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[HOT] Lukas & Ocyllie ♠ You may have my number. You can take my name but you'll never have my heart

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Lukas & Ocyllie
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Et une nouvelle fois elle se retrouvait les quatre fers en l’air sur le parquet de la salle de danse. Depuis combien de temps était-elle là en train d’essayer de réaliser cette figure ? Deux heures. Peut-être même trois et pourtant elle n’y arrivait pas. Elle n’arrivait pas à se concentrer. Il y avait bien trop de choses qui se bousculaient dans sa petite tête et puis les bavardages provenant du vestiaire des garçons se trouvant non loin d’ici ne venait rien arranger. Ocyllie commençait sérieusement à en avoir marre d’échouer. Ce n’était pourtant pas dans ses habitudes de baisser les bras, de renoncer, mais elle ne pouvait pas rester ici une seule seconde de plus où elle allait finir par faire irruption en plein milieu d’une bande joueur de football à moitié à poil, sortant de la douche pour leur cracher le venin qu’elle possédait uniquement à cause de tout le bruit qu’il pouvait faire sans même respecter les autres. Il valait mieux qu’elle garde son sang-froid et qu’elle parte avant même que toute cette histoire ne dégénère. Avec hâte la demoiselle s’emparait de ses affaires, mettant son sac sur son épaule, attachant ses longs cheveux ondulés en une queue de cheval haute avant de laisser ses doigts appuyer sur l’interrupteur pour laisser dormir cet endroit avant que d’autres danseurs ne viennent y avoir cours demain matin. Elle ne savait pas vraiment l’heure qu’il était. Elle n’en avait rien à faire pour tout dire. En traversant un couloir obscur la jeune femme se rendait compte que la lune avait pointé le bout de son nez et qu’à présent les lampadaires dans la rue étaient les seules sources de lumières. Elle étouffait un bâillement avant d’apercevoir au loin la porte menant au vestiaire des garçons. Quelques jeunes hommes en sortaient, adressant un sourire à la belle qui n’hésitait pas une seule seconde à jeter un regard noir en leur direction. Elle les regardait s’éloigner avant de poser ses pupilles sur la porte. Les yeux de la petite anglaise se mettaient à briller en même temps qu’un mince sourire s’emparait de ses adorables lèvres roses. Il n’y avait presque plus de bruit. Il ne devait y rester que deux ou trois garçons. Ocyllie s’approchait de l’ouverture et posait l’une de ses mains contre la porte. Un dernier regard derrière elle pour s’assurer qu’il n’y avait personne. Au moment même où elle allait pousser la porte, cette dernière s’ouvrait pour laisser apparaître un jeune homme que la brunette avait déjà pu apercevoir dans les couloirs. Elle ouvrait la bouche, mais aucun son n’en sortait. Elle ne savait que dire pour justifier une présence féminine ici même. Peut-être valait-il mieux garder le silence ?
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Et une petite séance de sport. C'est fou comme ça fait du bien, surtout dans ces moments-là où tout ne va pas très bien. Je ne savais pas que ça allait être aussi dur de vivre sans Andréa. Elle me manque et ça me fait chier. Il va bien falloir que je me lance à un moment donné. Mais pour l'instant, je ne veux que penser à moi et à mon bien être. Pour ma petite famille, je verrai plus tard, je ne suis plus à un mois près. C'est la Marlène qui risque de me poser le plus de problème, et ça ne me tente pas vraiment. Puis alors que la séance de rugby fut terminé, je partis direction les douches et vestiaires avec les autres. Je pris bien mon temps sous la douche. Tous ces bleus qui allaient apparaître ... Quelle idée de faire du rugby ?! C'est ce qui me défoule le plus voilà tout. C'est le meilleur sport de tous les temps. J'en ferais pas mon métier certes, puisque ma voie est déjà toute tracée, mais ça fait sérieusement du bien. Une fois ma douche finit, il ne restait plus que moi et deux trois potes. Je les saluais après m'être rhabillé et sortit des vestiaires. Mais avant de passer la porte je vis de grand yeux féminins nous épier. J'allais pas la rater elle ! Tu veux des jumelles peut-être ?!! J'y suis pas allé de mains mortes. Plus que froid et méchant que moi, ça n'existe pas (a). Même pour une jolie fille.
