[HOT] Lukas & Ocyllie ♠ You may have my number. You can take my name but you'll never have my heart

La petite brune ne savait plus vraiment où donner de la tête. Son interlocuteur avait un charisme affolant qui lui donnait envie de sauter sur lui et de ne plus le lâcher d’une semelle, mais elle n’en faisait rien, gardant son calme et essayant d’éteindre le feu, l’envie, brûlant en elle en lui crachant des noms d’oiseaux en pleine figure. Pourtant le tout dérapait bien vite et il ne tardait pas à lui faire des avances que la danseuse avait bien du mal à refuser. Elle jouait la carte de la provocation pour le séduire. Le glamour ce n’était pas vraiment pour elle et puis de toute façon elle n’avait pas envie de se lancer sur une pente glissante et risque de le voir s’échapper. De son côté le jeune homme répondait positivement à chacune des paroles de la demoiselle et cela la faisait sourire. Un sourire aguicheur et enfantin à la fois dont elle était la seule à avoir le secret. Il se vantait sur la façon dont il allait très certainement, d’après lui-même, la faire hurler de plaisir. Un rictus moqueur s’échappait de ses lèvres alors qu’elle gardait ses pupilles claires plongées dans celle de son partenaire ne tardant pas à lui répondre sur un ton toujours plus provocant : « Tant que je prends du plaisir, je n’en ai strictement rien à faire que l’on nous remarque. » Mais pas le temps de dire quoi que ce soit de plus que déjà il lui attrapait la main pour l’entrainer avec lui dans un endroit qui lui donnait envie. Curieuse, espérant avoir une réponse, et toujours aussi piquante elle lui indiquait qu’elle connaissait par cœur chacun des endroits de l’université pour y avoir déjà passé de bons moments. La réponse du grand gaillard ne tardait pas. Il lui indiquait qu’elle risquait de s’y plaire dans cet endroit, mais que ce n’était peut-être pas très original et surtout que ce n’était pas une pièce. Pas une seule seconde pour poser une question qu’il lui demandait de fermer les yeux. « Hors de question que je fer… » Et bien si, elle allait fermer les yeux et plus vite que ce qu’elle le pensait d’ailleurs. Surprise, elle ne disait pas grand-chose lorsqu’il la prenait dans ses bras pour la faire entrer dans ce mystérieux lieu. Ocyllie sentait le corps du jeune homme contre le sien, sa présence, mais elle n’en restait pas moins effrayée à l’idée qu’il pouvait s’enfuir à tout moment. « T’as pas intérêt à m’abandonner et à partir comme un lâche. » Disait-elle d’une voix à la fois menaçante et légèrement tremblante.

Juste avant que je ne l'embarque dans mon lieu spécial, elle m'avait répondu qu'elle se fichait bien d'être découverte et qu'elle ne s gênerait pas pour crier. Parfait. Au moins, je saurais si elle simule ou non. Et je ne suis pas du genre non plus à me gêner, bien que mes cris sont quand même beaucoup moins stridents. Enfin, si on peut appeler ça des cris. Une fois arrivé près du lieu je lui avais dit de fermer les yeux et comme je m'en doutais, elle ne semblait pas être vraiment d'accord. Je m'étais mis à sourire sadiquement avant de la prendre dans mes bras. Je ne la sentais pas du tout à l'aise avec ce genre de situation. Ça me faisait bien rire. Au moins je la remettais un peu à sa place la pimbêche. Mais ce qu'elle me dit, et la façon dont elle avait eu de le faire, je ne pus m'empêcher de lui dire Ne t'inquiète pas. Je ne le lâche plus maintenant jusqu'à ce que j'en ai fini avec toi. Outre les paroles un peu dégueulasse, mon ton se faisait plutôt dans le registre du tendre, doux et rassurant. Après tout, je savais qu'au fond de moi j'avais cette partie assez protectrice qui ne veut pas faire de mal et protéger le sexe faible. Mais bon pour ça, il faut le mériter. Et il y en a pas beaucoup qui y sont arrivé. J'avais donc poussé la porte d'entrée avec mon pied et la piscine se laissait entièrement apparaître. Vide et très peu éclairée. L'ambiance parfaite. Je ne m'arrêtais pas une seule fois, ne me demandant pas si ma partenaire avait re-ouvert les yeux ou non - bah oui je suis pas un prince sous une bête moi (a) - et une fois au bord de l'eau, aucune hésitation et plouf je nous faisais tomber dans l'eau, sans pour autant la lâcher comme promis. Heureusement pour nous, elle était toujours bonne.

