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I have a dream | Andy

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Batiste avait su par l’hôpital pour l’opération de la jeune femme, celle-ci n’était pas plus d’accord qu’il pait l’opération, mais il avait pris la décision de ne pas l’écouter et de payer tout dans son dos, en tant que généreux donateur, il ne voulait pas que son prénom ou un nom ne soit révélé à la blondinette qui le rendait fou. C’est pour ça qu’il allait a l’hôpital pour payer les frais de l’opération et de la chambre et de tout le reste d’ailleurs, mais arrivé là-bas il ne pût s’empêcher de vouloir aller la voir, mais il ne pouvait pas arriver les mains libres, sa lettre était dans la voiture, il alla la chercher avant de la regarder il ne pouvait pas arriver qu’avec ca et sa bouche en cœur, il démarra la voiture et fonça au centre-ville, il acheta seize bouquets de fleur, autant de moi ou il avait omis de donner des nouvelles a la jeune femme, fuit l’appartement comme un voleur. Puis il alla acheter des chocolats pour la jeune blondinette, mais il n’avait aucune idée de ce qu’elle aimait, il décida donc de prendre quatre mélange totalement différents…Il lui fallait autre chose, mais quoi ? En retournant à la voiture, il passa devant un magasin de sport, il entra sans vraiment réfléchir, il s’adressa au vendeur, il voulait trois choses, des chaussons de danse, une splendide tunique de danse ainsi qu’une veste de ski, la veste de ski c’était surtout pour l’inviter a aller skier au canada avec lui quand elle irait beaucoup mieux., il fit tout emballer et le mit dans la voiture qui commençait a être vraiment trop petite malgré que ce soit un gros quatre fois quatre. Il retourna se garer, avant d’accoster cinq jeunes qui passaient, il ne pouvait pas porter tous les cadeaux, il vérifia que la lettre était bien dans sa poche, prit la veste de ski, les chaussons, la tunique ainsi qu’un bouquet de Lys et un ballotin de chocolat, les jeunes prient le reste. Batiste renseigna la chambre de la jeune femme expliquant qu’ils devaient entrer premier mais qu’ils ne devaient pas parler à la jeune femme. Ensemble ils montèrent à l’étage de la jeune femme, avant d’indiquer aux garçons qu’ils pouvaient entrer, il les regarda partir avant de mettre le bouquet devant lui, il tendit les chocolats a la belle blondinette avant de poser les fleurs près de sa table nuit, puis il posa les trois autres cadeaux doucement sur son lit, il les posa du plus petit au plus grand. Ensuite il tendit la lettre à la jeune femme, elle devait lire la lettre avant tout. Cette lettre faite sur un plan important pour lui, mais moins important qu’Andy, cette lettre qu’avait pu lire l’ainée des Jones. Voila ce que contenant cette lettre . Andréa Jones, j’ai tant de choses à te dire, mais j’ai peur de ne pas savoir tout te dire lorsque je serai face a toi. Pour commencer, je ne vais pas continuer a m’excuser, car tu le sais déjà et je dois assumer les choses tels que je les ai rendu. Quand je t’ai rencontré à New-York, ce n’était pas toi que je voulais, mais la brunette à côte de toi…mais je me suis assis et là, je suis tombé dans ton regard et c’est a toi que j’ai payé à boire et avec qui j’ai passé la nuit…je ne le regrette pas, et ne le regretterai jamais…mais je suis parti en voyant les filles, comme un voleur. Il y a un peu plus de deux mois je t’ai revu, et je ne suis pas tombé par hasard sur toi, je t’ai entendu dire que tu allais au parc avec tes filles, et j’ai décidé d’y aller. Ce jour-là, je m’en suis pris plein au visage…dans tous les sens, je t’ai fait peur. Puis il y a eu les crêpes avec toi et les filles, j’ai vraiment adoré et je me suis rendu compte que c’était pas si horrible que ça d’être sous le charme d’une jeune femme maman…Puis il y a eu la peinture et l’accident, stupide, juste parce que je n’ai pas trouvé les mots pour te dire que je t’aime, j’ai voulu te le prouver et te faire craquer, la chose que j’ai fait craquer se sont des ligaments. Même si Marlène, ne peut pas me voir et ne veux pas me voir non plus, je ferai tout pour pouvoir la convaincre de me laisser essayer de prendre une place dans ton cœur…Alors même si je dois passer des nuits et des jours a te conquérir, j’essaierai parce qu’un fin de compte c’est toi qui me plait dans cette ville…ta sœur est pas mal non plus, mais elle fait un peu cougar…J’ai encore plein de balade en moto à faire avec toi et de moment a partager…Batiste Nino Alexander. Il avala sa salive avant de lui demander. « Lis-là s’il te plait Andy…Après ca je m’en vais si tu le souhaite, mais lis-là, pour ce qui est des fleurs, il y a seize bouquets, c’est le nombre de mois ou je ne savais pas où tu étais…et les cadeaux c’est simplement parce que je crois en toi malgré tout…après si tu le désires je peux prendre la porte, je l’ai largement mérité. » Batiste baisa les yeux avant de retomber dans le regard de la belle, ses yeux disait long sur ce qu’il pensait, la voir là, le rendait très malheureux et triste et ça se voyait dans son regard.