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Si la brunette avait dans l’idée d’entrer dans le vestiaire des garçons pour y faire un scandale et leur faire partager son point de vue quant au bruit et au respect des autres, elle n’en faisait rien. La peur venait la paralyser. Elle était là plantée devant la porte, sur la pointe des pieds à essayer d’observer l’intérieur de la pièce par la petite vitre ronde qui se trouvait au-dessus d’elle. La demoiselle était trop encore trop petite et n’y arrivait pas vraiment. Elle ne pouvait distinguer que le haut des casiers et ne voyait aucun torse musclé. C’était en poussant un soupir que ses talons regagnaient le sol et c’était surtout en ce moment-là que choisissait la barrière de bois qui se trouvait devant elle pour s’ouvrir. Ocyllie restait là sans savoir quoi dire, face à un jeune homme plutôt bien fait lorsqu’on essayait de distinguer son corps sous les vêtements qu’il portait. Elle avait l’air d’une petite fille prise en flagrant délit d’une bêtise qu’il était impossible de réparer, de se faire pardonner. La réaction de son interlocuteur ne tardait pas à se faire entendre et bien évidemment il ne se gênait pas pour la blâmer, pour lui faire une réflexion qui venait piquer au vif notre danseuse. Croisant ses bras sous sa poitrine, haussant un sourcil elle ne pouvait s’empêcher de répondre sur un ton à la limite de l’agression : « Je n’en ai strictement rien à faire de te voir toi et tes petits copains en train de faire je ne sais quoi sous les douches, mais lorsque vous décidez de vous accoupler vous êtes priez de faire bien moins de bruit. Certaines veulent travailler ici. » Non, mais il se prenait pour qui celui-là. La petite danseuse n’attendait pas un seconde de plus pour tourner les talons et faire commencer à faire quelques pas dans la direction opposé.
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Ouh attention, la demoiselle s'énerve ! Ouh je tremble de peur ! Foutaise ! Ça prend pas avec moi. Je haussais les sourcils face à son ton de voix, à ce qu'elle était en train de dire. Ce côté rebelle, hum oui, ça pourrait bien me plaire. Si c'est pas trop souvent bien évidemment. Mais là, pour faire mumuse pourquoi pas. C'est sûrement pour cette raison là que je l'ai dépassé et me suis placé face elle, pour l'empêcher d'avancer de plus belle. Alors pourquoi tu n'es pas rentrée dans les douches justement, ou bien gueuler de nous taire ?! Tout simplement parce que tu voulais te rincer les yeux ! Allez avoue ! Je lui disais ça autant sur un air amusé que sur un air des plus sérieux. Ça commençait à m'amuser et mon côté sadique ressortait petit à petit. Je voulais la pousser à bout et voir jusqu'où la demoiselle serait capable d'aller avant d'avouer ce qu'elle ne veut pas dire. La vérité là-dedans n'a rien avoir, ce n'est carrément pas le plus intéressant. Et je ne vois vraiment pas en quoi des mecs qui se douchent peuvent déranger dans un lieu pareil ! T'as qu'à changer d'endroit pour bosser si t'es pas contente ! Ça ne pouvait pas bosser du sport, ça ne se bosse pas, on en fait parce qu'on aime ça. Enfin, du moins, nous les hommes, et plus particulièrement moi. Parce que la matière où je m'efforce de bosser un minimum c'est la botanique, et non le sport, donc j'étais loin de comprendre ce qu'elle pouvait ressentir.