Malgré les doutes de la demoiselle, les paroles du jeune homme lui arrachaient un rictus amusé, mais elle ne répondait pas et se contentait de sourire d’une façon tout à fait provocante tout en sachant pertinemment qu’il ne la voyait pas. Au bout de quelques minutes de marche, Ocyllie pouvait sentir qu’ils pénétraient dans une nouvelle pièce. Elle avait essayé de calculer l’endroit où ils pouvaient bien se trouver en fonction du nombre de pas qu’ils avaient fait, mais rien à faire, elle ne savait pas où ils étaient. La brunette sentait le sol se dérobait sous ses pieds et elle ne pouvait s’empêcher de pousser un petit cri de surprise avant de pénétrer dans de l’eau. Elle ouvrait les yeux, obligeant le jeune homme à enlever ses mains de dans ses pupilles. La piscine. Ils se trouvaient dans la piscine. Sans attendre une seconde de plus, la jeune femme se tournait pour venir frapper de ses poings sur le torse musclé de son partenaire. « Espèce d’idiot, je suis toute mouillée à cause de toi et je vais devoir attendre des heures et des heures que tout sèche avant de rentrer chez moi. » Elle semblait énervée la petite brune, jusqu’à ce qu’elle croise les pupilles du garçon. Elle s’arrêtait aussitôt de cogner contre lui. Elle semblait déstabilisée et pourtant sans se poser aucune question, ses bras encerclaient la nuque du jeune homme avant que ses lèvres ne rejoignent celle de son kidnappeur pour un baiser fougueux et plein d’envie.

Le petit cri de surprise qu'elle avait poussé me fit rire de l'intérieur. Oui de l'intérieur, parce que sinon je me serais retrouvé les poumons plein d'eau. Mouillé de la tête au pied, et mon jogging commençait à se faire lourd. Puis la réaction de la jeune femme ne se fit pas attendre. Elle se mit à me cogner dessus, de gentilles petites tapes pour moi. Adorable ! Haha ! Comme c'est dommage ... Je baissais alors le regard pour voir si déjà je ne pouvais voir à travers ses vêtements. Mais pas le temps d'aller plus loin qu'elle se jeta à mon coup pour m'embrasser fougueusement. Ah ben voilà, elle me déteste pas tant que ça la petite ! Elle ne peut pas résister à mon regard et à mon corps divin, je le savais bien ! Je répondais par la même étreinte à son baiser et la collais à moi, pour ensuite faire passer ses jambes autour de ma taille. Je n'attendis pas bien longtemps avant de lui retirer son haut et de commencer à découvrir son corps avec mes mains. C'est ce que j'adore le plus faire, découvrir un nouveau corps, ardent de désir pour moi. Et je pouvais pas dire le contraire pour cette jeune femme, donc j'ignorais le nom d'ailleurs. Mais c'est bien un détail qui m'importait, puisque la plupart du temps, je ne les retiens même pas les prénoms quand elles me le disent. Je l'avais donc plaqué contre le rebord de la piscine pour avoir plus de facilité dans les prochaines minutes à suivre, tout en retirant à mon tour mon t-shirt.

La petite brunette pouvait sentir le regard insistant que le jeune homme posait sur elle. Il l’observait très certainement dans l’espoir de pouvoir voir à travers ses vêtements, de pouvoir distinguer les formes les plus appétissantes de son corps. Les petits coups qu’elle était en train de donner sur le torse du garçon disparaissaient petit à petit depuis qu’elle avait eu l’occasion de croiser les pupilles de son partenaire. Elle était comme hypnotisée par ce type qu’au fond elle détestait au plus haut point. Elle ne pouvait pas résister une seconde de plus et lui sautait littéralement dessus pour joindre ses lèvres aux siennes et lui offrir un baiser des plus fougueux. Comme tous les hommes, il aimait que les choses se déroulent suivant ses idées et il ne tardait pas à bouger pour imposer sa loi. Il venait coller le corps de la danseuse contre le sien, faisant passer ses jambes autour de sa taille tout en répondant à son baiser. Peu de temps après, la demoiselle se retrouvait sans son haut, en soutien-gorge et que les mains du garçon parcourait les courbes de la brunette qui frissonnait de plaisir sous la douceur des gestes de son kidnappeur. Il venait la bloquer contre le rebord de la piscine avant de retirer son tee shirt qu’il balançait un petit peu plus loin. C’était avec beaucoup de plaisir que la petite anglaise découvrait le corps d’Apollon du jeune homme. Elle ne pouvait cacher l’envie qu’il représentait lorsque ses dents venaient riper contre sa lèvre inférieure. Ses mains remontaient dans le haut de la nuque du jeune homme afin qu’elle puisse plus facilement l’attirer vers sa nuque, car oui la jeune femme raffolait des baisers dans le cou et de tout le reste.