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Batiste & Andréa


J’étais à l’hôpital, je venais de me faire opérer de la jambe gauche pour mes ligaments croiser, dans l’espoir de pouvoir refaire de la danse en haut niveau, mais j’avais tellement peur, peur de ne plus pouvoir tenir sur cette jambe, de ne pas réussir à rattraper mon niveau, mais ça ce n’était pas le pire, enfin si c’était en partie le pire !! Mais je devais rester là, dans cet hôpital dont j’ai la sainte horreur, il y a plein de choses que je déteste, le 10 février : mon anniversaire qui est marqué par tellement de mauvais évènement, les hôpitaux, Lukas, et depuis cette nouvelle chez le médecin j’avais ajouté Batiste a la liste…
Je n’en pouvais plus, depuis cette chut je lui en voulais, il m’avait vraiment fait mal en partant de NY, mais ce n’était rien à côté de ce qu’il m’avait fait là, il venait de briser mes ligaments, mon rêve par la même occasion, car même si je l’espérais de tout cœur j’avais tellement peur de ne pas retrouver mon niveaux, mais en plus à cause de lui je devais être dans cet hôpital, ça me rappelait tous ces jours que j’avais passé à l’hôpital de New York, ces jours où j’avais regardé ma mère mourir à chaque instant , sincèrement vous vous demandez encore pourquoi je déteste autant l’hôpital et pourquoi je déteste batiste ? Pourquoi je ne lui ai pas donné de nouvelle depuis ce jour ?
Mais tandis que je passe mon temps à le maudire mes pensées se trouve changé, absorbé par l’évènement étrange qui se déroule dans ma chambre, de jeunes gens rentre dans ma chambre avec des bouquets de fleurs alors que je ne les connais absolument pas, je ne dis rien je me contente d’écarquiller les yeux me disant que c’est des livreurs et essayant de comprendre d’où vienne ses fleur, mais c’est là qu’il ose franchir le seuil de ma chambre d’hôpital. C’est loin d’être un regard tendre qui se pose sur lui, j’avais vraiment une profonde haine contre lui en l’instant, je ne comprenais vraiment pas comment il pouvait oser venir ici !! Le fait de ne pas lui donner de nouvelle me semblait pourtant plutôt clair non ! Il avait de la chance que je n’avais rien sous la main, j’aurais pu lui balancer tout ce qui me passait sous la main, et sa me démangeais sérieusement, je n’attendais pas qu’il fasse un geste, où qu’il ne prononce un mot que je lui demandais de sortir :
-Batiste va t’en, je ne veux pas te voir !
Mais batiste n’en fis rien, il me tandis une boîte vraisemblablement pleine de chocolat, mais je ne pris même pas la peine de m’en saisir, il posa le bouquet de fleur sur ma table de nuit, avant de poser des cadeaux sur mon lit, j’étais tenté de passer mon bras sur le drap pour tout jeter par terre, mais non, je fis ça plus en délicatesse ne voulant pas faire de mouvement brusque par peur de me faire mal, je pris chaque paquet qu’il posa sur mon lit pour les éloigner de moi et les poser sur la table d’à côté. Puis il me tandis une lettre, que j’eus envie de déchirer à l’instant où elle fut entre mes mains, mais j’écoutais ce qu’il avait à me dire de peur de regretter cet acte. Il me demandait de la lire, et qu’il partirait ensuite si je le souhaitais, mais je devais la lire, il m’expliqua ensuite qu’il y avait 16 bouquets de fleurs, et m’en expliquer la signification et m’expliqua également la signification des cadeaux, j’avais plein de chose dans la tête et il n’en perdit pas un mot :
-Je ne veux pas de ces fleurs, je ne veux pas de ces cadeaux, je ne veux pas de cette lettre, je n’ai pas envie de la lire, je ne veux pas de ça, je n’ai aucune obligation envers toi ! Tout ce que je veux c’est sortir de cette chambre, de cet hôpital qui me détruit un peu plus chaque jour, je veux sortir de cette histoire, je veux retrouver ma vie d’avant, avant que tu la renverse encore !!