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Ce mec puait l’arrogance à des kilomètres à la ronde. Il avait une façon de faire qui donnait à Ocyllie l’envie de lui cracher dessus et de le regarder se faire lyncher par les autres par la suite. Il lui manquait une bonne paire de gifles, c’était certain. Physique quasi parfait, une langue bien tendu et apparemment un égo surdimensionné, l’inconnu avait tout du fils à maman riche et capricieux. En y réfléchissant il avait quelques points en commun avec la brunette. Elle aussi avait une pastèque à la place de la tête et n’hésitait pas à dire haut et fort ce qu’elle pensait sans prendre de gants. La demoiselle semblait troubler. Elle ne s’attendait très certainement pas à tomber sur un jeune homme qui n’aurait aucun scrupule à l’envoyer bouler, à lui faire des réflexions sur son étrange présence ici ou bien c’était le fait de se retrouver face à quelqu’un ayant le même caractère explosif que le sien qui la rendait toute chose comme ça. La petite anglaise débitait des paroles à la vitesse de l’éclair avant de tourner les talons et de s’enfuir, mais à peine avait elle fait quelques pas que le garçon venait la dépasser pour lui barrer la route. Surprise, elle s’arrêtait et l’observait de ses yeux clairs tout en croisant ses bras sous sa poitrine. Cherchait-elle à se protéger de quelque chose ? Les mots de son interlocuteur lui arrachait un rictus moqueur et elle s’empressait d’ajouter : « Pour me faire violer par une bande dingue en chaleur, non merci. » Un mince silence d’installait entre les deux jeunes gens avant que la belle ne reprenne : « Et pour que j’ai envie de me rincer l’œil encore faudrait-il qu’un seul de tes petits copains ai un corps d’Apollon. » La brunette défiait son interlocuteur du regard. Il y avait un petit quelque chose chez lui qui plaisait à la jeune femme. Quoi ? Elle n’avait rien. C’était étrange, mais d’un côté elle ressentait le besoin de lui coller une baffe monumentale et de prendre la fuite, mais d’un autre point de vue elle avait envie de continuer à lui balancer quelques piques en pleine figure pour rester à ses côtés. Et puis ses propos l’amusaient bien pour être honnête. Sa voix masculine s’élevait à nouveau pour venir faire part de son étonnement quant aux reproches qu’Ocyllie lui avait fait sur le bruit qu’il pouvait bien faire. « Comment veux-tu que je change d’endroit pour bosser alors que la salle de danse se trouve juste à côté de vos vestiaires ? Je n’arrivais pas à me concentrer avec tous vos cris de sauvage. Vous passez votre soirée à courir un ballon pour vous défouler et bien moi je passe mes nuits à danser pour mes études. » Allez savoir pourquoi, mais la jeune femme venait ponctuer son monologue d’un bref coup de poing sur la poitrine de son interlocuteur. Pourquoi venait-elle de faire ça ? Très bonne question. Même elle ne connaissait pas la réponse. Elle baissait les yeux pour éviter de croiser son regard. Cette situation était plus qu’étrange.
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Comme prévu elle s'emporta et j'avais déjà envie de rire rien qu'à sa première réplique sur le "viol". Je ne me suis pas fait prier d'ailleurs pour éclater de rire, d'un rire bien plus moqueur qu'autre chose. Nous ? Violer ? Non non c'est les femmes qui nous violeraient oui. Surtout moi. Combien de filles se sont mises à genoux pour que je leur accorde une simple nuit avec elle ?! Il y en a qui ont même osé me demander de sortir avec elle ! Non mais quelle honte ! Se rabaisser à demander à l'homme, alors que cela ne se fait pas. Et puis la plupart était bien entendu des filles de paysans. Pfff de la vermine. Moi, être avec des filles de si mauvaise famille, plutôt crever. Mais avant de déduire qu'elles n'étaient pas à ma hauteur, il fallait que je les teste. Surtout que je me suis fait avoir une fois, jamais plus. Donc je m'amusais avec les nerfs de la brunette, quand elle m'offensa en disant que nous n'avions pas des corps d'Apolon. Je haussais les sourcils et lui répondait Non mais pour qui tu te prends sérieux ?! Depuis quand les sportifs n'ont pas des corps parfaits ? Si ce n'est pas eux, franchement t'es mal barré ma pauvre ! T'en trouvera jamais ! Puis je lui avais demandé pourquoi elle n'allait pas bosser ailleurs, puis elle me fit comprendre qu'elle ne pouvait pas, et j'appris qu'elle faisait de la danse. Elle parlait de salle, de cris, de sauvages, de ballon, d'études, ... J'avais déjà mon sourire en coin quand je lui répondis Mais quand je te ferais crier tu ne diras plus la même chose ma belle ! Un petit affrontement, ça me faisait rire. Je rentrais totalement dans mon jeu puisque je commençais à me rapprocher d'elle et a la coincer contre le mur. Je la reluquais alors de la tête aux pieds avec mon parfait air pervers pour ajouter Ici et maintenant. Tu verras que tu regretteras tes paroles ...
