peu trop. Je sais que certaines filles me trouvaient un peu trop violent et brutal. Mais j'en avais eu toujours rien à foutre, la douceur et moi ça fait trente. Je sentais que j'allais en finir alors je fis quelques derniers va et vient pour ensuite me retirer et finir à l'extérieur.