Je posais la lettre, sans même prendre la peine de l’ouvrir et lançais un dernier regard noir à batiste avant de me détacher complètement de son regard.

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Elle ne voulait pas le voir il fallait vraiment s’y attendre, il ne répondit pas, mais lorsqu’elle annonça qu’elle ne lirait rien, il fut vraiment très triste, il la laissa poser la lettre avant de la reprendre, il la regarda avant de la déplier doucement et il la commença d’une traite, ne laissant pas le temps a ses émotions de passer au-dessus, « Andréa Jones, j’ai tant de choses à te dire, mais j’ai peur de ne pas savoir tout te dire lorsque je serai face a toi. Pour commencer, je ne vais pas continuer a m’excuser, car tu le sais déjà et je dois assumer les choses tels que je les ai rendu. Quand je t’ai rencontré à New-York, ce n’était pas toi que je voulais, mais la brunette à côte de toi…mais je me suis assis et là, je suis tombé dans ton regard et c’est a toi que j’ai payé à boire et avec qui j’ai passé la nuit…je ne le regrette pas, et ne le regretterai jamais…mais je suis parti en voyant les filles, comme un voleur. Il y a un peu plus de deux mois je t’ai revu, et je ne suis pas tombé par hasard sur toi, je t’ai entendu dire que tu allais au parc avec tes filles, et j’ai décidé d’y aller. Ce jour-là, je m’en suis pris plein au visage…dans tous les sens, je t’ai fait peur. Puis il y a eu les crêpes avec toi et les filles, j’ai vraiment adoré et je me suis rendu compte que c’était pas si horrible que ça d’être sous le charme d’une jeune femme maman…Puis il y a eu la peinture et l’accident, stupide, juste parce que je n’ai pas trouvé les mots pour te dire que je t’aime, j’ai voulu te le prouver et te faire craquer, la chose que j’ai fait craquer se sont des ligaments. Même si Marlène, ne peut pas me voir et ne veux pas me voir non plus, je ferai tout pour pouvoir la convaincre de me laisser essayer de prendre une place dans ton cœur…Alors même si je dois passer des nuits et des jours a te conquérir, j’essaierai parce qu’un fin de compte c’est toi qui me plait dans cette ville…ta sœur est pas mal non plus, mais elle fait un peu cougar…J’ai encore plein de balade en moto à faire avec toi et de moment a partager…Batiste Nino Alexander. » allant même jusqu’à lire sa propre signature, Batiste Nino Alexander, pour ce qui était de sortir d’ici, ça il pouvait le faire mais devait-il lui dire ? Mais le avant que tu la renverse sonna faux dans sa tête pire que les gifle finalement. Au moins ça s’était clair et nette que cette situation. « Je ne voulais pas te faire subir ca et tu le sais au fond de ton cœur…enfin j’espère, je sais que tu n’as aucune obligation envers moi, je ne suis qu’un stupide homme qui n’a pas su te dire trois mots…Pour ce qui est de sortir, je peux te faire sortir, mais si je fais ca, ta sœur me tue et notre relation va un peu mieux, enfin on arriva a se parler trois phrases…Laisse-moi renverser une troisième fois ta vie mais dans le positive, je sens que je peux te rendre heureuse, te faire sourire ! » Puis Alexander la regarda dans les yeux il avait envie de lui caresser la joue, mais il n’osa pas de suite, il prit son temps et commença par passer sa main sur celle de la jeune blonde, ne la quittant pas des yeux, il ne savait pas ce qu’elle pensait de la lettre qui lui avait lu, mais il n’osait pas le demander.