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Hors de question pour Ocyllie de se laisser marcher sur les pieds par un type qui ne pensait qu’à faire de la gonflette pour prétendre un jour, peut-être, à un corps d’athlète. Lorsqu’il éclatait de rire à la première réplique de la brunette, cette dernière ne pouvait pas s’empêcher de lui jeter un regard noir qui en disait long sur ce qu’elle pensait de lui. Elle ne le connaissait pas, elle ne savait même pas comment il s’appelait et pourtant elle le détestait déjà. La petite anglaise n’avait pas pour habitude de côtoyer des hommes comme lui. D’habitude c’était elle qui s’amusait d’eux et non l’inverse, mais elle comptait pas baisser les bras tout de suite et passer pour une faible alors qu’elle était connu sur tout le campus pour être une nana indépendante, sûre d’elle et avec un caractère de chien. Le sang du jeune homme ne faisait qu’un tour lorsqu’elle venait mentionner le fait que ses petits camarades n’avaient pas vraiment des corps de rêve. Les lèvres de la gamine s’étiraient en un sourire satisfait alors qu’elle haussait un sourcil pour marquer un bref étonnement. Ayant une soudaine et forte envie de jouer, la belle répliquait d’un ton plus ou moins mielleux, mais pourtant toujours aussi amusé : « Pourquoi tu t’énerves de la sorte ? Je parlais de tes petits copains sportifs que je sache, pas de toi. » Oui, il avait beau être hautain à souhait, il n’en restait pas moins un jeune homme particulièrement attirant et qui, d’après ses larges épaules, avait l’air plutôt bien fait, même si tout cela ne devait être qu’un peu de gonflette et non du sport régulier. Il reprenait en me demandant pourquoi je n’allais pas travailler ailleurs et je ne pouvais pas m’empêcher de m’emporter. La danse, c’était tout ma vie et j’avais la sainte horreur que l’on me dérange lorsque j’étais en train de travailler. D’ailleurs, j’étais presque certaine qu’il l’avait compris étant donné que je ne me gênais pas pour lui faire remarquer que sa présence, ainsi que celle de ses potes et leurs cris d’homme des cavernes avaient eu le don de chambouler tout mon entraînement. Le regard de la demoiselle se posait une toute nouvelle fois sr son interlocuteur lorsque ce dernier lui faisait des avances. S’il croyait l’impressionner avec ses répliques de perturbé du slip, il se mettait le doigt dans l’œil. Il en fallait bien plus que ça pour étonner la petit brune qui ne se gênait d’ailleurs pas pour laisser un rictus moqueur s’échapper dans les airs. Elle n’avait pourtant pas le temps de répondre que déjà elle se retrouvait coincée contre un mur et le jeune homme continuant dans sa lancée en lui proposant la chose ici même et tout de suite tout en lui promettant qu’elle allait regretter ce qu’elle venait de dire. Ocyllie avait envie de rire, mais ses dents venaient mordre l’intérieur de sa joue pour éviter cela. Elle venait se hisser sur la pointe des pieds pour murmurer à l’oreille du garçon d’une voix plus ou moins provocatrice : « C’est dangereux de jouer avec le feu, tu risques de devenir accro après. » Comme la plupart des hommes qui avait eu la chance de finir dans le lit de la danseuse d’ailleurs, mais ça elle se gardait bien de le dire tout fort.