Je n'avais pas tardé avant de la bloquer contre le rebord et de commencer à retirer nos vêtements. Pas de temps à prendre, mais pas dans la précipitation non plus. C'est pour cela que je profitais pour l'instant des baisers hot qu'on pouvait s'échanger. C'est ça qui avait toujours fait mon succès. Mes baisers. Je ne baisais pas seulement les jeunes femmes, je leur vendais de l'amour. Je n'en ai rencontré aucune qui ne désirait pas être embrassée et à qui ça n'excitait pas. Je savais donc que si je n'assurais pas dans ce domaine là c'était foutu pour moi. Parce que durant l'acte, pas trop le temps pour les baisers, à part de temps en temps, histoire de bouffer encore un peu plus d'excitation. Puis la jeune femme m'attira vers son cou et d'une façon plus que naturelle je me laissais faire puis m’emparais de son cou. Facile de deviner qu'elle adorait ça. Je l'embrassais alors à cet endroit de la façon la plus sensuelle que je connaisse puis remontais petit à petit vers le lobe de son oreille et le mordillait délicatement, pour ensuite redescendre dans son cou. Pendant ce temps mes mains ne purent s'empêcher de venir dans le dos de la demoiselle pour aller dégrafer son soutien-gorge et le faire valser sur le rebord de la piscine pour éviter qu'il me gêne pour la suite.

La jeune femme laissait son mauvais caractère de côté pour se concentrer uniquement sur le garçon. Elle ne le connaissait pas. Elle ne savait même pas quel était son prénom, mais elle n’en avait strictement rien à faire. L’envie était plus forte que tout et rien d’autre ne l’importait à ce moment-là, même pas le fait de se retrouver dans une piscine en train de faire des papouilles avec un mec qu’elle ne connaissait ni d’Adam, ni d’Eve. Pendant qu’ils échangeaient des baisers plus que fougueux, le garçon laissait ses mains découvrir le corps de la brunette avant de lui retirer son haut pour l’envoler valser quelques mètres plus loin. Ocyllie attirait les lèvres du jeune homme dans son cou et il ne se faisait pas prier pour déposer un baiser sensuel sur cette partie-là du corps de la demoiselle avant de remonter légèrement pour mordiller le lobe de l’oreille de cette dernière. Il finissait par poser, à nouveau, ses lèvres dans le cou de la demoiselle tout en passant ses mains dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge et la débarrasser de ce bout de tissus. Un sourire coquin s’emparait des lèvres de la petite brune qui laissait ses mains glisser sur le torse du garçon avant que ses doigts ne viennent riper contre la taille de son pantalon. Un signe peut-être pour lui montrer ce qu’elle voulait là, maintenant, tout de suite.

Là, tout de même, Ocyllie faisait fort, voire même très fort. Elle ne connaissait le jeune homme que depuis une bonne vingtaine de minutes que déjà elle se retrouvait en train de l’embrasser, à moitié nue devant lui. Elle ne se privait pas pour laisser ses mains venir parcourir le torse, plutôt bien fait, de son partenaire alors qu’il couvrait sa nuque de baisers. Elle ne savait pas comme il s’appelait ni dans quelle confrérie il se trouvait. Elle ne savait même pas s’il s’agissait réellement d’un étudiant d’Harvard, même s’il avait l’air de plutôt bien connaître les lieux, mais elle n’en avait strictement rien à faire. Ici et maintenant, seul le plaisir qu’elle prenait et qu’elle allait prendre été important. Lorsque les doigts de la demoiselle venaient riper contre la taille du pantalon de sport que le garçon portait, ce dernier ne tardait à pas ôter à sa partenaire les quelques vêtements qu’elle portait encore avant de faire de même avec les siens. Il commençait par lui donner du plaisir à l’aide de ses doigts, mais bien vite il passait aux choses sérieuses, la pénétrant et lui donnant divers coup de rein pour tenter de la faire hurler de plaisir. Au diable les préliminaires, les deux amants étaient bien trop excités pour faire faire des détours à leurs envies. Les ongles de la jeune femme venaient gratter contre les omoplates du garçon alors qu’elle laissait un soupir de plaisir s’échappait dans les airs avant qu’un gémissement ne lui échappe.

Plus j'accélérais plus elle poussait des gémissements qui m'excitait davantage. Je ne pouvais rêver mieux quand c'était ainsi, puissant dès le début. Cela me poussait à m'éclater encore plus et à y aller encore plus fort. L'eau m'empêcher un peu d'aller à la vitesse que je voulais, mais je kiffais bien trop le faire avec de l'eau, ça rajoutais un effet particulièrement plaisant. Je sentis ses ongles s'enfoncer légèrement dans mon dos et malgré le fait que je ne sois pas maso j'adorais ça. Au moins ça prouvait que je lui faisais du bien. En même temps, faut vraiment pas être doué pour ne pas arriver à faire crier une femme. Soit faut être un gros geek dégueulasse, soit ne pas avoir la "kick". Heureusement pour moi, aucune de ces deux choses ne m'arrivera jamais. Je m'enfonçais de plus en plus en elle et je sentais le soulagement arriver. Je me stoppais alors un peu. Puis je me retirais d'elle pour la retourner avec force, dos à moi et je me collais de nouveau à elle pour l'embrasser dans le cou et dans la nuque avant de me re-insérer en elle, et recommencer mon petit jeu de rein que j'aimais tant.