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Batiste & Andréa

Batiste n’était pas partie malgré ce que je lui avais dit, il venait de déplier la lettre et la lu, je ne le regardais pas une seule fois, j’avais trop mal, mentalement, physiquement, sentimentalement, je n’étais ouverte actuellement à aucune possibilité, je me renfermais sure moi-même, les seules qui avait accès a ma vie, c’était ma sœur, mes filles et ma nièce. Je m’étais ouverte à batiste et voilà où ça m’avait encore mené, je n’avais pas de chance en amour, je ne devais pas être faite pour ça.
Les mots de Batiste me touchait profondément et par un effet contradictoire ça m’énervé d’autant plus, car il me faisait mal, mais il m’atteignait, je lui avais ouvert les portes et je ne pouvais pas les refermer et chacun de ses mots m’atteignait au plus profond. Mais je ne voulais pas le pardonner, non j’en avais pas la force, là je pette juste complètement un câble, c’est l’effet des hôpitaux, je ne supporte vraiment pas ça. J’étais complètement crispé à l’écoute de cette lettre, je serrais un peu plus mon point a chaque mot qui atteignait mon cœur, j’aurais tellement de chose à répondre mais mon énervement est-elle que la seule chose qui me permit de réagir c’est la façon dont il parla de ma sœur, c’est froidement que je lui répondis :
-Ne parle pas de ma sœur ainsi !!
Et puis il avait continué à répondre à mes paroles, il n’était donc réellement pas décidé à partir, je lui en voulais, qu’est ce qu’il ne comprenait pas là dedans ? je lui en voulais d’avoir eu accès à mon cœur et d’en être arrivé à là… je me mettais a pleurer en l’écoutant me dire qu’il ne voulais pas me faire subir ça, et que je le savais au fond de mon cœur, et sa m’énervait car il avait raison, il annonçait qu’il était stupide et en moi je me disais oui sans le prononcé à voix haute, il m’annonçait ensuite que sa relation allait un peu mieux avec ma sœur et que de fait ma sœur allait le tuer s’il me sortait de là. Et il finissait par me dire qu’il voulait renverser ma vie une troisième dois mais en positif, il posa par la suite sa main sur la mienne, mais je retirais vite cette dernière, avant de lui répondre avec cette voix froide que j’avais avec lui.
- La deuxième fois tu étais déjà censé ne pas me faire mal, j’ai bien peur que la troisième fois ça ne soit pas mieux, on ne dit jamais deux sans trois, mais généralement pour moi c’est toujours négatif … tu as du bol de te rapprocher de ma sœur, car entre nous c’est le sens inverse qui se produit !
Je regarder à l’autre bout de la pièce avant de plonger mon regard noir et triste dans le sien, ça m’énerver qu’il soit a la fois si proche de moi et que je lui en veuille autant, tout m’énerver, ça ne venait pas que de lui, mais il fallait un coupable et je l’en tenais pour responsable, mais chaque élément ici me poussait à m’énerver, je m’en voulais même à moi-même. Je lui lançais alors :
-Quand tu es partie de New York tu m’as fait mal, mais je ne t’ai jamais autant détesté qu’aujourd’hui, quand je t’ai vu entrer, j’ai eu envie de te balancer dessus la première chose qui me passait sous la main !! Je vais te dire un truc qui va te sembler illogique : Mais t’apprécier me fais encore plus te détester !!