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Quand elle m'avait fait remarqué qu'il n'y avait rien de beau à mater dans le vestiaire, je l'avais pris direct pour moi. Normal, quand je l'avais démasqué, je sortais à peine des vestiaires. Moi ? Susceptible ? Pour mon physique, oui. Mais elle me rassura quand elle me répondit qu'elle ne parlait pas de moi. De suite, un sourire naquit sur mes lèvres et je lui répondais du tac au tac Donc c'est moi que tu étais en train de mater ! Le pire, c'est que j'y crois dur comme fer dans mon hypothèse. Et ça m'avait conforté dans l'idée de la faire chier dans ce sens là davantage plus. Je m'étais donc rapproché d'elle, jouant la drague comme j'aime si bien le faire, et réussi à la bloquer contre le mur et je m'amusais à me rapprocher d'elle à chacune de mes paroles. Mais elle ne me repoussait pas et cela m'intriguait et me satisfaisait à la fois. Finalement, mon charme opère à chaque fois, au bout d'un certain temps. Quelle sera celle qui résistera le plus longtemps ?! Voilà mon nouveau défi. Puis elle se mit sur la pointe des pieds et me chuchota une phrase qui me fit sourire De devenir accro hein ?! Je prends le risque, ben que depuis le temps j'ai appris à le maîtriser et à le contenir sans me brûler ! Wrong ! Enfin, il n'y a que Andy qui me fait faire dire ça. Il n'y a qu'elle dont j'ai pu être accro. Et peut-être Adelys en ce moment aussi. Mais c'est une femme bourrée d'expérience donc c'est plutôt normal (a). Je me reculais ensuite de la jolie brune pour ensuite la prendre par la main et l'embarqua avec moi. Je t'emmène dans un endroit où tu ne pourras pas me dire non ! Bon d'accord, elle semblait ne pas vouloir me dire non même pour le couloir des vestiaires. Mais j'avais beaucoup plus excitant en tête.
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Cette situation était étrange. Ocyllie n’avait jamais détesté une personne à ce point tout en ayant envie d’elle. Soliman ? Elle ne le détestait pas, elle essayait juste de faire croire qu’elle ne pouvait pas le sentir pour ne pas éveiller les soupçons sur son envie de recommencer à s’amuser avec lui. La jeune femme ne savait pas vraiment pourquoi, mais à cet instant précis elle avait qu’une seule et unique préoccupation, qu’il pose ses mains sur son corps et qu’il la fasse hurler de plaisir. Chaque chose chez lui venait la troubler. Il semblait si semblable à elle sur certains points et pourtant si différent sur d’autre. C’était comme si la brunette était en train de comprendre que l’expression disant que les opposés s’attirent était totalement fausse. Quelques minutes à peine après leur rencontre les deux jeunes gens n’hésitaient pas une seule seconde à entrer dans un jeu de séduction qui se vouait dangereux et sans point de retour possible. Il n’avait fallu que de quelques paroles pour qu’il réussisse à l’attirer dans ses filets. A croire que l’appel de la chair était bien plus fort que quelques remontrances au sujet d’un espionnage à travers une vitre. Ocyllie venait s’amuser à titiller la bête qui somnolait en son interlocuteur en commençant par le mettant hors de lui en critiquant son physique avant de lui faire comprendre explicitement qu’elle ne pensait un mot des boutades qu’elle venait de dire. Elle pouvait remarquer un sourire sur ses lèvres. Sourire qu’elle lui rendait. Elle ne pouvait pas affirmer être sous son charme, mais elle avait bien envie de jouer les idiotes pour voir jusqu’où il était capable d’aller. Après qu’il lui ai proposé de la faire crier comme jamais, la gamine ne pouvait pas s’empêcher de lui faire quelques recommandations en lui