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Batiste resta assez sur le derrière de la réaction de la jeune femme, est ce qu’elle ne l’aimait plus ? C’était injuste qu’il soit ainsi puni alors qu’il ne voulait pas cette situation qui était très différente de New-York, il la regarda dans les yeux, avant d’essayer de lui dire, il le voulait vraiment mais plus rien ne sortait de sa bouche, il s’approcha d’elle et posa un bisou furtif sur le front de la jeune blondinette. « Je…je …pensais vraiment que tu m’en voudrais, mais je ne m’attendais pas a t’entendre dire de telle chose a mon égard…Je voulais te dire des mots bleus, des mots d’amour, mais mes yeux ne te parle malheureusement pas…Je suis fou de toi, depuis plus de seize mois, j’ai mis autant de temps a me rendre compte que c’est toi que je veux, que…enfin…je te l’ai déjà dit et je ne suis pas ce genre de bonhomme. Mais après tout tu dois surement avoir raison, je suis un boulet que les Jones détesteront a vie, un homme incapable de faire parler ses sentiments de façon correct…car je suis sure que tu as très bien comprit ce que je ressens…Pour ce qui est des frais médicaux, comme promit j’ai tout payer, fait toi plaisir durant ton séjour. » Puis Batiste alla juste reprendre les petits cadeaux et le tendit une seconde fois à la jeune mère de famille, ce cadeau voulait dire tant de chose a commencer, par, je sais que tu remonteras sur une scène et le médecin lui avait jurer que ca serai le cas, il avait mis une pression de malade envers l’hôpital. « Ouvre le s’il te plait…J’ai totalement fois en ta jambe gauche, et en ta guérison, même si je devrais la suivre de très loin vu la situation, je suis sure que mon cadeau te servira un jour ! Je voudrais te refaire sourire, passer des moments câlin sous la douche, te toucher et puis aussi passer du temps avec les jumelles, mais je pense que je vais devoir arrêter de voir les Jones, je suis un poisson dans leur vie…Pour ce qui est de la peinture de la résidence, j’ai fait tes heures, l’argent est déjà sur ton compte bancaire, j’ai même peint des choses que je ne devais pas pour pouvoir accumuler plus d’heures…Prends soin de toi Andy Jones peut-être qu’un jour tu me laissera m’épanouir avec toi, j’aurai pas du t’avouer ce que je ressentais en fait, c’est là que tout a merdé…ce que je dis, c’est de la merde, parce que je pense trop, je voudrai te prendre dans mes bras, t’emmener loin d’ici, te réveiller tous les matins avec des bisous dans le coup, je veux faire tellement de chose avec toi que je ne sais plus ce que j’ai dit ou non… » Alexander se sentait a la fois nu et a la fois sal, il laissa une larme couler le long de sa joue avant de se retourner, il fit un dernier geste stupide, un cadre avec une vitre en verre était face au lit de la jeune femme, il sortit un marqueur noir de sa veste et écrit sur la vitre. « A la femme que mon cœur et ma personne aimeront a tout jamais… » Le jeune homme venait de se briser le cœur tout seul comme un grand à côté de ce rejet son divorce ne valait rien, il regarda encore un instant la jeune femme dans les yeux la trouvant plus belle que jamais…
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Batiste & Andréa

Batiste m’annonçait à nouveau ce qu’il ressentait, il savait que je lui en voudrais mais il ne savait pas que ça serait ce point, il venait ici pour me dire des mots d’amour, des mots bleu comme il le disait et faisait mention au fait que je ne le regardais pas, il continuait de me dire qu’il était fou de moi depuis plus de 16 mois, qu’il était un boulet pour la famille Jones, incapable de parler de ses sentiments correctement, il ne cessait pas de se livrer à moi et je ne voyais que cette haine… enfin c’est ce que je ne cessais pas de me dire, car l’impact de l’hôpital sur mon esprit n’arrangeait rien, puis il finissait par me dire qu’il avait payé mes frais médicaux alors qu’on lui a avait interdit, mais ça semblait banal suite à ce qu’il m’annonçait, et auquel je répondis sans tarder, mon regard se plongea a nouveau dans le sien, ses paroles non, je ne pouvais pas les entendre :
-Tu te fou de ma gueule !! Un séjour à l’hôpital… me faire plaisir !! S’il y a bien un endroit où je ne veux pas êtres c’est ici… Sauter d’un balcon c’est moins douloureux que de rester ici dans ce lit dans cet hôpital…
J’avais écouté Batiste me parler de ses cadeaux, de ce qu’il avait fait pour moi, de ce qu’il voudrait faire pour moi, et je réalisais qu’il ne comprenait pas, il ne pouvait pas comprendre car il ne savait pas, tous ce qu’il me disait, toutes ses promesses, le contexte, je ne pouvais rien entendre mais lui il ne pouvait comprendre, je m’emportais alors a lui raconter mon histoire comme si je n’avais pas entendu tout ce qu’il venait de me dire car c’est un peu ce que j’avais fais :
-Batiste, je n’entends rien de ce que tu me dis… je ne veux pas entendre, je ne veux pas ouvrir tes cadeaux, je ne veux pas sentir le doux parfum des fleurs que tu m’as apporté…
Mon visage commençait à se perdre sous une cascade de larme alors que je continuais :
- Batiste, j’ai passé des années à côté d’un lit d’hôpital à écouter des promesses qui n’ont jamais été tenue, a voir mourir un peu plus ma mère chaque jour, les hôpitaux me donne la nausée, je me suis habitué à n’écouter aucune promesse dans les hôpitaux, car elles n’ont jamais été respecté, le parfum des fleurs sur ce cadre bleu d’hôpital me rappel le jour où je suis rentrée dans cette chambre alors que ma mère n’y étais plus, tes cadeaux si je les ouvrais il serait gâcher et n’aurait d’autres chemin que la poubelle… je pourrais te dire d’autres choses, j’ai d’autres choses à te dire, mais je n’exprimerais rien d’autre que de la colère tant que je serais ici ! Peu importe si ma sœur à envie de te tuer si tu me sortais d’ici, je serais prête à te construire un temple rien que pour ça… je t’en veux mais tu en ignore les réel raisons !

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Non, il ne se foutait pas du tout d’elle, il avait bien d’autre chose a faire que de se moquer d’elle, mais il laissa couler, sans répondre, il sourit quand elle annonça tout de même que le balcon lui avait fait moins mal que l’hôpital et a vrai dire il ne comprenait pas du tout pourquoi, mais il allait le comprendre très très vite. Il n’eut le temps de rien répondre qu’elle enchaina une seconde fois. Mais pour la seconde fois il ne trouva rien a dire, mais la suite s’annonçait génial pour lui, enfin pas trop, mais il pouvait la faire sortir et ca c’était le plus important. Il ne savait pas pour sa mère, il s’approcha d’elle et s’assit sur le lit la laissant lui expliquer son vécu dans les hôpitaux le jeune canadien écouta tout avant de l’embrasser doucement et de lui dire doucement. « Alors, ne restons pas là. On laisse les fleurs et on prend les cadeaux, Marlie me tuera probablement mais je veux être avec toi ! » Alexander s’éloigna de la jeune femme avant de mettre ses vêtements dans sa valise qui était assez énorme au passage, il ferma la valise de laquelle il avait pris le soin de retirer une robe longue, il s’approcha de la jeune femme en lui tentant. « Tu as besoin d’aide ? » Batiste la regarda tendrement avant de lui caresser doucement la main. Il ré ouvrit la valise, pour y mettre les cadeaux, qui avait un mal de fou a rester dans la valise au passage mais il força et réussi. Son plan ? Il allait sortir tout a fait normalement, Bat enleva sans prévenir la perfusion de la belle qui était en train de s’habiller. « Pourquoi tu ne m’as pas parlé de ca plus tôt ? Enfin on a pas eu vraiment le temps non plus, mais si j’avais su pour l’hôpital et les fleurs et les cadeaux je serai venu juste avec mon cœur et mes sentiments…On prend la vitre du cadre ? » Il mit la valise de la jeune femme devant la porte il enfila sa veste et prit la veste de jolie mère célibataire, il la regardait dans les yeux, ceux-ci était encore plein de larme. Il était content d’être venu en auto et pas en moto.
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C’était la première fois que je parlais de ça, enfin avec quelqu’un d’autre que ma sœur, tout ce que je pouvais ressentir dans ces hôpitaux, la personne que je pouvais y devenir lorsque j’y étais. Même lors de la naissance de mes filles j’avais été complètement insupportable à l’exception de quand je les tenais dans mes bras, Batiste m’avait alors répondu qu’on allait prendre les cadeaux et laisser les fleurs, rajoutant que Becca allait certainement le tuer, mais qu’il n’en avait rien à faire car il voulait être avec moi… il allait donc me faire sortir d’ici c’était officiel, il s’attela à ma valise, il m’avais tendu une robe en me demandant si j’avais besoin d’aide je lui répondais alors :
-Non ! Ça va aller.
J’enfilais cette longue robe et retirais cette tenue d’hôpital absolument horrible. Puis je sentis la main de batiste caresser la main et je retirais alors cette dernière, je lui en voulais, d’autant plus pour l’hôpital, il ne fallait pas croire que tout allait être rose et beau dès aujourd’hui. Puis il rouvrit ma valise pour y mettre les cadeaux avant de m’enlever la perfusion sans que je ne m’y attende, je fis une petit grimace à ce moment là, je n’aimais pas du tout voir ces aiguille
Puis il finit par me demander pourquoi je ne lui avais pas parlé de ça plus tôt, mais il admit que l’on n’avait pas vraiment eu le temps et de toute façon c’était loin d’être mon sujet de discutions préféré, il avait finit en me demandant si l’on prenait le cadre, et finalement j’avais répondu naturellement :
-Oui prend le… je ne t’ai pas parlé de ça, car je n’en parle pas, la seule qui le sais c’est Becca ah et …enfin pas d’importance.