indiquant que s’il commençait à jouer avec le jeu, il ne pourrait très certainement plus s’arrêter. Que nenni. Cela n’avait pas l’air de le déranger bien au contraire et le sourire que portait la demoiselle sur ses lèvres venait traduire son étonnement ainsi que sa satisfaction. Il ne pouvait pas le nier, elle l’attirait et puis tout en menant sa petite enquête, pour savoir si ce garçon était vraiment un dur à cuire ou simplement un minable coureur de jupon, elle pouvait se faire plaisir non ? Autant joindre l’utile à l’agréable. « A ta place je ferais tout de même attention. J’ai dans mes gênes une sorte de poison qui attire les hommes et les rends totalement dingues. Ils ne peuvent plus se passer de moi par la suite et se traînent à mes pieds pour m’entendre hurler de plaisir, mais tous ne sont pas de bon coup. » disait-elle d’une voix confiante avant de parcourir le torse du garçon de ses doigts avant de venir ajouter à son oreille : « J’espère seulement que tu ne vas pas m’obliger à simuler, j’ai horreur de ça. » Ocyllie était la reine dans l’art de la provocation. Elle n’avait pas le temps d’en rajouter plus que déjà son interlocuteur l’attrapait par la main tout en la tirant derrière lui. Il courrait presque et elle avait bien du mal à suivre la cadence étant donné qu’il était beaucoup plus grand qu’elle et que donc il faisait de plus grands pas. Ainsi il voulait l’ammener dans un endroit où elle ne pourrait pas lui dire non ? Le sourire qu’elle portait sur les lèvres s’intensifiait. « J’espère que tu seras créatif car j’ai couché dans presque toutes les pièces de cette établissement. » Que de bons souvenirs en y repensant. Ou pas
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Ça me faisait rire de rencontrer une fille me ressemblant un peu. Elle se croyait vraiment irrésistible et parfaite, parce que à l'entente de ce qu'elle venait de me confier, je ne pouvais penser que ça. C'eut d'ailleurs pour effet de me faire rire, avec ce sourire cynique et amusé que je me connaissais si bien. J'avais connu tant de filles, plus ou moins jolies qu'elle, de toutes les catégories, et j'étais persuadé qu'elle n'allait pas être bien plus exceptionnelle que les autres. Mais si je veux me la faire, valait mieux pour moi que je me taise pour le coup Je ne demande qu'à voir ! Puis quand elle ajouta qu'elle espérait que je n'allais pas la faire simuler je lui répondis Je suis sûr que tu vas plutôt essayer de te retenir pour éviter qu'on ne se fasse remarquer ... Bah oui rien que ça, t'as cru quoi, je suis un vrai dieu du sexe ! Toutes les filles avec qui j'ai couché me l'ont dit ! Et combien d'entre elles ont succombé à mes charmes et ont fini par tomber amoureuse de moi ?! Je ne les compte même plus. Il m'était ensuite venu à l'idée de la prendre dans un lieu que j'aimais particulièrement. Et puis ça rajoutais tellement plus d'adrénaline. On en a une à disposition, autant en profiter ! Et alors qu'on était en route, elle me fit remarquer qu'elle avait couché partout dans l'établissement, et qu'elle espérait que mon idée soit plus original. Ce n'est peut-être pas très original, mais ça me fait kiffer de le faire là-bas ! Je suis sûr que ça va te plaire ! Lui dis-je avec mon regard de pervers assuré. Et ce n'est pas une pièce ... Non pas vraiment héhé !! Et alors qu'on approchait vers mon fameux lieu, je m'arrêtais d'un coup, face à elle, et lui dit Ferme les yeux. Non elle n'a pas le choix (a). Une fois fait, je la pris dans mes bras et rentrais là où on ne devrait pas être, encore moins pour faire ce genre de bêtise.
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