J’essuyais mes larmes du revers de la main, sortais mes jambes du lit et descendais de ce dernier, j’enfilais rapidement l’atèle qui se retrouva caché sous la robe, enfilai ma paire de ballerine, je m’appuyais sur le bord de lit pour me lever, et lançais alors :
-Il va falloir que tu me soutiennes par contre !
Ceci n’étai pas une excuse pour lui faire un câlin, car là je lui en voulais trop pour ça, même si les sentiments était là, enfin bref, l’opération étant proche j’étais fragile, il ne fallait pas que je porte trop sur ma jambe.

(c)lili
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Batiste la regarda quand elle refusa son aide, il ne lui en voulait pas, il était à un point où il s’en voulait tellement de la situation, qu’il aurait pu tout laisser faire à la jeune femme, a commencer par ce geste, mais voilà c’était plus fort que tout…Il se retourna pour finir de rentrer les cadeaux dans la valise et puis aussi pour laisser un peu d’intimité à la jolie blonde. Par contre il fit un peu surpris quand elle accepta de prendre le cadre, il devait trouver une solution pour le balader celui-là, il le décrocha du mur, il reprit son feutre noir et ajouta dans le coin gauche « B.A & A.J » c’était sa façon de signer son aveux, il posa le cadre sur le lit et mit sa veste par-dessus, c’était pas le top pour le cacher…il réfléchit et se mis a fouiller la chambre pour trouver un sac en plastique, il en trouva un mais trop petit, puis il fouilla ses poches il devait avoir le sachet du magasin de sport...bingo, il mit le cadre dedans avant d’enfiler sa veste. « Ça n’a pas d’importance tu as raison, on en reparlera si tu veux… » Alexander aurait bien aimé savoir qui était le et, mais il ne voulait pas se disputer bêtement et surtout une fois de plus avec la jeune mère. Puis elle se leva enfin, Batiste posa la valise sur le sol avant de mettre le cadre dessus, il se doutait qu’elle aurait besoin d’aide, il s’approcha d’elle et passa le bras de la jeune femme autours de son coup. « Oui, par contre on sort sans signer de décharges comme si de rien n’était, alors quoi qui se passe en traversant l’hôpital ait confiance en moi. » Il ne fallait surtout pas que Batiste tombe sur le médecin qui avait opéré la jeune femme, ce dernier risquerait de le reconnaitre et pour cause ce bonhomme n’est pas n’importe qui pour les Alexander c’est le beau-père de son grand-frère, et puis il devait sortir vite, mais au plus les minutes passaient au plus il savait qu’il le paierait cher. Batiste aida la jeune femme a marcher avant d’attraper la valise et d’arriver dans le couloir, il lui chuchota à l’oreille. « Tu veux aller où, une fois sorti d’ici ? » Batiste passa le contrôle infirmière sans problème pour enfin arriver au ascenseur du service il appuya sur le bouton avant d’assoir la jeune femme sur une chaise juste à côté.
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Batiste & Andréa

Lorsqu’on avait parlé de ce que je pensais de l’hôpital j’avais réalisé que Becca n’était pas la seule à le savoir, non j’en avais également parlé à lukas en prévision du jour où j’allais accoucher, j’avais pris un long moment pour lui en parler, mais c’était lukas et c’est bien une des personnes dont je n’ai pas envie de parler à Batiste, il risquait de pas très bien le prendre en plus. J’étais heureuse donc qu’il ne demande pas plus de détail, c’était mieux ainsi !
Je mettais alors levé et il était venue vers moi pour m’aider comme je lui avais demandé, il m’annonçait alors que par contre nous n’allions pas signer de décharge, que l’on faisait comme si de rien n’était et que je devais lui faire confiance en traversant l’hôpital, j’avais envie de répondre en même temps je n’ai pas trop d’autres solutions mais je me contentais de ça :
-Oui !
Nous avancions donc à travers les couloirs sans dire un mot, jusqu’a ce qu’il me demande où je voulais aller après l’hôpital, je le regardais une fois installé sur la chaise en attendant l’ascenseur :
-Je ne sais pas, loin d’ici pour le moment je ne pense qu’a sortir d’ici !
Je lui fis un petit sourire en coin, je n’arrivais a penser à rien d’autre que le moment où j’allais franchir la porte de l’hôpital, je ne demandais que ça.

(c)lili
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